DoliePrane a écrit : 28 janv. 2024, 14:35
Je ne comprends pas le rapport avec le sujet. Les notions d'énergétiques sont en lien avec une subtilité du vivant qui n'a pas sa place dans "votre" univers de violence... RAID, GIGN...
Quand le degré de sclérose de l'énergie négative est à ce point... Effectivement... on rentre dans le dur et la matière beaucoup moins subtile... Je l'ai dit, c'est un degré de lecture du monde qui n'est pas accessible dans des états de conscience classiques.
Le rapport? Le ton caustique, non perçu, face à une avalanche de blabla débridé asséné avec des pseudo-notions invérifiables, qui traînent de façon récurrente et obsessionnelle depuis des lustres chez tous les "perchés".
Apanage de tous les mouvements sectaires.
Univers de violence, parce qu'il est fait référence à des protocoles d'entraînement, de conditionnement (dans le sens positif) exigeants? Pourquoi est-ce que ces structures existent? Pour réprimer en laissant libre cours à des manifestations de violence gratuite et bestiale? Ça c'est l'appréciation puérile et sans nuances, de la situation, sans connaissances, sans aucun efforts de compréhension. La violence délibérée est exclue car considérée comme contreproductive et dangereuse.
A ce titre, le corps des pompiers, pour les professionnels, fait également partie de cette élite, et obéit au régime militaire (sous les épis, il peut se passer des choses Nikola

), soumis à des protocoles où l'excellence est recherchée. Pas pour eux, mais au service des autres *.
Le vivant n'est pas "subtil". Il est, il existe, il vit, il se reproduit, il meurt. Pas plus, pas moins.
Globalement, ce vivant n'en a strictement rien à faire des considérations d'essence humaine. La "nature" se contrefout absolument que l'humain, et pas mal de ses délires associés, soit présent dans sa sphère. Elle fait avec, sans se poser de questions.
D'ailleurs, quand je pose des questions, j'apprécie que l'on veuille bien faire l'effort de fournir des réponses circonstanciées, en fonction des demandes formulées.
L'analyse du discours...
Celui-ci présente toujours un ton mielleux avec une première approche feutrée, c'est une caractéristique bien évaluée des adeptes des dérivés pseudo-scientifiques et/ou sectaires. On tâte le terrain, on cherche à s'installer, pas pour échanger, dialoguer, mais généralement pour convaincre, car on prétend détenir le "savoir" conduisant à la "vérité". On assène mais on reste incapable de démontrer quoi que ce soit de ses affirmations péremptoires.
Peu à peu, face à l'adversité et aux critiques, le ton change, relativement vite, au cours des confrontations.
Quand il est demandé des sources, des références, que les interlocuteurs soulignent les contradictions, les impossibilités, l'inanité des contenus, la rhétorique absconse, on perçoit l'agacement qui monte, puis l'exaspération, parce qu'il devient très vite intenable de continuer à tenir un discours uniquement basé sur le raisonnement circulaire, et jamais sur les preuves, parce qu'elles n'existent pas et n'ont jamais existé.
Aucune démonstration à ce jour, en ce sens.
...Si je ramène tout à cette fameuse énergie, c'est que c'est un point d'observation qui permet de comprendre beaucoup de choses de notre monde...
Non!
Les états de conscience modifiés existent, mais pas au sens où l'entendent les férus de la galaxie pseudo-scientifique. Lorsque par exemple le corps, (l'individu au sens global du terme) est soumis à des conditions extrêmes.
- les apnėistes en grande profondeur
- les alpinistes évoluant en haute altitude
- les participants à des épreuves sportives comme un Ironman ou un ultratrail
Par états modifiés de conscience, il faut comprendre interactions modifiées avec son environnement.
Dans les cas spécifiques des deux premiers, ils ont plutôt intérêt à bien se connaître et à ne pas se laisser dériver à s'adonner aux "énergies positives" de l'univers, aux "forces sombres " du même acabit... parce qu'ils ont toutes les chances de terminer leurs exploits respectifs les pieds devant. Définitivement.
Un autre fait, scientifiquement démontré: la marche sur le feu, grand classique des tenants purs et durs des forces supérieures, des énergies ultimes, etc...
Un scientifique français, chercheur au CNRS, a établi, devant huissiers avec un protocole rigoureux, ce que l'on peut considérer comme un record du monde absolu en parcourant la distance de 60 (soixante) mètres en marchant sur des braises en 1994 (cité de mémoire).
Avant lui, Henri Broch, un physicien, s'était essayé à l'exercice après avoir démontré, rationnellement, qu'aucune disposition comme celles ci-dessus évoquées, était nécessaire pour réaliser cette épreuve.
A ce jour, sauf erreur de ma part, le "record" de 60 mètres tient toujours. Aucun adepte des "énergies subtiles, secrètes, rituelles,..." ou quoi que ce soit dans ce style ne s'y ait frotté.
...Les croyances n'ont que faire de la science. Et la réalité aussi...
Mais bien sûr... encore faut-il être capable d'en fournir la démonstration. Les croyances à part historiquement avoir fourni la preuve de leur inefficacité rétrograde **, n'ont guère permis l'essor de tendances constructives pour le genre humain.
* il serait bon de s'interroger au sujet d'Arnaud Beltrame, dont les médias parlent en ce moment.
Sous le képi, il y avait un individu qui pensait et agissait.
** excepté pour les juteux marché de la chose en termes financiers