Jean-Francois a écrit :vinety a écrit :Le concept ne s'est pas transformé par le pouvoir d'un bâton magique, en réalité physique (matériel). Il demeure un concept, une représentation intellectuelle, à la fois générale et abstraite, d'une catégorie d'objets ou d'idées. (réf. dictionnaire)
Et, vous auriez un exemple de ce qui est "réalité physique" dans votre système? La masse seule? Pourtant la masse est une propriété de la matière au même titre que la longueur ou le volume.
J'ai jeté un coup d'oeil à votre site et ne comprends rien à votre "démonstration". En fait, je ne vois pas de démonstration, et certaines de vos affirmations sont franchement étonnantes. Celle que soulève Raphaël, par exemple, ou:
"Autre postulat; les nombres; vers l'infini <00001> vers l'infini
[...]
Le zéro ne fait pas partie des nombres. Il indique le néant, le vide, l'immatériel."
Si je comprends bien, "l'infini" vers la gauche, c'est la tendance vers zéro. Les nombres négatifs n'existent pas dans votre système, à moins qu'il y ait un passage "magique" par dessus le vide, l'absence laissée par le zéro.
La question de ce qu'est le temps est intéressante, mais il me semble aussi difficile de nier le temps que de conclure qu'il est forcément immatériel (dans le sens de non-relié à la matière).
Jean-François
Salut Jean-François.
Excuse moi pour le retard apporté à la question très intéressante citée par toi.
En ce qui concerne le zéro; Le zéro n’est pas un nombre, il est le symbole indiquant le vide.
Il n’y a pas de passage magique par-dessus le vide, car le mot vide indique qu’il n’y a rien. Comment peut on passer par-dessus quelque chose qui n’existe pas. Il n’a pas de valeur. Mais il est une notion mentale pour indiquer que vers l’infini il y a le vide. Les nombres sont infinis, mais ils ne sont jamais vides.
Ce que je comprends bien ton raisonnement, c’est que tu associes au vide une valeur d’où les nombres négatif origine. C’est peut être une façon de voir la question.
En ce qui concerne les nombres négatifs, ils sont une notion mathématique très commode pour indiquer une distance entre un sujet qui se regarde dans un miroir parfaitement plat et son interprétation mentale de la distance qui sépare son image réfléchie de la surface du miroir. On dit à ce moment que la distance est égale à la distance du sujet du miroir multipliée par -1. S’il est a deux mètres du miroir, son image réfléchie est à -deux mètres. Si on additionne -2 +2= - 4. On vient de trouver une distance négative, qui matériellement n’existe pas et on enlève le -.
Ce qui donne 4. Dans le dessin assisté par ordinateur, On repique une image quelconque en effet miroir, en multipliant les coordonnées z, y, z d’une distance x , par -1, pour l’image à repiquer.
Exemple : Si une coordonnée est 12,-3,-2, les coordonnés de l’image miroir est -12, 3, 2.
Donc les nombres négatifs que tu mentionnes, sont le résultat d’un nombre multiplié par -1
Remarque bien qu’on ne fait à peu près jamais le calcul d’une pareille transposition. Les calculs sont déjà préprogrammés.
Excuse moi pour cette longue démonstration, je pense qu’elle était utile.
A la revoyure
Vinety