Néanderthal a écrit :Bonjour,
Merci d'avoir re-copier/collé l'intro de votre site, au cas ou on aurait pas lu
Vous cherchez soit disant de la critique constructive, vous faites semblant de vouloir discuter : j'ai fait l'effort de lire la page de votre site et d'en tirer quelques critiques, d'exprimer les points de désaccords.
Et même pas une réponse, juste un perroquet qui répète son charabia sans queue ni tête. (franchement, vous êtes incompréhensible jusque dans la structure de vos phrases)
Mettez vous donc à la porté des pauvres ignares que nous sommes et expliquez clairement et simplement, de façons concise, l'idée principale de votre théorie. Au lieu de faire la roue comme un paon n'ayant pas remarqué que ses plumes étaient mitées.
Pour l'instant, le meilleur résumé de votre théorie, c'est ce que florence en a écrit :
Mais bien volontiers: tout indique qu'il ne s'agit que d'une vaste fichaise effroyablement mal rédigée, sans la moindre originalité de surcroit (des illuminés prétendant avoir trouvé des significations nouvelles et plus ou moins profondes dans divers passages de la bible par l'application de mathématiques "créatives", ça ne manque pas, ne date pas d'hier et on en a déjà eu notre part sur ce forum même, merci bien).
Faute du votre, je retiendrais celui-là
Cordialement,
Philippe
Néanderthal a écrit :Bonjour,
Merci d'avoir re-copier/collé l'intro de votre site, au cas ou on aurait pas lu
Vous cherchez soit disant de la critique constructive, vous faites semblant de vouloir discuter : j'ai fait l'effort de lire la page de votre site et d'en tirer quelques critiques, d'exprimer les points de désaccords.
Et même pas une réponse, juste un perroquet qui répète son charabia sans queue ni tête. (franchement, vous êtes incompréhensible jusque dans la structure de vos phrases)
Mettez vous donc à la porté des pauvres ignares que nous sommes et expliquez clairement et simplement, de façons concise, l'idée principale de votre théorie. Au lieu de faire la roue comme un paon n'ayant pas remarqué que ses plumes étaient mitées.
Pour l'instant, le meilleur résumé de votre théorie, c'est ce que florence en a écrit :
Mais bien volontiers: tout indique qu'il ne s'agit que d'une vaste fichaise effroyablement mal rédigée, sans la moindre originalité de surcroit (des illuminés prétendant avoir trouvé des significations nouvelles et plus ou moins profondes dans divers passages de la bible par l'application de mathématiques "créatives", ça ne manque pas, ne date pas d'hier et on en a déjà eu notre part sur ce forum même, merci bien).
Faute du votre, je retiendrais celui-là
Cordialement,
Philippe
Bonjour,
Votre réponse était passée à travers la maillle de lecture de messages sans importance, comme quoi..... reprenons :
"Ok on parle bien d'un petit bout de texte repris dans un plus gros, à savoir la bible.
Bible ou Sepher Beraeshith peut importe, nous sommes en présence d'un texte issu d'un passé ayant une vision naive de la création du monde, faute de connaissance scientifique du sujet.
Pourquoi vouloir trouver un sens plus profond, voir caché, dans un texte qui à l'aune de notre connaissance, n'est qu'un conte pour enfant destiné à combler un grand trou dans la compréhension qu'avait nos anciens du monde qui les entourait.
Ensuite vous donnez arbitrairement des correspondances chiffrés, et des qualités à des mots/lettres/syllabes. Ceux-ci pour tirer du texte une relecture à 100 lieux du texte original.
N'acceptez-vous pas que le texte ne soit que ce qu'il est ?
Et au final, pour apporter quoi ? une compréhension de quoi ? ça j'avoue ne pas saisir."
La Genèse de dite de Moïse n'est pas un petit bout dans un gros morceau. Elle est le texte fondateur. Suivront les commentaires divers et regroupés par les soins d'une secte devenues reconnue.
Ce texte dénommé Genèse par St-Jérôme, a pour nom exact: Sepher Bareashith ou Livre du Principe. la vision naïve que nous en avons tient aux traductions successives, aux commentaires sur des commentaires, aboutissant de nos jours à vouloir instaurer un créationnisme avec des copiés-collés de la science moderne. La vision naïve que nous en avons tient surtout à la perte de sens dans la lecture des mots d'un texte vieux de 2500 ans environ (époque de l'introduction des caractères hébraïques carrés, issus du phénicien). Ce texte est devenu en effet un conte dont les adultes essayent de se débarrasser, un peu comme le Père Noêl, mais en plus gênant, un peu comme un père.... cela dit les "anciens" du monde antique n'étaient moins philosophes que nous le sommes, pas moins observateurs, critiques que nous le sommes, mais avec des moyens technologiques différents pour confirmer leurs "théories".
Vers 1250 avant notre ère, date fort probable de l'élaboration du Livre du Principe, la science tant en Mésopotamie quand Egypte, déclinait l'astronomie à travers les nombres, l'arithmétique, la géométrie. pour en tirer des conclusions visant à servir la pérennité des pouvoirs en place, de là l'astrologie.
Et le livre du Principe?
Ce livre reprend en plusieurs niveaux de lecture différents les idées concernant l'astronomie et la création du monde ou Cosmogonie. La Cosmogonie, pourquoi? Le souverain, comme de nos jours devait assurer le maintien de la stabilité du monde, entre renaissances et morts, par la suite des générations. un sujet toujours politique.
En plus des sens propres et figuré dans lesquelles ont peu lire le texte en écriture hébraïque (et uniquement celui-là, par le jeux de l'agencement des lettres, s'étant perdu au cous de la traduction, St-Jérôme auteur de la Vulgate a passé 17 ans en Egypte, en partie sous la conduite d'un rabbin en Alexandrie).
Il existe un sens hiéroglyphique, ex. grossier L comme aile: une possibilité d'extension, couplé avec des valeurs, cela pour chaque lettre. (vous trouverez la liste de ces valeurs par ex. dans Histoire et Art de l' Ecriture, 1200 pages, chez R. Laffont)
Mais cela ne fait pas un code au sens moderne, rien d'automatique, pas de message secret.
Un mot, en particulier un nombre est construit autour d'une idée précise, ainsi le nombre 1 part de l'idée cosmogonique de l'unité divisible, sous forme d'une droite, ou d'une surface ou champ (avec les différents sens), l' écrivain prendra la lettre H dessinant une forme de champ ou filet et lui fixera la place centrale dans le mot, après l'idée de l'unité 1 (égale à A) de là les deux premières du mot AH. Enfin pour exprimer l'idée de division de cette unité, il emploiera la lettre D, de le mot représentant la nombre 1.
"Et au final, pour apporter quoi ? une compréhension de quoi ? ça j'avoue ne pas saisir."
1.Une meilleure compréhension de l'état des connaissances à cette époque.
2. De connaître les mécanismes d'élaboration de la pensée et les processus d'abstraction.
3.De contrer la nouvelle vague du créationnisme sur son terrain et chez les catho. de tous poils.(là, apparemment cela marche)