Vous croyez que je n’ai rien compris à l’esprit sceptique. Entre le sens absolu des croyants (le transcendant) et le sens non absolu du « sceptique » (immanent), il existe la relativité, le sens Universel. Et tout ceci nous ramène à notre point de départ : « le perpétuel questionnement de l’esprit humain en regard de ce mouvement ascendant (la relativité). L’humain est un mouvement dans un mouvement et il est légitime d’en chercher toutes les correspondances.Cartaphilus a écrit :Dustin Dewin a écrit:
Aujourd’hui j’exerce un esprit critique vis-à-vis cet esprit sceptique qui de mon point de vue avoisine de près l’esprit mystique.
Manifestement, vous avez tout compris de l'esprit sceptique...
Suivant le principe du hasard et de la nécessité, le hasard n’est rien d’autre que le point de rencontre (ou de friction) de plusieurs mouvements simultanés, le point de convergence de plusieurs mouvements physiques axés vers un même sens (la nécessité). La nécessité, quant à elle, pourrait donc être une impulsion primordiale à produire la luminosité (Dieu ?). Pour l’instant votre scepticisme questionne moins l’univers et ses lois que les limites d’un Dieu métaphysique et de sa vie éternelle. Mysticisme et scepticisme évoluent donc au sein d’une même dialectique matérialiste, l’un étant idéaliste et l’autre nihiliste. La science appartient à tous : sceptiques, juifs, amish, mormons, athées, agnostiques… L’esprit moral semble être incapable de relier l’humain à son univers naturel. Je le répète, seul l’esprit originel, l’esprit humain (celui d’Einstein par exemple) le peut. Je préfère faire valoir mes arguments en redico, alors j’attends mes acolytes.