Démonstration de mon roman
Démonstration de mon roman
-----------------------------------------------------------------
S.v.p soyez moindrement indulgent...
Le roman va avoir entre 200-250 pages.
J'essaie de rendre le tout le plus parfait à
chaque page. Je le poste parce que je crois
que vous avez assez d'intelligence pour le
comprendre. Merci d'avance.
La lettre d’un tueur
L’obscurité est l’absence de toute forme d’émotion et d’espoir. Plus rien n’existe vraiment. Le mal s’incrémente par-delà d’anciens vestiges, tel un miasme voluptueux prospérant dans l’indifférence. Quant à l’âme ténébreuse, elle semble toujours pouvoir retrouver son destin, sa voix céleste. Mis à part les complaintes caricaturales des damnés hurlant sans cesse à la rédemption, tout a été anéanti lors de la grande déroute des esclaves en perditions. Mais qu’est-ce que la souffrance, la réelle souffrance? Celle qui nous torture et qui nous rend amères, belliqueuses et inexorables. Sans paraître immoral, je dirais que d’assassiner un être humain est libérateur, viscéral et jouissif. Ôter la vie d’un souffle d’amertume pour s’enrichir de conviction est la plus belle preuve d’amour qu’un être doté d’intelligence puisse offrir à ses persécutés. J’ai des pressentiments, une prémonition de meurtre qui participent par la prédestination d’un rêve éveillé. Mon esprit s’égare à la pensée d’un acte de présomption, il s’évade par ses orifices abjects de cruauté en lui imposant indéniablement sa loi, sa sauvage bestialité. Il a faim de douleur, il a soif de sang et se nourrit de cadavre mortifiant. Son appréhension se transforme subséquemment en absolution illusoire, mais il s’immisce dans sa confusion déjà métastasée. Pourquoi laisser vivre un être humain, s’il ne peut qu’offrir irrémédiablement le poison destructeur de sa bêtise et son ignorance? Pourquoi faut-il toujours devenir compatissant envers ceux qui ne le mériteront jamais? Pour ma part, chaque vie, chaque bruit, chaque nuit méritent une mort lente, précieuse et délicate! Tous s’acharneront cruellement à l’intérieur de mon antre de douleur n’ayant que pour existence, le joug oppressant d’une arme à la lame tranchante. Incandescente, elle ne décevra pas les plus audacieux. Car ici l’odeur est, comment dire, inspirante… Tel un parfum d’outre-tombe parsemé d’os et de cadavre, répandant son ivresse sépulcrale vers l’extérieur. C’est un asile pour les hommes, les femmes, et les enfants dans la pénombre. Tous y vivent en décrépitude, aux sols, aux plafonds, sur les murs, dans la baignoire, sous ma voiture, dans mon placard et bien sûr dans le coffre à jouets. Il n’y a rien de plus artistique à observer, que d’admirer une jeune femme vers la trentaine se donner du plaisir à l’aide d’un tournevis étoile. Il n’y a rien de plus attendrissant que de vêtir ma vieille démente de mère en clown de cirque et lui faire déverser ses entrailles dans une coupe en porcelaine. Et surtout, il n’y a rien de plus divertissant que d’observer mes lecteurs périr dans un océan de puérilité ultime. Sachez qu’à l’heure actuelle, vous êtes condamné à errer à jamais, prisonnier à vomir toutes vos ignominieuses atrocités. Vous êtes élus. Pour le meilleur et pour le pire. Félicitations, vous êtes ma prochaine victime. Avant toute chose, il serait agréable de débuter par le commencement. Qui suis-je? Où suis-je? Comment suis-je? Toute question désire sa réponse, cependant, l’heure n’est pas à l’affirmation. C’est ainsi que nous prendrons cette minute d’attention pour clarifier certaines éventualités. Premièrement, lorsque je traque mon ennemi j’aime bien faire clignoter les lumières, fermer la télévision, ou laisser un léger grondement à l’extérieur. Deuxièmement, je donne très souvent l’envie d’uriner à moyen terme et j’adore générer un sentiment d’anxiété. Troisièmement, dites-vous que si le téléphone sonne durant mes quelques hâtives instructions, vous n’avez plus de temps à perdre, car je suis tout près déjà. Prenez conscience que je suis disposé à tout pour vous utiliser. Finalement, un doute peut-être subsistera dans votre esprit sous forme de négation, par exemple : C’est impossible! Ce n’est qu’une missive déposée par un aliéné! Croyez-moi, vous vous trompez. Je suis bel et bien là! Désormais, le temps est venu de vous expliquer exactement qui je suis en réalité.
Chapitre 1 :
La naissance du mal
Le 21 décembre 1982, je vis le jour à l’hôpital de Diamond Hill sous l’identité d’Alexander Dyne Volt. Tout au long de mon enfance, je vieillis paisiblement dans une famille aimante et attentionnée. Lors de mon seizième anniversaire, un tragique événement se produisit. Au moment même que mon père subdivisa une portion de pâtisserie à la vanille, sitôt, il se fit indignement frapper par un malaise cardiaque et sombra subitement sur le plancher. Inattendu, une infinie onde de choc s’empara du regroupement d’adolescents. Accompagnée par des susurrements de frayeur, Miranda Olsen, la récente copine d’orgasmes de mon défunt patriarche, signala le service d’urgence. Ce soir-là, mère était à son travail et n’avait pas pu se libérer du bureau. En réalité, c’était une marâtre coruscante, trop féminine qui faisait passer sa profession avant toute chose. Ce qui avait eu pour conséquence d’amplifier la libido de celle-ci et de tromper mon père plusieurs fois. Tout cela pour une orgie sexuelle intense avec d’autres hommes en quête de sensation forte. C’était à ce moment-là, que j’étais devenu obsédé par le péché. Quelques années passèrent, mais mon étude pour le meurtre évolua infatigablement. Sans pour autant agir comme un criminel en puissance, j’avais pu approfondir mes connaissances sur divers sujets largement attrayants. Tels que le massacre, le châtiment, la peur, la psychologie, les croyances religieuses, l’anthropophagie et la torture humaine.
