En effet, à ce jour, 19 demandes de ma satire sur le bon Dieu sont tombées dans ma boîte de courriel. Vlan, comme ça, venant de tous les coins de la Terre (j'attends toujours celles de Mars, de gens pognés avec la secte des martiens qui veulent la reconnaissance officielle du culte de la vierge Vénus et la reconnaissance des canaux de Mars pour l'immersion baptismale tous azimuts...).
En tout cas, je ne pensais pas que le bon Dieu et ses innombrabales invocations attireraient tant de monde dans ma boîte de courriel. Il est vrai que j'ai fait paraître mon message dans divers forums, et pas seulement celui des sceptiques. La moisson est bonne, et la récolte s'annonce prometteuse.
Incidemment, pour les visiteurs de ce forum sceptique qui ne se basent que sur mes interventions douteuses de ce forum pour juger de ma personnalité, de mon caractère et de mes centres d'intérêt, je les informe qu'il arrive, quelquefois, que je prenne un air sérieux pour discuter de choses graves et existentielles de la vie. Dans ces cas, j'utilise mon clone pour discuter sérieusement de ces choses importantes.
Ainsi, dans la continuité du thème de la croyance religieuse, de ses manifestations et des égarements qu'elle occasionne, j'ai aussi rédigé, au début de l'année, un texte que j'ai fait parvenir à quelques organismes religieux et certains médias. J'en ai eu des échos de la part de quelques organismes, mais pas de la part des médias. Ce texte s'intitule «Lettre ouverte aux représentants de Dieu sur Terre... depuis 2000 ans», et est une sorte de dénonciation de l'expansion que prend de plus en plus les mouvements de croyance religieuse, dans le monde.
De nouveau, je fais une offre «à la Parrain» aux intervenants de ce forum : si vous désirez lire ce texte, il me fera plaisir de vous en envoyer la copie par document attaché au courriel, en réponse au vôtre.
Par la suite, vos commentaires seront les bienvenus. N'hésitez pas à le commander : c'est pas cher, et j'ai même pas besoin de dépenser un timbre-poste pour vous l'expédier : économie sur toute la ligne.
Allez, je vous laisse sur ce dernier mot. J'ai encore des admirateurs de ma prose qui attendent dans ma boîte de courriel.
À la prochaine
Claude (alias Clodius, nom de plume informatique)