monique marie a écrit :Un disciple ne quitte jamais un lieu sans en avoir été prié.
J'entends donc le commentaire de Matenfaire qui a accompli ici aussi une écriture.
A Dieu
M.M
Bon débarras et ne vous blessez pas avec la porte en sortant.
monique marie a écrit :Un disciple ne quitte jamais un lieu sans en avoir été prié.
J'entends donc le commentaire de Matenfaire qui a accompli ici aussi une écriture.
A Dieu
M.M
Merci pour la recette.monique marie a écrit :Emmanuel est venu aujourd'hui et rétablit toutes choses - par le livre de vie de l'agneau.
Attention! Faut vérifier la date de fabrication...il est dit ici qu'Emmanuel est mort fin 2008. S'ils n'ont pas traîné, ça va encore mais s'il l'ont fait la semaine dernière la viande pourrait avoir un goût étrange.Ildefonse a écrit :Oh noun dé dious, que ça doit être bon ça !!!
il parrait ça en effet, mais bon, il suffit de lire ce fatras de foutaises pour être sûr qu'aucun étudiant de l'enseignement supérieur ne peut y adhérer.Florence a écrit : Rien à voir avec le niveau d'instruction. Un nombre surprenant de zélateurs de stupidités patentées sont issus de l'enseignement supérieur. Le point commun des ces crédophiles, c'est l'abdication de leur responsabilité vis-à-vis de leur propre vie - il est plus facile de lui attribuer un sens faramineux et un avenir fictif mirifique que de faire l'effort de la rendre féconde hic et nunc ...
Dirais-tu d'un concierge qui nettoie le portique d'un immeuble (en y enlevant les crottes lancées là par des cochons) est un obscurantiste censureur ?chers modérateurs et obscurantistes censureurs...
Hé bien si ce portique conduisait à un véritable jardin on pourrait dire de ce con qu'il a éteint le cierge d'un passant venu l'enrichir!Denis a écrit :Salut Chribou,
Tu dis :Dirais-tu d'un concierge qui nettoie le portique d'un immeuble (en y enlevant les crottes lancées là par des cochons) est un obscurantiste censureur ?chers modérateurs et obscurantistes censureurs...
Moi pas.
Denis
Je suis d'accord, mais je pense qu'on peut "connaitre sans connaitre". Je pense que les gens qui ont écrit ses textes peuvent avoir senti, ce que nous sommes aujourd'hui, capable de nommer autrement, d'identifier avec plus de précisions et d'expliquer de long en large.Mais je pense que ceux qui nous ont légué ces diverses écritures ne connaissaient pas tout à fait l'énergie de la même façon que nous la concevons aujourd'hui.
Je ne vois rien dans ces textes qui semble montrer qu'ils aient acquis intuitivement une connaissance du monde physique qui rejoint ou dépasse la nôtre.Lisbeth a écrit :Je suis d'accord, mais je pense qu'on peut "connaitre sans connaitre". Je pense que les gens qui ont écrit ses textes peuvent avoir senti, ce que nous sommes aujourd'hui, capable de nommer autrement, d'identifier avec plus de précisions et d'expliquer de long en large.
Dans la mesure où les diverses divinités de l'humanité, à l'heure de l'écriture des divers livres saints (et même dans les religions qui n'en possèdent pas) ayant toujours commencé par être personnifié, on peut assurer que non, ce n'est pas une façon de dénomer un concept abstrait. Les premières divinités connues n'avaient rien de transcendante, les peuples qui les vénéraient les vénéraient comme des entités physiquement existantes et non comme des entités plus philosophiques que matérielles, comme c'est le cas aujourd'hui.J'ai cru remarqué que plusieurs religion tienne un discours semblable quand il tente de définir qui est Dieu: " Dieu est amour. Dieu est lumière. Dieu est tout puissant. Dieu est partout et en toute chose. Dieu en chacun de nous. Dieu est omniscient. Etc."
Bref, j'en suis venue a penser que "Dieu et tout ses alias" sont en fait, ni plus ni moins qu'une facon de nommer l'énergie.