Vers l’âge de 28 ans, j’avais décidé de m’inscrire sur un site web branché appelé : COMMENT DEVENIR UN ASSASSIN? C’était passionnant de surprendre des femmes, des hommes, des animaux en direct, se faisant saigner à froid impunément. Sans vouloir vous offusquer, ami lecteur, j’avais ressenti une profonde excitation m’envahir. C’était un savant mélange de beauté et de ténèbres. Attendez un instant! Ne croyez surtout pas que je suis devenu un funeste assassin grâce à la toile! Vous faites preuve outrageusement de simplicité intellectuelle! Vos pensées s’égarent d’inepties! Je suis devenu un « serial killer » par la volonté de puissance. Rien de moins. Poursuivons donc. Fort heureusement, lors d’une commémoration mondaine à l’hôtel, j’avais rencontré une délicieuse et aguichante lolita. Elle avait cet adorable sourire et une intelligence hors du commun! En plus, elle avait de merveilleuses rondeurs qui lui allaient à ravir! Je la désirais tellement avec une telle passion! Bref, j’aimais bien cette séduisante demoiselle! Durant l’acte sexuel, je pouvais prendre sa tête sauvagement en lui faisant crier des injures blasphématoires. Hélas! Lors de mes fantaisies suggérées, elle m’a dite offusquée : « Espèce d’enfoiré! Je ne baiserai jamais avec ta propre sœur que tu as refroidie! » Pourquoi pas? Elle était peut-être un peu gelée, mais elle avait encore toute sa saveur d'antan! Sachez-le, ma sœur n’avait pas beaucoup de respect pour les besoins essentiels. Du moins, surtout pas concernant l’érotisme! Certes, elle était lesbienne, mais elle choisissait sans cesse, des filles qui ressemblaient à des camionneurs. Toujours est-il, le soir fatidique de son « coming out » je l’ai saigné avec une hache à couper le bois. Que de bons souvenirs! Son piètre corps se secouait par tous les diables de l’enfer! Ses bras, ses jambes, sa tête demeuraient tous sur le sol écarlate, mais inerte. J’aimais cette vocation de douleur à l’odeur pestilentielle. Il y avait une poésie qui émanait de la souffrance, elle était impétueuse et malsaine. Toutefois, j’avais cru qu’offrir la tourmente et la terreur à des gens dans le besoin me satisferait davantage. Du moins, jusqu'à la fin de mon existence. Hélas! Ça n’a pas vraiment été le cas!
C’est dès lors, à mes 35 ans, que j’étais devenu un authentique tueur. Hors doute, je n’avais plus aucune forme de conscience, ni de moral, ni de frustration. Il me restait juste cette banale obsession d’anéantir tout ce qui était encore en vie sur mon passage. Avez-vous déjà ressenti cette douce frénésie que d’avoir à l’intérieur de votre carcasse, un hachoir de cuisine s’insinuer dans votre œsophage? Avez-vous déjà été pourchassé par un prédateur insouciant, qui ne veut que votre crâne en symbole de richesse? Étrangement, j’étais parvenu à appréhender l’exactitude anticipatoire concernant la solennelle besogne du péché. Assurément, pour ma part, la litanie intrinsèque de l’inexistence représentait l’expiation sans fin de toutes les âmes nomades de ce continuum espace-temps. Comme si la damnation éternelle résidait dans une vulgaire création usée. Comme si l’homme de cette planète était un rat de laboratoire et continuait de propager sa semence, afin qu’une race parfaite et lointaine nous corrompre par le désir et le désespoir. Pensez-y! Après tout, ce n’est pas moi qui ai permis à la grande Faucheuse de pervertir sa fourche dantesque. De grâce, pourquoi faudrait-il que l’humain survive, ou qu’il meure inévitablement à nouveau? Promptement, j’avais une profonde aversion auprès des marâtres indignes. Vous savez? Celles qui caressent leur vulve trop aisément, pour des « anthropopithèques » mâles, tout aussi répréhensibles que végétatifs. Bref, j’abhorrais haineusement à la continuation prolifique du parasitisme humain, car je devais absoudre toute forme d’imperfection avenir. De la sorte, le « projet massacre » pouvait ainsi donc être amorcé, et ce, judicieusement. Néanmoins, je devais parfaire mon art oratoire pour ensuite parvenir à convertir le plus de gens possible. Mieux encore, je devais encourager le petit peuple à investir dans ma cabale. Comment pouvais-je réellement réussir à manipuler le maximum de personne en si peu de temps? Nécessairement, mon but principal était de remplir mon quota d’âme par semaine, mais grâce à l’enseignement sectaire, une prochaine ère obscure allait survenir. Mon désir était de rebâtir une nouvelle civilisation et abolir tout état de conscience, jusqu’à ce que la misère et l’oppression deviennent une banalité à la dévotion du public. Il n’y aurait ni bienfaiteur ni malfaiteur, seulement ce « moi » qui trop souvent, est délaissé au profit de la solitude et de la moralité. Bien entendu, je savais pertinemment que cette fatale ambition était une mission gigantesque, démesurée, insensée puis singulièrement fabuleuse! Quoique je doive admettre que mon idée à la base était tout à fait idéaliste, car j’anticipais le chaos comme une sorte de chronique du fantastique du genre à anéantir chaque molécule vivante sur la surface de la planète afin de provoquer, une fois de plus, Armageddon. Histoire typique du bien contre le mal, je le concède, mais cette fois-ci la réalité serait tout autre. Ayant écarté toute aspect de ma lucidité, je pouvais m’adonner sans crainte à des actes primitifs, barbaresques et sadiques. Si décéder prématurément peut sembler désagréable pour certaines personnes, elle est incontestablement une libération auprès des autres! Prenez par exemple cette petite anecdote. Il y a quelques temps de cela déjà, lors d’une soirée à l’opéra, j’avais aperçu une attirante femme au corps magnifique. Elle avait une longue chevelure teintée d’ombre bleutée à la couleur de la nuit et au reflet de lune argentée. Que de surprises, elle connaissait déjà mon funèbre secret et fantasmait avec ardeur d’être extirpé à la vie en faisant acte de prolifération tout en introduisant dans sa chaste rosée la lueur écarlate de ma lame légendaire. Nous étions dès lors, retournés chez elle en compagnie de ce mystérieux canif entre ses cuisses. Demeurant mystérieuse et solitaire, elle débutait par se caresser vigoureusement dans la noirceur. Pendant qu’elle recherchait sans la moindre gêne son intense satisfaction, elle s’affaissa durement sur le plancher. Inutile de vous rappelez que cela avait produit chez moi un silence dès plus perplexe. Par la suite, sa romance devenait une plénitude, car du sang giclait vers l’extérieur de sa vierge fleur abîmée. Elle ne cédait jamais sous la constante impulsion, mais elle se précipitait vers son clitoris, comme si elle était en état de transe ou de manque. Comme si sa drogue forte provenait de sa propre jouissance.
...Voilà je suis rendu là...
S.v.p soyez moindrement indulgent...
Le roman va avoir entre 200-250 pages.
J'essaie de rendre le tout le plus parfait à
chaque page. Je le poste parce que je crois
que vous avez assez d'intelligence pour le
comprendre. Merci d'avance.
