J'ai déjà donné la listes des travaux, pour ce qui est du Dr Hamer. Votre mauvaise foi est criante.
Si c'est une vérité faisant consensus, pour ce qui est de la légende pasteurienne, dans toute la communauté scientifique, expliquez-moi pourquoi il y a autant de médecins contre et des milliers d'ouvrages rédigés par des médecins depuis plus de cent ans remettant en question la théorie pasteurienne ?
À chaque année, au moins un médecin est radié, cela commence à faire pas mal de voix discordantes pour un soit-disant consensus. Vous rêvez ma foi !Pourquoi autant de médecins et de spécialistes ont-ils été radiés, seulement au Québec, pour avoir publié de tels travaux ou avoir pris publiquement position contre, par exemple Toussaint, Langevin, Joubert, Mongeau, Chèvrefils (il s'est exclu lui-même du corps médical, cela ne compte pas donc), Lanctôt ?
Ceux qui défendent les bienfaits des vaccinations tiennent leur argumentation d'une faculté de médecine, d'un laboratoire d'un ministère de la santé ou d'une encyclopédie.
"Au Congrès de Charleroi, en 1885, les travaux de Darwin, dont on ne partageait pas encore toutes les conclusions mais dont on reconnaissait le grand intérêt et même la pertinence, ont été au cœur des discussions sur la vaccination, car cette vérité sur les causes de destruction était applicable non seulement à l'homme mais à toutes les sociétés humaines ainsi qu'à tous les règnes. Le docteur anglais G. Wilkinson en a fait largement état devant les médecins, alors que le vaccin s'imposait alors comme une source de destruction sociale avec une incroyable flambée de cas de fièvre jaune, de rage, de petite vérole (nouvelle forme ainsi introduite qui, en effet, faisait mourir ceux qui avaient reçu le vaccin).
À la fin du XIXe siècle, la médecine était en pleine décadence avec l'avènement de cette nouvelle thérapeutique. D'ailleurs, le docteur Paul Combes, président de l'Union scientifique internationale, dans une conférence publique, affirmait : « Déjà, malgré la précaution de M. Pasteur a cacher les décès des malheureux qui ont confiance en lui, on sait que bon nombre d'entre eux sont morts, et si ce nombre n'est pas plus élevé, c'est parce que presque tous avaient été cautérisés avant d'arriver à son laboratoire. Il est évident que Pasteur a créé simplement la peur de la rage, ce qui explique la multiplicité exceptionnelle des morsures dites rabiques que l'on signale et qui font partie des statistiques de la rue d'Ulm, comme autant de cas soi-disant guéris par la moelle de lapin. La vérité est que cadavres sur cadavres viennent jeter à la face de notre collègue, pensionné, les plus cruels démentis et que le seul résultat positif obtenu par ce pseudo-savant a été de remplir ses poches. »
En effet, les vaccinés mouraient, mais Pasteur cachaient les noms et ne retenait que ceux de ses patients qui continuaient à vivre. Avec ce nombre, il préparait ses statistiques. Il n'admettait personne pour vérifier ses dires.
Cela n'a pas changé !
À cette époque, on ne disait pas que les données sur la vaccination étaient scientifiques mais bien que la vaccination était assise sur des procédés empiriques ! (ce qui est toujours le cas) avec pour auxiliaire deux terribles maladies : l'engouement et la peur !
"On signalait une corrélation évidente entre les épidémies de petite vérole chez l'homme et de clavelée (variole) chez les brebis, depuis l'Antiquité, ce lien étant imputable à la non observation des élémentaires principes de la salubrité publique. Ainsi, l'observation de mesure d'hygiène s'imposait logiquement comme la mesure à prendre. D'ailleurs, la suite, donc l'application de cette mesure, a été la disparition des épidémies. Les épidémies subséquentes ont été largement provoquées par la vaccination de masse, dont les dégâts mortels parmi la population européenne ont été constatés et consignés. "
"L'Inde constitue un exemple éloquent où la médecine allopathique a imposé son mode de traitement, en s'alliant aux politiciens de son gouvernement, à une époque où l'on comptait dans ce pays 250 000 homéopathes et 25 000 allopathes. La variole à l'état endémique aux Indes est due à cette imposition. Le Dr Austin MD, major de l'armée Britannique aux Indes, auteur de l'ouvrage Army's doctor condemns Vaccination, a vu sur place les conséquences de ce contrôle et comment les populations indiennes ont été décimé par l'inoculation variolique. Ces torts sont irréparables. Il a même parlé d'atteintes à la personne humaine, car les missionnaires-vaccinateurs administraient leur triples VDT (variole-diphtérie-tétanos) par la force, manu militaris ! Mais la politique, a-t-il tôt fait de constater, prime sur la médecine et les droits humains arrivent en dernier ressort. "
Le Syndrome de Fatigue Chronique : une forme cachée de la poliomyélite
(http://www.whale.to/w/douglas.html)
Le Dr William CAMPBELL DOUGLAS, connu pour ses recherches aux Etats-Unis sur la face cachée du SIDA [1], publie des petits bulletins sur Internet. Nous rapportons celui qui a pour titre « Chronic fatigue syndrome : the hidden polio epidemic ». En vaccinant les enfants on a transformé les maladies de l’enfance en maladies de l’adulte, maladies beaucoup plus graves. Le vaccin polio en est une illustration.
« Le vaccin Salk a échoué complètement. Et le vaccin Sabin a été un désastre : il a causé de nombreux cas de polio et n’a pas fait disparaître la maladie, au contraire il a provoqué un pic épidémique dû au vaccin lui-même dans les années 1960.
Nous avons maintenant un document qui émane des annales de l’Académie des Sciences de New York [2] et qui indique de façon absolue que la polio n’a absolument pas disparu, mais qu’elle se manifeste sous la forme du syndrome de fatigue chronique. La presse grand public a été totalement silencieuse sur ce sujet, je me demande bien pourquoi…
La suite = http://www.alis france.com/download/LaFatigueChroniqueOuUneFormeCacheeDePolio.pdf
(lettre reçue d'une chercheure indépendante)
"Madame,
Ma devise est "Livrer la vérité quoiqu'il en coûte ; résister au grégarisme, au consensus béat et à la pensée unique." Sous le couvert de l'anonymat ayant ces infos de déjà prêtes, risquant beaucoup de vous les envoyer mais sûr que vous ferez un bon usage et vous les acheminant en toute confiance par mon e-mail, voici pour la polio.
