Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
[quote="FrankG"]Laflamme,
Comment pouvez-vous ignorez tant de données montrant directement et indirectement la nature pathogène des micro-organismes?
C'est une théorie, cette nature soit-disant pathogène des micro-organismes, non prouvée depuis Pasteur...
Le vivant dont nous dépendons, selon Hamer, nous attaque selon la théorie pasteurienne.
« Jusqu'ici, la médecine dite moderne s'imaginait connaître un millier de maladies, réparties pour moitié environ entre "maladies froides", telle que le cancer, par exemple, l'angine de poitrine, la sclérose en plaques, l'insuffisance rénale, le diabète, etc., et "maladies chaudes", telles que le rhumatisme articulaire par exemple, la glomérulonéphrite, la leucémie, l'infarctus du myocarde, les maladies infectieuses, etc. Les microbes nous paraissaient toujours "apathogènes" dans les "maladies froides", c'est-à-dire qu'ils ne faisaient rien, tandis que nous les trouvions toujours extrêmement virulents dans les "maladies chaudes", c'est-à-dire que nous nous imaginions toujours qu'ils "envahissaient" ou attaquaient un organe. [...] »
En fait, selon Hamer, toute maladie comporte deux phases :
Première phase. La phase de conflit actif avec sympathicotonie durable. Au début de cette phase, il y a toujours un DHS. Autrefois, ces premières phases étaient considérées comme des maladies "froides" autonomes, ce qu'elles n'étaient pas. Bien que durant cette phase le système immunitaire soit censé être déficient, nous ne trouvons pas, dans cette phase sympathicotonique, d'activité microbienne, c'est-à-dire que les microbes sont censés être apathogènes et donc inoffensifs.
Seconde phase. La phase de conflit résolu avec vagotonie durable. Cette phase débute toujours avec la solution du conflit. Autrefois, ces secondes phases étaient toujours prises pour des maladies "chaudes" autonomes, ce qu'elles n'étaient pas. Bien que pendant cette seconde phase le système immunitaire parût tourner à plein régime (fièvre, leucocytose, etc.), les microbes n'en étaient pas pour le moins du monde incommodés, mais continuaient de "faire leur boulot" allègrement. Ces mêmes microbes, jugés auparavant "apathogènes", devenaient soudain "pathogènes". [...] »
Selon Hamer, les microbes sont spécialisés pour réparer certains types d'organes ou tissus, en fonction de l'origine embryologique de ces derniers :
- les microbes "archaïques" (champignons et mycobactéries) traitent les tissus d'origine endodermique (ainsi que, moins fréquemment, les tissus d'origine mésodermique ayant leur relais au cervelet) ;
- les microbes "anciens" (bactéries) traitent les tissus d'origine mésodermique ;
- les microbes "jeunes" (virus, s'il existent) traitent les tissus d'origine ectodermique.
"Ils ne se mettent au travail que lorsque notre organisme leur en donne expressément l'ordre, à partir du cerveau. Et cet ordre leur est toujours intimé par le cerveau au moment précis où débute la phase de guérison, lorsque l'organisme passant de l'innervation sympathique à l'innervation parasympathique entre dans une phase de vagotonie (guérison) permanente."
Hamer n'est pas le seul à considérer que les microbes sont nos alliés plutôt que nos ennemis et ces travaux et vérifications vont tout à fait dans le sens des travaux de Béchamp, médecin et professeur de chimie médicale et pharmaceutique à la faculté de Montpellier, et qui s'opposait à Pasteur, notamment sur la théorie du pléimorphisme bactérien. Pour Béchamp, les microbes sont un processus plutôt qu'une chose. Provenant d'une souche unique (des particules "prébactériennes" présentes dans toutes les structures organiques et qu'il appelait microzymas), ils peuvent changer de taille et de forme selon l'état de santé de l'organisme dans lequel ils vivent. C'est le phénomène de "transformation-subdivision-recombinaison". Ces thèses ont finalement été confirmées par divers chercheurs dont Madame Victor Henry, de l'Institut Pasteur, en 1914, et Claude Bernard.
En 1980, des bactériologistes français (Sorin, Sonea et Panisset) affirmaient que le pléimorphisme bactérien était un fait scientifique irréfutable. Des travaux ont même montré que des bactéries peuvent se transformer en virus en fonction de ce qui leur est donné comme substrat nutritif.
Donc, il faut retourner aux sources = Pasteur (théorie) contre Béchamp (preuves éclatantes que la théorie pasteurienne est fausse). Pourquoi Pasteur le charlatan a triomphé ? En falsifiant ses travaux et ses démonstrations publiques... Travaux cachés jusqu'au début des années 80, son dernier descendant étant mort.
Cherchez et vous trouverez !
Lucas
Comment pouvez-vous ignorez tant de données montrant directement et indirectement la nature pathogène des micro-organismes?
C'est une théorie, cette nature soit-disant pathogène des micro-organismes, non prouvée depuis Pasteur...
Le vivant dont nous dépendons, selon Hamer, nous attaque selon la théorie pasteurienne.
« Jusqu'ici, la médecine dite moderne s'imaginait connaître un millier de maladies, réparties pour moitié environ entre "maladies froides", telle que le cancer, par exemple, l'angine de poitrine, la sclérose en plaques, l'insuffisance rénale, le diabète, etc., et "maladies chaudes", telles que le rhumatisme articulaire par exemple, la glomérulonéphrite, la leucémie, l'infarctus du myocarde, les maladies infectieuses, etc. Les microbes nous paraissaient toujours "apathogènes" dans les "maladies froides", c'est-à-dire qu'ils ne faisaient rien, tandis que nous les trouvions toujours extrêmement virulents dans les "maladies chaudes", c'est-à-dire que nous nous imaginions toujours qu'ils "envahissaient" ou attaquaient un organe. [...] »
En fait, selon Hamer, toute maladie comporte deux phases :
Première phase. La phase de conflit actif avec sympathicotonie durable. Au début de cette phase, il y a toujours un DHS. Autrefois, ces premières phases étaient considérées comme des maladies "froides" autonomes, ce qu'elles n'étaient pas. Bien que durant cette phase le système immunitaire soit censé être déficient, nous ne trouvons pas, dans cette phase sympathicotonique, d'activité microbienne, c'est-à-dire que les microbes sont censés être apathogènes et donc inoffensifs.
Seconde phase. La phase de conflit résolu avec vagotonie durable. Cette phase débute toujours avec la solution du conflit. Autrefois, ces secondes phases étaient toujours prises pour des maladies "chaudes" autonomes, ce qu'elles n'étaient pas. Bien que pendant cette seconde phase le système immunitaire parût tourner à plein régime (fièvre, leucocytose, etc.), les microbes n'en étaient pas pour le moins du monde incommodés, mais continuaient de "faire leur boulot" allègrement. Ces mêmes microbes, jugés auparavant "apathogènes", devenaient soudain "pathogènes". [...] »
Selon Hamer, les microbes sont spécialisés pour réparer certains types d'organes ou tissus, en fonction de l'origine embryologique de ces derniers :
- les microbes "archaïques" (champignons et mycobactéries) traitent les tissus d'origine endodermique (ainsi que, moins fréquemment, les tissus d'origine mésodermique ayant leur relais au cervelet) ;
- les microbes "anciens" (bactéries) traitent les tissus d'origine mésodermique ;
- les microbes "jeunes" (virus, s'il existent) traitent les tissus d'origine ectodermique.
"Ils ne se mettent au travail que lorsque notre organisme leur en donne expressément l'ordre, à partir du cerveau. Et cet ordre leur est toujours intimé par le cerveau au moment précis où débute la phase de guérison, lorsque l'organisme passant de l'innervation sympathique à l'innervation parasympathique entre dans une phase de vagotonie (guérison) permanente."
Hamer n'est pas le seul à considérer que les microbes sont nos alliés plutôt que nos ennemis et ces travaux et vérifications vont tout à fait dans le sens des travaux de Béchamp, médecin et professeur de chimie médicale et pharmaceutique à la faculté de Montpellier, et qui s'opposait à Pasteur, notamment sur la théorie du pléimorphisme bactérien. Pour Béchamp, les microbes sont un processus plutôt qu'une chose. Provenant d'une souche unique (des particules "prébactériennes" présentes dans toutes les structures organiques et qu'il appelait microzymas), ils peuvent changer de taille et de forme selon l'état de santé de l'organisme dans lequel ils vivent. C'est le phénomène de "transformation-subdivision-recombinaison". Ces thèses ont finalement été confirmées par divers chercheurs dont Madame Victor Henry, de l'Institut Pasteur, en 1914, et Claude Bernard.
En 1980, des bactériologistes français (Sorin, Sonea et Panisset) affirmaient que le pléimorphisme bactérien était un fait scientifique irréfutable. Des travaux ont même montré que des bactéries peuvent se transformer en virus en fonction de ce qui leur est donné comme substrat nutritif.
Donc, il faut retourner aux sources = Pasteur (théorie) contre Béchamp (preuves éclatantes que la théorie pasteurienne est fausse). Pourquoi Pasteur le charlatan a triomphé ? En falsifiant ses travaux et ses démonstrations publiques... Travaux cachés jusqu'au début des années 80, son dernier descendant étant mort.
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Lucas
Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
Bullshit ! Nos scans sont des plus modernes et ce sont les mêmes que vous utilisez tous les jours, ignare ! Pour voir les impacts au cerveau aucun produit de contraste ne doit être utilisé. Vous ne cherchez dans le cerveau que des tumeurs et c'est pourquoi vous colorez... Et durant les ateliers de lectures de scans on voit très bien des Foyer de Hamer en phase active et d'autres en phase de réparation. Aucun scan n'est pareil, logique ce sont tous des scans de patients différents.PierrePaulJacques a écrit :Arf.. quelle blague ce "protocole Siemens" !! Encore une légende habilement invoquée par les tenants de MNG...protocole a été fait avec Siemens, preuve que peu importe la position de la tête, le Foyer de Hamer (il a dit bizarre, non, mais foyer de Hamer, okay!) est toujours sur le même relais ! Je dis "un", mais il y en a souvent plusieurs et chacun correspond à un conflit très spécifique et à un organe.
La vérité est tout autre et, oui, il s'agit bien d'artefacts fréquents des scanners de troisième génération mal réglés [on peut voir ces formes circulaires dans n'importe quel objet scanné si c'est mal réglé : tomme de Savoie, pommes, poires et scoudidous] :
http://www.ariplex.com/nmwiki/index.php ... amer_focus
Autres pages :
http://www.medcyclopaedia.com/library/t ... efact.aspx
page 172 de cet ouvrage : http://books.google.fr/books?id=JX__lLL ... #PPA172,M1
Explication du phénomène et de sa présence fréquente dans les scan de troisième génération mal calibrés, à partir de la 334 de cet ouvrage : http://books.google.fr/books?id=jTAwGTY ... #PPA334,M1
Tumeurs au cerveau, qui soit-dit en passant n'existent pas.
Les cellules nerveuses (neurones) qui constituent 20 % de notre cerveau ne peuvent pas se reproduire, selon la médecine conventionnelle. Le pourcentage restant (80 %) est constitué de cellules gliales (la glie), un tissu conjonctif, soit un tissu de réparation. Sa seule fonction est de réparer les traumatismes cérébraux. Le cerveau étant un organe essentiel, il est logique que le taux de tissus conjonctif y soit aussi élevé.
Cancer du cerveau, donc pas cancer de l'os ou du derme, ce qui fait qu'on
s'en tient aux cellules neuronales, okay !
Ce qu'on interprète comme une tumeur cérébrale n'est en réalité qu'une accumulation de cellules gliales en un endroit spécifique du cerveau ayant subi un traumatisme. Une fois la réparation complétée, on observe une cicatrisation des tissus et un retour à la normale.
Donc, vous parlez de tumeurs cérébrales, mais vous affirmez par ailleurs que les cellules nerveuses ne peuvent se reproduire. Une tumeur étant une croissance cellulaire, comment pouvez-vous prétendre trouver dans le cerveau ce qui, selon vos propres dires, n'existe pas ?
Ensuite, en intervenant dans le cerveau, on le débalance et de fait, à la suite d'interventions chirurgicales, des troubles du comportement apparaissent. Par ailleurs, en interprétant un amas de cellules gliales de réparation comme une tumeur et en tentant de retirer celle-ci, on casse le processus de réparation. Éventuellement, les cellules gliales reprennent leur travail, puisque la réparation des traumatismes cérébraux est leur fonction ! On dira alors que la ou les tumeurs cérébrales sont revenues !
Lucas
Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
Ou est-ce que vous voyez des microbes dans l'angine de poitrine, la sclérose en plaque, l'insuffisance rénale (non lié à une infection) ou le diabète??!!! Vous dites que la médecine moerne considère que des microbes extrêmement virulents sont liés à l'infarctus du myocarde. Avez-vous réellement étudié en médecine?Laflamme a écrit :usqu'ici, la médecine dite moderne s'imaginait connaître un millier de maladies, réparties pour moitié environ entre "maladies froides", telle que le cancer, par exemple, l'angine de poitrine, la sclérose en plaques, l'insuffisance rénale, le diabète, etc., et "maladies chaudes", telles que le rhumatisme articulaire par exemple, la glomérulonéphrite, la leucémie, l'infarctus du myocarde, les maladies infectieuses, etc. Les microbes nous paraissaient toujours "apathogènes" dans les "maladies froides", c'est-à-dire qu'ils ne faisaient rien, tandis que nous les trouvions toujours extrêmement virulents dans les "maladies chaudes", c'est-à-dire que nous nous imaginions toujours qu'ils "envahissaient" ou attaquaient un organe. [...] »
Lucas[/quote]Laflamme a écrit :Ces thèses ont finalement été confirmées par divers chercheurs dont Madame Victor Henry, de l'Institut Pasteur, en 1914, et Claude Bernard.
Laflamme a écrit :les microbes "jeunes" (virus, s'il existent)
ok, j'abandonne, c'est vraiment n'importe quoi.Laflamme a écrit :ont même montré que des bactéries peuvent se transformer en virus en fonction de ce qui leur est donné comme substrat nutritif.
Le maillon le plus faible
Salut FrankG,
Tu dis :
Grosse niaiserie, en effet.ok, j'abandonne, c'est vraiment n'importe quoi.Laflamme a écrit :ont même montré que des bactéries peuvent se transformer en virus en fonction de ce qui leur est donné comme substrat nutritif.
On dirait que Laflamme ne réalise pas qu'une crédibilité, c'est un peu comme une chaîne : ça a la force de son maillon le plus faible. Proférer une grosse niaiserie, ça décrédibilise sur tout le reste, par effet domino.
Moi, la seule façon que je vois pour que des bactéries se transforment en virus, c'est si elles sont envahies~infestées par tant de virus qu'ils les bouffent jusqu'à leurs dernières molécules. Je ne sais pas si ça peut arriver. Je ne suis pas biologiste.
Mais même dans ce scénario hypothétique de transformation de facto de bactéries en virus, la formulation de Laflamme est encore tordue : le substrat nutritif, c'est plus aux virus qu'aux bactéries qu'il est offert.

Les meilleures sorties de route sont celles qui font le moins de tonneaux.
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Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
On comprend pourquoi vous rejetez la médecine scientifique, dont la rigueur et l'objectivité vous sont totalement étrangères : tout ce que vous avancez comme preuves, ce sont des témoignages qui ressemblent irrésistiblement à ceux produits par les tenants du paranormal pour soutenir leurs allégations.Laflamme a écrit :Pour revenir aux preuves soit-disant inexistantes
Vous ne citez aucun article scientifique écrit selon un protocole expérimental vérifiable.