La lettre d’un tueur
L’obscurité est l’absence de toute forme d’émotion et d’espoir. Plus rien n’existe vraiment. Le mal s’incrémente par-delà d’anciens vestiges, tel un miasme voluptueux prospérant dans l’indifférence. Quant à l’âme ténébreuse, elle semble toujours pouvoir retrouver son destin, sa voix céleste. Mis à part les complaintes caricaturales des damnés hurlant sans cesse à la rédemption, tout a été anéanti lors de la grande déroute des esclaves en perditions. Mais qu’est-ce que la souffrance, la réelle souffrance? Celle qui nous torture et qui nous rend amères, belliqueuses et inexorables. Sans paraître immoral, je dirais que d’assassiner un être humain est libérateur, viscéral et jouissif. Ôter la vie d’un souffle d’amertume pour s’enrichir de conviction est la plus belle preuve d’amour qu’un être doté d’intelligence puisse offrir à ses persécutés. J’ai des pressentiments, une prémonition de meurtre qui participent par la prédestination d’un rêve éveillé. Mon esprit s’égare à la pensée d’un acte de présomption, il s’évade par ses orifices abjects de cruauté en lui imposant indéniablement sa loi, sa sauvage bestialité. Il a faim de douleur, il a soif de sang et se nourrit de cadavre mortifiant. Son appréhension se transforme subséquemment en absolution illusoire, mais il s’immisce dans sa confusion déjà métastasée. Pourquoi laisser vivre un être humain, s’il ne peut qu’offrir irrémédiablement le poison destructeur de sa bêtise et son ignorance? Pourquoi faut-il toujours devenir compatissant envers ceux qui ne le mériteront jamais? Pour ma part, chaque vie, chaque bruit, chaque nuit méritent une mort lente, précieuse et délicate! Tous s’acharneront cruellement à l’intérieur de mon antre de douleur n’ayant que pour existence, le joug oppressant d’une arme à la lame tranchante. Incandescente, elle ne décevra pas les plus audacieux. Car ici l’odeur est, comment dire, inspirante… Tel un parfum d’outre-tombe parsemé d’os et de cadavre, répandant son ivresse sépulcrale vers l’extérieur. C’est un asile pour les hommes, les femmes, et les enfants dans la pénombre. Tous y vivent en décrépitude, aux sols, aux plafonds, sur les murs, dans la baignoire, sous ma voiture, dans mon placard et bien sûr dans le coffre à jouets. Il n’y a rien de plus artistique à observer, que d’admirer une jeune femme vers la trentaine se donner du plaisir à l’aide d’un tournevis étoile. Il n’y a rien de plus attendrissant que de vêtir ma vieille démente de mère en clown de cirque et lui faire déverser ses entrailles dans une coupe en porcelaine. Et surtout, il n’y a rien de plus divertissant que d’observer mes lecteurs périr dans un océan de puérilité ultime. Sachez qu’à l’heure actuelle, vous êtes condamné à errer à jamais, prisonnier à vomir toutes vos ignominieuses atrocités. Vous êtes élus. Pour le meilleur et pour le pire. Félicitations, vous êtes ma prochaine victime. Avant toute chose, il serait agréable de débuter par le commencement. Qui suis-je? Où suis-je? Comment suis-je? Toute question désire sa réponse, cependant, l’heure n’est pas à l’affirmation. C’est ainsi que nous prendrons cette minute d’attention pour clarifier certaines éventualités. Premièrement, lorsque je traque mon ennemi j’aime bien faire clignoter les lumières, fermer la télévision, ou laisser un léger grondement à l’extérieur. Deuxièmement, je donne très souvent l’envie d’uriner à moyen terme et j’adore générer un sentiment d’anxiété. Troisièmement, dites-vous que si le téléphone sonne durant mes quelques hâtives instructions, vous n’avez plus de temps à perdre, car je suis tout près déjà. Prenez conscience que je suis disposé à tout pour vous utiliser. Finalement, un doute peut-être subsistera dans votre esprit sous forme de négation, par exemple : C’est impossible! Ce n’est qu’une missive déposée par un aliéné! Croyez-moi, vous vous trompez. Je suis bel et bien là! Désormais, le temps est venu de vous expliquer exactement qui je suis en réalité.
Chapitre 1 :
La naissance du mal
Le 21 décembre 1982, je vis le jour à l’hôpital de Diamond Hill sous l’identité d’Alexander Dyne Volt. Tout au long de mon enfance, je vieillis paisiblement dans une famille aimante et attentionnée. Lors de mon seizième anniversaire, un tragique événement se produisit. Au moment même que mon père subdivisa une portion de pâtisserie à la vanille, sitôt, il se fit indignement frapper par un malaise cardiaque et sombra subitement sur le plancher. Inattendu, une infinie onde de choc s’empara du regroupement d’adolescents. Accompagnée par des susurrements de frayeur, Miranda Olsen, la récente copine d’orgasmes de mon défunt patriarche, signala le service d’urgence. Ce soir-là, mère était à son travail et n’avait pas pu se libérer du bureau. En réalité, c’était une marâtre coruscante, trop féminine qui faisait passer sa profession avant toute chose. Ce qui avait eu pour conséquence d’amplifier la libido de celle-ci et de tromper mon père plusieurs fois. Tout cela pour une orgie sexuelle intense avec d’autres hommes en quête de sensation forte. C’était à ce moment-là, que j’étais devenu obsédé par le péché. Quelques années passèrent, mais mon étude pour le meurtre évolua infatigablement. Sans pour autant agir comme un criminel en puissance, j’avais pu approfondir mes connaissances sur divers sujets largement attrayants. Tels que le massacre, le châtiment, la peur, la psychologie, les croyances religieuses, l’anthropophagie et la torture humaine.
Vers l’âge de 28 ans, j’avais décidé de m’inscrire sur un site web branché appelé : COMMENT DEVENIR UN ASSASSIN? C’était passionnant de surprendre des femmes, des hommes, des animaux en direct, se faisant saigner à froid impunément. Sans vouloir vous offusquer, ami lecteur, j’avais ressenti une profonde excitation m’envahir. C’était un savant mélange de beauté et de ténèbres. Attendez un instant! Ne croyez surtout pas que je suis devenu un funeste assassin grâce à la toile! Vous faites preuve outrageusement de simplicité intellectuelle! Vos pensées s’égarent d’inepties! Je suis devenu un « serial killer » par la volonté de puissance. Rien de moins. Poursuivons donc. Fort heureusement, lors d’une commémoration mondaine à l’hôtel, j’avais rencontré une délicieuse et aguichante lolita. Elle avait cet adorable sourire et une intelligence hors du commun! En plus, elle avait de merveilleuses rondeurs qui lui allaient à ravir! Je la désirais tellement avec une telle passion! Bref, j’aimais bien cette séduisante demoiselle! Durant l’acte sexuel, je pouvais prendre sa tête sauvagement en lui faisant crier des injures blasphématoires. Hélas! Lors de mes fantaisies suggérées, elle m’a dite offusquée : « Espèce d’enfoiré! Je ne baiserai jamais avec ta propre sœur que tu as refroidie! » Pourquoi pas? Elle était peut-être un peu gelée, mais elle avait encore toute sa saveur d'antan! Sachez-le, ma sœur n’avait pas beaucoup de respect pour les besoins essentiels. Du moins, surtout pas concernant l’érotisme! Certes, elle était lesbienne, mais elle choisissait sans cesse, des filles qui ressemblaient à des camionneurs. Toujours est-il, le soir fatidique de son « coming out » je l’ai saigné avec une hache à couper le bois. Que de bons souvenirs! Son piètre corps se secouait par tous les diables de l’enfer! Ses bras, ses jambes, sa tête demeuraient tous sur le sol écarlate, mais inerte. J’aimais cette vocation de douleur à l’odeur pestilentielle. Il y avait une poésie qui émanait de la souffrance, elle était impétueuse et malsaine. Toutefois, j’avais cru qu’offrir la tourmente et la terreur à des gens dans le besoin me satisferait davantage. Du moins, jusqu'à la fin de mon existence. Hélas! Ça n’a pas vraiment été le cas!