Un jugement de 10 millions $ a été accordé à Emil Johnson, affecté de poliomyélite bulbaire irréversible paralysant ses poumons, à Wichita, Kansas, contre Orimune et son fabricant, laboratoires Lederle.
Verdict relaté dans le National Law Journal, 18 juin 1984.
La preuve présentée est une note de service rédigée par un médecin du laboratoire et discutant la possibilité d'une baisse des ventes de Orimune, si la société prend des mesures pour informer les médecins des risques inhérents à l'administration du dit vaccin.
Les faits bien documentés dont nous disposions étaient que le vaccin polio était la seule cause de la poliomyélite antérieure aiguë, maladie de Heine-Médin, paralysie infantile et toutes les autres atteintes de la moelle épinière, mortelles en cas d'atteintes respiratoires hautes.
Le Dr Darrel Salk, fils du promoteur du vaccin polio Jonas Salk, de l'Université de l'Ecole Médicale de Washington, témoigna en faveur de Johnson et pour 16 autres actions judiciaires.
Lederle refusa de donner son nombre des cas portés à son attention par des médecins, incluant les nôtres et évita que des atteints par milliers fassent un lien de leur cas avec le cas Johnson !
Darrel Salk ne travaillait pas pour nous chercheurs et médecins opposés aux vaccinations, je précise pour éviter une confusion.
Son seul intérêt dans ces causes était de remettre en marché le vaccin originel de son père et en tirer du profit, insultant la mémoire de feu Salk et dissimulant ses aveux et preuves en fin de vie. Le vaccin inactivé de Salk était injectable et le Sabin, "on the market" trois ans plus tard, de prise orale. Emil Johnson a été atteint en embrassant son bébé en pleurs après la prise orale.
Les atteintes des unités motrices et autres maladies infectieuses avant les vaccins Salk et Sabin étaient causées par le vaccin anti-variolique de Edward Jenner, en 1796, et la variole, par Pasteur.
Pasteur a copié sur les travaux de Béchamp, Marcellin Berthelot et plusieurs autres chercheurs mais sans jamais citer. Ses travaux ne sont pas ses travaux, Madame, mais ceux des Dr Charles Chamberland et Émile Roux. La démonstration concluante des expériences A et B faites sur des moutons n'a pas été la sienne (Roux et Chamberland), les bêtes étant toutes mortes, mais l'idée volée à un vétérinaire, Dr Henry Toussaint. Dr Roux et Chamberland ont détruit toutes les preuves par le feu avant que les médecins opposants les trouvent et les utilisent contre Pasteur.
Si vous orientez vos recherches sur Dr Henry Toussaint, vous aurez, Madame, encore des infos pour les ajouter aux vôtres déjà très bien!
Il y a aussi Dr Henri Duboue d'intéressant. Il a publié ses travaux sur la rage en 1879 et envoyé un exemplaire à Pasteur pour être aidé à mi-1881 sur la recommandation d'un ami. L'ouvrage titulé "Physiologie pathologique et traitement rationnel de la rage" donne une proposition unique : le virus rabique ne s'absorbe pas. Il se propage le long des fibres nerveuses périphériques et atteint le système nerveux central. En janvier 1881, Pasteur avait affirmé à l'Académie de Médecine que le virus rabique se propageait par voie sanguine. En mai, il revient sur ses affirmations et propose à l'Académie sa nouvelle découverte, la théorie nerveuse !
J'ai commencé à m'intéresser à Pasteur et ensuite à plusieurs autres médecins comme lui quand un confrère en France a parlé de lui comme du plus grand faux savant et expliqué que son ancêtre médecin l'avait provoqué en duel pour le vol d'un travail lui aussi ! J’étais choqué et j’ai cherché et trouvé. Sir Alexander Fleming, un Nobel, vous intéressera autant que Pasteur !
Visitez le Web Site pour comprendre mieux les plaintes: http://www.laleva.cc/The_Hague/fr/complaint2.html
J'ai plusieurs autres notes, Madame, mais pas beaucoup en français. J'ai fait mes études à Harvard Medical School, Boston, MA. Quelques autres notes suivent pour la polio. Si vous avez besoin, réécrivez-moi !
Recevez mes amitiés confraternelles,
Paul"
LEDERLY FACTS
Between 1961 and 1978, Lederle, a leading vaccine manufacturer, controlledbetween 70 to 80 percent of the oral polio vaccine market. Its product was
known as “Orimune”. From 1978 until 2000 (the year the United States prohibited the sale of the oral polio vaccine), that company had 100% of
the American market for oral polio vaccine. It has claimed that it distributed over 650 million doses in the United States alone since its licensure. At the conference of the United States of America, Department of Health & Human Services, held on Monday, January 29-30, 1997 entitled CBER-NCI-NICHD-NIP-NVPO SIMIAN VIRUS 40 (SV40): A POSSIBLE HUMAN
POLYOMAVIRUS WORKSHOP, representatives of Lederle assured the assembly that all oral polio vaccine in the United States manufactured by that company
was SV40 free and that it had prepared the vaccine in green monkey kidney cells that do not harbor the SV40 virus.
Internal Documents obtained by SV40 Cancer.com tell a different story. - SV40Cancer.com
In yet another stunning example of arrogant and immoral behavior, doctors at the World Health Organization (WHO) and Centers for Disease Control
(CDC) admitted last week that they deliberately did not tell “the public” that neurovirulent mutated vaccine strain live polio viruses are polluting
world water supplies and are responsible for polio outbreaks among children in Nigeria and other countries.
It is time to take the holy robes off of doctors and scientists who are tinkering with the biological integrity of the human race and the ecological balance on earth. The parents in Africa and India, who are fleeing from the vaccine-wielding doctors hunting their children down, are not ignorant or crazy. They are exercising common sense.