Prouvez-le ! En attendant, je vous considère comme un sinistre mystificateur.Laflamme a écrit :/.../6000 des 6500 patients atteints de cancers très avancés étaient encore en vie 5 ans après avoir entamé le traitement du Dr. Hamer/.../
Où avez-vous vu écrit une telle absurdité ? Dans le cas de l'infarctus du myocarde, je doute très fort que vous fassiez allusion aux facteurs de risques infectieux discutés[*] dans la genèse de l’athérosclérose, étant donné que vous n'avez aucune connaissance médicale.Laflamme a écrit :Jusqu'ici, la médecine dite moderne s'imaginait connaître un millier de maladies, réparties pour moitié environ entre "maladies froides", telle que le cancer, par exemple, l'angine de poitrine, la sclérose en plaques, l'insuffisance rénale, le diabète, etc., et "maladies chaudes", telles que le rhumatisme articulaire par exemple, la glomérulonéphrite, la leucémie, l'infarctus du myocarde, les maladies infectieuses, etc. Les microbes nous paraissaient toujours "apathogènes" dans les "maladies froides", c'est-à-dire qu'ils ne faisaient rien, tandis que nous les trouvions toujours extrêmement virulents dans les "maladies chaudes", c'est-à-dire que nous nous imaginions toujours qu'ils "envahissaient" ou attaquaient un organe.
En outre, vos propos délirants montrent à l'évidence que vous n'avez jamais soigné de patients.
Le courage me manque pour reprendre toutes vos autres montreuses âneries concernant la microbiologie, les tumeurs cérébrales, l'interprétation de la tomodensitométrie cérébrale...
[*]Pages 26 et 27.
Le sommeil de la raison engendre des monstres. Francisco de Goya.
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Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
Laflamme a écrit : Pour revenir aux preuves soit-disant inexistantes =
Le 9 décembre 1988, les cinq médecins soussignés ont procédé conjointement à la vérification de la reproductibilité de la LOI D'AIRAIN DU CANCER à Vienne.
Docteur Elisabeth M. ROZKYDAL, généraliste,
Professeur Jörg BIRKMAYER, docteur en chimie et docteur en médecine, titulaire de la chaire universitaire de médecine chimique et de cancérologie, spécialiste de médecine de laboratoire et chef du laboratoire médico-chimique de l'université de Vienne,
Docteur Franz REINISCH, spécialiste des maladies internes,
Docteur Fritz EBERZ, médecin assistant
Docteur Ryke Geerd HAMER
Au total, il y a eu examen de sept patients. Cet examen avait pour objectif de déterminer si l'ensemble des protocoles de maladie et observations médicales, tous les processus, phases et déroulements des maladies de ces patients atteints de cancers, sclérose en plaques ou équivalents du cancer (Morbus Crohn, etc.) vérifiaient nettement et sans ambiguité la LOI D'AIRAIN DU CANCER.
Ce fut à l'évidence le cas et ce, aux trois niveaux: psychique, attesté par les patients présents (anamnèse); cérébral, démontré par les scanners; et organique, confirmé par les radios et résultats cliniques.
La plupart des patients ne connaissaient pas le Dr Hamer auparavant.
Les relations de cause à effet se sont avérées convaincantes.
Vienne, le 9 décembre 1988
Original reproduit : http://medecinenouvelle.com/verificatio ... inal.shtml
PROTOCOLE DE VERIFICATION DE LA LOI D'AIRAIN DU CANCER
LE 8 AVRIL 1989 à CHAMBERY (FRANCE)
Le 8 avril 1989, à Chambéry, les 16 médecins soussignés ont procédé conjointement à la vérification du caractère reproductible de la LOI D'AIRAIN DU CANCER.
Au total, ils ont examiné 10 patients. L'examen avait pour objectif exprès de déterminer si l'ensemble des protocoles de maladie et observations médicales, tous les processus, phases et déroulements des maladies de ces patients atteints de cancers ou équivalents de cancer vérifiaient nettement et sans ambiguité la LOI D'AIRAIN DU CANCER.
Ce fut à l'évidence le cas au triple niveau :
psychique, attesté par les patients présents (anamnèse),
cérébral, démontré par les scanners, et
organique, confirmé par les radios et résultats cliniques.
Le Docteur HAMER ne connaissait pas auparavant les patients qui lui étaient présentés.
Les relations de cause à effet se sont avérées évidentes.
CHAMBERY, le 8 AVRIL 1989
Original reproduit : http://medecinenouvelle.com/verificatio ... inal.shtml
Copie Certifiée Conforme
Protocole de la conférence de Médecine
du 4 et 5 mars 1989
Munich
Le 9 décembre 1988, les médecins soussignés ont procédé conjointement à la vérification de la reproductibilité de la LOI D'AIRAIN DU CANCER à Munich.
Au total, 27 patients ont été examinés et chaque cas a été documenté avec précision. Cet examen avait pour objectif de déterminer si l'ensemble des protocoles de maladie et observations médicales, de ces patients atteints de cancers, ou équivalents du cancer vérifiaient nettement et sans ambiguité la LOI D'AIRAIN DU CANCER.
Ce fut à l'évidence le cas et ce, aux trois niveaux: psychique, attesté par les patients présents (anamnèse); cérébral, démontré par les scanners; et organique, confirmé par les radios et résultats cliniques.
Le Dr. Hamer ne connaissait pas les patients qui lui ont été présentés.
Les relations de cause à effet se sont avérées convaincantes.
Dr.med. Ina v. Foris
Dr. Christiane May
Dr.med. Renate Wackernagel
Dr. Peter Wackernagel
Dr.med. Thomas Ertner
Dr. Petra Marialke-Kandaouroff
Dr.med. Christian Helmrich
Dr.med. Michael Roschger
Dr.med. Rainer Etzei
Dr.med. Tanchette Marc
Dr. Bernardino Bianchi
Dr.med. Gertrud May
Dr. Rosemarie May
Dr.med. Walter Kaphahn
Dr. Ryke Geerd Hamer
Notaire: Dr. Helmut Wirner
PROTOCOLE DE VÉRIFICATION
des lois biologiques de la MÉDECINE NOUVELLE par
la FACULTÉ DE MÉDECINE de DUSSELDORF - RFA
Le 24 juin 1992
Communication au Doyen de la FACULTÉ DE MÉDECINE de DUSSELDORF, le professeur P. PFISTER, docteur en médecine et docteur ès sciences, patron du service histologie, par le professeur docteur E.A. STEMMANN, directeur de la clinique pédiatrique de Gelsenkirchen, membre de la FACULTÉ DE MÉDECINE de DUSSELDORF, chargé de la vérification des lois biologiques de la MÉDECINE NOUVELLE découvertes et définies par le docteur Ryke Geerd HAMER, Cologne.
Monsieur le Doyen,
Vous m'aviez proposé, en ma qualité de membre de la Faculté de Médecine de Düsseldorf, de procéder, dans le cadre d'une conférence médicale, à un examen en bonne et due forme d'une vingtaine de cas de cancers et maladies équivalentes, enfonction des lois biologiques de la Médecine Nouvelle du docteur Ryke Geerd Hamer, dnas le but de vérifier la reproductivité de ces lois biologiques. Voilà qui est fait. Il était convenu également que je vous rende compte à vous et à la Faculté de Médecine de Düsseldorf.
Les 23 et 24 mai 1992, une conférence médicale s'est tenue sous ma présidence à la clinique pédiatrique de Gelsenkirchen, où il a été procédé à l'examen de 24 cas en fonction des lois biologiques de la Médecine Nouvelle. Cette vérification en bonne et dueforme visait à déterminer si les quatre lois biologiques de la Médecine Nouvelle découvertes et définies par le docteur Ryke Geerd Hamer, se trouvaient confirmées pour chaque cas. En moyenne, chaque cas comportait 4 à 5 maladies.
Comme vous le savez, les 4 lois biologiques de la Médecine Nouvelle sont :
La loi d’airain du cancer avec ses 3 critères
La loi des deux phases des maladies, s'il y a solution du conflit
Le système ontogenétique du cancer et des maladies equivalentes au cancer
Le système ontogénétique des microbes.
Les 24 cas s'étendaient aux maladies suivantes :
Cancer, leucémie, psychoses, scléroses multiples, diabètes, allergie, épilepsie, tumeur au cerveau, maladie infectieuse, tuberculose, sarcome.
Dans chacun de ces 24 cas, dont chacun encore une fois, comportait le plus souvent plusieurs maladies, nous avons trouvé, sans exception, que les lois biologiques de la Médecine Nouvelle 1-3 étaient vérifiées exactement par chacune des maladies partielles, c'est-à-dire à tous les trois niveaux - psychisme, cérébral et organique - et qui plus est, de manière synchrone pour chaque phase individuelle. La quatrième loi, celle du système ontogénique des microbes, n'a pas pu être vérifiée suffisament, du fait que les pièces justificatives nécessaires, telles que le constat d'agents pathogènes etc., n'étaient pas disponibles en nombre suffisant.
Vous recevrez sous peu une documentation circonstanciée sur l'ensemble des cas examinés, ainsi qu'un rapport de vérification détaillé, que je vous enverrai à part.
A la suite de cette vérification scientifique rigoureuse de la reproductabilité, le degré de probabilité que les lois biologiques de la Médecine Nouvelle (1-3) soient exactes doit être considéré, à présent, comme étant très élevé.
Avec mes amitiés.
Prof. Dr. E.A. Stemmann
Médecin-chef Dr. Elke Mühlpfort
Pédiatre
Médecin Scolaire
Les autres = http://medecinenouvelle.com/verifications/
Merci de nous confirmer magistralement ce que je disais plus haut. Nulle part il est écrit ce que vous prétendez : "Le Dr Hamer ne disposait que de leur scannographie cérébrale. On lui avait aussi donné le sexe, l'âge et la latéralité des patients."
Vous le pensez en toute bonne foi, j'en suis sûr, mais voilà : ça n'est écrit nulle part.
On vous aurait trompé ?
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Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
J'ai lu le texte du "maître" (en allemand) à l'origine de cette autre fable. Montrez-le nous doncLaflamme a écrit : Lors d'un des procès intenté contre lui, le procureur de la République (de Wiener Neutsadt, en Autriche) a bien été obligé de reconnaître que 6000 des 6500 patients atteints de cancers très avancés étaient encore en vie 5 ans après avoir entamé le traitement du Dr. Hamer, les dossiers des dis patients ayant été confisqués par l'État. Cela représente une réussite pour plus de 90 % presque l'inverse des résultats auxquels on aurait pu s'attendre avec un traitement conventionnel.

De mémoire, il n'est pas question de "cancers avancés" comme vous le prétendez mais de malades qu'il qualifie de manière floue "d'abandonnés par la médecine officielle", autrement dit : des diabétiques ? des scléroses en plaques ? des colopathies ?
- Nulle surprise qu'une forte proportion d'entre eux soient "vivants" 5 ans après.
- Surtout, il s'agissait de simples dossiers de la clinique : absolument rien ne dit combien, parmi des gens atteints de cancer, ont suivi le conseil absurde d'arrêter les traitements traditionnels ! Combien ne sont jamais revenus, sidérés par ce conseil absurde... Combien avaient déjà eu une chimio ou autres...
Ce prétendu "argument d'efficacité" est une (autre) supercherie.
Votre aveuglement total fait peine à lire...
Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
"Le Dr. Hamer ne connaissait pas les patients qui lui ont été présentés."
Cela signifie qu'il ne connaissait pas les pathologies de ces derniers et a pu les identifier précisément.
Cela signifie qu'il ne connaissait pas les pathologies de ces derniers et a pu les identifier précisément.
Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
Ce prétendu "argument d'efficacité" est une (autre) supercherie.
Votre aveuglement total fait peine à lire...[/quote]
Votre propre aveuglement vous échappe totalement. Je comprends que cela dérange hautement vos vieilles convictions clairement invalidées. Mais ce sont des protocoles scientifiques médicaux tout ce qu'il y a de plus terre à terre comme ont en fait dans n'importe quelle université du monde et les noms et signatures attestent leur authenticité que cela vous plaise ou non.
Autruche !
Vous ne voulez pas comprendre que le Dr Hamer n'était pas un charlatan mais un oncologue et qui plus est le chef du département de l'hôpital universitaire ! Et ce sont les dossiers de ses patients en oncologie qui ont été confisqués par l'État !
Il remet carément toute l'industrie médicale du cancer en question. Un sacré gêneur ! Toute l'industrie pharmaceutique mise en place par IG Farben et Rockefeller s'écroule. Les enjeux financiers et politiques sont colossaux. L'Ordre des médecin, créé en 1940 par Pétain sur l'injonction des nazis, veille au grain, ainsi que l'Ordre des Pharmaciens, créé en 1945. Le 15 mai 1911, la Cour suprême des États-Unis déclarait John Rockefeller et son trust coupable de corruption, de pratiques illégales et de racketérisme. Par conséquent, la totalité du trust Rockefeller Standard Oil, la plus grande entreprise du monde à cette époque, était condamné à la dissolution. Mais Rockefeller était déjà au-dessus de la Cour suprême et ne se souciait guère de cette décision. En 1913, pour dissiper la pression publique et politique qu'il subit avec ses barons, Rockefeller trouve une nouvelle solution appelée "philanthropie" : il utilise les revenus de ses pratiques illégales sur le marché du pétrole pour créer la Fondation Rockefeller. Grâce à cette entité dont le statut équivaut à un paradis fiscal, il organise le contrôle stratégique du secteur de la santé aux États-Unis. La Fondation Rockefeller est la façade d'une nouvelle entreprise globale gérée par Rockefeller et ses complices : les investissements dans le commerce pharmaceutique. Les dons de la Fondation Rockefeller supportent exclusivement des écoles médicales et des hôpitaux. Ces institutions sont devenues les missionnaires d'une nouvelle race d'entreprises: les fabricants de médicaments synthétiques brevetés...
En 1925, en Allemagne, un premier cartel chimico-pharmaceutique est créé pour s'opposer à la conquête du marché mondial des médicaments par le seul Rockefeller. Dirigé par les multinationales allemandes Bayer, BASF et Hoechst, le cartel I.G. Farben émerge avec une force de travail comptant plus de 80 000 employés. La course pour le contrôle du marché mondial des produits pharmaceutiques est lancée. Et le 29 novembre 1929,
le cartel Rockefeller (U.S.A.) et le cartel I.G. Farben (Allemagne) décident de diviser le monde en sphères d'intérêt. Cette pratique est exactement celle pour laquelle Rockefeller avait été condamné 18 ans plus tôt, lorsque son trust avait divisé les États-Unis en "zones d'intérêt"...
Vous voulez que je poursuive ?
Le lien entre les expérimentations à petit échelle de Auschwitz et lcelles à grande échelle de la chimiothérapie n'est pas assez évident ?
http://www4fr.dr-rath-foundation.org/su ... peech.html
Tourner en ridicule des chercheurs comme Max Planck ou Albert Einstein, lorsqu'ils ont affirmé que la lumière semblait avoir une double nature (ondulatoire et corpusculaire), ce n'était pas très lourd de conséquences, sauf pour leurs détracteurs qui se sont couverts de ridicule, par la suite...