C’est dès lors, à mes 35 ans, que j’étais devenu un authentique tueur. Hors doute, je n’avais plus aucune forme de conscience, ni de moral, ni de frustration. Il me restait juste cette banale obsession d’anéantir tout ce qui était encore en vie sur mon passage. Avez-vous déjà ressenti cette douce frénésie que d’avoir à l’intérieur de votre carcasse, un hachoir de cuisine s’insinuer dans votre œsophage? Avez-vous déjà été pourchassé par un prédateur insouciant, qui ne veut que votre crâne en symbole de richesse? Étrangement, j’étais parvenu à appréhender l’exactitude anticipatoire concernant la solennelle besogne du péché. Assurément, pour ma part, la litanie intrinsèque de l’inexistence représentait l’expiation sans fin de toutes les âmes nomades de ce continuum espace-temps. Comme si la damnation éternelle résidait dans une vulgaire création usée. Comme si l’homme de cette planète était un rat de laboratoire et continuait de propager sa semence, afin qu’une race parfaite et lointaine nous corrompre par le désir et le désespoir. Pensez-y! Après tout, ce n’est pas moi qui ai permis à la grande Faucheuse de pervertir sa fourche dantesque. De grâce, pourquoi faudrait-il que l’humain survive, ou qu’il meure inévitablement à nouveau? Promptement, j’avais une profonde aversion auprès des marâtres indignes. Vous savez? Celles qui caressent leur vulve trop aisément, pour des « anthropopithèques » mâles, tout aussi répréhensibles que végétatifs. Bref, j’abhorrais haineusement à la continuation prolifique du parasitisme humain, car je devais absoudre toute forme d’imperfection avenir. De la sorte, le « projet massacre » pouvait ainsi donc être amorcé, et ce, judicieusement. Néanmoins, je devais parfaire mon art oratoire pour ensuite parvenir à convertir le plus de gens possible. Mieux encore, je devais encourager le petit peuple à investir dans ma cabale. Comment pouvais-je réellement réussir à manipuler le maximum de personne en si peu de temps? Nécessairement, mon but principal était de remplir mon quota d’âme par semaine, mais grâce à l’enseignement sectaire, une prochaine ère obscure allait survenir. Mon désir était de rebâtir une nouvelle civilisation et abolir tout état de conscience, jusqu’à ce que la misère et l’oppression deviennent une banalité à la dévotion du public. Il n’y aurait ni bienfaiteur ni malfaiteur, seulement ce « moi » qui trop souvent, est délaissé au profit de la solitude et de la moralité. Bien entendu, je savais pertinemment que cette fatale ambition était une mission gigantesque, démesurée, insensée puis singulièrement fabuleuse! Quoique je doive admettre que mon idée à la base était tout à fait idéaliste, car j’anticipais le chaos comme une sorte de chronique du fantastique du genre à anéantir chaque molécule vivante sur la surface de la planète afin de provoquer, une fois de plus, Armageddon. Histoire typique du bien contre le mal, je le concède, mais cette fois-ci la réalité serait tout autre. Ayant écarté toute aspect de ma lucidité, je pouvais m’adonner sans crainte à des actes primitifs, barbaresques et sadiques. Si décéder prématurément peut sembler désagréable pour certaines personnes, elle est incontestablement une libération auprès des autres! Prenez par exemple cette petite anecdote. Il y a quelques temps de cela déjà, lors d’une soirée à l’opéra, j’avais aperçu une attirante femme au corps magnifique. Elle avait une longue chevelure teintée d’ombre bleutée à la couleur de la nuit et au reflet de lune argentée. Que de surprises, elle connaissait déjà mon funèbre secret et fantasmait avec ardeur d’être extirpé à la vie en faisant acte de prolifération tout en introduisant dans sa chaste rosée la lueur écarlate de ma lame légendaire. Nous étions dès lors, retournés chez elle en compagnie de ce mystérieux canif entre ses cuisses. Demeurant mystérieuse et solitaire, elle débutait par se caresser vigoureusement dans la noirceur. Pendant qu’elle recherchait sans la moindre gêne son intense satisfaction, elle s’affaissa durement sur le plancher. Inutile de vous rappelez que cela avait produit chez moi un silence dès plus perplexe. Par la suite, sa romance devenait une plénitude, car du sang giclait vers l’extérieur de sa vierge fleur abîmée. Elle ne cédait jamais sous la constante impulsion, mais elle se précipitait vers son clitoris, comme si elle était en état de transe ou de manque. Comme si sa drogue forte provenait de sa propre jouissance.
...Voilà je suis rendu là...
Re: Démonstration de mon roman
Tu dois te tromper de forum...
Même si certain membres t'ont témoigné de l'affection, je ne vois pas bien ce que ton texte fait ici!
Même si certain membres t'ont témoigné de l'affection, je ne vois pas bien ce que ton texte fait ici!
Re: Démonstration de mon roman
Ah j'ai cru on parlait d'art ici ? D'écriture, ou même de la musique ? non ?
- BeetleJuice
- Messages : 6568
- Inscription : 22 oct. 2008, 22:38
Re: Démonstration de mon roman
Je suis assez d'accord avec Cedric sur le fait qu'un forum sceptique n'est pas spécialement l'endroit pour demander un avis littéraire, malgré tout, je vais quand même en donner un.
Je préviens de suite, ma critique ne sera pas élogieuse, pas indulgente, simplement honnête, donc si vous pensez ne pas pouvoir supporter une critique très négative, arrêtez vous de lire ce message dès maintenant (parce que je ne répondrais pas à des remarque puéril du type "vous êtes qui pour me juger". Si vous mettez votre texte en public, attendez vous à une réaction du public)
Je trouve ça extrêmement mauvais, aussi bien sur le thème, le style, l'ambiance, bref, tout me déplait.
