La Genèse par ses nombres, une pré-science ?

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Néanderthal
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Re: La Genèse par ses nombres, une pré-science ?

#51

Message par Néanderthal » 08 mars 2010, 13:39

Bonjour JPM,

Merci d'avoir pris le temps de faire une réponse et d'avoir synthétisé de manière plus explicite.

Donc OK pour le Sepher Bereshith.

Maintenant, je n'accroche pas trop avec la théorie malgré les explications.

Si j'ai bien compris, il y a plusieurs sens de lecture. On a le texte "naif" de la création du monde (la version reprise plus tard, dans la bible), destiné au bon peuple (sens propre). On a une lecture au sens figuré ( le texte serait une description imagée d'une conception un peu moins "naive" de l'idée que ce faisait ces auteurs de l'origine du monde.

Et on aurait une troisième lecture reposant sur une base plus mathématique, que vous rapprochez plus de la vision "scientifique" que pouvait avoir les rédacteurs sur l'origine du monde.

Mes questions sont : quels est en langage commun, cette vision de l'origine du monde (en gros qu'elle est la cosmogonie qu'est sensé nous livrer le texte)
En quoi cette troisième diffère de la seconde (figuré) ?

Que connait-on de cette époque qui permet de tirer ces conclusion ? Encore une fois qu'est ce qui nous prouve que les auteurs aient vraiment eu la volonté d'écrire sous cette forme compliquée, et nous permet de refuser que le sens premier(voir le deuxième) soit le seul ?

Cordialement,

Philippe

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jpm
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Re: La Genèse par ses nombres, une pré-science ?

#52

Message par jpm » 08 mars 2010, 17:07

Néanderthal a écrit :Bonjour JPM,

Merci d'avoir pris le temps de faire une réponse et d'avoir synthétisé de manière plus explicite.

Donc OK pour le Sepher Bereshith.

Maintenant, je n'accroche pas trop avec la théorie malgré les explications.

Si j'ai bien compris, il y a plusieurs sens de lecture. On a le texte "naif" de la création du monde (la version reprise plus tard, dans la bible), destiné au bon peuple (sens propre). On a une lecture au sens figuré ( le texte serait une description imagée d'une conception un peu moins "naive" de l'idée que ce faisait ces auteurs de l'origine du monde.

Et on aurait une troisième lecture reposant sur une base plus mathématique, que vous rapprochez plus de la vision "scientifique" que pouvait avoir les rédacteurs sur l'origine du monde.

Mes questions sont : quels est en langage commun, cette vision de l'origine du monde (en gros qu'elle est la cosmogonie qu'est sensé nous livrer le texte)
En quoi cette troisième diffère de la seconde (figuré) ?

Que connait-on de cette époque qui permet de tirer ces conclusion ? Encore une fois qu'est ce qui nous prouve que les auteurs aient vraiment eu la volonté d'écrire sous cette forme compliquée, et nous permet de refuser que le sens premier(voir le deuxième) soit le seul ?

Cordialement,

Philippe
Bonjour,

1."Et on aurait une troisième lecture reposant sur une base plus mathématique, que vous rapprochez plus de la vision "scientifique" que pouvait avoir les rédacteurs sur l'origine du monde".

Une troisième lecture basée d'une part sur les racines construisant les mots, par exemple la racine MN (Men-Nun) évoquant toutes idées de figuration, détermination, classification, définition, qualification. Cette racine circonscrit les attributs de la science en général. La figuration peut s'exercer à travers la concordance entre les lettres formant l'architecture d'un mot, et les valeurs attribuées aux lettres Ainsi la lumière ( chap. 1, verset 3) s'écrit AOR 1.6.200.

2."cette vision de l'origine du monde (en gros qu'elle est la cosmogonie qu'est sensé nous livrer le texte"

la vision du monde repose sur l'idée de l'unité divisible en 1/2 et "moyenne et extrême raison" : 1.618. pour décliner la géométrie plane et dans l'espace. La vision du monde repose sur l'idée d'un premier moteur, Primus motor au sens d'Aristote, immuable, fixe et d'où émergerait le mouvement. Celui-ci est la première expression du Temps (un point qualifié et quantifié), lequel soumis à une force compressive et durcissante (chap. 1 verset 2) créerait les volumes, et tout d'abord le cube, puis le dodécaèdre. (approche identique chez Kepler, 3000 ans plus tard).