Mais falsifier des preuves de guérison spontanée, déclarer des erreurs de diagnostic pour ne pas remettre en question le sacro-saint dogme, refuser un débat contradictoire sur les travaux d'un scientifique qui mériterait un Nobel de médecine pour ses découvertes. Tout cela est criminel.
Lucas
Votre aveuglement total fait peine à lire...[/quote]
Votre propre aveuglement vous échappe totalement. Je comprends que cela dérange hautement vos vieilles convictions clairement invalidées. Mais ce sont des protocoles scientifiques médicaux tout ce qu'il y a de plus terre à terre comme ont en fait dans n'importe quelle université du monde et les noms et signatures attestent leur authenticité que cela vous plaise ou non.
Autruche !
Vous ne voulez pas comprendre que le Dr Hamer n'était pas un charlatan mais un oncologue et qui plus est le chef du département de l'hôpital universitaire ! Et ce sont les dossiers de ses patients en oncologie qui ont été confisqués par l'État !
Il remet carément toute l'industrie médicale du cancer en question. Un sacré gêneur ! Toute l'industrie pharmaceutique mise en place par IG Farben et Rockefeller s'écroule. Les enjeux financiers et politiques sont colossaux. L'Ordre des médecin, créé en 1940 par Pétain sur l'injonction des nazis, veille au grain, ainsi que l'Ordre des Pharmaciens, créé en 1945. Le 15 mai 1911, la Cour suprême des États-Unis déclarait John Rockefeller et son trust coupable de corruption, de pratiques illégales et de racketérisme. Par conséquent, la totalité du trust Rockefeller Standard Oil, la plus grande entreprise du monde à cette époque, était condamné à la dissolution. Mais Rockefeller était déjà au-dessus de la Cour suprême et ne se souciait guère de cette décision. En 1913, pour dissiper la pression publique et politique qu'il subit avec ses barons, Rockefeller trouve une nouvelle solution appelée "philanthropie" : il utilise les revenus de ses pratiques illégales sur le marché du pétrole pour créer la Fondation Rockefeller. Grâce à cette entité dont le statut équivaut à un paradis fiscal, il organise le contrôle stratégique du secteur de la santé aux États-Unis. La Fondation Rockefeller est la façade d'une nouvelle entreprise globale gérée par Rockefeller et ses complices : les investissements dans le commerce pharmaceutique. Les dons de la Fondation Rockefeller supportent exclusivement des écoles médicales et des hôpitaux. Ces institutions sont devenues les missionnaires d'une nouvelle race d'entreprises: les fabricants de médicaments synthétiques brevetés...
En 1925, en Allemagne, un premier cartel chimico-pharmaceutique est créé pour s'opposer à la conquête du marché mondial des médicaments par le seul Rockefeller. Dirigé par les multinationales allemandes Bayer, BASF et Hoechst, le cartel I.G. Farben émerge avec une force de travail comptant plus de 80 000 employés. La course pour le contrôle du marché mondial des produits pharmaceutiques est lancée. Et le 29 novembre 1929,
le cartel Rockefeller (U.S.A.) et le cartel I.G. Farben (Allemagne) décident de diviser le monde en sphères d'intérêt. Cette pratique est exactement celle pour laquelle Rockefeller avait été condamné 18 ans plus tôt, lorsque son trust avait divisé les États-Unis en "zones d'intérêt"...
Vous voulez que je poursuive ?
Le lien entre les expérimentations à petit échelle de Auschwitz et lcelles à grande échelle de la chimiothérapie n'est pas assez évident ?
http://www4fr.dr-rath-foundation.org/su ... peech.html
Tourner en ridicule des chercheurs comme Max Planck ou Albert Einstein, lorsqu'ils ont affirmé que la lumière semblait avoir une double nature (ondulatoire et corpusculaire), ce n'était pas très lourd de conséquences, sauf pour leurs détracteurs qui se sont couverts de ridicule, par la suite...
Mais falsifier des preuves de guérison spontanée, déclarer des erreurs de diagnostic pour ne pas remettre en question le sacro-saint dogme, refuser un débat contradictoire sur les travaux d'un scientifique qui mériterait un Nobel de médecine pour ses découvertes. Tout cela est criminel.
Lucas
Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
Le courage me manque pour reprendre toutes vos autres montreuses âneries concernant la microbiologie, les tumeurs cérébrales, l'interprétation de la tomodensitométrie cérébrale...
[*]Pages 26 et 27.[/quote]
C'est une explication de comment étaient vues les maladies (chaudes et froides) avant non par moi par la médecine d'école si cela vous a échappé !
Puis on a observé que les infections survenaient seulement dans les phases chaudes et non dans les maux chroniques, par ex.
Je ne vous contredirai pas, ce sont des aberrations !
Comme vous vous intéressez à la cardiologie, j'ai reçu un texte intéressant sur le sujet ce matin =
Cholestérol et cœur : trouvez l’erreur
Un taux élevé de cholestérol serait un des principaux facteurs de risque d’infarctus du myocarde. Ainsi, dans le but de diminuer les risques de récidive d’événement coronarien chez les personnes atteintes de maladie cardiovasculaire, les cardiologues prescrivent un médicament pour contrôler le taux de cholestérol. Vérité scientifique ou mythe ?
« La plupart des gens souhaitent être encadrés, se sentir en sécurité, protégés des événements, des circonstances, des conditions et des autres, parfois aussi d'eux-mêmes… » écrivait Jacques Languirand. Cette recherche de sécurité fait l'affaire des grandes structures lucratives qui prétendent veiller sur notre santé. Sous son vernis d’honorabilité, ce système dit de santé est une vaste machine à conditionner l’esprit. Publicité, promotion, marketing, consommation... La même machine infernale veille à l’éducation des médecins et des patients… Et la vraie science ?
« Dans 99,5 % des cas, l'occlusion d'une artère, qui est la cause de l'infarctus du myocarde, est attribuable à un caillot. Et ce qui cause la formation des caillots dans les artères, ce n'est pas le cholestérol. C'est l'hyperréactivité des plaquettes sanguines. » soutient le Dr Michel de Lorgeril, qui se spécialise depuis 30 ans dans la prévention des maladies cardiovasculaires. Ce cardiologue de renommée internationale pour ses travaux, chercheur au CNRS, qui vit à Grenoble, en France, a déjà habité au Québec au milieu des années 80. Il était alors rattaché à l'Institut de cardiologie de Montréal. Auteur de la bombe médicale Dites à votre médecin que le cholestérol est innocent et il vous soignera sans médicament, il démontre que la « théorie du cholestérol » ne repose sur aucun fondement scientifique solide, notamment en mettant en lumière les biais et malfaçons des études pourtant réputées qui servent à la promotion de nombreux médicaments, dont il assure qu’ils sont aussi inutiles que dangereux. C’est tout le marché du cholestérol, bilans sanguins, médicaments, nutrition… qui s'effondre. Les soit-disant experts, on s’en doute, tirent à bout portant sur l’homme qui ose révéler au grand public une aussi scandaleuse imposture.
Et il est loin d’être le seul spécialiste à démolir scientifiquement le mythe du « mauvais » cholestérol. The International Network of Cholesterol Skeptics (THINCS: www.thincs.org), le Réseau international des sceptiques du cholestérol, qui regroupe quelque 80 chercheurs, affirme, preuves à l’appui que : les personnes avec un taux de cholestérol bas ont autant d'athérosclérose que celles avec un taux élevé. Les cardiologues mal informés se basent sur des études expérimentales non concluantes, mais dissimulées sous des formulations statistiques complexes, pour faire peur à des millions de personnes en bonne santé, auxquelles on prescrit inutilement des médicaments, prouvés dangereux, en plus de les inciter à suivre un régime fastidieux et insipide, censé réduire le « mauvais » cholestérol.
Selon le porte-parole de THINCS, le chercheur danois, le Dr Uffe Ravnskov, PhD en médecine interne et néphrologie (reins), un taux de cholestérol élevé protégerait au contraire contre les infections et l'athérosclérose ! Le résultat de ses travaux (High cholesterol may protect against infections and atherosclerosis) a récemment été publié dans un prestigieux journal médical, le Quarterly Journal of Medicine. Il est également l’auteur de The Cholesterol Myths (Les mythes du cholestérol). Prix Skrabanek 1999 du Trinity College de Dublin (Irlande) pour ses publications originales dans le domaine du scepticisme en médecine; prix de l'Intégrité Scientifique 2003 de la Fondation Weston A. Price, membre du comité d'experts du Journal de l'Association Suédoise de Médecine (Läkartidningen) et du journal médical suédois Tidskriften Medikament; membre de la New York Academy of Sciences (académie des sciences de New York), etc., il rallie de nombreux scientifiques de par le monde, qui savent qu’aucune preuve n’appuie l’hypothèse du régime cardioprotecteur.
On peut aller même plus loin que la déclaration fracassante du Dr Lorgeril, car en ce qui concerne l’impact au cœur de l’occlusion d’une artère, si son observation est exacte son interprétation demeure fausse. On sait que l’athérosclérose est un blocage des artères par un dépôt lipidique, mais il n’y a aucun lien entre ce blocage et les maladies cardiovasculaires telles que l’infarctus du myocarde. On peut avoir plusieurs artères coronaires bloquées sans aucune incidence sur les fonctions cardiaques.
Le Dr Ryke Geerd Hamer a scientifiquement prouvé, il y a 25 ans déjà, que le cholestérol ainsi que le blocage des artères ne sont aucunement responsables des maladies cardiaques et que le cholestérol intervient plutôt dans la réparation des artères endommagées. Ainsi, un taux élevé de cholestérol (LCL) indique un processus naturel de réparation dans l’organisme.
Le directeur de la recherche en cardiologie de l’université de Vienne lui a donné raison, mais a refusé de diffuser publiquement les faits. Non seulement il aurait perdu son prestigieux poste, mais le grand public, désormais informé de cette imposture médicale à grande échelle, aurait crié au meurtre !
Quand des intégristes égorgent froidement et brutalement des humains, il n’y a pas d’interprétation possible. Quand la manœuvre est lente et subtile, on ne voit rien… Connaissez-vous l’histoire de la grenouille que l’on plonge dans une eau froide que l’on fait chauffer graduellement et qui, sans se douter de la procédure, finit par mourir ébouillantée ?
Le « mauvais » cholestérol : une imposture
Le cholestérol est une substance indispensable aux cellules de tous les mammifères. On ne devrait même plus parler de « bon » ou de « mauvais » cholestérol, cette théorie ayant été scientifiquement démolie.
Un niveau élevé de cholestérol n'est pas dangereux en soi. De nombreuses études ont d’ailleurs démontré que l'athérosclérose touche indistinctement les gens, peu importe leur taux de cholestérol. Selon le Dr Ravnskov, on produit plus de cholestérol si on en mange moins et on en produit moins si on en mange plus. Le fameux régime « crétois » (ou méditerranéen) préconisé aux cardiaques serait un leurre, d’autant plus qu’une vingtaine d’études cliniques ont démontré que les personnes qui font un infarctus ne sont pas de plus grands consommateurs de graisse que d’autres. Des végétariens font aussi des infarctus et des cancers digestifs. « Le degré d'athérosclérose à l'autopsie n'est pas lié au régime et ni la mortalité cardiovasculaire, ni la mortalité totale n'ont été améliorées avec des médicaments dont le seul effet est de réduire le cholestérol. Au contraire, ces médicaments sont dangereux et peuvent réduire l’espérance de vie. »
THINCS réunit sur son site Web de nombreuses études pertinentes ayant été publiées dans des revues et des ouvrage scientifiques au cours de la dernière décennie et questionne sérieusement les tenants de l’idée « régime/cœur », qui font l’autruche, ainsi que les médias de masse, qui passent sous silence les résultats négatifs ou contradictoires. La possibilité que des millions de patients intentent des poursuites légales contre le corps médical et l’industrie pharmaceutique ne saurait être écartée…
Les patients de l’Institut de cardiologie de Montréal se voient encore remettre une brochure dans laquelle ils apprennent que : « Le cholestérol devient dangereux pour vos artères lorsque sa présence dans le sang est trop élevée. Les dépôts de cholestérol s’accumulent sur les parois des artères et amènent progressivement des blocages au niveau de celles-ci. Une analyse de sang détermine votre taux de cholestérol (LDL et HDL, communément appelés mauvais et bon cholestérol) et celui des triglycérides (autre gras dans le sang). Votre mauvais cholestérol (LDL) est trop élevé : Ce type de cholestérol est celui qui augmente les dépôts de cholestérol sur la paroi des artères. L’objectif doit donc être de l’abaisser, afin de diminuer vos risques de blocage. »
Des décennies de mensonges
« L'idée que les graisses saturées provoquent les maladies cardiaques est totalement fausse, mais cette assertion a tellement été "publiée" au cours des trente dernières années et plus qu'il est très difficile de convaincre les gens du contraire, sauf s'ils sont prêts a prendre le temps de lire et d'appendre tous les facteurs économiques et politiques qui ont produit l'idée anti-graisse saturée », soutient Mary Enig, experte internationale dans le domaine de la biochimie des lipides, nutritionniste et rédactrice-adjointe de nombreuses publications scientifiques, entre autres le Journal of the American College of Nutrition, et présidente de la Maryland Nutritionists Association.
Le Pr Michael Gurr, de la School of Biological & Molecular Sciences (École des sciences biologique et moléculaire) de Oxford, rédacteur en chef de Nutrition Research Reviews, conclut : « L'analyse et les discussions autour des preuves scientifiques que nous présentons ne convaincront probablement pas ceux des "experts" qui se sont déjà rangés à l'idée qu'un régime riche en graisse est la cause des maladies cardiovasculaires. (…) Toutefois, j'espère que quelques lecteurs, qui ne savaient peut-être pas que l'hypothèse des lipides n'était pas sans failles, auront été persuadés que la relation entre nos graisses alimentaires et le risque de mourir d'une crise cardiaque ne se réduit pas à ces arguments simplistes. »
L’idée régime-cœur est « la plus grande imposture de notre temps », selon le Pr George Mann, qui s’est montré particulièrement critique à l’égard des études concernant l'abaissement du cholestérol : « Jamais dans l'histoire de la science a-t-on vu autant d'essais coûteux échouer avec une telle régularité ». En 1977, dans le New England Journal of Medicine, on avait publié ses arguments solides contre la théorie du régime cardioprotecteur: l'absence de corrélation entre les habitudes alimentaires et le cholestérol sanguin, entre les modifications au cours du 20e siècle de la consommation de graisse et le taux de mortalité aux États-Unis, ainsi que les résultats décevants des études visant à l'abaissement du cholestérol.
Une étude trafiquée sert de base à la campagne contre le cholestérol
Le Pr Mann est aussi du nombre de ceux qui critiquent les directeurs de l'étude Lipid Research Clinics (LRC) trial (étude des cliniques de recherche sur les lipides), qui sert de base à la campagne contre le cholestérol. « Les résultats non concluants de l'essai LRC ne les ont pas empêché de se vanter de l'avènement de cette "percée scientifique majeure". Les responsables de la National Institute of Health (Institut national de la santé) ont utilisé des ficelles publicitaires pour vendre cet essai non concluant, comme on vendrait du déodorant. Le Bethesda Consensus Panel (Jury de consensus de Bethesda, du Maryland aux États-Unis) a omis de mentionner que l'étude LRC, comme bien d'autres études avant celle-ci, clame haut et fort : Non ! Le régime que vous préconisez ne permet ni de gérer la cholestérolémie ni de prévenir les maladies coronariennes et le médicament que vous avez eu la générosité de tester pour une firme pharmaceutique ne marche pas non plus !»
