Dommage, dommage !
Vous disiez, dans un ancien post, quelque chose comme ça : « Ce qui me fascine, c’est la croyance, ce qui fait que les gens continuent à croire ».
Je suis comme vous ; mais j’aimerais surtout comprendre ce qui vous fait croire que vous ne croyez pas.
Un début d’explication m’est venu par la sémantique. Il est évident que pour un sceptique, la petite phrase : « je ne crois en rien » est d’une importance capitale.
C’est cette phrase qui le met automatiquement au-dessus de la masse grouillante des naïfs, ce qui satisfait son ego.
Mais à un moment de sa vie, le sceptique a conclu, il est simplement passé du côté de « ceux qui croient qu’il n’y a rien ».
Où se trouve le déclic qui va vous faire comprendre, comme une illumination, qu’il existe des choses intéressantes à étudier au-delà de votre eurocentrisme de salon.
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