3. "Que connait-on de cette époque qui permet de tirer ces conclusion ? Encore une fois qu'est ce qui nous prouve que les auteurs aient vraiment eu la volonté d'écrire sous cette forme compliquée, et nous permet de refuser que le sens premier(voir le deuxième) soit le seul ?

L'on connait la géométrie, qui chez les égyptiens a permis de construire, l'astronomie chez eux et en Mésopotamie. Ecrire deux termes côte à côte (Premièrement-en-principe il créa) dont les nombres par leur rapport donne 1.414 [BRA SinITTh - BRA, cycle / Temps + Temps/1/2 cycle)/2 ]n'est-ce pas un première indice d'une volonté d'écrire ainsi ?

Le premier sens, n'est par à refuser, mais à "compléter"

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Chiwaw
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Re: La Genèse par ses nombres, une pré-science ?

#53

Message par Chiwaw » 09 mars 2010, 03:28

jpm a écrit : Bonjour,

1."Et on aurait une troisième lecture reposant sur une base plus mathématique, que vous rapprochez plus de la vision "scientifique" que pouvait avoir les rédacteurs sur l'origine du monde".

Une troisième lecture basée d'une part sur les racines construisant les mots, par exemple la racine MN (Men-Nun) évoquant toutes idées de figuration, détermination, classification, définition, qualification. Cette racine circonscrit les attributs de la science en général. La figuration peut s'exercer à travers la concordance entre les lettres formant l'architecture d'un mot, et les valeurs attribuées aux lettres Ainsi la lumière ( chap. 1, verset 3) s'écrit AOR 1.6.200.

2."cette vision de l'origine du monde (en gros qu'elle est la cosmogonie qu'est sensé nous livrer le texte"

la vision du monde repose sur l'idée de l'unité divisible en 1/2 et "moyenne et extrême raison" : 1.618. pour décliner la géométrie plane et dans l'espace. La vision du monde repose sur l'idée d'un premier moteur, Primus motor au sens d'Aristote, immuable, fixe et d'où émergerait le mouvement. Celui-ci est la première expression du Temps (un point qualifié et quantifié), lequel soumis à une force compressive et durcissante (chap. 1 verset 2) créerait les volumes, et tout d'abord le cube, puis le dodécaèdre. (approche identique chez Kepler, 3000 ans plus tard).

3. "Que connait-on de cette époque qui permet de tirer ces conclusion ? Encore une fois qu'est ce qui nous prouve que les auteurs aient vraiment eu la volonté d'écrire sous cette forme compliquée, et nous permet de refuser que le sens premier(voir le deuxième) soit le seul ?

L'on connait la géométrie, qui chez les égyptiens a permis de construire, l'astronomie chez eux et en Mésopotamie. Ecrire deux termes côte à côte (Premièrement-en-principe il créa) dont les nombres par leur rapport donne 1.414 [BRA SinITTh - BRA, cycle / Temps + Temps/1/2 cycle)/2 ]n'est-ce pas un première indice d'une volonté d'écrire ainsi ?

Le premier sens, n'est par à refuser, mais à "compléter"
:dort:
No, gravity is not JUST a theory.

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#54

Message par jpm » 09 mars 2010, 09:30

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#55

Message par BeetleJuice » 09 mars 2010, 19:59

??????????????????????????
Chiwaw traduit à peu près le ressenti d'un certain nombre de gens ici face à vos idées: ça n'a pas d'intérêt, c'est soporifique.

Je pense à peu près pareil.

Au final, vous trouvez des concordances assez vague entre des éléments disparates (nombre, géométrie et graphie des caractère hébreux) mais sans fournir, de ce que j'ai vu, d'analyse construite du texte.
En gros, vous vous contentez de pointer une correspondance dans le texte et de décréter arbitrairement n'est pas là par hasard, alors même que rien dans la structure du texte ne semble réunir ces correspondances entre elle de façon crédible (on passe de la géométrie aux calculs sans grands choses pour relier les notions).

Vous faites un peu comme celui qui avait trouvé un code secret dans la Bible, à savoir partir de points de détail pour trouver une signification cachée indépendamment de l'ensemble.
This is our faith and this is what distinguishes us from those who do not share our faith.

(John Flemming, Évêque irlandais, 3ème dan de tautologie, ceinture noire de truisme, champion des lapalissades anti-avortement.)

pan-pan

Re: La Genèse par ses nombres, une pré-science ?