Michael F. Oliver, ancien professeur et directeur du Wynn Institute for Metabolic Research (recherche sur le métabolisme) à Londres, aura été le premier à démontrer que les patients qui souffraient de maladie coronarienne avaient en moyenne plus souvent des taux de lipides sanguins « anormaux » que les témoins en bonne santé, mais la baisse du cholestérol est selon lui dangereuse : « On sait peu de choses sur les effets à long terme de cet abaissement sur la composition des membranes cellulaires ».
Le Dr R. G. Hamer a prouvé à 100 % qu’un taux élevé de cholestérol indique toujours un processus de réparation en marche dans l’organisme. Il a également prouvé que les maladies du cœur correspondent toutes à des conflits spécifiques : perte ou menace dans le territoire de l’individu (attaque de la chambre gauche du cœur); frustration ou rejet sexuel (chambre droite); impuissance, être dépassé par les événements (infarctus du myocarde); attaque perçue (douleur au niveau du cœur), la personne sent alors que l’intégrité de sa fonction cardiaque est menacée (péricardite ou tamponnade cardiaque).
Edward R. Pinckney, rédacteur pour quatre revues médicales, et ancien co-rédacteur du JAMA (Revue de l'association médicale américaine), publiait en 1973 The Cholesterol Controversy (La controverse du cholestérol). Selon lui, modifier son mode de vie en fonction des résultats de ses prises de sang pourrait causer plus de tort que de bien. « Votre peur de mourir — si vous faites partie des nombreuses personnes qui partagent cette préoccupation morbide — a pu faire de vous une victime de cette controverse, (…) vous suivez une idée qui n'est basée sur rien de solide. Au contraire, on vous a berné en tant que consommateur au nom d'intérêts commerciaux et de certaines associations pour la santé qui s'intéressent plus à votre portefeuille qu'à vous sauver la vie. »
Russell Smith, un psychologue expérimental avec un cursus important en physiologie, en mathématiques et en ingénierie, n’y va pas de main morte : il soutient que la campagne actuelle visant à nous convaincre de changer d'alimentation, et le plus souvent de prendre des médicaments, est basée sur des mensonges, des interprétations erronées ou des exagérations de soit-disant preuves, mais aussi et surtout sur l'oubli volontaire de quantités énormes de données contradictoires. « Des scientifiques objectifs dont les intérêts personnels ne seraient pas en jeu ne pourraient jamais considérer que l'ensemble des publications est en faveur de l'alimentation cardioprotectrice et de la baisse du cholestérol. »
Le Dr Smith n’est pas sans savoir qu'il s'oppose à de puissantes institutions : « Les pouvoirs politiques et financiers de l'association entre la NHLBI et l'AHA sont énormes et sans équivalents. Et comme cette association apparaît crédible aux yeux du public et des médecins, elle est devenue un véritable rouleau-compresseur, utilisant son pouvoir et son prestige pour évincer une énorme quantité de données contradictoires, allant jusqu'à mettre au défi l'outil fondamental des scientifiques : la logique. (…)Bien que le public perçoive la recherche médicale comme une science très précise, la plupart des recherches épidémiologiques sont en fait très imprécises, et cela se comprend quand on sait qu'elle sont conduites en général par des individus qui n'ont eu aucun enseignement, qu'il soit formel ou sur le tas, de la méthodologie scientifique. En conséquence, les études sont souvent mal conçues, et les données sont souvent mal analysées et mal interprétées. De plus, les biais sont si fréquents qu'il semblent être la règle plutôt que l'exception. Il est difficile de ne pas voir que de nombreux chercheurs manipulent ou interprètent leurs données de façon à ce qu'elles satisfassent leurs hypothèses préconçues.(…) Une bonne partie des publications est ainsi un affront à la Science et la discipline qu'elle requiert. »
L’influence titanesque des pharmaceutiques
Les fabricants de médicaments anti-cholestérol ont inculqué aux médecins qu’un taux de cholestérol élevé endommageait les parois des vaisseaux sanguins, provoquait leur épaississement et, en fin de compte, leur obstruction, ce qui entraîne les infarctus et les attaques d’apoplexie. Aujourd’hui, nous savons qu’il ne s’agissait là que d’une stratégie de marketing, imaginée par l’industrie pharmaceutique.
« Si un taux de cholestérol élevé devait endommager les parois des vaisseaux sanguins, cela devrait être valable pour l’ensemble des vaisseaux de notre appareil circulatoire. Cet appareil devrait se boucher n’importe où, et pas uniquement au niveau du cœur et du cerveau. En d’autres termes, nous devrions avoir également des infarctus du nez, des oreilles, des genoux, des coudes, des doigts et dans d’autres parties du corps. Or, il est clair que ce n’est pas le cas », ironise le Dr Mathias Rath (www.dr-rath.com). À ses yeux, les maladies sont causées par des carences à long terme en micronutriments. « La seule question que je me pose encore est la suivante : pourquoi ces informations ne sont-elles pas immédiatement diffusées dans le monde entier ? Pour répondre à cette question, nous devons reparler des activités d’investissements de l’industrie pharmaceutique qui lutte férocement contre toute découverte susceptible d’entraîner l’effondrement de tout son commerce avec la maladie. »
Selon le Dr Michel de Lorgeril « cela arrange l’industrie pharmaceutique et l’agrobusiness, les laboratoires d’analyses, les fabricants de kits de mesure, mais aussi les médecins qui peuvent trouver un avantage à cette médecine automatisée et rémunératrice; et enfin les patients auxquels ont fait croire qu’ils seraient ainsi protégés sans faire d’effort. ». (http://www.psychanalyse-en-mouvement.ne ... d.php?3,79)
Après toutes ces années de matraquage, les gens accepteront-ils la vérité ou céderont-ils aux campagnes de peur financées à coup de millions de dollars ?
Risque d'infarctus: le cholestérol n'est pas coupable
La prescription abusive de médicaments hypocholestérolémiants est basée uniquement sur une illusion : la théorie désormais prouvée fausse du « mauvais » cholestérol. Le Dr Michel de Lorgeril a démontré que la cause de la formation des caillots dans les artères était l'hyperréactivité des plaquettes sanguines, l'hyperactivité du système de coagulation et l'inhibition du système fibrinolytique, qui ne fait pas son travail de dissoudre les caillots quand ils commencent à se former dans l’artère.
« Il est vrai que des caillots se forment en général sur des artères qui ont été altérées, endommagées par l'athérosclérose. Or, il y a deux composantes dans l'athérosclérose : dans une proportion de 70 %, elle est causée par la "sclérose", c'est-à-dire l'inflammation chronique de la paroi de l'artère, phénomène dans lequel le cholestérol ne joue aucun rôle. L'autre dimension, c'est l' "athérome", un amas de matières grasses qui se forme au cœur même de la sclérose. D'ailleurs, on l'appelle aussi "cœur lipidique". Or, le cholestérol ne compte que pour 30 %, environ, de l'athérome. Nous voilà rendus à un chiffre de moins de 10 % pour la place du cholestérol dans l'athérosclérose, ce qui est peu, et 0 % pour son rôle dans le caillot. Comme vous voyez, le cholestérol ne peut pas, matériellement parlant, boucher les artères. »
Les médicaments pour l'hypercholestérolémie sont inutiles et dangereux
Les cardiologues qui croient que l'infarctus est causé par le cholestérol et auxquels on a dit que les statines réduisent le cholestérol sanguin, les prescrivent pour réduire les risques d'infarctus. « Je vous rappelle que 50 % des gens qui font un infarctus meurent immédiatement ou dans les jours qui suivent, poursuit le Dr de Lorgeril. Or, lorsqu'on regarde les essais cliniques des cinq ou huit dernières années avec les statines, (…) on se rend compte qu'elles ne réduisent pas la mortalité. Cela signifie que les statines n’ont pas d’effet sur le risque de mourir d’un infarctus. À mon avis, prescrire un médicament en laissant croire qu'il va réduire les risques de mortalité quand ce n'est pas le cas est une pratique dangereuse. Mais il y a aussi les inconvénients des statines. » Les essais récents sur celles-ci sont à son avis sévèrement biaisés et les résultats publiés sont fragmentaires, parfois incohérents, ce qui ne permet pas une analyse lucide de leurs effets réels. Dans le corps médical, en s'appuyant sur les récentes études sur les statines, on est en train de remettre en question les principales recommandations internationales en matière de prescriptions et surtout de dosage. Sans aucun égard à la condition spécifique de chaque patient cardiaque, tous subissent le même protocole. « Aucun des grands essais d'intervention avec des statines n'est basé sur cette notion suggérée par la plupart des lipidologues, et aucun n'a testé cette hypothèse : tous utilisaient une dose fixe de statines. (…) Ils ont en outre en commun l'inconvénient d'une population très sélectionnée et observante qui ne nous apprend pas grand-chose de la "vraie" vie. Aucun essai d'observation n'a davantage exploré la relation entre dose de statines et cible de LDL-cholestérol. Tout ce qu'il est possible de dire aujourd'hui est que les patients à haut risque cardiovasculaire doivent être traités par une dose standard de statines, quel que soit leur taux de LDL-cholestérol. C'est seulement cela acquis qu'il sera envisageable d'affiner la méthode... » (Donner-Banzhoff N, Sönnichsen A. Strategies for prescribing statines. Evidence supports prescribing a standard dose without further testing or dose adjustement. BMJ. 2008;336:288-9. Revue Médecine, mai 2008, Vol. 4, no 5).
Les questions qu’on se pose sur les médicaments : « La question posée est largement pertinente pour les patients en prévention secondaire, où la prescription ne peut être différée dès qu'il y a eu accident, d'autant que le risque d'effets adverses augmente avec la dose prescrite. En prévention primaire, l'urgence n'est pas de "prescrire", mais de travailler sur le long terme sur les différents facteurs de risque en cause (voir l'étude EPIC-Norfolk). Les auteurs ajoutent que dans ces conditions, on peut comprendre que les praticiens "boudent" les recommandations, parce qu'elles ne reposent pas réellement sur des faits démontrés. Faut-il les remettre à jour ? »
Les chercheurs qui publient des ouvrages destinés au grand public, leurs travaux scientifiques étant incompréhensibles pour un néophyte et rarement lus par les cliniciens débordés, le font parce qu’ils trouvent essentiel d’atteindre le plus grand nombre de personnes susceptibles de consommer des médicaments ou des aliments artificiels qui ont des propriétés anti-cholestérol. « Seulement en France, environ 6 millions de personnes consomment ces médicaments. Il faut donc être simple et direct, au moins autant que les experts du marketing qui vantent les miracles à attendre de ces produits », explique le Dr Ravnskov pour justifier son choix de rendre accessibles les résultats des travaux scientifiques pertinents au grand public.
Interruption de la médication : quels sont les risques ?
Selon les statistiques, le taux d'infarctus demeure stable, malgré les dizaines de millions d'ordonnances de statines. « Je ne crois donc pas que les gens vont mourir davantage si l'on coupe les statines, de répondre le Dr de Lorgeril, même si le marketing de l’industrie pharmaceutique, déjà en phase défensive, l'affirme. La théorie du cholestérol dans sa forme actuelle n'est qu'un château de cartes. Dès qu'on utilise son sens critique et qu'on analyse scientifiquement les données de biologie expérimentale, d'épidémiologie et des essais cliniques randomisés, tout s'écroule. Le cholestérol ne bouche pas les artères; le risque de mourir d'un infarctus n'est pas proportionnel au niveau de cholestérol dans le sang et le faire baisser ne réduit pas le risque de mourir d'un arrêt cardiaque. De nombreux chercheurs, notamment aux États-Unis et en Scandinavie, s'opposent à cette course folle d'une médecine préventive focalisée sur une guerre inutile contre le cholestérol. Mais cette parole est confisquée et l'industrie surfe sur cette vague sans aucun contre-pouvoir. (...) Non seulement le cholestérol est un faux ennemi mais c'est un mauvais avertisseur de l'infarctus. On peut avoir un cholestérol jugé haut et vivre longtemps sans infarctus, et on peut mourir jeune d'un infarctus en ayant un cholestérol normal. Absurdes également sont les concepts de bon et de mauvais cholestérol. Les maladies cardio-vasculaires sont complexes et multifactorielles et il faut accepter l'idée que ce sont des maladies du mode de vie déterminé par nos conditions d'existence. »
Selon Schopenhauer, il y a toujours trois phases dans le processus d’acceptabilité d’une nouvelle théorie scientifique (ou bien de son contraire, la critique radicale d’une théorie existante) : d’abord elle est ridiculisée, puis elle est violemment critiquée, pour finir par être progressivement acceptée. Le Dr Uffe Ravnskov a déjà atteint la troisième étape de l’acceptabilité de sa position scientifique vis-à-vis de la problématique du cholestérol : l’idée que le cholestérol est un ennemi de la condition humaine ne reposant sur aucune base scientifique sérieuse. « Je ne suis pas certain que l’intelligentsia médicale et scientifique ait également atteint à propos de cette question un tel degré de maturité. » Les réactions à ses découvertes représentent selon lui « un excellent test in vivo. »
Le Pr Lars Werkö (Risk factors and coronary heart disease--facts or fancy?; Have physicians lost their ability to think?; End of the road for the diet-heart theory?etc. voir sur PubMed ses nombreuses publications), un farouche opposant de l’idée d'une alimentation cardioprotectrice, critiqua dès 1976 la conception des études épidémiologiques de prévention des maladies coronariennes, en particulier l'étude de Framingham. « Ce dogme est basé sur des "faits" douteux, ancré dans un espoir désespéré et dans des études aux idées préconçues utilisant des populations sélectionnées. Aucune étude n'a jamais rien prouvé, mais au lieu de reformuler leurs hypothèses, les avocats du régime cardioprotecteur les considèrent comme la vérité la plus probable ; ils sont intervenus dans la vie des gens parce qu'ils sont incapables d'attendre les preuves définitives. »
William E. Stehbens, professeur du Service d'Anatomopathologie de l'école de médecine de Wellington et directeur de l'institut Malaghan de recherche médicale à Wellington, en Nouvelle Zélande, conclut de son une étude exhaustive des essais expérimentaux : « L'utilisation systématique et inconditionnelle de données non fiables a mené à des conclusions hâtives et au sacrifice de la vérité. (…) Les politiques gouvernementales de la santé, lorsqu'elles sont basées sur des données non fiables, sont indéfendables.(…) Les bases scientifiques pour le rôle des graisses alimentaires et de l'hypercholestérolémie dans la genèse de l'athérosclérose font cruellement défaut. (...) L'hypothèse des lipides jouit d'une longévité et d'une respectabilité immérités. Les lecteurs doivent comprendre la nature non scientifique des allégations qui sont utilisées pour défendre cette hypothèse, et n'y voir au plus qu'un mauvais conseil. »
En conclusion, aux questions : Est-ce que le cholestérol bouche les artères ? Est-ce que l’augmentation du cholestérol est associée à une augmentation proportionnelle du risque de mourir d’un infarctus ? Est-ce que la diminution du cholestérol entraîne une diminution du risque de mourir d’un infarctus ? La réponse est toujours négative…
Vous défendez la pseudo-science tout aveuglé que vous êtes.