Je ne suis pas certaine...Le premier pas, même hésitant et maladroit reste le premier pas. Il est important.Zwielicht a écrit :Je ne vois rien dans ces textes qui semble montrer qu'ils aient acquis intuitivement une connaissance du monde physique qui rejoint ou dépasse la nôtre.Lisbeth a écrit :Je suis d'accord, mais je pense qu'on peut "connaitre sans connaitre". Je pense que les gens qui ont écrit ses textes peuvent avoir senti, ce que nous sommes aujourd'hui, capable de nommer autrement, d'identifier avec plus de précisions et d'expliquer de long en large.
Tout au plus je trouve dans certains écrits religieux quelques trucs psychologiques ou philosophiques d'intérêt, mais qui comptent pour peu, relativement, dans l'ensemble.
Certes, le premier pas est important.Lisbeth a écrit :Je ne suis pas certaine...Le premier pas, même hésitant et maladroit reste le premier pas. Il est important.
La chaleur, l'humidité.. ça fait longtemps que les humains ont compris l'importance de ces paramètres dans la végétation et l'agriculture. La chlorophylle toutefois ? Tu veux sans doute faire allusion à la photosynthèse. Je pense que le lien était plutôt par la chaleur et les pluies. Sinon, je ne vois pas le lien entre faire des offrandes au Soleil et l'écologie. L'écologie c'est reconnaître nos relations avec les autres êtres vivants et le milieu. Quand on conçoit le Soleil comme tout puissant et intelligent (capable d'apprécier une offrande), on perçoit une relation dans un sens et non dans l'autre.Lisbeth a écrit :Tu vois, quand je pense a ceux qui vénéraient le Dieu Soleil et lui fesaient des offrantes pour s'assurer que la terre serait fertile, je me dis qu'a quelques part, on développait déja l'idée de l'écologie. Il n'avait probablement pas de connaissance fesant allusion a la clorophylle et autres trucs du genre, mais l'idée d'un lien entre le soleil et la végétation "germait" déjà?![]()
Il faudrait que tu m'indiques des textes de la Bible qui répondent de façon "intuitive" et naïve à la mécanique des choses...Lisbeth a écrit :Rejoindre ou dépasser nos connaissances?..hum, cela me semble peu probable, mais je pense qu'on pourrait comparer les écrits de la bible a la facon de parler des jeunes enfants. Face a une question, les enfants intuitionnent la mécanique, l'idée de base sans pour autant avoir la connaissance approfondie. Ils s'expliquent avec des histoires, en s'inventant un monde merveilleux ou en fesant des comparaisons, un peu comme dans les textes bibliques.
J'ai l'impression qu'on ne parle pas de la même Bible. Pour le reste.. Des enfants par exemple raconteraient ceci ?Lisbeth a écrit :Si on prends au pieds de la lettre leurs "histoires", ça semble loufoque, mais si on regarde un peu plus loin, on peut constater qu'il y a une recherche de vérité, des pistes. Du coup, ca me donne l'impression que les bibles sont un peu comme la science qui nous serait raconter par des enfants...écologie, diététique, sociologie, psychologie...y est aborder de facon très primaire. On pourrait presque dire que la religion est le berceau de la science...
Je ne sais pas si les cantiques à l'Église (catholique du moins) sont tirés de la Bible. Je pense qu'ils prennent des phrases ici et là (agneau de dieu, qui enlève le péché du monde, prends pitié de nous) mais laissent tomber les histoires comme telles. Je trouve que les discours religieux ont évolués beaucoup, dans le sens de changer, entre l'achèvement de la Bible et aujourd'hui. De temps en temps on y a ajouté des choses, du moins dans la religion catholique; comme par exemple le purgatoire, l'immaculée conception, les indulgences (ajout et retrait).. Je ne sais pas par exemple si un prêtre moderne, aujourd'hui, prêcherait encore l'enfer comme le faisaient d'autres prêtres en 1950. Et les autres religions changent aussi, ne serait-ce dans le fait qu'elles viennent au monde. Mais ça a beau changer autant comme autant, ça ne peut rester qu'une façon assez détournée et limitée de proposer un système qui se veut "complet".Lisbeth a écrit :Ce que je déplore par contre, c'est que ces histoires bibliques continus d'être chanter dans les églises comme des slogans sans avoir été "mise a jour" avec les nouvelles connaissances que nous avons acquises et approfondis. Pire encore, la religion s'est senti menacer par la science au lieu d'y voir un prolongement de son enseignements. Du coup, les discours religieux n'ont pas évolués et sont si désuets qu'ils nous apparaissent comme absurdes.
