T. : Je reviens à la belle citation de K :
«Il faut être capable d'empathie, ce qui nécessite la «prédominante» contribution de nos émotions.»
À moins d’un malentendu, je comprends que nos émotions doivent prédominer sur la tête. En d’autre terme, ce sont nos émotions qui doivent être au commande du tout.
Vous n’êtes pas d’accord avec cela ?
Thémis