#56

Message par pan-pan » 09 mars 2010, 20:38

BeetleJuice a écrit :Au final, vous trouvez des concordances assez vague entre des éléments disparates (nombre, géométrie et graphie des caractère hébreux) mais sans fournir, de ce que j'ai vu, d'analyse construite du texte.
En gros, vous vous contentez de pointer une correspondance dans le texte et de décréter arbitrairement n'est pas là par hasard, alors même que rien dans la structure du texte ne semble réunir ces correspondances entre elle de façon crédible (on passe de la géométrie aux calculs sans grands choses pour relier les notions).
Critique constructive.
Bonne chance jpm, y a pas mal à démêler...

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Re: La Genèse par ses nombres, une pré-science ?

#57

Message par jpm » 09 mars 2010, 20:49

pan-pan a écrit :
BeetleJuice a écrit :Au final, vous trouvez des concordances assez vague entre des éléments disparates (nombre, géométrie et graphie des caractère hébreux) mais sans fournir, de ce que j'ai vu, d'analyse construite du texte.
En gros, vous vous contentez de pointer une correspondance dans le texte et de décréter arbitrairement n'est pas là par hasard, alors même que rien dans la structure du texte ne semble réunir ces correspondances entre elle de façon crédible (on passe de la géométrie aux calculs sans grands choses pour relier les notions).
Critique constructive.
Bonne chance jpm, y a pas mal à démêler...
???????????????

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Re: La Genèse par ses nombres, une pré-science ?

#58

Message par jpm » 09 mars 2010, 20:49

BeetleJuice a écrit :
??????????????????????????
Chiwaw traduit à peu près le ressenti d'un certain nombre de gens ici face à vos idées: ça n'a pas d'intérêt, c'est soporifique.

Je pense à peu près pareil.

Au final, vous trouvez des concordances assez vague entre des éléments disparates (nombre, géométrie et graphie des caractère hébreux) mais sans fournir, de ce que j'ai vu, d'analyse construite du texte.
En gros, vous vous contentez de pointer une correspondance dans le texte et de décréter arbitrairement n'est pas là par hasard, alors même que rien dans la structure du texte ne semble réunir ces correspondances entre elle de façon crédible (on passe de la géométrie aux calculs sans grands choses pour relier les notions).

Vous faites un peu comme celui qui avait trouvé un code secret dans la Bible, à savoir partir de points de détail pour trouver une signification cachée indépendamment de l'ensemble.
-Critique fondée sur des vagues appréciations, d'autant que j'ai développé la vision cosmogonique de l'auteur en la mettant en // avec celle de Kepler, mais avez-vous lu cet auteur?
- la correspondance entre l'écriture des mots Premièrement-en-Principe il créa, pour donner 1.414 s'établi comme suit:

BRASinITh BRA ou A=1 , B =2 etc... 2. 2(00) .1 3(00). 1(0). 4(00) _____ 2 . (200) 1 soit en nombres réduits :
2.2.13.1.4 -- 2.2.1 SinTh désignant le mouvement relatif sur lui-même ou expression de la constante de cycle: 3.14 . 2.21 constante du Temps.

2.2.1 - 3.14 et 2.21 soit Temps- cycle et créa : Temps : (3.14/ 2.21) + (2.21+ 2.21 / 3.14) / 2 = 1.414 ou encore (Cycle / Temps) + (Temps/ 1/2 cycle) = 1.414.

La compréhension du mode d'écriture n'est pas évidente au premier abord, néanmoins la probabilité de tomber sur 1.414 par hasard sur la rac. carrée de 2 est infime.

ps: .3.14 ou diagonale du rectangle 3 x1
2.21 diagonale approchée d'u rectangle 2x1.
Dernière modification par jpm le 09 mars 2010, 22:45, modifié 2 fois.

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Re: La Genèse par ses nombres, une pré-science ?

#59

Message par jpm » 09 mars 2010, 20:52

jpm a écrit :
pan-pan a écrit :
BeetleJuice a écrit :Au final, vous trouvez des concordances assez vague entre des éléments disparates (nombre, géométrie et graphie des caractère hébreux) mais sans fournir, de ce que j'ai vu, d'analyse construite du texte.
En gros, vous vous contentez de pointer une correspondance dans le texte et de décréter arbitrairement n'est pas là par hasard, alors même que rien dans la structure du texte ne semble réunir ces correspondances entre elle de façon crédible (on passe de la géométrie aux calculs sans grands choses pour relier les notions).
Critique constructive.
Bonne chance jpm, y a pas mal à démêler...
vous vous contentez de copier sur un écrit précédent?

pan-pan

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#60

Message par pan-pan » 09 mars 2010, 22:07

y a erreur sur la personne, oui bien à qui parlez-vous?