Dr. David Heymann, a leader in WHO’s polio radication effort, reportedly explained that WHO “considered the Nigerian outbreak to be a problem for scientists and not something that could change global vaccination
practices” so WHO didn’t share the information with the public until now.
http://news.yahoo.com/s/ap/20071005/ap_ ... io_paradox
There is a lot of information that WHO and CDC officials have not shared with the public about what forcing worldwide use of a live oral polio for
40 years has done. The Sabin live polio vaccine - which is the public health community’s main claim to fame and fortune in the 20th century - may not only have unleashed the most feared autoimmune disorder to plague man in two centuries
http://www.lrb.co.uk/v25/n07/hoop01_.html ) as well as caused increases in brain, bone and lung cancers (ttp://jnci.oxfordjournals.org/cgi/reprint/jnci% 3b94/3/229-a.pdf) but also has created mutant paralytic viruses that could cripple many more
humans than would have been crippled if the live virus polio vaccine had never been used at all.
The US abandoned the Sabin live polio vaccine in 1999 and switched to the inactivated Salk vaccine that cannot cause vaccine strain polio. So why are
billions of dollars being spent to pour the risky live virus polio vaccine into the mouths of the poorest babies in the most underprivileged countries
in the world where sanitation and water supplies are already compromised?
The worst part of this deception is that WHO and CDC spin doctors are trying to convince parents in Africa, India and elsewhere that it is the
“unvaccinated” who are causing vaccine strain polio outbreaks even though many of these children are getting 9 or 10 polio vaccinations
(see : vaccineawakening.blogspot.com)
Although public health officials are trying to blame polio outbreaks on the unvaccinated, the medical literature documents that assertion to be false.
Here is just a sampling of articles from the medical literature about mutated vaccine strain polio viruses causing paralytic disease in vaccinated populations:
1) In 1999, Paul Fine took information from a WHO document and published an article in the American Journal of Epidemiology on the transmissability and
persistence of oral polio viruses. He concluded that the findings indicate that OPV viruses could persist under various plausible circumstances after
mass vaccination with live OPV around the world is stopped.
(2) In 2000, Israeli and CDC researchers reported in the Journal of Clinical Microbiology that a highly evolved derivative of the Type 2 oral poliovaccine strain was isolated from sewage in Israel. They concluded that : the presence in the environment of a highly evolved, neurovirulent PV- derived poliovirus in the absence of polio cases has important implications for strategies for the cessation of immunization with OPV following global polio eradication.
)jcm.asm.org/cgi/content/abstract/38/10/3729)
(3) In 2002, Japanese researchers reported in the Journal of General Virology on a 1993-1995 survey of poliovirus in river and sewage water. They concluded that "The prevalence of virulent type vaccine derived
polioviruses (VDPV’s) in river and sewage water suggested that the oral poliovaccine itself had led to wide environmental pollution in nature."
(vir.sgmjournals.org)
(4) In 2002, Russian and FDA researchers reported in the Journal of Virology on the "Long Term Circulation of Vaccine-Derived Poliovirus That "Causes Paralytic Disease" after finding a highly evolved derivative of the Sabin vaccine strain isolated in a case of paralytic poliomyelitis from a healthy 7 month old baby "in an apparently adequately immunized
population." When the researchers analyzed the genome of the isolate, they found it was a double (type1-type2) vaccine-derived recombinant and that the number of mutations suggested "both had diverged from their vaccine predecessors." They concluded that "The reported data indicate that vaccine-derived viruses may make their way through narrow breaches and
evolve into transmissible pathogens even in adequately immunized populations."
(5) In 2003, Russian and FDA researchers published in the Proceedings of the National Academy of Sciences a "Microarray analysis of evolution of RNA
viruses: Evidence of circulation of virulent highly divergent vaccine-derived polioviruses." They said "We identified a type-3 VDPV (vaccine derived polio virus) isolated from a healthy person and missed by conventional methods of screening. The mutational profile of the polio strain was consistent with less than 1 year circulation in human population
and was highly virulent in transgenic mice, confirming the ability of VDPV to persist in communities despite high levels of immunity."
(www/pnas.org))
(6) In 2005, Russian and FDA researchers published an article in Journal of Virology in which they reported on results of a study of vaccine-derived
isolates from "an immunocompromised poliomyelitis patient, the contacts, and the local sewage. "They acknowledged that "The increased neurovirulence
of vaccine derivatives has been known since the beginning of OPV use, but their ability to establish circulation in communities has been recognized
only recently during the latest stages of the polio eradication campaign."
They go on to discuss the new recombinant type 2/type1 genome that has developed as a result of mass use of live polio vaccine as well as "another
mutation in the VP3 protein" that may facilitate "virus spread in immunized
populations."
Their conclusion: "The patterns and rates of the accumulation of synonymous mutations in isolates collected from the patient over the extended period of [vaccine strain poliovirus] excretion suggest either a substantially nonuniform rate of mutagenesis throughout the genome, or, more likely, the strains may have been intratypic recombinants between coevolving derivatives with different degrees of divergence from the vaccine parent. This study provides insight into the early stages of the establishment of circulation by runaway
vaccine strains." (jvi.asm.org also)
For too long, vaccine-wielding doctors employed by the U.S. government and worldwide medical organizations, like the WHO, have joined with
pharmaceutical companies and conned politicians and populations around the world into accepting forced use of vaccines that have not been properly
tested and regulated. When doctors and scientists think they are entitled to experiment on people and keep those medical experiments secret, it is no
wonder that iatragenic diseases like cancers, AIDS and mutated vaccine strain viral diseases soon follow.
Combien d'industries dans le monde peuvent se vanter de bénéfices comparables à 350 à 400% sur leurs produits ? L'avidité humaine étant ce qu'elle est, les industries médicales, pharmaceutiques et de recherche ont besoin de nos maladies, pas de notre santé !
Méthodes et tactiques des dits laboratoires et exemple de cas =
Ruesch a continué à lutter pour dévoiler la vérité, éditant Naked Empress, 1001 DOCTORS AGAINST Vivisection, aussi bien que de nombreux bulletins et dépliants (certains parmi eux visibles en ligne*15), y compris Vivisection is SCIENTIFIC FRAUD ! (...) Il aurait très certainement produit une quantité plus importante d'écrits, et peut-être même encore de la littérature, s'il n'avait pas été systématiquement et à répétition attaqué, au fil des années, par les procédures juridiques destinées, semble-t-il, à le harceler, à occuper son temps, et à dévorer son argent... une tactique classique de la part des intérêts industriels pour détruire les individus.
