… 3,141592654…
===============================================
Le titre de ce texte devait être « Le Scepticisme ! Pourquoi faire ? »
Un titre provocateur, j’en conviens…
… cependant, coincé entre « Zozo » et « Zézé », je me la pose souvent, lorsque je parcours ce forum.
Je ressens le besoin d’avancer une réponse …
===============================================
Je n’aime pas les préjugés, car je les perçois comme l’aliment de base de gens qui ont un estomac digne d’une fosse sceptique.
Des gens dont la digestion nauséeuse pollue l’environnement incomparablement plus que tout le méthane de tous les ruminants :
« Pas ici ! Les Noirs c’est au fond du bus ! » ; ou encore « Pas de pain pour les Juifs » ; ou encore « Les Français d’abord » ; ou encore « Interdit aux chiens et aux Arabes » ; ou … tout ce qu’on voudra.
Ces développements extrêmes reposent avant tout sur une absence totale d’empathie :
« L’autre n’a rien à voir avec moi ! »
La question de fond, selon moi, tient dans le premier mot de cette phrase :
Qui est « l’autre » ?
____________________________
Je n’aime pas les préjugés, car ils répondent avant même l’impression du point d’interrogation :
« Certainement pas celui-là ! »
…
« Certainement pas un Musulman ! »
« Certainement pas un Catholique ! »
« Certainement pas un Indien, ou un Etasunien, ou un Anglais ! »
« Certainement pas un Noir, ou un Blanc, ou un Asiatique ! »
…
« Certainement pas une femme ! »
[Mais dans ce genre de phrase, « femme » se dit « blonde », « grosse », « pouff’ », « belette » …]
J’ignore si lutter contre les préjugés est une façon efficace de contribuer à ce que Condorcet appelait : « Le Progrès de l’Esprit Humain ».
Cependant, l’absence de préjugé ouvre au moins un temps à la réflexion.
____________________________
… « ouvrir »…
La valeur cardinale que je reconnais au « scepticisme » est d’ouvrir à la nuance :
Non seulement il ouvre un espace entre « blanc » et « noir » ; mais il peut offrir la possibilité d’en colorer toutes les nuances de gris, ce à l’infini.
Dit autrement …
Non seulement le « scepticisme » peut libérer du binaire, mais au milieu des teintes décimales, permettre de poser élégamment une virgule invitant à un voyage infini…
Si donc j’avais à choisir un symbole pour le « scepticisme » ; ce serait « π ».
Un symbole qui aurait, lui, le mérite d’être universel …
Car quiconque « pense » connait le rapport entre « circonférence » et « diamètre ».
Et ceci, dans l’ensemble de l’Univers …
____________________________
Je pense que le « scepticisme » ne fait qu’ouvrir un espace …
À charge pour chacun d’y trouver … « l’autre » …
____________________________
… 3,141592654…
Re: … 3,141592654…
Bonsoir, j'attribuerais pi davantage à l'imagination, qui elle aussi est infinie, plutôt qu'au scepticisme, qui bien que saint utilisé avec parcimonie, selon moi est également limité.nachtwanderer a écrit :Si donc j’avais à choisir un symbole pour le « scepticisme » ; ce serait « π ».
Un symbole qui aurait, lui, le mérite d’être universel …
Car quiconque « pense » connait le rapport entre « circonférence » et « diamètre ».
Et ceci, dans l’ensemble de l’Univers …
Faites-vous allusion à la quadrature du cercle ?nachtwanderer a écrit :Car quiconque « pense » connait le rapport entre « circonférence » et « diamètre ».
Il me semble peu probable qu'un indigène perdu au fond de la jungle amazonienne connaisse π (du moins de la façon dont je l'entend).
J'aimerais que vous me détaillez le "sous-entendu" de cette affirmation si c'est possible s'il vous plaît.
J'en serais le premier enchanté.nachtwanderer a écrit :Et ceci, dans l’ensemble de l’Univers …
Rotor.
-
nachtwanderer
- Messages : 86
- Inscription : 22 janv. 2010, 23:13
Re: … 3,141592654…
Pourquoi suis-je né chimpanzé …
_____________________
Bonjour Rotor,
Je tiens tout d’abord, au nom de mon frère Papou inconnu, à vous remercier d’avoir eu une pensée pour les nôtres de la forêt amazonienne.
Broyés par la violence de la machine et la rapacité des possédants ; notre destin est si semblable.
_____________________
Mais peut-être attendiez-vous plutôt une réaction au sujet du parallèle que vous faites entre π et l’imagination ?
Cette réaction m’aurait permis de m’octroyer un deuxième point Godwin, en disant combien une telle combinaison me paraît antithétique, presque une faute de goût ; semblable à ce que serait, par exemple, le fait d’associer « rails-de-chemin-de-fer » avec « passionnante-aventure ».