La syntaxe est une catastrophe, les tournures de phrases sont inutilement compliqués, au point d'en devenir difficilement compréhensible, le champs lexical n'est pas maîtrisé.
C'est lourd, on passe rapidement sur les réflexions philosophique sans réel intérêt dans le texte, en espérant vaguement que l'action viendra rehausser le tout, mais ce n'est pas le cas, puisque l'on fait de grosses ellipses sur les passages de description.
Par exemple, la mort du père, qui devrait avoir un impact sur la personne (s'il s'agit d'un tueur, le drame familial est peut-être pour quelque chose...) mais est expédié en à peine deux ligne pour être suivit par une description pseudo-érotique de la mère, qui n'apporte strictement rien à la scène, mais rempli, cette fois, plus de 3 ligne, alors que ça n'a qu'un intérêt très relatif.
De plus, le fait que ça tourne sans arrêt autour du sexe, sans pour autant réellement être érotique (on oscille sans arrêt entre pornographie, description cru et vulgarité gratuite) n'apporte rien sinon l'ennui, faute d'avoir autre chose de plus signifiant à ce mettre sous la dent.
l'impression qui en ressort, quand on a pu aller jusqu'au bout, c'est que vous avez enrobez peu de chose sous une énorme couche de rajout esthétique purement gratuit et tellement mal maîtrisé qu'on étouffe totalement sous des tournure de phrase désagréable à la lecture.
Bref, à mon sens, ça part super mal. J'ai très peur de ce que pourrait donner 200 pages de roman sans le même style littéraire.
Je préviens de suite, ma critique ne sera pas élogieuse, pas indulgente, simplement honnête, donc si vous pensez ne pas pouvoir supporter une critique très négative, arrêtez vous de lire ce message dès maintenant (parce que je ne répondrais pas à des remarque puéril du type "vous êtes qui pour me juger". Si vous mettez votre texte en public, attendez vous à une réaction du public)
Je trouve ça extrêmement mauvais, aussi bien sur le thème, le style, l'ambiance, bref, tout me déplait.
La syntaxe est une catastrophe, les tournures de phrases sont inutilement compliqués, au point d'en devenir difficilement compréhensible, le champs lexical n'est pas maîtrisé.
C'est lourd, on passe rapidement sur les réflexions philosophique sans réel intérêt dans le texte, en espérant vaguement que l'action viendra rehausser le tout, mais ce n'est pas le cas, puisque l'on fait de grosses ellipses sur les passages de description.
Par exemple, la mort du père, qui devrait avoir un impact sur la personne (s'il s'agit d'un tueur, le drame familial est peut-être pour quelque chose...) mais est expédié en à peine deux ligne pour être suivit par une description pseudo-érotique de la mère, qui n'apporte strictement rien à la scène, mais rempli, cette fois, plus de 3 ligne, alors que ça n'a qu'un intérêt très relatif.
De plus, le fait que ça tourne sans arrêt autour du sexe, sans pour autant réellement être érotique (on oscille sans arrêt entre pornographie, description cru et vulgarité gratuite) n'apporte rien sinon l'ennui, faute d'avoir autre chose de plus signifiant à ce mettre sous la dent.
l'impression qui en ressort, quand on a pu aller jusqu'au bout, c'est que vous avez enrobez peu de chose sous une énorme couche de rajout esthétique purement gratuit et tellement mal maîtrisé qu'on étouffe totalement sous des tournure de phrase désagréable à la lecture.
Bref, à mon sens, ça part super mal. J'ai très peur de ce que pourrait donner 200 pages de roman sans le même style littéraire.
This is our faith and this is what distinguishes us from those who do not share our faith.
(John Flemming, Évêque irlandais, 3ème dan de tautologie, ceinture noire de truisme, champion des lapalissades anti-avortement.)
(John Flemming, Évêque irlandais, 3ème dan de tautologie, ceinture noire de truisme, champion des lapalissades anti-avortement.)
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Re: Démonstration de mon roman
Un invendu. Ou, plutôt, un "jamais paru", à mon avis. Sur ce forum, on l'encourage(ait) à continuer. Je ne sais pas si c'est lui rendre service mais, dans le genre, chacun suit sa chimère.BeetleJuice a écrit :Bref, à mon sens, ça part super mal. J'ai très peur de ce que pourrait donner 200 pages de roman sans le même style littéraire.
Jean-François
“Belief is the wound that knowledge heals.” (Ursula Le Guin, The Telling)
("La foi est la blessure que le savoir guérit", Le dit d'Aka)
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- BeetleJuice
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Re: Démonstration de mon roman
je trouve ça irresponsable de l'encourager à continuer personnellement.
Si c'était simplement le thème ou le style, à la limite, je me dirais que ça dépend des goûts. Mais là, ça parait évident qu'il ne maîtrise pas le langage (même en prétendant la licence poétique "sombra subitement sur le plancher", "infinie onde de choc s'empara des adolescent", "susurrement de frayeur" ou encore "signala le service d'urgence" ça pique sévèrement les yeux.)
Si c'était simplement le thème ou le style, à la limite, je me dirais que ça dépend des goûts. Mais là, ça parait évident qu'il ne maîtrise pas le langage (même en prétendant la licence poétique "sombra subitement sur le plancher", "infinie onde de choc s'empara des adolescent", "susurrement de frayeur" ou encore "signala le service d'urgence" ça pique sévèrement les yeux.)
This is our faith and this is what distinguishes us from those who do not share our faith.
(John Flemming, Évêque irlandais, 3ème dan de tautologie, ceinture noire de truisme, champion des lapalissades anti-avortement.)
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Re: Démonstration de mon roman
Même si ce qu'on vous renvoie ne vous plaît pas, ce n'est pas grave; vous avez déjà le courage de vous lancer dans l'écriture, ce qui n'est pas donné à n'importe qui.
Vous êtes jeune, et vous faites j'en suis convaincu du mieux que vous pouvez avec les moyens que vous avez; ce qui compte selon moi, c'est de réellement faire ressentir que vous écrivez pour faire plaisir avant-tout à vos lecteurs, et non à vous-même à travers ce projet.
Gardez toujours en tête que si celui si risque d'être passable pour certains, le prochain sera différent et s'enrichira des défauts et qualités du précédent, si toutefois vous faites l'effort d'avoir une réflexion sur vos produits une fois terminés, ce qui n'est pas évident.
J'espère vous avoir donné envie de poursuivre avec plus d'entrain. Gardez bien vos textes, et relisez les dans 15 ans, vous serez ému et attendri par votre naïveté.