Les vaccins : une bombe de l’ère médicale
Robert Mendelsohn, médecin.
L’auteur, maintenant décédé, a pratiqué la pédiatrie pendant plus de 30 ans. Il a écrit de nombreux livres, a été directeur national du projet Head Start’s Medical Consultation Service, président du comité d’accréditation médicale pour l’État de l’Illinois, professeur associé de médecine préventive et de santé communautaire à l’École de Médecine de l’Université de l’Illinois, États-Unis.
"Bien que j’aie moi-même utilisé les vaccins dans les premières années de ma pratique, je suis devenu un opposant farouche des vaccinations de masse à cause des nombreux dangers qu’elles représentent. Le sujet est si vaste et complexe qu’il mériterait tout un livre. Je ne peux donc ici que donner un résumé de mes réticences au zèle fanatique avec lequel les pédiatres injectent aveuglément des protéines étrangères dans le corps de votre enfant, sans savoir quelles conséquences néfastes peuvent en résulter.
VOICI L'ESSENTIEL DES MES ARGUMENTS :
Il n’existe aucune évidence scientifique convaincante prouvant que ce sont les vaccinations qui ont éliminé les maladies d’enfance. Il est vrai que certaines maladies d’enfance qui étaient autrefois fréquentes ont diminué ou disparu depuis que les vaccinations ont été introduites ; personne ne sait réellement pourquoi, bien que l’on pense que c’est l’amélioration des conditions de vie qui en est la cause.
Car si les vaccinations étaient responsables de la diminution ou de la disparition de ces maladies aux États-Unis, pourquoi donc ont-elles disparu d’Europe où les vaccinations de masse n’ont pas été appliquées ?
On pense habituellement que c’est grâce au vaccin SALK que l’épidémie de poliomyélite qui frappa les enfants américains dans les années 1940 et 1950 a pris fin. Si c’est vrai, pourquoi est-ce que les épidémies ont aussi cessé en Europe où le vaccin POLIO n’était pas utilisé de manière aussi généralisée ? Et pour prendre un sujet d’intérêt plus récent, pourquoi est-ce que le vaccin SABIN est encore administré à des enfants, alors que le Dr Salk affirme que c’est ce vaccin qui cause actuellement la plupart des cas de poliomyélite ?
Continuer à administrer ce vaccin est un comportement médical irrationnel qui ne fait que confirmer mon opinion que les médecins répètent constamment leurs fautes. Nous assistons là à une répétition du scénario où l’on voyait la difficulté du corps médical à abandonner la vaccination contre la variole. Ce vaccin resta la seule cause de mort due à la variole pendant trente ans après que la maladie ait disparu.
Pensez-y, pendant trente ans, les enfants mouraient après des vaccinations antivarioliques, alors que la maladie elle-même ne comportait plus un risque réel !
Tout vaccin comporte des risques et des contre-indications ; cependant, les médecins les administrent de routine et par habitude, sans avertir les parents des dangers possibles et sans rechercher si tel vaccin serait contre-indiqué pour votre enfant. Aucun enfant ne devrait être vacciné sans qu’on réfléchisse à cela, et pourtant des queues d’enfants sont alignées chaque jour dans les cliniques pour recevoir un vaccin, sans qu’aucune question ne puisse être posée par leurs parents.
On pense de plus en plus que ces vaccins contre les maladies d’enfance relativement bénignes peuvent être responsables de l’augmentation intense des maladies auto-immunes dans notre population. Ce sont des maladies graves comme le cancer, la leucémie, les rhumatismes, la sclérose en plaques, le lupus érythémateux disséminé et le syndrome de Guillain-Barré. Dans les maladies auto-immunes, les mécanismes de défense de l’organisme ne savent plus faire la distinction entre les protéines étrangères et les tissus du corps lui-même, en conséquence l’organisme commence à se détruire lui-même. Allons-nous échanger rougeole contre le cancer et la leucémie ?
CE QU’ILS ONT DIT DE LA VACCINATION…
Le pire vaccin de tous est celui contre la coqueluche. Il est responsable d’un grand nombre de mortalités et d’un grand nombre de dommages cérébraux irréversibles chez les nouveau-nés. Chez les enfants prédisposés à la maladie, cela bousculera de fond en comble leur système immunitaire, les conduisant ainsi à un dommage cérébral irréparable ou à de sévères attaques ou même à des cas de mortalité à partir de maladie, telles que la pneumonie, la gastro-entérite, etc.
Dr Archie Kalokerinos
Le risque de souffrir de complications sérieuses provenant des vaccins contre la grippe est beaucoup plus grand que la grippe elle-même.
Dr William Frosehaver
C’est une grand insulte faite au système immunitaire d’un enfant que d’introduire dans son sang les protéines étrangères ou les virus vivants dont sont composés les vaccins d’aujourd’hui.
Dr Moskiwitz
Une grande partie des millions d’enfants américains, souffrant d’autisme, d’attaques d’arriération mentale, d’hyperactivité, de dyslexie et d’autres formes de maladies appelées «incapacité mentale », le doivent à l’un ou l’autre des vaccins administrés pour combattre les maladies de l’enfance.
Harris Coulter, historien médical américain
Les vaccins viraux vivants contre la grippe et la polio paralytique, par exemple, peuvent dans chaque situation, dans chaque cas, causer la maladie qu’ils veulent justement prévenir, les vaccins viraux vivants contre la rougeole et les oreillons peuvent produire des effets secondaires, tel l’encéphalite… Le vaccin viral vivant contre la polio est maintenant la principale cause de la polio aux États-Unis et dans d’autres pays… Contrairement aux croyances antérieurement établies à propos des vaccins du virus de la polio, l’évidence existe maintenant que le vaccin viral vivant ne peut être administré sans risque de produire la paralysie… Le vaccin viral vivant de la polio transporte en lui-même le risque de produire la polio paralytique chez les individus vaccinés ou leurs contacts.
Dr Salk (introduisit le vaccin original de la polio dans les années 50)
Les vaccins peuvent causer l’arthrite chronique évolutive, la sclérose en plaques, le lupus systémique érythémateux, le Parkinson et le cancer.
Professeur R. Simpson de l’American Cancer Society
La vaccination cause, de plus, l’explosion des cas de leucémie.