L’imagination, telle que je l’entends, ressemble à une cavalcade aventureuse et créatrice … dans un espace ouvert…
Libre !... Libre !... Libre à l’infini !...
Le chiffre π, quand à lui, avec sa suite arithmétique plombée comme des wagons, m’évoque le déterminisme de rails de chemins de fer qui se perdent dans une nuit et un brouillard indéfinis … plus mortels encore qu’un heurtoir.
L’imagination m’apparaît comme une dynamique qui ne vaut que si elle pense ; or la pensée n’existe que dans la dimension du « pourquoi ».
Car une « pensée » confinée dans les rails du « parcequoi » ne crée pas, mais ne fait qu’accommoder, gadgétiser, ‘babioliser’, même si cela finit par faire du bruit, surtout si cela fait du bruit, à Los Alamos, ou ailleurs !
Cette « pensée » ne mérite pas autre chose que des guillemets ; car elle est méprisable.
Connaître le rapport entre « circonférence » et « diamètre » ne vaut strictement rien ; car connaître n’est pas penser !
« Penser », comme on croit le faire dans ce forum, c’est vouloir connaître, « avoir » des connaissances pour encore mieux « croire » connaître.
Ici, on « pense » … comme ailleurs on « prie » !
Ce lieu n’est qu’une petite chapelle ou l’on veut quantifier, numériser, circonscrire, objectiver ; bref : où l’on veut « finir » pour mieux « posséder ».
Evoquer π ne me sert que pour suggérer l’infini Universel ; et ainsi m’opposer à cette tendance intellectuelle plus trompeuse encore que sclérosante.
Mais c'est dans la liberté que cet espace s'ouvre !
_____________________
Tant pis donc pour ce point Godwin manqué, car en évoquant mon ami d’Amazonie, vous m’offrez mieux qu’un surlignage de guillemets !
Vous m’ouvrez une porte opportune …
Je pense à tous les partages d’amitié ; et en particulier à celui de Michel Simon, et de sa guenon.
C’est dans les larmes que le vieil homme racontait leurs longs regards, entre les grilles du zoo qui les avait séparés :
Des retrouvailles quotidiennes dont la joie partagée fondait une communauté d’être :
Michel Simon avait une sœur guenon !
La pensée, c’est un pas vers l’« autre », qui est en attente d’accueil.
_____________________
« L’ensemble de l’Univers » que vous citez en conclusion semble vous créer un problème …
… le mot « ensemble » peut-être ?
…
Effectivement, c’est un mot qui évoque une bulle, tracée sur une feuille de papier :
« L’ensemble {élèves}, c’est l’union de l’ensemble {filles} et de l’ensemble {garçons} » disait le prof.
Moi, comme je pensais au singleton {Marlène} qui se trouvait {ailleurs} ; je finissais souvent par m’en payer une autre, de bulle !
…
Le mot « ensemble », qui circonscrit, ne peut effectivement pas, à priori, s’associer avec celui de « Univers », qui par définition suggère une « chose-sans-extérieur », qui donc ne saurait être circonscrite.
Bon, soit … Vous avez raison … Je change alors un peu ma phrase …
« L’ensemble de notre Univers ».
_____________________
Tiens, au fait !
Puisqu’on a causé « Infini et Univers ».
Un jour, il y a un gugusse qui a dit un truc du genre :
« L’univers est infini, les étoiles sont comme le Soleil, elles ont des planètes, et sur ces planètes il y a des gens comme nous. »
Le Pape du moment en était très contrarié, car comme tout homme de pouvoir, il ne savait faire que « penser », et de ce fait ne savait plus où caser son Christ Rédempteur, ni surtout définir devant son cheptel la portée de cette rédemption ; et qui en tremblait dans son Saint Parcequoi en se disant :
« Puuuutain !... Si les autres s’en rendent compte !!! »
Mais comme en ce temps là les Papes savaient encore y faire, ça s’est réglé en silence et vite fait sur le Campo Dei Fiori, le 17 février 1600.
_____________________
Petite question « parcequoi », histoire de vérifier si vous ne pensez pas à {copine} : …
Si je vous dis :
« Vous avez une chance sur dix de survivre » ; vous répondrez « c’est peu ! »
Si je vous dis :
« Vous avez une chance sur dix de mourir » ; vous répondrez « c’est trop ! »
Si je vous dis :
« Vous avez une chance sur dix de … ne pas gagner un million » ; vous répondrez « vite, je joue ! »
Tout étant relatif, je vais taper « fort » :… une chance sur un million !
(Hé…hé …hé … Je sens que l’angoisse vous gagne !!!... C’est le moment de laisser passer une page de publicité …)
…
*** PUB *** Le zozo en question s’appelait Giordano Bruno. *** PUB ***
…
(Retour sur le plateau…)
…
Sujet :
* Il y a une chance sur un million pour qu’une étoile possède une planète.
