C'est un de points durs de la méthode, ça semble évident. Pourquoi commencer d'entrée de jeu par un scan X ou un IRM? C'est lourd et quasi-inutilisable sur le terrain. Pourquoi ne pas commencer avec un EMG (cf message précédent) et un EEG portables, même si c'est un peu gênant pour le sujet? On pourrait aussi relativement facilement équiper le sujet d'éccéléromètres miniatures au niveau des segments des membres supérieurs, et de jauges de contrainte entre mains et baguette. On a bien utilisé ces méthodes sur les chevaux d'obstacle... Pas dit que ça donne quelque chose, mais ça débroussaillerait le pb., et la faisabilité est quand même supérieure, non? Mondreiter