Dr Duperrat
Le vaccin modifie le terrain du vacciné, le rendant alcalin et oxydé, c’est-à-dire le terrain du cancer. Ce fait ne peut plus être ignoré.
Revue de pathologie et de physiologie Clinique, France
Des montagnes de preuves révélées lors de ce Congrès ou disséminées dans la littérature scientifique ont montré la présence de virus, d’agents oncontiques et de leurs antigènes et anticorps dans des tissus soi-disant normaux provenant de primates et de non primates utilisés comme source de cellules pour la reproduction des virus nécessaires à la fabrication de vaccins pour l’homme.
O.N. Fellowes, Plum Island Animal Disease Laboratory
Aujourd’hui, près de deux siècles après les premiers essais de Jenner, la médecine est obsédée par les vaccins ; on en cherche même contre la carie dentaire, comme si l’hygiène buccale ne suffisait plus. Pourtant, leur apport n’est guère impressionnant si ce n’est pour leurs fabricants.
Robert Sharp
Les vaccins et sérums sont également dangereux car ils ne font pas disparaître les causes profondes des troubles ; ils attentent à la spécificité humorale de l’espèce humaine ; ils sont la cause de réveils d’affections latentes et de maladies de dégénérescence très graves.
André Passebecq
Vacciner c’est remplacer une immunité naturelle par une immunité artificielle.
Simone Delarue
QUE FAIRE ?
Nous avons le droit fondamental de refuser tout traitement médical et le vaccin ne fait pas exception. Tout individu a le droit d’être vacciné ou pas, même lors «d’épidémie ». L’obliger à le faire contrevient aux droits reconnus à l’article 1 de la Charte Québécoise et à l’Article 7 de la Charte Canadienne. Lors d’un jugement rendu en mars 1990, le juge Trudeau a reconnu que lors d’une «épidémie » de rougeole, les parents ne sont pas tenus de faire vacciner leurs enfants mais doivent les retirer de l’école jusqu’à ce que se résorbe la dite «épidémie ».
Pour voyager à l’étranger sans vaccinations, vous pouvez déclarer simplement une exemption sous la Clause 84 du Code Sanitaire de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et adoptée par tous ses membres. (La seule exception à cette clause peut avoir lieu si vous arrivez d’une région infectée).
Cet article se lit comme suit :
L’Administration Sanitaire peut demander à une personne en voyage international qui ne montre pas suffisamment l’évidence d’une protection par vaccination ou par une atteinte antérieure de variole, de posséder à son arrivée, un certificat de vaccination contre la variole. Toute personne semblable qui ne peut produire un certificat peut être vaccinée. Si elle refuse la vaccination, on peut la mettre sous surveillance pour au plus 14 jours.
Une personne sous surveillance ne doit pas être isolée, mais pourra circuler librement. L’officier de santé peut lui demander de le visiter si nécessaire, à des intervalles spécifiques, durant la période de surveillance."
Mythes et Réalités : http://www.geocities.com/rainforest/jun ... ythes.html
L'hydroxyde d'aluminium =
Nouveau et jamais publiée une recherche menée par le neurologiste Chris Shaw de Vancouver montre un lien entre l'hydroxyde d'aluminium utilisé dans les vaccins, et des symptômes liés à la maladie de Parkinson, à la sclérose latérale amyotrophic (ALS, ou la maladie de Lou Gehrig), et à Alzheimer. Des adjuvants semblables sont employés dans les vaccins suivants, selon le papier de Shaw : hépatite A et B, et le cocktail de Pentacel, qui vaccine contre la diphtérie, la coqueluche, le tétanos, la poliomyélite, et un type de méningite. "Personne dans mon laboratoire ne veut plus se faire vacciner, "a-t-il dit.
MÉTALLOTHIONÉINE =
Polypeptide riche en cystéine. Il est directement issu de l'expression génétique (sans remodelage enzymatique). Il se lie fortement au Cuivre (Cu).
Une nouvelle analyse vient d'être développé par le laboratoire Great Plains permettant l'évaluation des niveaux altérés de la métallothionéine, protéine essentielle à l'élimination des métaux lourds dans l'organisme.
Le constat d'anomalies de la métallothionéine lors de plusieurs analyses de prélèvements provenant d'enfants autistes a poussé le Dr Shaw, directeur du Laboratoire Great Plains et chercheur confirmé dans le domaine des aspects métaboliques dans l'autisme, à mener des recherches approfondies sur cette protéine et à développer ce nouveau procédé.
http://www.greatplainslaboratory.com/french/test19.htm
Les vaccins relèvent d’une philosophie de vie totalement hypothétique qui met sur le compte de micro-organismes les pathologies comme les maladies. Ce qui est aussi absurde que d’accuser les mouches d’avoir fabriqué un tas de fumier…
Elles sont paradoxalement peu contraignantes chez le tout-petit en situation “normale”… Étant bien entendu que la norme est l’enfant vivant auprès de sa maman. En pareil cas, le BCG n’est pas nécessaire, la seule obligation légale porte sur le vaccin DTP qui doit être commencé avant l’âge de 1 an. C’est dire que les parents peuvent attendre la veille du 1er anniversaire de leur bébé pour faire la première injection de ce vaccin, ce qui minimisera considérablement ses conséquences. En effet, les 9 premiers mois de croissance “turbo” étant achevés, le bébé vivra ce stress beaucoup plus facilement.
Si les parents donnent leur enfant à garder à une simple nourrice agréée, les obligations sont les mêmes.
Par contre, le BCG, le DPCP, le HiBest et le ROR sont obligatoires dès lors que l’enfant est gardé en crèche ou par une nounou faisant partie des crèches à domicile. Donc en général avant 9 mois ! Il faut bien noter que le vaccin HÉPATITE B n’est pour le moment que “conseillé”.
Chacun de ces vaccins est constitué de 2 parties :
* une soupe de purulence
* un poison plus ou moins violent, “l’adjuvant de l’immunité”.
Parmi les soupes de purulence, il faut mettre à part les vaccins Diphtérie et Tétanos qui sont des résidus toxiques du métabolisme cellulaire. Ces poisons sont très dangereux (risque de scolioses et de spasmophilie pour le tétanos, de fragilisation de la gorge et des poumons pour la diphtérie) bien que prétendument atténués par le passage en étuve quelques heures. Heureusement, ils sont instantanément inhibés par les microzymas (bâtisseurs des cellules) dès lors que ces derniers disposent de suffisamment de vitamine C.