[La probabilité est sensiblement plus importante, mais je vais rester sur mon million]
* Il y a une chance sur un million pour que cette planète soit propice à l’éclosion de la vie.
* Il y a une chance sur un million pour que cette vie évolue vers une biosphère diversifiée.
* Il y a une chance sur un million pour que cette biosphère diversifiée développe une vie consciente d’elle-même.
* Il y a une chance sur un million pour que cette vie consciente évolue vers la « pensée » abstraite.
* Il y a une chance sur un million pour que cette « pensée » finisse par penser.
Question :
Combien y a-t-il de planètes où l’on pense ?
=================================
Je ne veux pas vous quitter sans penser…
… à Michel Simon…
Qui, de lui ou de sa sœur, a le plus reçu de l’autre ?
Ce qui, sous un ciel étoilé, souvent m’inspire :
« Qui attend l’autre ? »
_____________________
… et non humain ?...
_____________________
Bonjour Rotor,
Je tiens tout d’abord, au nom de mon frère Papou inconnu, à vous remercier d’avoir eu une pensée pour les nôtres de la forêt amazonienne.
Broyés par la violence de la machine et la rapacité des possédants ; notre destin est si semblable.
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Mais peut-être attendiez-vous plutôt une réaction au sujet du parallèle que vous faites entre π et l’imagination ?
Cette réaction m’aurait permis de m’octroyer un deuxième point Godwin, en disant combien une telle combinaison me paraît antithétique, presque une faute de goût ; semblable à ce que serait, par exemple, le fait d’associer « rails-de-chemin-de-fer » avec « passionnante-aventure ».
L’imagination, telle que je l’entends, ressemble à une cavalcade aventureuse et créatrice … dans un espace ouvert…
Libre !... Libre !... Libre à l’infini !...
Le chiffre π, quand à lui, avec sa suite arithmétique plombée comme des wagons, m’évoque le déterminisme de rails de chemins de fer qui se perdent dans une nuit et un brouillard indéfinis … plus mortels encore qu’un heurtoir.
L’imagination m’apparaît comme une dynamique qui ne vaut que si elle pense ; or la pensée n’existe que dans la dimension du « pourquoi ».
Car une « pensée » confinée dans les rails du « parcequoi » ne crée pas, mais ne fait qu’accommoder, gadgétiser, ‘babioliser’, même si cela finit par faire du bruit, surtout si cela fait du bruit, à Los Alamos, ou ailleurs !
Cette « pensée » ne mérite pas autre chose que des guillemets ; car elle est méprisable.
Connaître le rapport entre « circonférence » et « diamètre » ne vaut strictement rien ; car connaître n’est pas penser !
« Penser », comme on croit le faire dans ce forum, c’est vouloir connaître, « avoir » des connaissances pour encore mieux « croire » connaître.
Ici, on « pense » … comme ailleurs on « prie » !
Ce lieu n’est qu’une petite chapelle ou l’on veut quantifier, numériser, circonscrire, objectiver ; bref : où l’on veut « finir » pour mieux « posséder ».
Evoquer π ne me sert que pour suggérer l’infini Universel ; et ainsi m’opposer à cette tendance intellectuelle plus trompeuse encore que sclérosante.
Mais c'est dans la liberté que cet espace s'ouvre !
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Tant pis donc pour ce point Godwin manqué, car en évoquant mon ami d’Amazonie, vous m’offrez mieux qu’un surlignage de guillemets !
Vous m’ouvrez une porte opportune …
Je pense à tous les partages d’amitié ; et en particulier à celui de Michel Simon, et de sa guenon.
C’est dans les larmes que le vieil homme racontait leurs longs regards, entre les grilles du zoo qui les avait séparés :
Des retrouvailles quotidiennes dont la joie partagée fondait une communauté d’être :
Michel Simon avait une sœur guenon !
La pensée, c’est un pas vers l’« autre », qui est en attente d’accueil.
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« L’ensemble de l’Univers » que vous citez en conclusion semble vous créer un problème …
… le mot « ensemble » peut-être ?
…
Effectivement, c’est un mot qui évoque une bulle, tracée sur une feuille de papier :
« L’ensemble {élèves}, c’est l’union de l’ensemble {filles} et de l’ensemble {garçons} » disait le prof.
Moi, comme je pensais au singleton {Marlène} qui se trouvait {ailleurs} ; je finissais souvent par m’en payer une autre, de bulle !
…
Le mot « ensemble », qui circonscrit, ne peut effectivement pas, à priori, s’associer avec celui de « Univers », qui par définition suggère une « chose-sans-extérieur », qui donc ne saurait être circonscrite.
Bon, soit … Vous avez raison … Je change alors un peu ma phrase …
« L’ensemble de notre Univers ».