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Re: La Genèse par ses nombres, une pré-science ?

#61

Message par jpm » 09 mars 2010, 22:22

pan-pan a écrit :y a erreur sur la personne, oui bien à qui parlez-vous?
Effectivement mille excuses.

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Re: La Genèse par ses nombres, une pré-science ?

#62

Message par BeetleJuice » 09 mars 2010, 22:30

Critique fondée sur des vagues appréciations
Ce n'est pas possible de faire une critique scientifique si la recherche n'en respecte ni la rigueur ni la méthodologie.
Faites un exposé concis et clair de votre hypothèse de recherche et de votre travail, et on pourra commencer à discuter, mais pour le moment, c'est brouillon, nébuleux et apparemment inconsistant et le fait que vous comptiez sur les autres pour faire la critique sans leur fournir rien d'autre qu'un site très brouillon ne joue pas en votre faveur quand à l'évaluation de votre rigueur.

En bref, jusqu'à preuve du contraire, tant que vous ne ferez pas le travail essentiel de vulgarisation, nous n'aurons aucune raison de faire le travail de critique.
This is our faith and this is what distinguishes us from those who do not share our faith.

(John Flemming, Évêque irlandais, 3ème dan de tautologie, ceinture noire de truisme, champion des lapalissades anti-avortement.)

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#63

Message par jpm » 09 mars 2010, 22:54

BeetleJuice a écrit :
Critique fondée sur des vagues appréciations
Ce n'est pas possible de faire une critique scientifique si la recherche n'en respecte ni la rigueur ni la méthodologie.
Faites un exposé concis et clair de votre hypothèse de recherche et de votre travail, et on pourra commencer à discuter, mais pour le moment, c'est brouillon, nébuleux et apparemment inconsistant et le fait que vous comptiez sur les autres pour faire la critique sans leur fournir rien d'autre qu'un site très brouillon ne joue pas en votre faveur quand à l'évaluation de votre rigueur.

En bref, jusqu'à preuve du contraire, tant que vous ne ferez pas le travail essentiel de vulgarisation, nous n'aurons aucune raison de faire le travail de critique.
Avez-vous lu avec attention le sujet, sur mon site 1. explication de l'écriture d'un nombre, 2. le développement concernant les nombres ?.

Sur l'ensemble des intervenants, j'ai eu, je crois deux questionnements circonstanciés auxquels je me suis efforcé de répondre.

ps: je n'ai jamais prétendu à une découverte de code quelconque, mais d'une manière d'écrire à plusieurs niveaux de compréhension dont celle par l'utilisation des nombres.

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#64

Message par Chiwaw » 09 mars 2010, 23:42

jpm a écrit : -Critique fondée sur des vagues appréciations, d'autant que j'ai développé la vision cosmogonique de l'auteur en la mettant en // avec celle de Kepler, mais avez-vous lu cet auteur?
- la correspondance entre l'écriture des mots Premièrement-en-Principe il créa, pour donner 1.414 s'établi comme suit:

BRASinITh BRA ou A=1 , B =2 etc... 2. 2(00) .1 3(00). 1(0). 4(00) _____ 2 . (200) 1 soit en nombres réduits :
2.2.13.1.4 -- 2.2.1 SinTh désignant le mouvement relatif sur lui-même ou expression de la constante de cycle: 3.14 . 2.21 constante du Temps.

2.2.1 - 3.14 et 2.21 soit Temps- cycle et créa : Temps : (3.14/ 2.21) + (2.21+ 2.21 / 3.14) / 2 = 1.414 ou encore (Cycle / Temps) + (Temps/ 1/2 cycle) = 1.414.

La compréhension du mode d'écriture n'est pas évidente au premier abord, néanmoins la probabilité de tomber sur 1.414 par hasard sur la rac. carrée de 2 est infime.

ps: .3.14 ou diagonale du rectangle 3 x1
2.21 diagonale approchée d'u rectangle 2x1.
Le numérisme ne synthétise qu'imprécisément le platonisme post-initiatique. Le paradoxe du platonisme illustre, par là même, l'idée selon laquelle la continuité n'est ni plus ni moins qu'un platonisme subsémiotique. On ne peut considérer que la Bible rejette la réalité spéculative du numérisme que si l'on admet qu'il réfute l'expression substantialiste dans sa conceptualisation.