Le vaccin POLIO est sans doute l’un des pires vaccins : en effet, la poliomyélite n’est pas une maladie (qui correspond à un processus de guérison) mais une pathologie liée à un conflit de déplacement. L’inoculation de ce vaccin peut donc induire et provoquer des paralysies, ou les programmer sur le futur… Il faudrait pouvoir accompagner cette vaccination d’une psychothérapie adaptée et spécifique pour éviter les drames. Heureusement, là encore, la prise de vitamine C en grandes quantités peut minimiser l’impact de ce stress.
Le vaccin BCG quant à lui entraîne souvent des désagréments indirects chez les enfants qui ont vécu un conflit de mort in utéro ou à la naissance. Dans ce cas, l’inoculation du BCG va mettre en route le démontage de la pathologie pulmonaire correspondante. Rien de bien grave en soi, sauf si cette inoculation intervient au cours des 9 premiers mois de la vie où les microzymas ont bien d’autres soucis avec cette poussée de croissance “turbo” ! Cet enfant dit “tuberculinique” va alors développer une foule de maladies ORL, pulmonaires ou digestives avec des suppurations interminables dont il se serait bien passé.
La plupart des vaccins comportent un adjuvant de l’immunité très toxique, l’hydroxyde d’aluminium.
C’est d’ailleurs le stress toxique de ce poison qui donne aux vaccins une efficacité temporaire et illusoire.
Ce poison est toxique pour les reins, le squelette (en pleine croissance chez notre bébé) et le cerveau (risque de maladie de Creutzfeld-Jacob, d’autisme…). La dose inoculée par vaccin (1250 microgrammes par injection) est environ 20 fois supérieure à la dose supportable (60 d’après le Dr GARNIER du Centre Anti-Poisons de Paris). Seule, la vitamine C à bonne dose permet d’en minimiser la toxicité.
En conclusion =
Les vaccins sont inutiles, parfois dangereux (surtout POLIO), souvent inopportuns (BCG), toujours toxiques. L’idéal est d’en faire le moins possible et le plus tard possible, en les évitant surtout au cours des 9 premiers mois de la vie.
Lorsqu’ils doivent être effectués obligatoirement compte tenu du mode de garde de l’enfant, il faudra savoir compenser ce stress par une augmentation de la ration quotidienne de l’enfant en vitamine C. Toute vaccination implique de multiplier la dose normale…
Avant 1 an, un enfant vacciné devra prendre 2 à 3 grammes de vitamine C naturelle chaque jour pendant plusieurs mois. (L’inoculation du BCG par exemple implique la prise d’1 g de vitamine C en plus pendant 6 mois. Toutes les autres vaccinations nécessiteront 1 g supplémentaire encore pendant le mois qui suivra chaque inoculation).
Attention :
La peur du vaccin et la résistance aux obligations peut entraîner d’autres complications parfois très graves (diabète par exemple). L’attitude juste doit se situer dans l’évaluation objective de la situation, et dans la mise en place d’un dialogue ferme et paisible avec le corps médical, d’égal à égal !
Dr Alain SCOHY
MERCURE dans les vaccins:
Le thiomersal, un dérivé organique du mercure utilisé comme agent conservateur, est considéré comme l’un des déclencheurs potentiels de désordres neurologiques tels que l’autisme, les troubles déficitaires de l’attention avec hyperactivité (THADA), et les troubles du développe-ment du langage. En Suisse, d’après l’Office fédéral des assurances sociales, les cas d’autisme notifiés ont augmenté de 91% chez les garçons et de 67% chez les filles de 1993 à 2003. Et selon des statistiques californiennes, le nombre d’enfants autistes s’élevait à 20 377 en 2002, soit une augmentation de 634% par rapport à 1987. En raison de la multiplication des vaccins contenant du thiomersal administrés pendant cette même période aux Etats-Unis, certains soupçons se sont portés sur l’existence d’un lien de causalité entre cette substance et l’autisme.
http://www.swissmedic.ch/files/pdf/Merk ... en%20F.pdf
Le thimérosal , un sel composé d’éthylmercure et de thiosalicylate est un agent de conservation , un additif pour prévenir la contamination bactérienne et fongique (contient 49.6% de mercure ).
Il fut introduit dans les vaccins dans les années 30 mais , de nombreuses études montrent les effets secondaires graves.
Au Canada, le thimérosal se retrouve encore dans nombre de vaccins dont ceux contre l’hépatite B, la méningite et l’influenza.
Ce dérivé mercuriel dans les vaccins est excessivement allergène,cancérigène aux effets neurotoxiques, néphrotoxiques et toxique car injecté directement dans le sang. Il s’accumule dans le cerveau et affaiblit le système respiratoire, digestif, nerveux et immunitaire après introduction dans l'organisme.
Selon Hugh Fudenberg md , un immunogénéticien de renommée mondiale, un individu ayant recu 5 vaccins consécutifs contre la grippe, a l0 fois plus de chance d’avoir la maladie d’Alzheimer’s qu’un individu non vacciné. Ce phénomène s’explique par le fait,entre autre, que le vaccin contient du mercure ainsi que de l’aluminium et que son accumulation atteint les fonctions cognitives du cerveau. Les chercheurs Markesbery’s et Ehmanns ont démontré, par des autopsies sur des patients souffrant de la maladie d’Alzheimer’s, que le cerveau de ces derniers contenait un taux plus élevé de mercure que ceux ne souffrant pas de la maladie. Cette accumulation de mercure dans les vaccins s’ajoute à celle contenue ailleurs, notamment dans les amalgames dentaires, l’alimentation et certains produits biologiques comme les gouttes ophtalmiques, nasales, les solutions pour lentilles ophtalmiques ou les immunoglobulines.
ALUMINIUM dans les vaccins:
Selon le concept vaccinal, l’aluminium sert d’adjuvant de l’immunité, en créant une réaction inflammatoire qui augmente la réaction antigène-anticorps. Il entre dans la composition de la majorité des vaccins. On estime qu’un enfant, par les vaccins, reçoit jusqu’à 3.75 mg d’aluminium durant les premiers six mois de sa vie.
