De plus, quand on prélève un organe, c'est généralement que le donneur est «mort», c'est-à-dire que son cerveau est détruit: donc, un donneur ne peut jamais être un donneur de cerveau puisque c'est la perte de fonctionalité de cet organe qui définit le donneur.
Évidemment, il y a un autre cas bien plus flou: et si on réussissait à ne greffer qu'une partie du cerveau, en remplacement d'une partie endommagée? Il va falloir commencer par définir quelles sont les parties qui on le plus d'impact sur la personnalité, faire une liste hiérachique, etc.
Et là pour faire plus drôle: une greffe partielle sur quelqu'un diagnostiqué comme souffrant de personnalités multiples... Ce diagnostic est généralement frauduleux, mais tu vois tout de même l'impact sur le patient!
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