Bonne continuation,
rotor
La création nécessite de passer par l'apprentissage, au début on est mauvais, moyen puis bon etc... ce qui nous différencie des machines qui sont programmées pour accomplir une tâche parfaitement dès la fin de l'apprentissage, et cela dans les limites du savoir du "programmeur".
Ce n'est pas une machine, il a besoin d'apprendre par étape, et d'être soutenu par ses proches car je trouve difficile d'apprendre et de garder l'envie d'apprendre tout au long des échecs et résultats passables.
C'est ce qu'il y a d'extrêmement beau à mes yeux chez l'humain, cette volonté d'apprendre malgré toutes les difficultés et de surcroît une mort certaine qui vous attend au bout de la route.

Vous êtes jeune, et vous faites j'en suis convaincu du mieux que vous pouvez avec les moyens que vous avez; ce qui compte selon moi, c'est de réellement faire ressentir que vous écrivez pour faire plaisir avant-tout à vos lecteurs, et non à vous-même à travers ce projet.
Gardez toujours en tête que si celui si risque d'être passable pour certains, le prochain sera différent et s'enrichira des défauts et qualités du précédent, si toutefois vous faites l'effort d'avoir une réflexion sur vos produits une fois terminés, ce qui n'est pas évident.
J'espère vous avoir donné envie de poursuivre avec plus d'entrain. Gardez bien vos textes, et relisez les dans 15 ans, vous serez ému et attendri par votre naïveté.
Bonne continuation,

rotor
Bon, je suis en partie d'accord avec vous. Il ne maitrise pas certaines choses.Beetlejuice a écrit :ça parait évident qu'il ne maîtrise pas le langage (même en prétendant la licence poétique "sombra subitement sur le plancher", "infinie onde de choc s'empara des adolescent", "susurrement de frayeur" ou encore "signala le service d'urgence" ça pique sévèrement les yeux.)
La création nécessite de passer par l'apprentissage, au début on est mauvais, moyen puis bon etc... ce qui nous différencie des machines qui sont programmées pour accomplir une tâche parfaitement dès la fin de l'apprentissage, et cela dans les limites du savoir du "programmeur".
Ce n'est pas une machine, il a besoin d'apprendre par étape, et d'être soutenu par ses proches car je trouve difficile d'apprendre et de garder l'envie d'apprendre tout au long des échecs et résultats passables.
C'est ce qu'il y a d'extrêmement beau à mes yeux chez l'humain, cette volonté d'apprendre malgré toutes les difficultés et de surcroît une mort certaine qui vous attend au bout de la route.

Re: Démonstration de mon roman
Je comprends tout à fait et tout les avis me satisfait. Je m'y attendait forcément, mais je ne suis pas d'accord sur certains point. Mais bon, il est vrai que
je passe rapidement sur le cas du père. J'y avais bien sûr pensé. Mais sachez que je crois en mon talent et pleins de personne avec et se faire dire c'est choses est tout à normal considérant que ce n'est pas parfait et que bien entendu je vais peaufiné ! Comme d'habitude, je déplore certaines manières de dire les choses et mon texte aussi cru et gratuit qui semble l'être, est beaucoup profonde que vous semblez le croire. Pour ma syntax, je ne vois pas en quoi elle est aussi merdique. Certes, j'ai une écriture relativement poétique à la base, mais de là à me dire que c'était outrageusement laid... Néanmoins, je vous remercie et même pour ceux qui n'ont pas aimé je vais leur dire une chose. Vous savez si je poste cet essais littéraire en ayant l'espoir que quelqu'un me répondre...Je savais pertinemment que mon texte aurait été perçu comme vous l'avez dit. Cependant, je sais que l'opinion est importante et je vais essayer de m'améliorer, sauf que la prochaine moi soyez donc plus constructif ! Jugez c'est l'art de dire la faute de quelqu'un sans en donner les véritables faits. (encore une preuve que certain d'entre ne faite pas, mais que vous la proclamer. Sur ce, je continu mon roman et je prends ce qui me semble juste dans vos critiques. Mais il est clair pour moi que vous n'avez pas capter le deuxième sens de récit. C'est une lettre écrite par un tueur en série. Il raconte sa manière d'être, de parler, de vivre, de comprendre les choses. Il a ses propres convictions (choses que j'ai compris que dans ce forum les gens avaient beaucoup de misère à comprendre) Hélas. Sinon encore merci pour le reste.
je passe rapidement sur le cas du père. J'y avais bien sûr pensé. Mais sachez que je crois en mon talent et pleins de personne avec et se faire dire c'est choses est tout à normal considérant que ce n'est pas parfait et que bien entendu je vais peaufiné ! Comme d'habitude, je déplore certaines manières de dire les choses et mon texte aussi cru et gratuit qui semble l'être, est beaucoup profonde que vous semblez le croire. Pour ma syntax, je ne vois pas en quoi elle est aussi merdique. Certes, j'ai une écriture relativement poétique à la base, mais de là à me dire que c'était outrageusement laid... Néanmoins, je vous remercie et même pour ceux qui n'ont pas aimé je vais leur dire une chose. Vous savez si je poste cet essais littéraire en ayant l'espoir que quelqu'un me répondre...Je savais pertinemment que mon texte aurait été perçu comme vous l'avez dit. Cependant, je sais que l'opinion est importante et je vais essayer de m'améliorer, sauf que la prochaine moi soyez donc plus constructif ! Jugez c'est l'art de dire la faute de quelqu'un sans en donner les véritables faits. (encore une preuve que certain d'entre ne faite pas, mais que vous la proclamer. Sur ce, je continu mon roman et je prends ce qui me semble juste dans vos critiques. Mais il est clair pour moi que vous n'avez pas capter le deuxième sens de récit. C'est une lettre écrite par un tueur en série. Il raconte sa manière d'être, de parler, de vivre, de comprendre les choses. Il a ses propres convictions (choses que j'ai compris que dans ce forum les gens avaient beaucoup de misère à comprendre) Hélas. Sinon encore merci pour le reste.
Re: Démonstration de mon roman
Une nullité qui n'a d'égal que son auteur..
anybody in the creation/evolution debate area knows that this is basically a spiritual war. The root of the problem is not a question of what is science or what is truth. [Laurence Tisdall]
Suggestion d'avatar
Salut Anabiosis,
Tu dis :
Il est là, ton problème : tu ne le vois pas.Pour ma syntax, je ne vois pas en quoi elle est aussi merdique.
Et il n'y a pas que la syntaxe. Par exemple :
D'après toi, combien y a-t-il de grosses fautes, dans cette petite phrase ?Mais sachez que je crois en mon talent et pleins de personne avec et se faire dire c'est choses est tout à normal considérant que ce n'est pas parfait et que bien entendu je vais peaufiné !
J'en ai compté 6, sans gratter le fond.
Tu es aussi proche d'être écrivain que je suis proche d'être lutteur de sumo professionnel. As-tu essayé la peinture ? Le tricot ?