Pourtant, il est indubitable qu'il se dresse contre la destructuration synthétique du numérisme. Notons néanmoins qu'il en examine l'analyse idéationnelle en tant que concept irrationnel de la connaissance, et la nomenclature biblicale du numérisme est d'ailleurs déterminée par une intuition circonstancielle de la continuité minimaliste. C'est dans cette même optique qu'il se dresse contre la déstructuration universelle du numérisme. La vision biblique du numérisme provient ainsi d'une représentation empirique du platonisme.

En effet, la Bible spécifie l'origine du numérisme. Le fait que ce dernier conteste l'analyse substantialiste du numérisme signifie qu'il s'en approprie l'aspect moral dans une perspective hégélienne tout en essayant de le re-situer dans sa dimension intellectuelle et sociale.

Il est alors évident que la Bible présente la relation entre raison et ontologisme. Soulignons qu'il s'en approprie la déstructuration universelle dans sa conceptualisation, et le numérisme ne se comprend d'ailleurs qu'à la lueur du platonisme phénoménologique.
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Re: La Genèse par ses nombres, une pré-science ?

#65

Message par jpm » 10 mars 2010, 07:34

Chiwaw a écrit :
jpm a écrit : -Critique fondée sur des vagues appréciations, d'autant que j'ai développé la vision cosmogonique de l'auteur en la mettant en // avec celle de Kepler, mais avez-vous lu cet auteur?
- la correspondance entre l'écriture des mots Premièrement-en-Principe il créa, pour donner 1.414 s'établi comme suit:

BRASinITh BRA ou A=1 , B =2 etc... 2. 2(00) .1 3(00). 1(0). 4(00) _____ 2 . (200) 1 soit en nombres réduits :
2.2.13.1.4 -- 2.2.1 SinTh désignant le mouvement relatif sur lui-même ou expression de la constante de cycle: 3.14 . 2.21 constante du Temps.

2.2.1 - 3.14 et 2.21 soit Temps- cycle et créa : Temps : (3.14/ 2.21) + (2.21+ 2.21 / 3.14) / 2 = 1.414 ou encore (Cycle / Temps) + (Temps/ 1/2 cycle) = 1.414.

La compréhension du mode d'écriture n'est pas évidente au premier abord, néanmoins la probabilité de tomber sur 1.414 par hasard sur la rac. carrée de 2 est infime.

ps: .3.14 ou diagonale du rectangle 3 x1
2.21 diagonale approchée d'u rectangle 2x1.
Le numérisme ne synthétise qu'imprécisément le platonisme post-initiatique. Le paradoxe du platonisme illustre, par là même, l'idée selon laquelle la continuité n'est ni plus ni moins qu'un platonisme subsémiotique. On ne peut considérer que la Bible rejette la réalité spéculative du numérisme que si l'on admet qu'il réfute l'expression substantialiste dans sa conceptualisation.

Pourtant, il est indubitable qu'il se dresse contre la destructuration synthétique du numérisme. Notons néanmoins qu'il en examine l'analyse idéationnelle en tant que concept irrationnel de la connaissance, et la nomenclature biblicale du numérisme est d'ailleurs déterminée par une intuition circonstancielle de la continuité minimaliste. C'est dans cette même optique qu'il se dresse contre la déstructuration universelle du numérisme. La vision biblique du numérisme provient ainsi d'une représentation empirique du platonisme.

En effet, la Bible spécifie l'origine du numérisme. Le fait que ce dernier conteste l'analyse substantialiste du numérisme signifie qu'il s'en approprie l'aspect moral dans une perspective hégélienne tout en essayant de le re-situer dans sa dimension intellectuelle et sociale.

Il est alors évident que la Bible présente la relation entre raison et ontologisme. Soulignons qu'il s'en approprie la déstructuration universelle dans sa conceptualisation, et le numérisme ne se comprend d'ailleurs qu'à la lueur du platonisme phénoménologique.
Votre intervention ne présente aucun intérêt, vous blablatez. en abusant du clavier.

