Bonjour,
Emanuelle a écrit :lau'jik a écrit :Le cerveau qui "cherche" à rallumer les chandelles et des explosions de neurotransmetteurs dans tous les coins avec l'EMI en effet collatéral
ça me va comme explication 
Merveilleuse attitude scientifique !
Peu importe que cela ne colle pas du tout avec le phénomène EMI, n'est-ce pas ? Ce qui compte avant tout c'est votre petit confort de pensée. Bref une paresse totale.

Ben faut se calmer, pas la peine de monter dans les tours comme ça et de passer en [mode agress']

Crrrr SHHHH pSSSIII pfuitpfiuitpfuit Moi aussi je peux le faire !
C'est moi ou je ne suis pas la première sur ce fil à qui vous sortez ce numéro ?
Vous accusez facilement vos interlocuteurs d'être dogmatiques, paresseux, de ménager leur petit confort, dès que les propos ne vont pas dans votre sens et les invitez à quitter ce fil. Je ne vois même pas quel "confort" je suis sensée trouver dans une simple opinion sur un sujet qui n'est pour moi qu'un objet parmi d'autres de mon cabinet de curiosité intellectuelle, si ce que je pense réel à ce sujet s'avère faux ça ne va pas chambouler ma vie.

C'est quoi une attitude scientifique, vous laisser faire un monologue ?
J'ai amené mon expérience, comme quoi ce que vous décrivez comme propre aux EMI (
qui pour ce que j'ai saisi est un peu à géométrie variable puisqu'on peut vivre des EMI sans être en situation de mort imminente ce qui est quand même fort de café pour quelqu'un qui refuse que l'on compare les EMI aux rêves ou aux hallucinations) l'est aussi aux rêves, il est pas assez beau pour vous mon témoignage, j'suis pas assez morte ou trop en contradiction avec vos affirmations ?
Tenez, cadeau, un petit
entretien sur les rêves.
cnrs-le journal a écrit :(...) Le rêve est par essence subjectif, puisqu’il est issu d’une expérience personnelle et semble évanescent. Comment alors l’étudier et l’analyser scientifiquement ?
I. A. : Une liste de protocole précise est établie pour analyser un rêve. On étudie leur fréquence : leur présence ou leur absence. On définit aussi leur poids. Par exemple, on compte le nombre de mots présents dans le récit du dormeur. Avec cela, les chercheurs ont par exemple établi qu’un récit de plus de 40 mots provient forcément d’un rêve en sommeil paradoxal. Par ailleurs, des échelles de bizarreries ou de menaces permettent de découper le récit en éléments et de classer les rêves. Pour que ces études soient valides, ces rêves doivent être recueillis en très grand nombre et analysés par des personnes indépendantes. C’est une méthode qui fonctionne très bien. Les données sont stockées dans des banques de rêves, comme celle de l’université de Santa Cruz (link is external), en Californie, qui recense pas moins de 22 000 rêves. (...)
Je remarque que sur la totalité de mon intervention vous ne retenez qu'un passage qui se voulait humoristique et très clairement caricatural mais certainement plus parcimonieux que ce que vous sous-entendez sur la super-perception du cerveau lors d'une EMI.
Ca vous agresse tant que ça que je ne sois pas convaincue par vos histoires d'EMI qui seraient le signe
d'autre chose ou de je ne sais quelles
performances/facultés/perceptions ? Vous restez évasive sur le sujet depuis le début, à un moment vous allez peut être exprimer clairement ce qui "colle" avec le phénomène EMI parce que pour moi ça reste nébuleux contrairement aux articles de vulgarisation scientifiques que j'ai pu lire de loin en loin évoquant tout un tas de phénomènes physiologiques au niveau du cerveau entrainant des effets assimilables à ce que décrivent les personnes ayant vécu une EMI.
Le dernier en date qui m'a été conseillé par Pépéjul :
Quand l'esprit met le corps à distance.
La question peut aussi être abordée d'un
point de vue philosophique mais c'est moins mon domaine.
Quant à ma totale paresse vous vous trompez et c'est franchement une attaque gratuite et méprisante, va falloir redescendre sur Terre et calmer les chevaux.
Je n'ai pas tout lu certes, mes nuits deviendraient vraiment trop courtes, mais j'attends de lire votre avis sur les critiques de
S. Poirier qui sera plus éclairé que le mien : c'est vous la spécialiste.
Ah oui, j'oubliais, perso je m'en tape le coquillard de savoir si certains ont des antennes qui leur poussent pendant une EMI : ça ne sert à rien au final (
je suis prête à revoir ce jugement si des preuves venaient à sortir).
Ma curiosité intellectuelle va plus sur l'éclairage que certaines expériences extrêmes peuvent amener sur les connaissances en neurologie et sur la conscience, du tangible en fait.
Et pour le moment je ne vois rien qui permette de sauter des connaissances actuelles dans les divers domaines scientifiques invoqués aux hypothèses d'une autre dimension ou d'autres perceptions.
Avez-vous seulement pris connaissance des témoignages et des nombreux articles scientifiques que j'ai cités ?
Evidemment non.
Si vous le dites c'est que c'est vrai n'est-ce pas ? Encore une accusation gratuite.
Pour les témoignages certes je concède une certaine flemme, une lecture en diagonale me suffit et je ne vois vraiment pas ce que vous voulez que je leur trouve à ces foutus témoignages ! Je ne lis rien qui les différencie des rêves ou des hallucinations ou d'exercices de méditation. Quant aux articles si je n'interviens pas c'est que d'autres le font bien mieux que je ne le ferais. Il vous faut quoi : que je poste "moi aussi je pense pareil" après chaque intervention ?
J'ai un peu autre chose à faire de ma vie en attendant ma mort.
Pourquoi intervenez-vous sur le sujet alors ?
Juste pour faire chier bien évidemment ! Gniark gniark gniark
Non mais sans rire il me faut une lettre de créance pour écrire sur le forum ?
Y'a pas de souci je vous laisse votre marotte*.
Mais je ne comprend pas pourquoi vous venez l' exprimer ici puisque manifestement il n'y a que ceux qui l'ont vécu et ceux qui acceptent l'idée d'une perception d'
autre chose qui sont légitimes pour parler des EMI.
C'est la rhétorique des dealers ça : tu peux pas parler de drogue si t'a pas essayé... ça tombe bien j'en ai justement sur moi... j'te fais un prix. Et vous vous vendez quoi ?
Aller, ciao.
*sauf si finalement j'ai envie de revenir