Je remarque que tu n'as pas d'avatar. Candidement, je te propose celui-ci.

Les meilleures sorties de route sont celles qui font le moins de tonneaux.
- BeetleJuice
- Messages : 6568
- Inscription : 22 oct. 2008, 22:38
Re: Démonstration de mon roman
Vous vous faites aussi des illusions quand à ce qu'est un texte poétique.Certes, j'ai une écriture relativement poétique à la base
La poésie, ça n'est pas des tournures de phrase alambiqués sans réel intérêt autre que d'enrober le manque de profondeur du texte, c'est d'abord et avant tout un jeu sur la sonorité, le sens des mots, bref, savoir faire une phrase à la fois belle à l'oreille et intéressante sur le plan du sens grâce à l'utilisation de figure de styles imagées et parlantes.
Or, là, vous n'utilisez aucune figure de style particulière, vous tournez simplement les phrases pour jouer sur les périphrases (comme le terme "copine d'orgasme" pour définir partenaire sexuel, qui n'est qu'une périphrase sans intérêt poétique réel.)
Bof, il n'y a rien de profond dans un étalage de pseudo-érotisme et quelque réflexion philosophique collée dans le texte.mon texte aussi cru et gratuit qui semble l'être, est beaucoup profonde que vous semblez le croire.
La profondeur du texte aurait été plus flagrante si l'on avait réellement exploré la psyché du psychopathe, mais là, on a juste l'impression de survoler un texte d'adolescent déprimé.
On ne ressent rien et l'évocation sexuelle gratuite ne fait qu'accentuer cette froideur absolue du texte en empêchant le lecteur de rentrer réellement dans la pensée du personnage, parce que toujours ramener à des considérations physiques peu attrayantes.
Enfin bref, je ne vais pas m'étendre plus que ça, votre réponse voulant, en substance dire: vous n'avez rien compris, en fait c'est vous qui êtes trop bête pour comprendre mon talent.
Soit, ça ne me surprends pas, même si je pense que vous vous faites sincèrement des illusions quand à votre "talent".
Enfin, bonne continuation quand même. Mais si j'ai un conseil à vous donnez, essayé d'écrire des choses plus simple que les confession d'un psychopathe, pour commencer.
Par exemple, vous pourriez vous exercer à faire des textes en suivant des contraintes issus de ce site:
http://www.oulipo.net/contraintes
Ca vous permettra de vous entrainez à maîtriser le forme.
Idem, vous pourriez vous entrainez à faire des textes "à la manière de", en essayant de copier le style d'un auteur et en écrivant une suite ou un début à un texte de cet auteur. C'est un très bon exercice pour apprendre à écrire et forger son propre style, car dès lors qu'on comprend la mécanique du style d'un auteur, on est plus à même d'incorporer dans le sien des astuces littéraires utiles.
Il y a beaucoup d'exercice que vous pouvez faire qui pourront vous donner des moyens de maîtriser l'écriture et ovus permettre de vous lancer dans des choses aussi complexe que ce que vous essayez de faire.
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(John Flemming, Évêque irlandais, 3ème dan de tautologie, ceinture noire de truisme, champion des lapalissades anti-avortement.)
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Re: Démonstration de mon roman
Ça ne commence pas bien du tout :
L'ensemble, à l'image de cette première phrase, laisse un goût indigeste dans la bouche, tant le style est ampoulé. En peinture, c'est comme si vous aviez décidé de mettre plein de teintes en or et couleur vives. Le résultat c'est soit du Klimt quand on est très doué, soit du kitsch. Chez vous ce serait plutôt du kitsch criard...
désolé.
Je souscrits (encore désolé) au fond de la critique de Beetlejuice.
A partir de là, j'avoue avoir eu un peu de mal. L'usage d'"incrémenter" est plutôt maladroit ici. C'est un terme du champ lexical mathématique. On lui préfèrera de loin grandir, croître, se développer, s'étendre, proliférer, sourdre, naître, jaillir, etc. "par-delà d'anciens vestiges" est une tournure curieuse, on attend donc à avoir une précision dans la suite de la phrase. Perdu, on y parle de "miasme voluptueux", tournure absconse compte tenu du sens de miasme.Anabiosis a écrit :Le mal s’incrémente par-delà d’anciens vestiges, tel un miasme voluptueux prospérant dans l’indifférence
L'ensemble, à l'image de cette première phrase, laisse un goût indigeste dans la bouche, tant le style est ampoulé. En peinture, c'est comme si vous aviez décidé de mettre plein de teintes en or et couleur vives. Le résultat c'est soit du Klimt quand on est très doué, soit du kitsch. Chez vous ce serait plutôt du kitsch criard...

Je souscrits (encore désolé) au fond de la critique de Beetlejuice.
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Stephen Hawking
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Re: Démonstration de mon roman
On dirait qu'Anabiosis sait utiliser la fonction "synonyme" dans Word... mais que l'usage du correcteur orthographique et, pire, l'usage du dictionnaire lui échappent.Ptoufle a écrit :L'usage d'"incrémenter" est plutôt maladroit ici
J'ai survolé le truc: c'est pompeux comme un texte d'adolescent aux ambitions pas très réalistes. Ce qui m'a vraiment fait décrocher, c'est "il se fit indignement frapper par un malaise cardiaque et sombra subitement sur le plancher"*. Après ça, je me dis qu'une chance que la littérature ne l'attend pas pour survivre.
* On a quand même échappé à: "sombra subitement dans un coma et sur le plancher"

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Mime?Denis a écrit :Tu es aussi proche d'être écrivain que je suis proche d'être lutteur de sumo professionnel. As-tu essayé la peinture ? Le tricot ?
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Si c'est le second "sens" du texte, c'est quoi le premier?Anabiosis a écrit :Mais il est clair pour moi que vous n'avez pas capter le deuxième sens de récit. C'est une lettre écrite par un tueur en série

Jean-François
“Belief is the wound that knowledge heals.” (Ursula Le Guin, The Telling)
("La foi est la blessure que le savoir guérit", Le dit d'Aka)
("La foi est la blessure que le savoir guérit", Le dit d'Aka)
Re: Démonstration de mon roman
Bonjour,
je ne jugerai que l'adéquation de ce texte avec la vocation de ce forum: nul!
Tu n'es pas le centre d'intérêt de ce forum, même su tu as tenté de le devenir en venant étaler tes spéculations sur tous les sujets, au point d'en arriver à proposer un sujet qui tourne autour de toi, et n'a aucun rapport avec ce qui nous intéresse tous ici.
C'est à se demander si tous tes autres posts n'étaient pas qu'une introduction, une accroche, avant de nous soumettre ton art.