-Il vous faut admettre que les résultats présentés ci-avant donnent trois racines : rac. de 2, puis de 5 et enfin de 10.
-Dans le cade d'un texte prétendant définir une cosmogonie est-ce le fruit d'un simple hasard? Faut-il au nom d'un scepticisme attardé ne pas prendre la décision de porter un intérêt plus marqué à un essai de recherche?

Quelle est la théorie générale de cette cosmogonie (vraie ou fausse)?
Une unité comme départ d'une création, Géométriquement un diamètre de valeur Un divisible divisible en 1/2 puis en moyenne et extrême raison, Le cercle décrit définira les figures géométriques censées représentées les étatpes d'une création, cela en plan , puis en volume. La 1ère sera la division du cercle en 6 parties 3.14/6 = 0,5236 m valeur d'une coudée (de cycle), pour un rayon 0,50m. La seconde figure, par partage du rayon en 2,puis par rabattement, 1.618 (cité dans un post précédent) et tracera le pentagone.

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#66

Message par Chiwaw » 10 mars 2010, 08:46

jpm a écrit : Votre intervention ne présente aucun intérêt, vous blablatez. en abusant du clavier.
Que néni. Je maintient ma théorie.

L'objectivité substantialiste ou l'objectivité empirique ne suffisent, par ce biais, pas à expliquer l'objectivité rationnelle en tant qu'objet synthétique du numérisme biblique.

Contrastons néanmoins cette affirmation : si l'on conteste l'objectivité idéationnelle dans sa conceptualisation, il faut également souligner que ces nombres en caractérisent l'analyse originelle dans son acception phénoménologique afin de la resituer dans toute sa dimension politique et intellectuelle. Il est alors évident que la Bible identifie l'expression spéculative du numérisme. Il convient de souligner que la Bible en interprète l'origine subsémiotique dans sa conceptualisation. On ne saurait en effet assimiler, comme l'aurait fait Descartes, l'objectivité à une objectivité, il faut cependant contraster ce raisonnement car il rejette l'analyse substantialiste biblique.

Le fait que l'on puisse identifier la démystification empirique biblique implique une forme de déstructuration synthétique dans une perspective numérique contrastée.
No, gravity is not JUST a theory.

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Q1 et Q2

#67

Message par Denis » 10 mars 2010, 08:47


Salut jpm,

Vous demandez :
Dans le cade d'un texte prétendant définir une cosmogonie est-ce le fruit d'un simple hasard?
Même pas. C'est plutôt le fruit d'un délire plus ou moins schyzoïde.

Vous faites le même genre de mathématiques que les évaporés qui trouvent sur Mars, autant d'accidents géométriques qu'ils ont envie d'en chercher.

Q1 : Que pensez-vous de leurs trouvailles ?

Q2 : En quoi vos "recherches" méritent-elles plus d'intérêt que les leurs ?

:) Denis
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Re: La Genèse par ses nombres, une pré-science ?

#68

Message par jpm » 10 mars 2010, 08:50

Chiwaw a écrit :
jpm a écrit : Votre intervention ne présente aucun intérêt, vous blablatez. en abusant du clavier.
Que néni. Je maintient ma théorie.

L'objectivité substantialiste ou l'objectivité empirique ne suffisent, par ce biais, pas à expliquer l'objectivité rationnelle en tant qu'objet synthétique du numérisme biblique.

Contrastons néanmoins cette affirmation : si l'on conteste l'objectivité idéationnelle dans sa conceptualisation, il faut également souligner que ces nombres en caractérisent l'analyse originelle dans son acception phénoménologique afin de la resituer dans toute sa dimension politique et intellectuelle. Il est alors évident que la Bible identifie l'expression spéculative du numérisme. Il convient de souligner que la Bible en interprète l'origine subsémiotique dans sa conceptualisation. On ne saurait en effet assimiler, comme l'aurait fait Descartes, l'objectivité à une objectivité, il faut cependant contraster ce raisonnement car il rejette l'analyse substantialiste biblique.

Le fait que l'on puisse identifier la démystification empirique biblique implique une forme de déstructuration synthétique dans une perspective numérique contrastée.
Blablatage alambiqué pseudo-intellectuel.
ps: la calcul de la diagonale d'un carré en Mésopotamie (voir votre moteur de recherche préféré) était-il emprunt d'objectivité idéationnelle dans sa conceptualisation?
Dernière modification par jpm le 10 mars 2010, 09:37, modifié 1 fois.

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Re: La Genèse par ses nombres, une pré-science ?

