julien99 a écrit : 09 juil. 2020, 10:56jean7 a écrit : 09 juil. 2020, 01:44Comment qualifier par exemple une personne qui assassinerait une personne qu'elle rencontre sur 100 ?
Est-ce qu'il y aurait quelque chose
de ridicule à mettre le paquet pour s'en protéger, l'arrêter et éviter qu'elle ne serve d'exemple à des milliers d'autres ?
Les chiffres le confirment par exemple en comparant le ration France et Inde. 6 fois plus
de décès pour un pays occidental. Je me pose des questions.
Et il y a une foule
de réponse à cette question là, qui ne me semble par ailleurs pas fondamentale.
julien99 a écrit : 09 juil. 2020, 10:56Ensuite, ces chiffres démontrent bien, que la létalité du SARS-cov2 a fortement été exagéré, en poussant le bouchon jusqu’à plus
de 4 %, donc plus
de 40 fois supérieur à ce que nous démontre la réalité.
???
Encore un problème
de virgule ?
Je vois une liste
de pourcentages tournant autour des 4%.
De mémoire, j'en était resté à 2%.
Mais il n'y a pas beaucoup
de pays à 40 fois moins que 4%. Ça ferait 0,1%.
julien99 a écrit : 09 juil. 2020, 10:56 La létalité effective correspond donc à celui d’une bonne grippe saisonnière, ni plus ni moins.
Alors je reprend mon histoire
de fou qui se baladerait en tuant, blessant ou estropiant
les gens. 99%
de ses victimes y survivraient et on ne pourrait rien faire
de plus contre lui.
S'il y en a un autre qui se pointe, on fait quoi ? on laisse faire ?
Et ainsi
de suite ?
Avec cette approche, est-ce qu'on aurait pris la peine
de chercher à se débarrasser
de la tuberculose, la peste, etc ?
Après tout, ceux qui en sont mort dans le passé seraient morts d'autre chose, alors à quoi bon ?
Je ne comprend pas du tout où tu veux en venir.
La planète entière EST dans un chaos permanent. On avance
de crise en crise.
La stabilité n'est même pas désirée puisque c'est la croissance qui est exigée.
julien99 a écrit : 09 juil. 2020, 10:56 Imaginez, c’est comme si on interdisait
de conduire sous prétexte que
les urgences des hôpitaux n’arrivent pas à suivre.
J'espère bien que si une forme
de démence se propageait dans la population amenant à la multiplication des accidents
de la route, restreindre la circulation serait une des mesures envisagée.
Le problème
de Covid, après maintenant 6 mois, c'est qu'on ne sait toujours pas le soigner, qu'on se rend compte qu'il laisse des séquelles, que parfois
les guérisons ne sont que des mises en veille et qu'on est pas certain que l'acquisition d'une immunité durable soit seulement possible.
En l'état
de conaissance
de ce qui se passe, selon moi, on en fait pas assez.