La forte toxicité de l’aluminium est bien connue =
Troubles neurologiques et immunitaires. Sa présence dans les vaccins est de plus en plus souvent mise en relation avec l’augmentation des allergies dans le monde. Plusieurs médicaments renferment de l’aluminium. L’aspirine enrobée a 44 mg d’aluminium tout comme certains antiacides ;des médicaments contre la diarrhée ont plus de 600 mg d’aluminium par comprimé.
GÉLATINE
Une note de Merck & Co. = montre que presque une décennie avant la première révélation publique, les cadres supérieurs de l'entreprise pharmacutique Merck se sont interrogés sur le fait que les bébés recevaient une dose élevée de mercure via les vaccinations contenant un agent stérilisant largement utilisé " le THIMEROSAL".
La note de mars 1991, obtenue par Le Times, dit que les enfants de 6 mois qui ont reçu leurs injections vaccinales suivant le calendier officiel subiraient une dose de mercure jusqu'à 87 fois supérieure au maximum toléré par la consommation quotidienne de poissons.
ENCORE Merck épinglé cette fois avec le vaccin HPV!
Merck, le fabricant du vaccin, a été autorisé à utiliser un "groupe placebo", qui contenait le même type d'hydroxyde d'aluminium réactif trouvé dans le vaccin. Cela signifie que le placebo n'était pas vraiment un placebo.
Autres détails troublants de la sécurité des données d'essais ont été rejetées comme étant sans pertinence, y compris le fait alarmant que cinq femmes vaccinées dans l'essai clinique ont donné naissance à des bébés avec des anomalies congénitales.
http://www.planetc1.com/cgi-bin/n/v.cgi ... 1174623074
"Le vaccin MMR (Rubéole) contenant du thimerosal.
Le thimerosal est un poison, et dans de très nombreux cas les enfants se retrouvent avec des dommages en mobilité qui évolue très rapidement en situation d'autisme. Pour contrecarré toutes velléités du public à se rebeller, l'industrie pharmaceutique emploie une astuce classique: la définition des maladies, (cette technique est utilisée pour le sida) ainsi en définissant l'autisme comme une maladie dont l'origine n'est pas connue l'industrie enferme le raisonnement et demande l'apport de preuves liées à la maladie. Le Vaccin MMR est toxique il créé des dommages quelque soit la définition qu'on lui donne autisme ? elle le sait, mais tous les cas d'autismes ne viennent pas du MMR ce qui servira de part feu; la maladie déclenchée par le MMR devrai s'appeler un empoisonnement ou la maladie du MMR vaccin. Centrer l'attention sur l'autisme est une technique de dérivation de l'énergie mis en oeuvre afin d'empêcher la découverte de la vérité sur la cause des troubles des personnes empoisonnées aux vaccins contenant du thimerosal. Le public ne doit pas laisser l'industrie définire de nouvelles maladies, parce que l'industrie alors changera au cours du temps les symptômes de manière à faire varier les statistiques dans son sens; et ainsi nous dire que tel où tel vaccin à fait diminuer une maladie alors que c'est la définition de la maladie qui a changé afin que les rapports de cas qui sont fonction des symptômes fassent varier les statistiques...à la baisse.. c'est tout simplement de la fraude.
(99% des docteurs diront non ceci est une coinçidence le vaccin est sûr) Mais il y a un docteur le docteur Wakefield lui a regardé de plus près ce que les parents disaient. Car médecine moderne ne veut surtout pas que les parents fassent un diagnostique, le diagnostique doit être réservé aux médecins. Mais le docteur Wakefield qui lui s'est aperçu du lien entre le MMR vaccin et les dommages aux cerveaux conduisant à de l'autisme il fut mis au rencard par ses confrères, car il avait osé jeter un gros pavé dans la mare aux gros poissons. Et des actions en justice ont commencées contre Merck. "
Hydroxyde d'aluminium:
650 microgrammes par vaccin, 60 microgrammes seulement sont admis par l'organisme.
Dangereusement toxique pour la cellule nerveuse, sel qui attaque le cerveau.
Les chercheurs estiment que l'hydroxyde d'aluminium pourrait directement agir comme une substance toxique, ou favoriser des processus immunitaires nocifs. Dans les deux cas, ont-ils indiqué, l'utilisation de l'hydroxyde d'aluminium et d'autres adjuvants dans les vaccins "pourrait avoir de vastes implications sur la santé…
"Si une proportion significative des populations militaires et civiles vaccinées présente des complications neurologiques, l'impact sur la société américaine sera profond. Savoir si le risque d'une maladie redoutée l'emporte sur celui d'une possible toxicité est un aspect à étudier d'urgence".
Vaccins et immunoglobuline s contenant du thiomersal ou du timerfonate
Immunoglobulines Anti-D: Rhesuman, Rhogam
Immunoglobulines polyvalentes: Globuman
Immunoglobulines spécifiques contre l'hépatite A: Globuman Hépatite A
Immunoglobulines spécifiques contre l'hépatite B: Hepuman
Immunoglobulines spécifiques contre le tétanos: Tetuman
Vaccins contre l'influenza: a-RIX, Fluvirin, Influvac S, Mutagrip S, Vaxigrip Vaccins contre l'hépatite B: Engerix-B , H-B-Vax II
Vaccins contre l'hépatite A et l'hépatite B: Twinrix
Vaccins contre la méningo-encéphalite par flavivirus: FSME lmmun Inject
Vaccins contre le tétanos: Anatoxal TE, Tetamer , Tevax
Vaccins contre la diphtérie et le tétanos : Anatoxal Di Te, Ditemer, Tedivax, Tedivax pro adulto
Vaccins contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche: Combivax, Triamer
Vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche et les infections à Haemophilus influenzae type b: Tetract-HIB
source: http://www.cbip.be/nIndex/PrintFolia/2000/P_F27F05C.cfm
Centre Belge d'Information Pharmacothérapeutique (C.B.I.P. asbl)
c/o HEYMANS INSTITUUT, De Pintelaan 185, 9000 GENT
Vaccins contenant des sels d'aluminium:
Vaccins commercialisés :
AVAXIM vaccin inactivé contre l'hépatite A suspension injectable (IM)
D.T.COQ suspension injectable
DIFTAVAX ADULTE vaccin diphtérique et tétanique absorbé suspension injectable
[rés. usage hosp.]