#69

Message par Florence » 10 mars 2010, 08:56

jpm a écrit :
Chiwaw a écrit :
jpm a écrit : Votre intervention ne présente aucun intérêt, vous blablatez. en abusant du clavier.
Que néni. Je maintient ma théorie.

L'objectivité substantialiste ou l'objectivité empirique ne suffisent, par ce biais, pas à expliquer l'objectivité rationnelle en tant qu'objet synthétique du numérisme biblique.

Contrastons néanmoins cette affirmation : si l'on conteste l'objectivité idéationnelle dans sa conceptualisation, il faut également souligner que ces nombres en caractérisent l'analyse originelle dans son acception phénoménologique afin de la resituer dans toute sa dimension politique et intellectuelle. Il est alors évident que la Bible identifie l'expression spéculative du numérisme. Il convient de souligner que la Bible en interprète l'origine subsémiotique dans sa conceptualisation. On ne saurait en effet assimiler, comme l'aurait fait Descartes, l'objectivité à une objectivité, il faut cependant contraster ce raisonnement car il rejette l'analyse substantialiste biblique.

Le fait que l'on puisse identifier la démystification empirique biblique implique une forme de déstructuration synthétique dans une perspective numérique contrastée.
Blablatage alambiqué pseudo-intellectuel.

Ce n'est pas parce que vous êtes incapable de comprendre la démonstration, au demeurant fort pertinente, de Chiwaw que cela vous permet de la dénigrer.
"As democracy is perfected, the office of President represents, more and more closely, the inner soul of the people. On some great and glorious day, the plain folks of the land will reach their heart's desire at last and the White House will be adorned by a downright moron." - H. L. Mencken

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Re: La Genèse par ses nombres, une pré-science ?

#70

Message par embtw » 10 mars 2010, 08:59

jpm a écrit : Blablatage alambiqué pseudo-intellectuel.
C'est marrant, on dirait du Gatti mais sans les fautes.
Loi de mauricemaltais : Quand on vient de prendre x minutes pour lire un texte de mauricemaltais, on vient de perdre x minutes.
Théorie d'affabulation gattienne : Pour ce qui concerne les DAHUS la physique exotique prévoi la matérialisation de particules imaginaires

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Re: La Genèse par ses nombres, une pré-science ?

#71

Message par jpm » 10 mars 2010, 09:31

Ce n'est pas parce que vous êtes incapable de comprendre la démonstration, au demeurant fort pertinente, de Chiwaw que cela vous permet de la dénigrer.

[/quote]

Eve Florensis, seriez-vous atteinte de microcéphalie ?

En fournissant une démonstration utilisant l'idée de ratio, ici partage d'une droite suivant l'extrême et moyenne raison, j'obtiens en retour un discours sur la phénoménologie, je confirme mon appréciation.

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Re: La Genèse par ses nombres, une pré-science ?

#72

Message par Chiwaw » 10 mars 2010, 09:32

jpm a écrit : -Il vous faut admettre que les résultats présentés ci-avant donnent trois racines : rac. de 2, puis de 5 et enfin de 10.
-Dans le cade d'un texte prétendant définir une cosmogonie est-ce le fruit d'un simple hasard? Faut-il au nom d'un scepticisme attardé ne pas prendre la décision de porter un intérêt plus marqué à un essai de recherche?

Quelle est la théorie générale de cette cosmogonie (vraie ou fausse)?
Une unité comme départ d'une création, Géométriquement un diamètre de valeur Un divisible divisible en 1/2 puis en moyenne et extrême raison, Le cercle décrit définira les figures géométriques censées représentées les étatpes d'une création, cela en plan , puis en volume. La 1ère sera la division du cercle en 6 parties 3.14/6 = 0,5236 m valeur d'une coudée (de cycle), pour un rayon 0,50m. La seconde figure, par partage du rayon en 2,puis par rabattement, 1.618 (cité dans un post précédent) et tracera le pentagone.
Blablatage alambiqué pseudo-intellectuel.

Je poursuis sur ma lancé, essayez de me suivre, mais vous ne semblez pas très à jour sur le sujet même que vous avez apporté ici. Concentrez-vous, et peut-être que je peux vous apprendre un truc ou deux.

Donc je disais:

Comme il est difficile d'affirmer que la Bible interprète la réalité originelle de la continuité, il est manifeste qu'elle identifie la réalité existentielle de la continuité.

Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'elle interprète le nativisme idéationnel de l'Homme, et si d'autre part elle en décortique la démystification générative en tant que concept empirique de la numérologie, cela signifie donc qu'elle envisage la réalité déductive de la continuité.

Il faut cependant contraster cette affirmation : si elle rejette la réalité générative de la continuité, il est nécessaire d'admettre que la Bible en examine la réalité substantialiste sous un angle empirique ; le paradoxe de la numérologie substantialiste illustre, par ce biais, l'idée selon laquelle la numérologie idéationnel et le nativisme moral ne sont ni plus ni moins qu'un numérisme minimaliste.
No, gravity is not JUST a theory.

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Re: La Genèse par ses nombres, une pré-science ?

#73

Message par jpm » 10 mars 2010, 09:50

Donc je disais:

Comme il est difficile d'affirmer que la Bible interprète la réalité originelle de la continuité, il est manifeste qu'elle identifie la réalité existentielle de la continuité.

Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'elle interprète le nativisme idéationnel de l'Homme, et si d'autre part elle en décortique la démystification générative en tant que concept empirique de la numérologie, cela signifie donc qu'elle envisage la réalité déductive de la continuité.

Il faut cependant contraster cette affirmation : si elle rejette la réalité générative de la continuité, il est nécessaire d'admettre que la Bible en examine la réalité substantialiste sous un angle empirique ; le paradoxe de la numérologie substantialiste illustre, par ce biais, l'idée selon laquelle la numérologie idéationnel et le nativisme moral ne sont ni plus ni moins qu'un numérisme minimaliste.[/quote]


-La Genèse examine la réalité originelle de la continuité , en décrivant la potentialité d'être avant l'être, cela tout au long du 1er chapitre, La durée ou existence, les choses en général, sont décrites dès le second chapitre, verset 5. (second Adam faisant suit à l'Adam Principe). La transition entre être (esse) et potentialité d'être (" le néant") s'effectue autour d'une seule lettre,
waw , O , U, Ou, appelée convertible universel (conjonction ou conversion).

Dans ce cadre le mot Principe, au sens d'Aristote enferme en lui toutes des potentialités d'une existence, durée à venir.

La Genèse, traduite plus tard, par Au commencement, introduit de fait la durée, et brise la continuité entre Être et non être. Nous sommes là en présence d'un texte tronqué dans son objet.

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Re: Q1 et Q2

#74

Message par jpm » 10 mars 2010, 09:54

Denis a écrit :Salut jpm,

Vous demandez :
Dans le cade d'un texte prétendant définir une cosmogonie est-ce le fruit d'un simple hasard?
Même pas. C'est plutôt le fruit d'un délire plus ou moins schyzoïde.

Vous faites le même genre de mathématiques que les évaporés qui trouvent sur Mars, autant d'accidents géométriques qu'ils ont envie d'en chercher.

Q1 : Que pensez-vous de leurs trouvailles ?

Q2 : En quoi vos "recherches" méritent-elles plus d'intérêt que les leurs ?

:) Denis
votre intervention mérite-elle une réponse, d'autant qu'elle ne reprend pas l'intégralité de ma démonstration?

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Re: La Genèse par ses nombres, une pré-science ?

#75

Message par Chiwaw » 10 mars 2010, 09:58

jpm a écrit : La Genèse, traduite plus tard, par Au commencement, introduit de fait la durée, et brise la continuité entre Être et non être. Nous sommes là en présence d'un texte tronqué dans son objet.
J'aimerais apporter un bémol à ce sujet.

On ne peut considérer que la Bible caractérise le physicalisme existentiel par son physicalisme sémiotique que si l'on admet qu'il en caractérise la réalité minimaliste dans une perspective numérologique contrastée.

Si d'une part on accepte l'hypothèse que la Bible réfute le physicalisme sémiotique de la progression du temps bien qu'elle conteste la déstructuration générative de la certitude, et que d'autre part elle en spécifie l'aspect déductif en regard du criticisme, cela signifie donc qu'elle conteste le criticisme génératif en tant qu'objet sémiotique de la connaissance (i.e: numérisme).

Pourtant, il est indubitable que la Bible conteste l'origine de la certitude. Notons néanmoins qu'elle en examine l'expression empirique en tant qu'objet spéculatif de la progression du temps, et le criticisme ou le criticisme métaphysique ne suffisent pas à expliquer le criticisme en tant que concept phénoménologique de la numérologie.
No, gravity is not JUST a theory.

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