C'est bien vrai qu'il n'y a pas beaucoup de représentantes du sexe opposé sur ce baillard, mais cela ne veut pas dire qu'elles sont absentes d'associations sceptiques.

En plus des raisons poétiques et bucoliques données par ceux qui ont répondu au premier message, il y a le fait que, effectivement, les envolées oratoires et assez viriles de certains des intervenants peuvent répugner à nos compagnes de vie de s'immiscer dans nos propos quelque peu machos sur certains bords. Mais, au-delà de cette constatation, elles n'en participent pas moins aux activités des Sceptiques.

Pardonnez à un partisan d'attirer l'attention dans sa cour, mais si vous allez faire un petit tour sur la page « Qui sont les Sceptiques », vous y verrez que ces gentes dames font partie des principaux groupes d'activités de l'Association, et non seulement au standard téléphonique pour répondre « Alloooo, j'écoute...! ».

Et puis, encore une fois, s'cusez-la, mais ces dames se sont impliquées beaucoup dans les activités passées de l'Association, et elles sont encore assez nombreuses à faire partie du lectorat de la revue. Et puis encore (je risque ici de me faire crucifier pour partisanerie excessive !), si vous prenez la peine de feuilleter le sommaire du livre publié par les Sceptiques, vous y verrez nombre de ces gentes dames en tant que journalistes ou « vulgarisatrices » (ouille ouille le terme féminin...!) sur des sujets scientifiques, ou médicaux, ou autres.

Donc, nos très chères compagnes ne répugnent pas, elles aussi, à prendre position et à défendre nos couleurs. Seulement, voilà, je pense que ce média (le forum) n'est pas tout à fait le genre d'endroit où ces dames acceptent de mettre à nu (attention, je mesure bien mon expression...) leurs états d'âme et, disons-le franchement, leurs emportements littéraires ou idéologiques, comme nous nous le permettons nous, hommes de beaucoup de foi (sceptique) et, à l'occasion, avouons-le, de pédanterie de notre part ?

Enfin, bref, la raison est probablement dans la manière, ou dans la présentation des choses, et, sans être sexiste, je préconiserais peut-être une approche un peu moins « garrochée » de nos états d'âme et de nos opinions. Et puis, peut-on envoyer un beau bouquet de fleurs virtuelles, dans ce babillard, pour apaiser un peu les sentiments des unes et des autres ? :-)

Bon, voilà, j'ai réfléchi tout haut. Faites-en ce que vous voulez. Si une consoeur sceptique lit ce message, qu'elle se fasse entendre !
La voix des femmes est acceptée, maintenant...

À qui la réplique prochaine ?

C.

Suivi