Après l'escrime en différé et ses futures bottes destructrices, nous voici sur les tatamis virtuels. Franchement, M. Gatti, la mention du "quatrième de jambe" vous date ! On dit "Ko uchi gari" de nos jours, qui, bien que fort élégante, est loin d'être une prise fatale.
Et "qui vivra comprendra", après une prise fatale, vraiment !