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Tiens, au fait !
Puisqu’on a causé « Infini et Univers ».
Un jour, il y a un gugusse qui a dit un truc du genre :
« L’univers est infini, les étoiles sont comme le Soleil, elles ont des planètes, et sur ces planètes il y a des gens comme nous. »
Le Pape du moment en était très contrarié, car comme tout homme de pouvoir, il ne savait faire que « penser », et de ce fait ne savait plus où caser son Christ Rédempteur, ni surtout définir devant son cheptel la portée de cette rédemption ; et qui en tremblait dans son Saint Parcequoi en se disant :
« Puuuutain !... Si les autres s’en rendent compte !!! »
Mais comme en ce temps là les Papes savaient encore y faire, ça s’est réglé en silence et vite fait sur le Campo Dei Fiori, le 17 février 1600.
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Petite question « parcequoi », histoire de vérifier si vous ne pensez pas à {copine} : …
Si je vous dis :
« Vous avez une chance sur dix de survivre » ; vous répondrez « c’est peu ! »
Si je vous dis :
« Vous avez une chance sur dix de mourir » ; vous répondrez « c’est trop ! »
Si je vous dis :
« Vous avez une chance sur dix de … ne pas gagner un million » ; vous répondrez « vite, je joue ! »
Tout étant relatif, je vais taper « fort » :… une chance sur un million !
(Hé…hé …hé … Je sens que l’angoisse vous gagne !!!... C’est le moment de laisser passer une page de publicité …)
…
*** PUB *** Le zozo en question s’appelait Giordano Bruno. *** PUB ***
…
(Retour sur le plateau…)
…
Sujet :
* Il y a une chance sur un million pour qu’une étoile possède une planète.
[La probabilité est sensiblement plus importante, mais je vais rester sur mon million]
* Il y a une chance sur un million pour que cette planète soit propice à l’éclosion de la vie.
* Il y a une chance sur un million pour que cette vie évolue vers une biosphère diversifiée.
* Il y a une chance sur un million pour que cette biosphère diversifiée développe une vie consciente d’elle-même.
* Il y a une chance sur un million pour que cette vie consciente évolue vers la « pensée » abstraite.
* Il y a une chance sur un million pour que cette « pensée » finisse par penser.
Question :
Combien y a-t-il de planètes où l’on pense ?
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Je ne veux pas vous quitter sans penser…
… à Michel Simon…
Qui, de lui ou de sa sœur, a le plus reçu de l’autre ?
Ce qui, sous un ciel étoilé, souvent m’inspire :
« Qui attend l’autre ? »
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… et non humain ?...
Re: … 3,141592654…
Si l'univers est infini, il y en a une infinité.nachtwanderer a écrit : Sujet :
* Il y a une chance sur un million pour qu’une étoile possède une planète.
[La probabilité est sensiblement plus importante, mais je vais rester sur mon million]
* Il y a une chance sur un million pour que cette planète soit propice à l’éclosion de la vie.
* Il y a une chance sur un million pour que cette vie évolue vers une biosphère diversifiée.
* Il y a une chance sur un million pour que cette biosphère diversifiée développe une vie consciente d’elle-même.
* Il y a une chance sur un million pour que cette vie consciente évolue vers la « pensée » abstraite.
* Il y a une chance sur un million pour que cette « pensée » finisse par penser.
Question :
Combien y a-t-il de planètes où l’on pense ?
Si l'univers est fini...ben... sais pas, il faudrait savoir sa taille.
Non sans blague l'équation de Drake est plus précise et moins délirante que ça tout de même. Il faut se demander surtout combien de temps "une pensée" pense (là, c'est pas infini), pour avoir ta réponse.
Que veux-tu montrer?
MaxBill
Soyez bref (Érik Satie)
Soyez bref (Érik Satie)
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nachtwanderer
- Messages : 86
- Inscription : 22 janv. 2010, 23:13
Re: … 3,141592654…
Mon pauvre @maxbill,
Je suis navré de ne pouvoir vous accompagner dans vos prières.
…
Il vous faudra chanter le quantique de Drake avec vos paroissiens ; car sur ce fil, ce n’est pas le bon endroit.
…
Bonne continuation …
… Et bonjour chez vous … N° 458599624 …
Je suis navré de ne pouvoir vous accompagner dans vos prières.
…
Il vous faudra chanter le quantique de Drake avec vos paroissiens ; car sur ce fil, ce n’est pas le bon endroit.
…
Bonne continuation …
… Et bonjour chez vous … N° 458599624 …
Si l’opium est la religion du bourgeois …
Alors le rationalisme est celui le l’athée.
Alors le rationalisme est celui le l’athée.
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nachtwanderer
- Messages : 86
- Inscription : 22 janv. 2010, 23:13
Re: … 3,141592654…
(Merci quand même pour la démonstration !)
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