Le bon et le mauvais ceci et cela... Où avez-vous "mal" ? C'est une aberration, Monsieur, que cette médecine dogmatique basée sur ces notions archaïques mystico-religieuses de bien et de mal ! Wake up !
Lucas
[*]Pages 26 et 27.[/quote]
C'est une explication de comment étaient vues les maladies (chaudes et froides) avant non par moi par la médecine d'école si cela vous a échappé !
Puis on a observé que les infections survenaient seulement dans les phases chaudes et non dans les maux chroniques, par ex.
Je ne vous contredirai pas, ce sont des aberrations !
Comme vous vous intéressez à la cardiologie, j'ai reçu un texte intéressant sur le sujet ce matin =
Cholestérol et cœur : trouvez l’erreur
Un taux élevé de cholestérol serait un des principaux facteurs de risque d’infarctus du myocarde. Ainsi, dans le but de diminuer les risques de récidive d’événement coronarien chez les personnes atteintes de maladie cardiovasculaire, les cardiologues prescrivent un médicament pour contrôler le taux de cholestérol. Vérité scientifique ou mythe ?
« La plupart des gens souhaitent être encadrés, se sentir en sécurité, protégés des événements, des circonstances, des conditions et des autres, parfois aussi d'eux-mêmes… » écrivait Jacques Languirand. Cette recherche de sécurité fait l'affaire des grandes structures lucratives qui prétendent veiller sur notre santé. Sous son vernis d’honorabilité, ce système dit de santé est une vaste machine à conditionner l’esprit. Publicité, promotion, marketing, consommation... La même machine infernale veille à l’éducation des médecins et des patients… Et la vraie science ?
« Dans 99,5 % des cas, l'occlusion d'une artère, qui est la cause de l'infarctus du myocarde, est attribuable à un caillot. Et ce qui cause la formation des caillots dans les artères, ce n'est pas le cholestérol. C'est l'hyperréactivité des plaquettes sanguines. » soutient le Dr Michel de Lorgeril, qui se spécialise depuis 30 ans dans la prévention des maladies cardiovasculaires. Ce cardiologue de renommée internationale pour ses travaux, chercheur au CNRS, qui vit à Grenoble, en France, a déjà habité au Québec au milieu des années 80. Il était alors rattaché à l'Institut de cardiologie de Montréal. Auteur de la bombe médicale Dites à votre médecin que le cholestérol est innocent et il vous soignera sans médicament, il démontre que la « théorie du cholestérol » ne repose sur aucun fondement scientifique solide, notamment en mettant en lumière les biais et malfaçons des études pourtant réputées qui servent à la promotion de nombreux médicaments, dont il assure qu’ils sont aussi inutiles que dangereux. C’est tout le marché du cholestérol, bilans sanguins, médicaments, nutrition… qui s'effondre. Les soit-disant experts, on s’en doute, tirent à bout portant sur l’homme qui ose révéler au grand public une aussi scandaleuse imposture.
Et il est loin d’être le seul spécialiste à démolir scientifiquement le mythe du « mauvais » cholestérol. The International Network of Cholesterol Skeptics (THINCS: www.thincs.org), le Réseau international des sceptiques du cholestérol, qui regroupe quelque 80 chercheurs, affirme, preuves à l’appui que : les personnes avec un taux de cholestérol bas ont autant d'athérosclérose que celles avec un taux élevé. Les cardiologues mal informés se basent sur des études expérimentales non concluantes, mais dissimulées sous des formulations statistiques complexes, pour faire peur à des millions de personnes en bonne santé, auxquelles on prescrit inutilement des médicaments, prouvés dangereux, en plus de les inciter à suivre un régime fastidieux et insipide, censé réduire le « mauvais » cholestérol.
Selon le porte-parole de THINCS, le chercheur danois, le Dr Uffe Ravnskov, PhD en médecine interne et néphrologie (reins), un taux de cholestérol élevé protégerait au contraire contre les infections et l'athérosclérose ! Le résultat de ses travaux (High cholesterol may protect against infections and atherosclerosis) a récemment été publié dans un prestigieux journal médical, le Quarterly Journal of Medicine. Il est également l’auteur de The Cholesterol Myths (Les mythes du cholestérol). Prix Skrabanek 1999 du Trinity College de Dublin (Irlande) pour ses publications originales dans le domaine du scepticisme en médecine; prix de l'Intégrité Scientifique 2003 de la Fondation Weston A. Price, membre du comité d'experts du Journal de l'Association Suédoise de Médecine (Läkartidningen) et du journal médical suédois Tidskriften Medikament; membre de la New York Academy of Sciences (académie des sciences de New York), etc., il rallie de nombreux scientifiques de par le monde, qui savent qu’aucune preuve n’appuie l’hypothèse du régime cardioprotecteur.
On peut aller même plus loin que la déclaration fracassante du Dr Lorgeril, car en ce qui concerne l’impact au cœur de l’occlusion d’une artère, si son observation est exacte son interprétation demeure fausse. On sait que l’athérosclérose est un blocage des artères par un dépôt lipidique, mais il n’y a aucun lien entre ce blocage et les maladies cardiovasculaires telles que l’infarctus du myocarde. On peut avoir plusieurs artères coronaires bloquées sans aucune incidence sur les fonctions cardiaques.
Le Dr Ryke Geerd Hamer a scientifiquement prouvé, il y a 25 ans déjà, que le cholestérol ainsi que le blocage des artères ne sont aucunement responsables des maladies cardiaques et que le cholestérol intervient plutôt dans la réparation des artères endommagées. Ainsi, un taux élevé de cholestérol (LCL) indique un processus naturel de réparation dans l’organisme.
Le directeur de la recherche en cardiologie de l’université de Vienne lui a donné raison, mais a refusé de diffuser publiquement les faits. Non seulement il aurait perdu son prestigieux poste, mais le grand public, désormais informé de cette imposture médicale à grande échelle, aurait crié au meurtre !
Quand des intégristes égorgent froidement et brutalement des humains, il n’y a pas d’interprétation possible. Quand la manœuvre est lente et subtile, on ne voit rien… Connaissez-vous l’histoire de la grenouille que l’on plonge dans une eau froide que l’on fait chauffer graduellement et qui, sans se douter de la procédure, finit par mourir ébouillantée ?
Le « mauvais » cholestérol : une imposture
Le cholestérol est une substance indispensable aux cellules de tous les mammifères. On ne devrait même plus parler de « bon » ou de « mauvais » cholestérol, cette théorie ayant été scientifiquement démolie.
Un niveau élevé de cholestérol n'est pas dangereux en soi. De nombreuses études ont d’ailleurs démontré que l'athérosclérose touche indistinctement les gens, peu importe leur taux de cholestérol. Selon le Dr Ravnskov, on produit plus de cholestérol si on en mange moins et on en produit moins si on en mange plus. Le fameux régime « crétois » (ou méditerranéen) préconisé aux cardiaques serait un leurre, d’autant plus qu’une vingtaine d’études cliniques ont démontré que les personnes qui font un infarctus ne sont pas de plus grands consommateurs de graisse que d’autres. Des végétariens font aussi des infarctus et des cancers digestifs. « Le degré d'athérosclérose à l'autopsie n'est pas lié au régime et ni la mortalité cardiovasculaire, ni la mortalité totale n'ont été améliorées avec des médicaments dont le seul effet est de réduire le cholestérol. Au contraire, ces médicaments sont dangereux et peuvent réduire l’espérance de vie. »
THINCS réunit sur son site Web de nombreuses études pertinentes ayant été publiées dans des revues et des ouvrage scientifiques au cours de la dernière décennie et questionne sérieusement les tenants de l’idée « régime/cœur », qui font l’autruche, ainsi que les médias de masse, qui passent sous silence les résultats négatifs ou contradictoires. La possibilité que des millions de patients intentent des poursuites légales contre le corps médical et l’industrie pharmaceutique ne saurait être écartée…
Les patients de l’Institut de cardiologie de Montréal se voient encore remettre une brochure dans laquelle ils apprennent que : « Le cholestérol devient dangereux pour vos artères lorsque sa présence dans le sang est trop élevée. Les dépôts de cholestérol s’accumulent sur les parois des artères et amènent progressivement des blocages au niveau de celles-ci. Une analyse de sang détermine votre taux de cholestérol (LDL et HDL, communément appelés mauvais et bon cholestérol) et celui des triglycérides (autre gras dans le sang). Votre mauvais cholestérol (LDL) est trop élevé : Ce type de cholestérol est celui qui augmente les dépôts de cholestérol sur la paroi des artères. L’objectif doit donc être de l’abaisser, afin de diminuer vos risques de blocage. »
Des décennies de mensonges
« L'idée que les graisses saturées provoquent les maladies cardiaques est totalement fausse, mais cette assertion a tellement été "publiée" au cours des trente dernières années et plus qu'il est très difficile de convaincre les gens du contraire, sauf s'ils sont prêts a prendre le temps de lire et d'appendre tous les facteurs économiques et politiques qui ont produit l'idée anti-graisse saturée », soutient Mary Enig, experte internationale dans le domaine de la biochimie des lipides, nutritionniste et rédactrice-adjointe de nombreuses publications scientifiques, entre autres le Journal of the American College of Nutrition, et présidente de la Maryland Nutritionists Association.
Le Pr Michael Gurr, de la School of Biological & Molecular Sciences (École des sciences biologique et moléculaire) de Oxford, rédacteur en chef de Nutrition Research Reviews, conclut : « L'analyse et les discussions autour des preuves scientifiques que nous présentons ne convaincront probablement pas ceux des "experts" qui se sont déjà rangés à l'idée qu'un régime riche en graisse est la cause des maladies cardiovasculaires. (…) Toutefois, j'espère que quelques lecteurs, qui ne savaient peut-être pas que l'hypothèse des lipides n'était pas sans failles, auront été persuadés que la relation entre nos graisses alimentaires et le risque de mourir d'une crise cardiaque ne se réduit pas à ces arguments simplistes. »
L’idée régime-cœur est « la plus grande imposture de notre temps », selon le Pr George Mann, qui s’est montré particulièrement critique à l’égard des études concernant l'abaissement du cholestérol : « Jamais dans l'histoire de la science a-t-on vu autant d'essais coûteux échouer avec une telle régularité ». En 1977, dans le New England Journal of Medicine, on avait publié ses arguments solides contre la théorie du régime cardioprotecteur: l'absence de corrélation entre les habitudes alimentaires et le cholestérol sanguin, entre les modifications au cours du 20e siècle de la consommation de graisse et le taux de mortalité aux États-Unis, ainsi que les résultats décevants des études visant à l'abaissement du cholestérol.
Une étude trafiquée sert de base à la campagne contre le cholestérol
Le Pr Mann est aussi du nombre de ceux qui critiquent les directeurs de l'étude Lipid Research Clinics (LRC) trial (étude des cliniques de recherche sur les lipides), qui sert de base à la campagne contre le cholestérol. « Les résultats non concluants de l'essai LRC ne les ont pas empêché de se vanter de l'avènement de cette "percée scientifique majeure". Les responsables de la National Institute of Health (Institut national de la santé) ont utilisé des ficelles publicitaires pour vendre cet essai non concluant, comme on vendrait du déodorant. Le Bethesda Consensus Panel (Jury de consensus de Bethesda, du Maryland aux États-Unis) a omis de mentionner que l'étude LRC, comme bien d'autres études avant celle-ci, clame haut et fort : Non ! Le régime que vous préconisez ne permet ni de gérer la cholestérolémie ni de prévenir les maladies coronariennes et le médicament que vous avez eu la générosité de tester pour une firme pharmaceutique ne marche pas non plus !»
Michael F. Oliver, ancien professeur et directeur du Wynn Institute for Metabolic Research (recherche sur le métabolisme) à Londres, aura été le premier à démontrer que les patients qui souffraient de maladie coronarienne avaient en moyenne plus souvent des taux de lipides sanguins « anormaux » que les témoins en bonne santé, mais la baisse du cholestérol est selon lui dangereuse : « On sait peu de choses sur les effets à long terme de cet abaissement sur la composition des membranes cellulaires ».
Le Dr R. G. Hamer a prouvé à 100 % qu’un taux élevé de cholestérol indique toujours un processus de réparation en marche dans l’organisme. Il a également prouvé que les maladies du cœur correspondent toutes à des conflits spécifiques : perte ou menace dans le territoire de l’individu (attaque de la chambre gauche du cœur); frustration ou rejet sexuel (chambre droite); impuissance, être dépassé par les événements (infarctus du myocarde); attaque perçue (douleur au niveau du cœur), la personne sent alors que l’intégrité de sa fonction cardiaque est menacée (péricardite ou tamponnade cardiaque).
Edward R. Pinckney, rédacteur pour quatre revues médicales, et ancien co-rédacteur du JAMA (Revue de l'association médicale américaine), publiait en 1973 The Cholesterol Controversy (La controverse du cholestérol). Selon lui, modifier son mode de vie en fonction des résultats de ses prises de sang pourrait causer plus de tort que de bien. « Votre peur de mourir — si vous faites partie des nombreuses personnes qui partagent cette préoccupation morbide — a pu faire de vous une victime de cette controverse, (…) vous suivez une idée qui n'est basée sur rien de solide. Au contraire, on vous a berné en tant que consommateur au nom d'intérêts commerciaux et de certaines associations pour la santé qui s'intéressent plus à votre portefeuille qu'à vous sauver la vie. »
Russell Smith, un psychologue expérimental avec un cursus important en physiologie, en mathématiques et en ingénierie, n’y va pas de main morte : il soutient que la campagne actuelle visant à nous convaincre de changer d'alimentation, et le plus souvent de prendre des médicaments, est basée sur des mensonges, des interprétations erronées ou des exagérations de soit-disant preuves, mais aussi et surtout sur l'oubli volontaire de quantités énormes de données contradictoires. « Des scientifiques objectifs dont les intérêts personnels ne seraient pas en jeu ne pourraient jamais considérer que l'ensemble des publications est en faveur de l'alimentation cardioprotectrice et de la baisse du cholestérol. »
Le Dr Smith n’est pas sans savoir qu'il s'oppose à de puissantes institutions : « Les pouvoirs politiques et financiers de l'association entre la NHLBI et l'AHA sont énormes et sans équivalents. Et comme cette association apparaît crédible aux yeux du public et des médecins, elle est devenue un véritable rouleau-compresseur, utilisant son pouvoir et son prestige pour évincer une énorme quantité de données contradictoires, allant jusqu'à mettre au défi l'outil fondamental des scientifiques : la logique. (…)Bien que le public perçoive la recherche médicale comme une science très précise, la plupart des recherches épidémiologiques sont en fait très imprécises, et cela se comprend quand on sait qu'elle sont conduites en général par des individus qui n'ont eu aucun enseignement, qu'il soit formel ou sur le tas, de la méthodologie scientifique. En conséquence, les études sont souvent mal conçues, et les données sont souvent mal analysées et mal interprétées. De plus, les biais sont si fréquents qu'il semblent être la règle plutôt que l'exception. Il est difficile de ne pas voir que de nombreux chercheurs manipulent ou interprètent leurs données de façon à ce qu'elles satisfassent leurs hypothèses préconçues.(…) Une bonne partie des publications est ainsi un affront à la Science et la discipline qu'elle requiert. »
L’influence titanesque des pharmaceutiques
Les fabricants de médicaments anti-cholestérol ont inculqué aux médecins qu’un taux de cholestérol élevé endommageait les parois des vaisseaux sanguins, provoquait leur épaississement et, en fin de compte, leur obstruction, ce qui entraîne les infarctus et les attaques d’apoplexie. Aujourd’hui, nous savons qu’il ne s’agissait là que d’une stratégie de marketing, imaginée par l’industrie pharmaceutique.
