Re:Re:Re:Re:Re:Re:Réponse à Lisa
Re: Re:Re:Re:Re:Re:Réponse à Lisa -- Sébastien
J'ai cité l'exemple du jardin de mon père car la plupart des préoccupations des gens ne dépasse pas le niveau de "Faudrait pas qu'on m'oublie après ma mort". Il ne s'agit pas d'un concept aussi profond que le néant ou l'infini. Tout au plus la peur du lendemain. On est dans le même système de réflexion que celui du businessman qui engeule sa secrétaire pour des frais de téléphones de quelques $ mais ne s'inquiète pas de pertes de plusieurs millions, incapable qu'il est de faire le saut d'échelle.