Bonjour ZwielichtZwielicht a écrit :Je ne sais pas par exemple si un prêtre moderne, aujourd'hui, prêcherait encore l'enfer comme le faisaient d'autres prêtres en 1950. Et les autres religions changent aussi, ne serait-ce dans le fait qu'elles viennent au monde. Mais ça a beau changer autant comme autant, ça ne peut rester qu'une façon assez détournée et limitée de proposer un système qui se veut "complet".
Ba pas si récent que ça en fait. Le fait d'être privé de Dieu était déjà vu comme la pire punition de l'enfer au haut moyen-âge. Le folklore de l'enfer de flamme et du Satan hideux et terrifiant est venu par la suite et c'est renforcé à partir des XII-XIIIème siècles, notamment pour définir de façon canonique un enfer et un Diable dont le folklore populaire c'était emparé.Curieux a écrit :je peux te dire que non, de nos jours le prêtre mets l'accent sur l'absence de la présence de Dieu comme étant la plus juste représentation de l'enfer.
On est bien loin d'un lieu de souffrances épouvantable tel qu'on me l'enseignait avant ma communion solennelle...
Du réchauffé assaisonné avec une sauce récente
S't'encore surprenant!Pour le reste.. Des enfants par exemple raconteraient ceci ?
Et il prit les anciens de la ville, et châtia les gens de Succoth avec des épines du désert et avec des chardons. Il renversa aussi la tour de Penuel, et tua les gens de la ville.
Il vint dans la maison de son père à Ophra, et il tua ses frères, fils de Jerubbaal, soixante-dix hommes, sur une même pierre.
Sacré Médor (c'est mon T'rex nain) qui passe son temps à me ramener des bouts de zizi sans jamais me dire où il les prend...Lisbeth a écrit :S't'encore surprenant!Pour le reste.. Des enfants par exemple raconteraient ceci ?
Et il prit les anciens de la ville, et châtia les gens de Succoth avec des épines du désert et avec des chardons. Il renversa aussi la tour de Penuel, et tua les gens de la ville.
Il vint dans la maison de son père à Ophra, et il tua ses frères, fils de Jerubbaal, soixante-dix hommes, sur une même pierre.
Ma petite fille de 3 ans, n'aime pas que je lui dise qu'elle est une fille. Elle veut être un garçon! J'ai essayé de lui expliquer la différence physique entre fille et garçon, parlant de vulve et de pénis... Ce a quoi elle m'a répondu, le plus sérieusement du monde qu'elle était certaine d'être un garçon parcequ'elle avait un pénis! Elle m'a expliqué que si on pénis n'était pas comme celui de son frère c'était parcequ'un jour, un méchant dinosaure avait essayé de la manger et n'avait réussi qu'a lui prendre une bouché de son pénis...mais pas au complet, il lui en restait un tout petit bout, bien caché, juste là...
Je lui ai demandé si elle avait de la peine de s'être fait manger par le dinosaure, elle m'a dit non, c'est juste plate de toujours devoir expliquer a sa mère pourquoi, elle est un garcon meme si on pénis est tout petit...
En effet ils essaient de modifier la sauce de temps en temps. Cette histoire de nouveau "péché" de pollution..curieux a écrit :Du réchauffé assaisonné avec une sauce récente, c'est toujours un vieux reste qui fait courir l'indigestion, si ce n'est pas l'empoisonnement.
C'est certain que la bible n'est pas raconté par des enfants. Le patriotisme est un peu l'extension de l'appartenance. On commence avec un 'mon pénis" on passe a un "ma maman" puis "mes amis" et continue comme ça jusqu'a notre patrie...Zwielicht a écrit :Les enfants ont de l'imagination. Mais encore, s'être fait bouffer un membre par un dinosaure, c'est un imaginaire de type dessin animé. Il n'y a pas de connotation patriote et chauvine comme dans le fait d'exterminer les infidèles.
Pékach, fils de Remalia, tua dans un seul jour en Juda cent vingt mille hommes, tous vaillants, parce qu'ils avaient abandonné l'Éternel, le Dieu de leurs pères.
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