« Si un taux de cholestérol élevé devait endommager les parois des vaisseaux sanguins, cela devrait être valable pour l’ensemble des vaisseaux de notre appareil circulatoire. Cet appareil devrait se boucher n’importe où, et pas uniquement au niveau du cœur et du cerveau. En d’autres termes, nous devrions avoir également des infarctus du nez, des oreilles, des genoux, des coudes, des doigts et dans d’autres parties du corps. Or, il est clair que ce n’est pas le cas », ironise le Dr Mathias Rath (www.dr-rath.com). À ses yeux, les maladies sont causées par des carences à long terme en micronutriments. « La seule question que je me pose encore est la suivante : pourquoi ces informations ne sont-elles pas immédiatement diffusées dans le monde entier ? Pour répondre à cette question, nous devons reparler des activités d’investissements de l’industrie pharmaceutique qui lutte férocement contre toute découverte susceptible d’entraîner l’effondrement de tout son commerce avec la maladie. »
Selon le Dr Michel de Lorgeril « cela arrange l’industrie pharmaceutique et l’agrobusiness, les laboratoires d’analyses, les fabricants de kits de mesure, mais aussi les médecins qui peuvent trouver un avantage à cette médecine automatisée et rémunératrice; et enfin les patients auxquels ont fait croire qu’ils seraient ainsi protégés sans faire d’effort. ». (http://www.psychanalyse-en-mouvement.ne ... d.php?3,79)
Après toutes ces années de matraquage, les gens accepteront-ils la vérité ou céderont-ils aux campagnes de peur financées à coup de millions de dollars ?
Risque d'infarctus: le cholestérol n'est pas coupable
La prescription abusive de médicaments hypocholestérolémiants est basée uniquement sur une illusion : la théorie désormais prouvée fausse du « mauvais » cholestérol. Le Dr Michel de Lorgeril a démontré que la cause de la formation des caillots dans les artères était l'hyperréactivité des plaquettes sanguines, l'hyperactivité du système de coagulation et l'inhibition du système fibrinolytique, qui ne fait pas son travail de dissoudre les caillots quand ils commencent à se former dans l’artère.
« Il est vrai que des caillots se forment en général sur des artères qui ont été altérées, endommagées par l'athérosclérose. Or, il y a deux composantes dans l'athérosclérose : dans une proportion de 70 %, elle est causée par la "sclérose", c'est-à-dire l'inflammation chronique de la paroi de l'artère, phénomène dans lequel le cholestérol ne joue aucun rôle. L'autre dimension, c'est l' "athérome", un amas de matières grasses qui se forme au cœur même de la sclérose. D'ailleurs, on l'appelle aussi "cœur lipidique". Or, le cholestérol ne compte que pour 30 %, environ, de l'athérome. Nous voilà rendus à un chiffre de moins de 10 % pour la place du cholestérol dans l'athérosclérose, ce qui est peu, et 0 % pour son rôle dans le caillot. Comme vous voyez, le cholestérol ne peut pas, matériellement parlant, boucher les artères. »
Les médicaments pour l'hypercholestérolémie sont inutiles et dangereux
Les cardiologues qui croient que l'infarctus est causé par le cholestérol et auxquels on a dit que les statines réduisent le cholestérol sanguin, les prescrivent pour réduire les risques d'infarctus. « Je vous rappelle que 50 % des gens qui font un infarctus meurent immédiatement ou dans les jours qui suivent, poursuit le Dr de Lorgeril. Or, lorsqu'on regarde les essais cliniques des cinq ou huit dernières années avec les statines, (…) on se rend compte qu'elles ne réduisent pas la mortalité. Cela signifie que les statines n’ont pas d’effet sur le risque de mourir d’un infarctus. À mon avis, prescrire un médicament en laissant croire qu'il va réduire les risques de mortalité quand ce n'est pas le cas est une pratique dangereuse. Mais il y a aussi les inconvénients des statines. » Les essais récents sur celles-ci sont à son avis sévèrement biaisés et les résultats publiés sont fragmentaires, parfois incohérents, ce qui ne permet pas une analyse lucide de leurs effets réels. Dans le corps médical, en s'appuyant sur les récentes études sur les statines, on est en train de remettre en question les principales recommandations internationales en matière de prescriptions et surtout de dosage. Sans aucun égard à la condition spécifique de chaque patient cardiaque, tous subissent le même protocole. « Aucun des grands essais d'intervention avec des statines n'est basé sur cette notion suggérée par la plupart des lipidologues, et aucun n'a testé cette hypothèse : tous utilisaient une dose fixe de statines. (…) Ils ont en outre en commun l'inconvénient d'une population très sélectionnée et observante qui ne nous apprend pas grand-chose de la "vraie" vie. Aucun essai d'observation n'a davantage exploré la relation entre dose de statines et cible de LDL-cholestérol. Tout ce qu'il est possible de dire aujourd'hui est que les patients à haut risque cardiovasculaire doivent être traités par une dose standard de statines, quel que soit leur taux de LDL-cholestérol. C'est seulement cela acquis qu'il sera envisageable d'affiner la méthode... » (Donner-Banzhoff N, Sönnichsen A. Strategies for prescribing statines. Evidence supports prescribing a standard dose without further testing or dose adjustement. BMJ. 2008;336:288-9. Revue Médecine, mai 2008, Vol. 4, no 5).
Les questions qu’on se pose sur les médicaments : « La question posée est largement pertinente pour les patients en prévention secondaire, où la prescription ne peut être différée dès qu'il y a eu accident, d'autant que le risque d'effets adverses augmente avec la dose prescrite. En prévention primaire, l'urgence n'est pas de "prescrire", mais de travailler sur le long terme sur les différents facteurs de risque en cause (voir l'étude EPIC-Norfolk). Les auteurs ajoutent que dans ces conditions, on peut comprendre que les praticiens "boudent" les recommandations, parce qu'elles ne reposent pas réellement sur des faits démontrés. Faut-il les remettre à jour ? »
Les chercheurs qui publient des ouvrages destinés au grand public, leurs travaux scientifiques étant incompréhensibles pour un néophyte et rarement lus par les cliniciens débordés, le font parce qu’ils trouvent essentiel d’atteindre le plus grand nombre de personnes susceptibles de consommer des médicaments ou des aliments artificiels qui ont des propriétés anti-cholestérol. « Seulement en France, environ 6 millions de personnes consomment ces médicaments. Il faut donc être simple et direct, au moins autant que les experts du marketing qui vantent les miracles à attendre de ces produits », explique le Dr Ravnskov pour justifier son choix de rendre accessibles les résultats des travaux scientifiques pertinents au grand public.
Interruption de la médication : quels sont les risques ?
Selon les statistiques, le taux d'infarctus demeure stable, malgré les dizaines de millions d'ordonnances de statines. « Je ne crois donc pas que les gens vont mourir davantage si l'on coupe les statines, de répondre le Dr de Lorgeril, même si le marketing de l’industrie pharmaceutique, déjà en phase défensive, l'affirme. La théorie du cholestérol dans sa forme actuelle n'est qu'un château de cartes. Dès qu'on utilise son sens critique et qu'on analyse scientifiquement les données de biologie expérimentale, d'épidémiologie et des essais cliniques randomisés, tout s'écroule. Le cholestérol ne bouche pas les artères; le risque de mourir d'un infarctus n'est pas proportionnel au niveau de cholestérol dans le sang et le faire baisser ne réduit pas le risque de mourir d'un arrêt cardiaque. De nombreux chercheurs, notamment aux États-Unis et en Scandinavie, s'opposent à cette course folle d'une médecine préventive focalisée sur une guerre inutile contre le cholestérol. Mais cette parole est confisquée et l'industrie surfe sur cette vague sans aucun contre-pouvoir. (...) Non seulement le cholestérol est un faux ennemi mais c'est un mauvais avertisseur de l'infarctus. On peut avoir un cholestérol jugé haut et vivre longtemps sans infarctus, et on peut mourir jeune d'un infarctus en ayant un cholestérol normal. Absurdes également sont les concepts de bon et de mauvais cholestérol. Les maladies cardio-vasculaires sont complexes et multifactorielles et il faut accepter l'idée que ce sont des maladies du mode de vie déterminé par nos conditions d'existence. »
Selon Schopenhauer, il y a toujours trois phases dans le processus d’acceptabilité d’une nouvelle théorie scientifique (ou bien de son contraire, la critique radicale d’une théorie existante) : d’abord elle est ridiculisée, puis elle est violemment critiquée, pour finir par être progressivement acceptée. Le Dr Uffe Ravnskov a déjà atteint la troisième étape de l’acceptabilité de sa position scientifique vis-à-vis de la problématique du cholestérol : l’idée que le cholestérol est un ennemi de la condition humaine ne reposant sur aucune base scientifique sérieuse. « Je ne suis pas certain que l’intelligentsia médicale et scientifique ait également atteint à propos de cette question un tel degré de maturité. » Les réactions à ses découvertes représentent selon lui « un excellent test in vivo. »
Le Pr Lars Werkö (Risk factors and coronary heart disease--facts or fancy?; Have physicians lost their ability to think?; End of the road for the diet-heart theory?etc. voir sur PubMed ses nombreuses publications), un farouche opposant de l’idée d'une alimentation cardioprotectrice, critiqua dès 1976 la conception des études épidémiologiques de prévention des maladies coronariennes, en particulier l'étude de Framingham. « Ce dogme est basé sur des "faits" douteux, ancré dans un espoir désespéré et dans des études aux idées préconçues utilisant des populations sélectionnées. Aucune étude n'a jamais rien prouvé, mais au lieu de reformuler leurs hypothèses, les avocats du régime cardioprotecteur les considèrent comme la vérité la plus probable ; ils sont intervenus dans la vie des gens parce qu'ils sont incapables d'attendre les preuves définitives. »
William E. Stehbens, professeur du Service d'Anatomopathologie de l'école de médecine de Wellington et directeur de l'institut Malaghan de recherche médicale à Wellington, en Nouvelle Zélande, conclut de son une étude exhaustive des essais expérimentaux : « L'utilisation systématique et inconditionnelle de données non fiables a mené à des conclusions hâtives et au sacrifice de la vérité. (…) Les politiques gouvernementales de la santé, lorsqu'elles sont basées sur des données non fiables, sont indéfendables.(…) Les bases scientifiques pour le rôle des graisses alimentaires et de l'hypercholestérolémie dans la genèse de l'athérosclérose font cruellement défaut. (...) L'hypothèse des lipides jouit d'une longévité et d'une respectabilité immérités. Les lecteurs doivent comprendre la nature non scientifique des allégations qui sont utilisées pour défendre cette hypothèse, et n'y voir au plus qu'un mauvais conseil. »
En conclusion, aux questions : Est-ce que le cholestérol bouche les artères ? Est-ce que l’augmentation du cholestérol est associée à une augmentation proportionnelle du risque de mourir d’un infarctus ? Est-ce que la diminution du cholestérol entraîne une diminution du risque de mourir d’un infarctus ? La réponse est toujours négative…

Vous défendez la pseudo-science tout aveuglé que vous êtes.
Le bon et le mauvais ceci et cela... Où avez-vous "mal" ? C'est une aberration, Monsieur, que cette médecine dogmatique basée sur ces notions archaïques mystico-religieuses de bien et de mal ! Wake up !
Lucas
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Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
Laflamme a écrit : Vous ne voulez pas comprendre que le Dr Hamer n'était pas un charlatan mais un oncologue et qui plus est le chef du département de l'hôpital universitaire ! Et ce sont les dossiers de ses patients en oncologie qui ont été confisqués par l'État !
Vous méconnaissez à ce point votre sujet ?
- Hamer était chef de clinique en médecine interne, pas du tout un oncologue.
- Ces fameux 6500 dossiers de patients furent saisis en son " Centre de la Médecine Nouvelle" à Burgau, pas en un service d'oncologie.
Au fait, avez-vous retrouvé ce texte où ces 6500 patients sont décrits ? cherchez un peu, Laflamme...
Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
Le courage me manque pour reprendre toutes vos autres montreuses âneries concernant la microbiologie, les tumeurs cérébrales, l'interprétation de la tomodensitométrie cérébrale...
[*]Pages 26 et 27.[/quote]
Je constate que n'ai peut-être pas été assez clair, donc il n'y a pas selon nos anciennes croyances de maladies froides et chaudes (i.e. séparées). Chaque maladie se déroule en deux phases : une phase froide (sympathicotonie) et une phase chaude (vagotonie) et règle générale, car il y a des exceptions, c'est lors de la deuxième phase que les microbes entrent en action et que les manifestations physiques se déclarent. C'est la loi biphasique !
Je comprends très très bien que selon vos croyances cela ne cadre pas.
Je connais les différents crédos religieux : Un jour le Christ reviendra sur terre et... Un jour nous vaincrons !
Vous pensez vraiment que vous vaincrez le cancer et sauverez des patients en les mutilant, les irradiant et leur injectant des poisons chimiques ?
De mon point de vue, seuls les plus résistants survivent à des traitements expérimentaux aussi barbares.
Lucas
[*]Pages 26 et 27.[/quote]
Je constate que n'ai peut-être pas été assez clair, donc il n'y a pas selon nos anciennes croyances de maladies froides et chaudes (i.e. séparées). Chaque maladie se déroule en deux phases : une phase froide (sympathicotonie) et une phase chaude (vagotonie) et règle générale, car il y a des exceptions, c'est lors de la deuxième phase que les microbes entrent en action et que les manifestations physiques se déclarent. C'est la loi biphasique !
Je comprends très très bien que selon vos croyances cela ne cadre pas.
Je connais les différents crédos religieux : Un jour le Christ reviendra sur terre et... Un jour nous vaincrons !
Vous pensez vraiment que vous vaincrez le cancer et sauverez des patients en les mutilant, les irradiant et leur injectant des poisons chimiques ?
De mon point de vue, seuls les plus résistants survivent à des traitements expérimentaux aussi barbares.
Lucas
Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
Il dirigeait le service d'oncologie de la clinique de l’Université de Tübingen et sa spécialité était les cancers féminins !PierrePaulJacques a écrit :Laflamme a écrit : Vous ne voulez pas comprendre que le Dr Hamer n'était pas un charlatan mais un oncologue et qui plus est le chef du département de l'hôpital universitaire ! Et ce sont les dossiers de ses patients en oncologie qui ont été confisqués par l'État !
Vous méconnaissez à ce point votre sujet ?
- Hamer était chef de clinique en médecine interne, pas du tout un oncologue.
- Ces fameux 6500 dossiers de patients furent saisis en son " Centre de la Médecine Nouvelle" à Burgau, pas en un service d'oncologie.
Au fait, avez-vous retrouvé ce texte où ces 6500 patients sont décrits ? cherchez un peu, Laflamme...
C'est évident que ses dossiers de patients étaient dans sa clinique et pas à l'université !
Cherchez la déclaration de l'oncologue français, le spécialiste Pr Georges Mathé... Et dites-moi ce que vous en pensez !
Lucas
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Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
C'est faux. Il a fait ses études de médecine à Tübingen puis il a été chef de clinique de médecine interne.Laflamme a écrit : Il dirigeait le service d'oncologie de la clinique de l’Université de Tübingen et sa spécialité était les cancers féminins !
