Alors que ma raison me fait approuver sans réserve et l'action de ce médecin militaire, et l'action des populations que vous citez, je ne pense pas que j'aurais la force d'âme nécessaire à une telle action. Ce n'est qu'une estimation, car je ne me suis jamais trouvé devant un tel dilemme. Je ne pourrai répondre que si c'était moi le sujet. Si j'étais atteint d'une maladie incurable et qui provoque des souffrances insupportables, je pense, à 98% de vraisemblance, que je me donnerais la mort, que j'arrêterais la machine. Mais aider quelqu'un d'autre à le faire... Là, honnêtement, je ne sais pas. Mondreiter