ENGERIX B 10 ENF-NOUR vaccin contre l'hépatite B suspension injectable IM
ENGERIX B 20 ADULTES vaccin contre l'hépatite B suspension injectable IM
GENHEVAC B PASTEUR suspension injectable IM
HAVRIX ADULTES 1440 U/1 ml suspension injectable IM
HAVRIX ENF-NOUR 720 U/0.5 ml suspension injectable IM
HB VAX DNA susp inj IM 10 µg/ml en seringue préremplie : 1 ml
HB VAX DNA susp inj IM 40 µg/ml : fl 1 ml [rés usage hosp]
HB VAX DNA susp inj IM Enf/Nour/NN 5 µg/0,5 ml en ser : 0,5 ml
INFANRIX Polio ENF suspension injectable (IM) en seringue pré-remplie
INFANRIX Polio Hib NOUR poudre et suspension pour suspension injectable (IM)
PENTACOQ poudre et suspension pour suspension injectable IM
PENTAVAC pdre et susp pr susp injectable en ser pré-remplie
PENTHIBest poudre et suspension pour suspension injectable IM [rés. usage hosp.]
REVAXIS suspension injectable
TETRACOQ suspension injectable IM
TETRAVAC ACELLULAIRE suspension injectable en seringue préremplie
TICOVAC 2.7 microg susp inj en seringue préremplie vaccin de l'encéphalite à tiques, adsorbé
TWINRIX ADULTE 720/20 suspension injectable en seringue pré-remplie
TWINRIX ENFANT 360/10 suspension injectable en seringue pré-remplie
VACCIN DTCP PASTEUR suspension injectable IM
VACCIN TETANIQUE PASTEUR suspension injectable
VAXICOQ suspension injectable, vaccin coquelucheux adsorbé sur hydroxyde d'aluminium
Vaccins dont la commercialisation est arrêtée
D.T.VAX solution injectable
HAVRIX 720 UI/1 ml suspension injectable IM
HAVRIX ENF- NOUR 360 U/0.5 ml susp inj IM
PENTACOQ lyoph et susp pr susp inj en ser pré-remplie bicompartimentée
PENT-HIBest lyoph et susp pr susp inj en ser pré-remplie bicompartimentée
TETAVAX suspension injectable
VACCIN DT PASTEUR sol inj
VACCIN HEVAC B PASTEUR susp inj
Source :www.biam2.org
Sources médicales auxquelles j'ai accès, mais ne devant pas sortir à l'externe sur le vaccin anti-polio =
Première campagne anti-poliomyélite = 220 000 contaminations dont 70 000 malades, 164 paralysies sévères et 10 décès.
Risque de contamination = si vaccin à base de virus vivant atténué, contamination par le SV40 = simian virus 40 inoffensif pour le singe mais oncogène (cancer) pour l'homme.
Effets secondaires rapportés le plus fréquemment =
- douleurs articulaires aux et autour des sites d’injection - réactions anaphylactiques- dermatites généralisées - neurologiques- convulsions, polynévrites, myélite transverse, paralysies faciales, panencéphalite sclérosante subaigüe
Fréquence haute = syndrome de Guillain-Barré
Et la belle petite note suivante = Le syndrome de Guillain-Barré est fréquemment cité comme effet indésirable, bien qu'aucune preuve scientifique n'ait, à ce jour, démontré l'existence d'un lien de cause à effet.
Ce besoin de preuves scientifiques d'en haut, j'ai nommé l'éther, est hautement ridicule quand nous avons tant et autant de preuves humaines sous nos yeux et sommes les témoins d'une épidémie lourde de troubles neurologiques ! Et depuis la vaccination massive ROR (et DTP), selon les dernières données de nos confrères américains, les cas d'autisme ont augmenté de 1070 % et l'asthme de 120 % ! "
NOTES - PSYCHIATRIE
Grâce (sic) à Pasteur et son vaccin rabique =
malariathérapie, traitement de la paralysie générale et méthodes de choc sur les individus : coma insulinique, choc au cardiazol, électrochoc, psychochirurgie, etc...
Et à la haute gloire des faiseurs de potions magiques = naissance de la plus haute imposture humaine = la psychopharmacologie, les vaccinés ayant hautement besoin de tranquillisants, neuroleptiques, hypnotiques, etc...
Contextuel, du côté ecclésiastique les individus sont par la haute grâce de Pasteur dans un semblable débordement d'âmes = l'idée prévalente restant que la folie est manifestation du péché, punition divine ou signe d'une possession démoniaque !"
LISEZ BIEN CECI =
Je ne répondrai plus qu'aux questions portant sur les travaux scientifiques du Dr Hamer avec les références exactes. J'ai tout cela ici avec moi et ceux qui disent que ces ouvrages, travaux, preuves n'existent pas, peuvent continuer à déblatérer jusqu'à leur mort, cela ne me dérange pas. Comme ma voisine qui récite son chapelet pour ma "pauvre âme d'athée", ce bruit de fond insipide provenant de la fenêtre ouverte de sa maison ne trouble pas mon travail.
Merci !
Lucas
Denis
Mais, il faut de méfier car il cherche à donner l'impression du contraire. Il faut se questionner sur les réponses "psychanalytiques" de laflamme. Par exemple, qu'est-ce qu'un "conflit de séparation" autrement qu'un terme vague à souhait (la preuve, ça serait la cause d'affections aussi différentes que la variole et la sclérose en plaques)? Comment on en arrive à détemriner un tel conflit? Est-ce qu'on raisonne en boucle: la sclérose en plaques procède d'un "conflit de séparation", untel à la sclérose en plaques donc untel souffre d'un "conflit de séparation", ou est-ce qu'il y a une démonstration plus solide derrière? De plus, comment on sait que untel à la sclérose en plaques, quel sont les critères du dagnostique? A mon avis, c'est assez stupide: quand le "nouveau médecin" in'invente pas carrément, il détermine que untel à la sclérose en plaques à partir de signes cliniques développés par des personnes qui n'y voient aucune conséquence d'un "conflit de séparation".