Puis, il a travaillé dans une clinique de gynécologie-oncologie où il était, là encore, au service de médecine interne.
Arrêtez de colporter des mensonges.
Ce sont des dossiers de son "home de médecine nouvelle" à Burgau.Laflamme a écrit : C'est évident que ses dossiers de patients étaient dans sa clinique et pas à l'université !
Vous ne savez même pas de quoi vous parlez.
Vous le preniez pour un oncologue ? et bien non. On vous aurait menti ?
Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
FrankG a écrit :Ou est-ce que vous voyez des microbes dans l'angine de poitrine, la sclérose en plaque, l'insuffisance rénale (non lié à une infection) ou le diabète??!!! Vous dites que la médecine moerne considère que des microbes extrêmement virulents sont liés à l'infarctus du myocarde. Avez-vous réellement étudié en médecine?Laflamme a écrit :usqu'ici, la médecine dite moderne s'imaginait connaître un millier de maladies, réparties pour moitié environ entre "maladies froides", telle que le cancer, par exemple, l'angine de poitrine, la sclérose en plaques, l'insuffisance rénale, le diabète, etc., et "maladies chaudes", telles que le rhumatisme articulaire par exemple, la glomérulonéphrite, la leucémie, l'infarctus du myocarde, les maladies infectieuses, etc. Les microbes nous paraissaient toujours "apathogènes" dans les "maladies froides", c'est-à-dire qu'ils ne faisaient rien, tandis que nous les trouvions toujours extrêmement virulents dans les "maladies chaudes", c'est-à-dire que nous nous imaginions toujours qu'ils "envahissaient" ou attaquaient un organe. [...] »
LucasLaflamme a écrit :Ces thèses ont finalement été confirmées par divers chercheurs dont Madame Victor Henry, de l'Institut Pasteur, en 1914, et Claude Bernard.
Laflamme a écrit :les microbes "jeunes" (virus, s'il existent)
ok, j'abandonne, c'est vraiment n'importe quoi.[/quote]Laflamme a écrit :ont même montré que des bactéries peuvent se transformer en virus en fonction de ce qui leur est donné comme substrat nutritif.
Se tranforme en virus, selon ce que l'on observe, selon les chercheurs cités ! Ne me citez pas hors contexte quand je cite "vos" références.
Il importe peu que les virus existent ou non, la réparation se faisant quand même. C'est mon point.
On sait qu'il y a des hépathites A, B, etc. Parfois on pose un diagnostic d'hépathique non A ou non B, ce qui signifie que nous n'avons pas vu de virus. Puis ? L'hépathite est diagnostiquée quand même !
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Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
Vous n'avez décidément aucun scrupule ! Appeler les victimes des nazis pour défendre votre gourou antisémite qui prétend :Laflamme a écrit :Le lien entre les expérimentations à petit échelle de Auschwitz et lcelles à grande échelle de la chimiothérapie n'est pas assez évident ?
"Hamer claims that international Jewry knows the cure for cancer and other lethal diseases, but refuses to disclose it in order to exterminate the non-Jews of the world."[Ref.]
Et comparer Einstein à Hamer...

La formation d'un caillot n'est que la cause d'un accident aigu qui survient sur une pathologie coronarienne, c'est-à-dire sur des artères atteintes d'athérosclérose.Laflamme a écrit :Dans 99,5 % des cas, l'occlusion d'une artère, qui est la cause de l'infarctus du myocarde, est attribuable à un caillot. Et ce qui cause la formation des caillots dans les artères, ce n'est pas le cholestérol. C'est l'hyperréactivité des plaquettes sanguines.
Si vous aviez quelques connaissances médicales, vous sauriez qu'il existe de nombreuses causes d'athérosclérose.Laflamme a écrit :De nombreuses études ont d’ailleurs démontré que l'athérosclérose touche indistinctement les gens, peu importe leur taux de cholestérol.
Laflamme a écrit :On peut avoir plusieurs artères coronaires bloquées sans aucune incidence sur les fonctions cardiaques.

Dernière modification par Cartaphilus le 18 oct. 2008, 18:38, modifié 1 fois.
Le sommeil de la raison engendre des monstres. Francisco de Goya.
Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
Non, on ne m'a pas menti, j'avais pris pour acquis qu'il était oncologue parce qu'il traitait des cancers féminins dans un département d'oncologie.PierrePaulJacques a écrit :C'est faux. Il a fait ses études de médecine à Tübingen puis il a été chef de clinique de médecine interne.Laflamme a écrit : Il dirigeait le service d'oncologie de la clinique de l’Université de Tübingen et sa spécialité était les cancers féminins !
Puis, il a travaillé dans une clinique de gynécologie-oncologie où il était, là encore, au service de médecine interne.
Arrêtez de colporter des mensonges.
Ce sont des dossiers de son "home de médecine nouvelle" à Burgau.Laflamme a écrit : C'est évident que ses dossiers de patients étaient dans sa clinique et pas à l'université !
Vous ne savez même pas de quoi vous parlez.
Vous le preniez pour un oncologue ? et bien non. On vous aurait menti ?
Un menteur est celui qui sait et cherche à tromper. En ce cas, je ne savais pas et je me suis trompé.
Donc, c'est un médecin, sur ce point rien à redire, qui a oeuvré en oncologie dans un hôpital universitaire. Et dans sa clinique, il obtenait des résultats impressionnants comparés à ceux de la clinique universitaire.
Citation du Pr George Mathé, puisque la recherche en cancérologie n'est pas votre fort =
« Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup plus précoce mais on ne les maîtrise pas aussi bien qu'on le dit, malgré la chimiothérapie qui est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les laboratoires. Et pour cause : ils en vivent. Si j'avais une tumeur, je n'irais pas dans un centre anti-cancéreux. »
Prof. Georges Mathé, M.D., oncologue, L’express, 4 octobre 1985
De 1962 à 1965, le Dr. Georges Mathé, M.D., était président de l’organisation européenne pour la recherche et le traitement du cancer (OERTC). En 1985, le Prof. Mathé fut guéri de son carcinome bronchique avec l’aide du Dr Hamer. Quoiqu’il ait expérimenté de première main les bénéfices de la Médecine nouvelle du Dr Hamer, le Prof. Mathé continua de traiter ses patients atteints du cancer - des milliers d’entre eux - avec la chimiothérapie.
Lucas
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Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
Il vous a échappé (entre autres nombreuses choses) que depuis le diagnostic d'hépatite non A non B on a identifié différents virus.Laflamme a écrit :On sait qu'il y a des hépathites A, B, etc. Parfois on pose un diagnostic d'hépathique non A ou non B, ce qui signifie que nous n'avons pas vu de virus. Puis ? L'hépathite est diagnostiquée quand même !
Un conseil : écrivez moins ( de c*****ies) et lisez plus.
Le sommeil de la raison engendre des monstres. Francisco de Goya.
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Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
Pas du tout. "Non A non B" fut le nom donné au début à des hépatites infectieuses non provoquées par les virus HBV ou HAV. Les recherches ont abouti à l'isolement du virus de l'hépatite C.Laflamme a écrit : Il importe peu que les virus existent ou non, la réparation se faisant quand même. C'est mon point.
On sait qu'il y a des hépathites A, B, etc. Parfois on pose un diagnostic d'hépathique non A ou non B, ce qui signifie que nous n'avons pas vu de virus. Puis ? L'hépathite est diagnostiquée quand même !
Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
Vous ne savez pas lire !Cartaphilus a écrit :Vous n'avez décidément aucun scrupule ! Appeler les victimes des nazis pour défendre votre gourou antisémite qui prétend :Laflamme a écrit :Le lien entre les expérimentations à petit échelle de Auschwitz et lcelles à grande échelle de la chimiothérapie n'est pas assez évident ?
"Hamer claims that international Jewry knows the cure for cancer and other lethal diseases, but refuses to disclose it in order to exterminate the non-Jews of the world."[Ref.]
Et comparer Einstein à Hamer...Einstein faisait-il partie du complot juif mondial ?
La formation d'un caillot n'est que la cause d'un accident aigu qui survient sur une pathologie coronarienne, c'est-à-dire sur des artères atteintes d'athérosclérose.Laflamme a écrit :Dans 99,5 % des cas, l'occlusion d'une artère, qui est la cause de l'infarctus du myocarde, est attribuable à un caillot. Et ce qui cause la formation des caillots dans les artères, ce n'est pas le cholestérol. C'est l'hyperréactivité des plaquettes sanguines.Si vous aviez quelques connaissances médicales, vous sauriez qu'il existe de nombreuses causes d'athérosclérose.Laflamme a écrit :De nombreuses études ont d’ailleurs démontré que l'athérosclérose touche indistinctement les gens, peu importe leur taux de cholestérol.Laflamme a écrit :On peut avoir plusieurs artères coronaires bloquées sans aucune incidence sur les fonctions cardiaques.On voit qu'en plus de n'avoir aucune culture médicale, vous n'en avez aucune des pathologies !
Je vous ferai humblement remarquer que ce ne sont pas mes propos mais ceux propos du Dr Michel de Lorgeril =
« Dans 99,5 % des cas, l'occlusion d'une artère, qui est la cause de l'infarctus du myocarde, est attribuable à un caillot. Et ce qui cause la formation des caillots dans les artères, ce n'est pas le cholestérol. C'est l'hyperréactivité des plaquettes sanguines. » soutient le Dr Michel de Lorgeril, qui se spécialise depuis 30 ans dans la prévention des maladies cardiovasculaires. Ce cardiologue de renommée internationale pour ses travaux, chercheur au CNRS, qui vit à Grenoble, en France, a déjà habité au Québec au milieu des années 80. Il était alors rattaché à l'Institut de cardiologie de Montréal. Auteur de la bombe médicale Dites à votre médecin que le cholestérol est innocent et il vous soignera sans médicament, il démontre que la « théorie du cholestérol » ne repose sur aucun fondement scientifique solide, notamment en mettant en lumière les biais et malfaçons des études pourtant réputées qui servent à la promotion de nombreux médicaments, dont il assure qu’ils sont aussi inutiles que dangereux. C’est tout le marché du cholestérol, bilans sanguins, médicaments, nutrition… qui s'effondre. Les soit-disant experts, on s’en doute, tirent à bout portant sur l’homme qui ose révéler au grand public une aussi scandaleuse imposture."
"On peut avoir plusieurs artères coronaires bloquées sans aucune incidence sur les fonctions cardiaques" a été démontré dans un premier temps par des interventions chez les animaux.
On a sectionné jusqu'à cinq artères coronaires et l'animal vivait toujours sans problème. Les vaisseaux auxilliaires se sont alors développés pour alimenter le coeur en sang.
Défi sceptique ! Essayez !

Quelles sont donc ces "nombreuses causes d'athérosclérose" auxquelles vous référez ?
Le cholestérol est par analogie un ciment, une colle, servant à tenir ensemble les matériaux de réparation, entre autres les plaquettes et certains minéraux.
Le bon et le mauvais cholestérol, je laisse cela aux médecins de confession judéo-chrétienne

Lucas
Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
Laflamme,
Pour les scientifiques que vous citez, contredisant les théories modernes sur e lien entre le cholestérol et les maladies cardiovasculaire et l'athérosclérose :
Mary Enig : Ne croit pas au lien avec les gras saturés. Croit cependant au lien avec les gras trans! Croit au bénéfice d'une diète haute en huile de coco, citant même des effets contre le SIDA et autres infections virales (donc croit au virus) Croit au lien entre la consommation de d'oméga 3 et les maladies coronariennes
Pourquoi ne remettez-vous pas ses intentions en cause comme vous le faites avec tous les chercheurs qui ne sont pas d'accord avec vous. Est-il possible qu'elle est été corrompue par les énormes compagnies qui se font des milliards avec la vente de produits riches en gras saturés? Ou peut-être est-elle à la solde du lobby du lait de coco?
Michel de Lorgeril : Croit fortement au lien entre les acides gras oméga-3 et les maladies cardiovasculaires (donc au lien avec l'alimentation). Il a participé à l'étude de Lyon (étude sérieuse et reconnue dans le monde médicale). Cette étude a démontré les bienfaits d'une diète méditerranéenne, chose maintenant reconnue par la grande majorité des médecins.
Lui n'a pas prétendu détenir la vérité suprême et a cherché les preuves de ce qu'il affirmait!
Dr. Uffe Ravnskov : Croit que les conséquences néfastes de l'athérosclérose serait du à une infection. Citation (2005) :
"I think that the final attack is caused by microorganisms"
Il défend ses théories en faisant des expériences et en publiant des articles pouvant être critiqués pas ses pairs et ne rejette certainement pas les bases de la médecine moderne
Etc. ect
En fait aucun des scientifiques que vous citez ne remets en cause les bases de la médecine moderne (à part dr.hamer bien sur)
La réalité est que le sujet du lien entre les maladies coronariennes, les infarctus et les différents facteurs de risque (il y en a plusieurs autres) en est un en plein ébullition. Il est vrai que les intérêts es compagnies pharmaceutiques on faussé la donne et que les statines (lipitor, etc.) ont souvent une efficacité bien douteuse. La plupart des médecins que j'ai rencontré en sont bien conscients (ceux qui suivent les débats médicaux de moins)
Voici comment la médecine évolue! Des publications, des échanges d'idée. Les théories sont défaites et remanié au gré des observations. La médecine moderne n'est pas une théorie comportant des lois fixes. C'est un ensemble de théories et d'observations en constante évolution. Cette toile est certainement pleine de trou et d'incertitudes. Il est certaine a 100% que certaines choses que nous faisons aujourd'hui sont erronées et dans certain cas nuisent à la santé des patients et nous devons donc nous remettre en question (encore une fois, les médecins compétents que j'ai rencontré en sont pleinement conscients.)
Voici mon problème avec votre THÉORIE :
1) Elle remet en cause les bases fondamentales de sciences telles que la microbiologie et la génétique. Une telle affirmation nécessite des données extrêmement puissantes et non-équivoques, corroboré par des observations indépendantes, ce que vous ne pouvez vraisemblablement pas produire. Vous ne produisez que des témoignages. Pourquoi ne remettez vous jamais en question les intentions des gens qui confirment vos croyances? La seule chose que vous reproché a Hamer est d'avoir aidé financièrement des gens en difficulté?! Give me a break! Pourquoi êtes-vous incapables de croire un seul mot des infirmières qui ont travaillé directement avec hamer? Elles n'ont jamais vu personne guérir, mais l'ont vu abandonné des patients pour aller chercher de l'argent auprès de ces mécènes. Elles l'ont vu envoyer ses patients dans des cliniques des environs à chaque fois que leur état se détériorait. Elle l'ont vu garder des patients déjà mort dans sa clinique pour continuer à recevoir de l'argent de leur famille. Mais j'imagine qu'elles ne sont que des agents d'une grande conspiration des compagnies pharmaceutiques dirigé par des juifs, comme tous ces détracteurs. Ont moins elles étaient la, ce que vous ne pouvez certainement pas affirmer.
2) Elle dicte des lois! Des lois, comme vous le disiez plus tôt, ca s'applique à tout coup. Si vous croyez à une loi, vous devez absolument expliquer chaque observation qui contredit votre loi. Si vous ne pouvez le faire, vous devez changer votre loi. C'est de la pure logique. La loi gravitationnelle ne permettra jamais à un objet de tomber par en haut. Si vous observez ce phénomène, il faut trouver une explication qui respecte la loi, ou changer la loi. Mais justement la médecine est un monde d'exceptions et d'irrégularités! Et il ya des milliers d'observations qui ne fonctionne simplement pas avec vos lois! (voir mes questions plus haut) Je me répète, comment expliqué vous les épidémies, les observations de Semmelweis, les infection en période périnatal, les maladies congénitales, les maladies génétiques, le maintient en vie de personne dont le cortex est complètement liquéfié (si le cerveau contrôle tout...), les épidémies de lymphomes après les expositions à la radiation, les souris knock-out, la croissance de tissu humain en laboratoire (sans contact avec un système nerveux), l'apparence histologique identique des métastases et des tumeurs primaires, la biologie moléculaire, etc.? (Croyez-moi, j'en ai beaucoup d'autres)
The scientist is a practical man and his are practical (i.e., practically attainable) aims. He does not seek the ultimate but the proximate. He does not speak of the last analysis but rather of the next approximation. His are not those beautiful structures so delicately designed that a single flaw may cause the collapse of the whole. The scientist builds slowly and with a gross but solid kind of masonry. If dissatisfied with any of his work, even if it be near the very foundations, he can replace that part without damage to the remainder. On the whole he is satisfied with his work, for while science may never be wholly right it certainly is never wholly wrong; and it seems to be improving from decade to decade.
G. N. Lewis
Pour les scientifiques que vous citez, contredisant les théories modernes sur e lien entre le cholestérol et les maladies cardiovasculaire et l'athérosclérose :
Mary Enig : Ne croit pas au lien avec les gras saturés. Croit cependant au lien avec les gras trans! Croit au bénéfice d'une diète haute en huile de coco, citant même des effets contre le SIDA et autres infections virales (donc croit au virus) Croit au lien entre la consommation de d'oméga 3 et les maladies coronariennes
Pourquoi ne remettez-vous pas ses intentions en cause comme vous le faites avec tous les chercheurs qui ne sont pas d'accord avec vous. Est-il possible qu'elle est été corrompue par les énormes compagnies qui se font des milliards avec la vente de produits riches en gras saturés? Ou peut-être est-elle à la solde du lobby du lait de coco?

Michel de Lorgeril : Croit fortement au lien entre les acides gras oméga-3 et les maladies cardiovasculaires (donc au lien avec l'alimentation). Il a participé à l'étude de Lyon (étude sérieuse et reconnue dans le monde médicale). Cette étude a démontré les bienfaits d'une diète méditerranéenne, chose maintenant reconnue par la grande majorité des médecins.
Lui n'a pas prétendu détenir la vérité suprême et a cherché les preuves de ce qu'il affirmait!
Dr. Uffe Ravnskov : Croit que les conséquences néfastes de l'athérosclérose serait du à une infection. Citation (2005) :
"I think that the final attack is caused by microorganisms"
Il défend ses théories en faisant des expériences et en publiant des articles pouvant être critiqués pas ses pairs et ne rejette certainement pas les bases de la médecine moderne
Etc. ect
En fait aucun des scientifiques que vous citez ne remets en cause les bases de la médecine moderne (à part dr.hamer bien sur)
La réalité est que le sujet du lien entre les maladies coronariennes, les infarctus et les différents facteurs de risque (il y en a plusieurs autres) en est un en plein ébullition. Il est vrai que les intérêts es compagnies pharmaceutiques on faussé la donne et que les statines (lipitor, etc.) ont souvent une efficacité bien douteuse. La plupart des médecins que j'ai rencontré en sont bien conscients (ceux qui suivent les débats médicaux de moins)
Voici comment la médecine évolue! Des publications, des échanges d'idée. Les théories sont défaites et remanié au gré des observations. La médecine moderne n'est pas une théorie comportant des lois fixes. C'est un ensemble de théories et d'observations en constante évolution. Cette toile est certainement pleine de trou et d'incertitudes. Il est certaine a 100% que certaines choses que nous faisons aujourd'hui sont erronées et dans certain cas nuisent à la santé des patients et nous devons donc nous remettre en question (encore une fois, les médecins compétents que j'ai rencontré en sont pleinement conscients.)
Voici mon problème avec votre THÉORIE :
1) Elle remet en cause les bases fondamentales de sciences telles que la microbiologie et la génétique. Une telle affirmation nécessite des données extrêmement puissantes et non-équivoques, corroboré par des observations indépendantes, ce que vous ne pouvez vraisemblablement pas produire. Vous ne produisez que des témoignages. Pourquoi ne remettez vous jamais en question les intentions des gens qui confirment vos croyances? La seule chose que vous reproché a Hamer est d'avoir aidé financièrement des gens en difficulté?! Give me a break! Pourquoi êtes-vous incapables de croire un seul mot des infirmières qui ont travaillé directement avec hamer? Elles n'ont jamais vu personne guérir, mais l'ont vu abandonné des patients pour aller chercher de l'argent auprès de ces mécènes. Elles l'ont vu envoyer ses patients dans des cliniques des environs à chaque fois que leur état se détériorait. Elle l'ont vu garder des patients déjà mort dans sa clinique pour continuer à recevoir de l'argent de leur famille. Mais j'imagine qu'elles ne sont que des agents d'une grande conspiration des compagnies pharmaceutiques dirigé par des juifs, comme tous ces détracteurs. Ont moins elles étaient la, ce que vous ne pouvez certainement pas affirmer.
2) Elle dicte des lois! Des lois, comme vous le disiez plus tôt, ca s'applique à tout coup. Si vous croyez à une loi, vous devez absolument expliquer chaque observation qui contredit votre loi. Si vous ne pouvez le faire, vous devez changer votre loi. C'est de la pure logique. La loi gravitationnelle ne permettra jamais à un objet de tomber par en haut. Si vous observez ce phénomène, il faut trouver une explication qui respecte la loi, ou changer la loi. Mais justement la médecine est un monde d'exceptions et d'irrégularités! Et il ya des milliers d'observations qui ne fonctionne simplement pas avec vos lois! (voir mes questions plus haut) Je me répète, comment expliqué vous les épidémies, les observations de Semmelweis, les infection en période périnatal, les maladies congénitales, les maladies génétiques, le maintient en vie de personne dont le cortex est complètement liquéfié (si le cerveau contrôle tout...), les épidémies de lymphomes après les expositions à la radiation, les souris knock-out, la croissance de tissu humain en laboratoire (sans contact avec un système nerveux), l'apparence histologique identique des métastases et des tumeurs primaires, la biologie moléculaire, etc.? (Croyez-moi, j'en ai beaucoup d'autres)
The scientist is a practical man and his are practical (i.e., practically attainable) aims. He does not seek the ultimate but the proximate. He does not speak of the last analysis but rather of the next approximation. His are not those beautiful structures so delicately designed that a single flaw may cause the collapse of the whole. The scientist builds slowly and with a gross but solid kind of masonry. If dissatisfied with any of his work, even if it be near the very foundations, he can replace that part without damage to the remainder. On the whole he is satisfied with his work, for while science may never be wholly right it certainly is never wholly wrong; and it seems to be improving from decade to decade.
G. N. Lewis
Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
"La formation d'un caillot n'est que la cause d'un accident aigu qui survient sur une pathologie coronarienne, c'est-à-dire sur des artères atteintes d'athérosclérose."
La cause ? Quelles sont vos preuves ?
Après une attaque cardiaque ou même pour un simple malaise cardiaque pour lequel un patient vous consulte, vous observez un caillot et vous en déduisez qu'il en est la cause. C'est purement hypothétique.
Vous ne voudrez peut-être jamais l'admettre, c'est votre réalité et c'est correct.
Mais n'élevez pas au rang de vérité scientifique une hypothèse.
Lucas
La cause ? Quelles sont vos preuves ?
Après une attaque cardiaque ou même pour un simple malaise cardiaque pour lequel un patient vous consulte, vous observez un caillot et vous en déduisez qu'il en est la cause. C'est purement hypothétique.
Vous ne voudrez peut-être jamais l'admettre, c'est votre réalité et c'est correct.
Mais n'élevez pas au rang de vérité scientifique une hypothèse.
Lucas
Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
P.S : pour ce qui est de l'histoire des artères bloquées : on sait très bien que des gens peuvent vivre avec des sténoses très sevères des artères corronariennes, nous le voyons chaque jour en faiant des angios. Nous savons aussi à partir de quel niveau de sténose les patients commence a faire de l'angine à l'effort (ce que, bien sur, un animal ne vous dira pas). Nous savons aussi que des patient sans plaques importantes (et dont la circulation coillatéral est, en effet, moins dévelloppée) peuvent quand même faire des infarctus massif sur des plauqes plus petites (justmeent par activation de la cascade de coagulation). Il est bien documenté qu'il y aurait une différence entre les plaques lentement progressives (causant des sténoses) et des plaques avec un caractère plus inflammatoire qui causerait des infarctus plus important sans sx avant-coureurs. Tous ceci est bien enseigné dans les écoles de médecine et ne contredit en rien les théories modernes. Bien que nous ne connaissons pas tout les mécanismes derrières ces observations, nous les expliquons de mieux en mieux chaque jour.
Et pour les autres facteurs de risque : tabagisme, sédentarité, âge , sexe, hérédité, hypertension, diabète
Et si le cholestérol est si protecteur, pquoi est-ce que les gens naissant avec des défauts génétique (bien documentés) des récépteurs aux LDL (menant à une accumulation de ceux-ci et de d'autres lipides) ont des infarctus bcp plus tôt dans leur vie. Même que les patient homozygote pour une telle mutation en meurent en âge pédiatrique (oui,oui, même sans les traitments néfastes de la médecine moderne)
Et pour les autres facteurs de risque : tabagisme, sédentarité, âge , sexe, hérédité, hypertension, diabète
Et si le cholestérol est si protecteur, pquoi est-ce que les gens naissant avec des défauts génétique (bien documentés) des récépteurs aux LDL (menant à une accumulation de ceux-ci et de d'autres lipides) ont des infarctus bcp plus tôt dans leur vie. Même que les patient homozygote pour une telle mutation en meurent en âge pédiatrique (oui,oui, même sans les traitments néfastes de la médecine moderne)
Dernière modification par FrankG le 18 oct. 2008, 19:26, modifié 1 fois.
Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
[quote="FrankG"]Laflamme,
Pour les scientifiques que vous citez, contredisant les théories modernes sur e lien entre le cholestérol et les maladies cardiovasculaire et l'athérosclérose :
Mary Enig : Ne croit pas au lien avec les gras saturés. Croit cependant au lien avec les gras trans! Croit au bénéfice d'une diète haute en huile de coco, citant même des effets contre le SIDA et autres infections virales (donc croit au virus) Croit au lien entre la consommation de d'oméga 3 et les maladies coronariennes
Pourquoi ne remettez-vous pas ses intentions en cause comme vous le faites avec tous les chercheurs qui ne sont pas d'accord avec vous. Est-il possible qu'elle est été corrompue par les énormes compagnies qui se font des milliards avec la vente de produits riches en gras saturés? Ou peut-être est-elle à la solde du lobby du lait de coco?
Michel de Lorgeril : Croit fortement au lien entre les acides gras oméga-3 et les maladies cardiovasculaires (donc au lien avec l'alimentation). Il a participé à l'étude de Lyon (étude sérieuse et reconnue dans le monde médicale). Cette étude a démontré les bienfaits d'une diète méditerranéenne, chose maintenant reconnue par la grande majorité des médecins.
Lui n'a pas prétendu détenir la vérité suprême et a cherché les preuves de ce qu'il affirmait!
Dr. Uffe Ravnskov : Croit que les conséquences néfastes de l'athérosclérose serait du à une infection. Citation (2005) :
"I think that the final attack is caused by microorganisms"
Il défend ses théories en faisant des expériences et en publiant des articles pouvant être critiqués pas ses pairs et ne rejette certainement pas les bases de la médecine moderne
Etc. ect
Ces chercheurs et médecins sont effectivement conscients comme vous le dites que quelque chose cloche, et ils peuvent contredire des théories, s'en ouvrir publiquement à volonté, écrire des articles et des ouvrages, en discuter, questionner, etc., continuer à exercer leur profession... mais ils ne connaissent pas les lois biologiques.
Une fois qu'on les connait, les théories restantes sautent. Entre un ramassis d'hypothèses, celles que l'on conserve et celles que l'on questionne ou que l'on écarte, et des lois naturelles sans aucune hypothèse, vérifiables dans 100 % des cas, difficile de conserver ses croyances.
Lucas
Pour les scientifiques que vous citez, contredisant les théories modernes sur e lien entre le cholestérol et les maladies cardiovasculaire et l'athérosclérose :
Mary Enig : Ne croit pas au lien avec les gras saturés. Croit cependant au lien avec les gras trans! Croit au bénéfice d'une diète haute en huile de coco, citant même des effets contre le SIDA et autres infections virales (donc croit au virus) Croit au lien entre la consommation de d'oméga 3 et les maladies coronariennes
Pourquoi ne remettez-vous pas ses intentions en cause comme vous le faites avec tous les chercheurs qui ne sont pas d'accord avec vous. Est-il possible qu'elle est été corrompue par les énormes compagnies qui se font des milliards avec la vente de produits riches en gras saturés? Ou peut-être est-elle à la solde du lobby du lait de coco?

Michel de Lorgeril : Croit fortement au lien entre les acides gras oméga-3 et les maladies cardiovasculaires (donc au lien avec l'alimentation). Il a participé à l'étude de Lyon (étude sérieuse et reconnue dans le monde médicale). Cette étude a démontré les bienfaits d'une diète méditerranéenne, chose maintenant reconnue par la grande majorité des médecins.
Lui n'a pas prétendu détenir la vérité suprême et a cherché les preuves de ce qu'il affirmait!
Dr. Uffe Ravnskov : Croit que les conséquences néfastes de l'athérosclérose serait du à une infection. Citation (2005) :
"I think that the final attack is caused by microorganisms"
Il défend ses théories en faisant des expériences et en publiant des articles pouvant être critiqués pas ses pairs et ne rejette certainement pas les bases de la médecine moderne
Etc. ect
Ces chercheurs et médecins sont effectivement conscients comme vous le dites que quelque chose cloche, et ils peuvent contredire des théories, s'en ouvrir publiquement à volonté, écrire des articles et des ouvrages, en discuter, questionner, etc., continuer à exercer leur profession... mais ils ne connaissent pas les lois biologiques.
Une fois qu'on les connait, les théories restantes sautent. Entre un ramassis d'hypothèses, celles que l'on conserve et celles que l'on questionne ou que l'on écarte, et des lois naturelles sans aucune hypothèse, vérifiables dans 100 % des cas, difficile de conserver ses croyances.
Lucas
Re: Médecine Nouvelle Germanique | Ryke Geerd Hamer
Laflamme a écrit :Une fois qu'on les connait, les théories restantes sautent. Entre un ramassis d'hypothèses, celles que l'on conserve et celles que l'on questionne ou que l'on écarte, et des lois naturelles sans aucune hypothèse, vérifiables dans 100 % des cas, difficile de conserver ses croyances.
Le problème c'est que vos "lois" reposent sur des interpretations (choc biologique). Si vous pouvez me donner une définition complètement objective d'un conflit du nid avec des critères clairs et précis, nous pourrons alors aller verifier si toutes le femmes avec une telle lateralité de leur tumeur en ont un (confirmant votre THÉORIE).
Un test : proposez moi un protocole de recherche prouvant votre loi.
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