Bref, ça fait un peu penser à un comportement d'enfant gâté, confirmé par ta réaction face aux critiques.
edit: j'ai un peu soigné ma syntaxe et mon style, mais heureusement, je n'ai aucune prétention littéraire!
je ne jugerai que l'adéquation de ce texte avec la vocation de ce forum: nul!
Tu n'es pas le centre d'intérêt de ce forum, même su tu as tenté de le devenir en venant étaler tes spéculations sur tous les sujets, au point d'en arriver à proposer un sujet qui tourne autour de toi, et n'a aucun rapport avec ce qui nous intéresse tous ici.
C'est à se demander si tous tes autres posts n'étaient pas qu'une introduction, une accroche, avant de nous soumettre ton art.
Bref, ça fait un peu penser à un comportement d'enfant gâté, confirmé par ta réaction face aux critiques.
edit: j'ai un peu soigné ma syntaxe et mon style, mais heureusement, je n'ai aucune prétention littéraire!

Re: Démonstration de mon roman
Salut
Je vais être franc: je n'ai pas lu ton texte ^^ mais je suis convaincu que si tu aime écrire, don ou pas, talent ou pas, en continuant de lire et d'écrire, tu finira forcement par faire des trucs bien.
Lit Victor Hugo , il parait que c'est celui qui maîtrisait le mieux la langue française
Je vais être franc: je n'ai pas lu ton texte ^^ mais je suis convaincu que si tu aime écrire, don ou pas, talent ou pas, en continuant de lire et d'écrire, tu finira forcement par faire des trucs bien.
Lit Victor Hugo , il parait que c'est celui qui maîtrisait le mieux la langue française

La raison d'état est une raison mystérieuse , inventé par la politique , pour autoriser ce qui se fait sans raison.
Napoléon
Napoléon
Re: Démonstration de mon roman
mais je suis convaincu que si tu aime écrire, don ou pas, talent ou pas, en continuant de lire et d'écrire, tu finira forcement par faire des trucs bien.

Et non, dans ce monde injuste, il ne suffit pas de vouloir pour pouvoir.
- BeetleJuice
- Messages : 6568
- Inscription : 22 oct. 2008, 22:38
Re: Démonstration de mon roman
Cela dit, il est tout aussi idiot de penser que l'écriture serait un don qui ne toucherait qu'une poignée de gens dans ce monde injuste.Et non, dans ce monde injuste, il ne suffit pas de vouloir pour pouvoir.
Si le génie littéraire ne s'apprend pas, en grande partie parce qu'il dépend beaucoup de l'appréciation du public, autant que de la sensibilité et de la technique de l'écrivain, l'écriture en elle même, elle, s'apprend.
On peut parfaitement devenir écrivain en apprenant à l'être sans pour autant devenir le nouveau Victor Hugo, mais modestement devenir un auteur de roman moyennement lu.
C'est comme pour l'art. Il y a ceux qui font des oeuvres sur commande et ceux qui font des œuvres géniales. Dans les deux cas, ils ont appris à le faire, simplement tout le monde n'est pas Picasso ou Rodin. Ca ne veut pourtant pas dire que celui qui fait des oeuvres à la commande n'est pas un vrai sculpteur ou peintre.
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(John Flemming, Évêque irlandais, 3ème dan de tautologie, ceinture noire de truisme, champion des lapalissades anti-avortement.)
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Re: Démonstration de mon roman
Salut BJ,
Pour la petite histoire, parmis ses nombreuses activités (tourisme et officier au service de la Casa Real*, etc...), mon père est un écrivain qui écrit en deux langues (fr, es). Voici ses oeuvres littéraires en fr :
“Odyseus : le choc des Temps” - Editions SANTA MARIA - 1984
“La Symphonie Ecarlate” - Editions SANTA MARIA - 1990
“Le Trésor de Mastabah” - Editions SANTA MARIA - 1994
Ainsi que les autres en es :
Sur son blog : http://jose-spitzer-ysbert.blogspot.com ... sbert.html
* : http://www.casareal.es/index-iden-idweb.html
++
Buck
Je suis d'accord pour dire que l'on peut apprendre et progresser mais je pense réellement que certaines personnes ont plus de facilité (ou prédisposition ?) que d'autres. Quelles en sont les raisons exactes, c'est une autre question dont la réponse n'est peut être pas très simple, ni unique. La science a t'elle répondu à cette question, je n'en sais rien...Cela dit, il est tout aussi idiot de penser que l'écriture serait un don qui ne toucherait qu'une poignée de gens dans ce monde injuste.
Pour la petite histoire, parmis ses nombreuses activités (tourisme et officier au service de la Casa Real*, etc...), mon père est un écrivain qui écrit en deux langues (fr, es). Voici ses oeuvres littéraires en fr :
“Odyseus : le choc des Temps” - Editions SANTA MARIA - 1984
“La Symphonie Ecarlate” - Editions SANTA MARIA - 1990
“Le Trésor de Mastabah” - Editions SANTA MARIA - 1994
Ainsi que les autres en es :
Sur son blog : http://jose-spitzer-ysbert.blogspot.com ... sbert.html
* : http://www.casareal.es/index-iden-idweb.html
++
Buck
- BeetleJuice
- Messages : 6568
- Inscription : 22 oct. 2008, 22:38
Re: Démonstration de mon roman
C'est pour ça que j'ai dit que le génie littéraire ne s'apprend pas.Je suis d'accord pour dire que l'on peut apprendre et progresser mais je pense réellement que certaines personnes ont plus de facilité (ou prédisposition ?) que d'autres.
C'est évident que certaines personnes sont plus doués que d'autre pour certaine chose, écriture compris (pour un tas de raison, ça dépend de ce qu'ils écrivent.)
Malgré tout ça n'empêche pas d'apprendre.
Là, vu la médiocrité de l'écriture d'Anabiosis, c'est un peu difficile de juger de sa sensibilité d'écrivain. C'est bien pour ça que je lui ai conseillé d'apprendre à écrire d'abord, puis de réessayer ensuite, quand il aura les outils adéquates pour s'exprimer dans ce domaine (là on pourra juger de son talent...cela dit ça m'étonnerait quand même que l'apprentissage de technique le transforme soudainement en Molière)
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Re: Démonstration de mon roman
Re BJ,
Oui, tu as raison, excuses moi.
Espérons que Anabiosis suive tes recommandations et qu'il comprenne surtout pourquoi il devrait en tenir compte...
++
Buck
Oui, tu as raison, excuses moi.
Espérons que Anabiosis suive tes recommandations et qu'il comprenne surtout pourquoi il devrait en tenir compte...
++
Buck
Re: Démonstration de mon roman
Bonjour
Buckwild , tu dis ;
Ovide
Buckwild , tu dis ;
Je ne peux t'expliquer scientifiquement la raison pour laquelle certaines personnes ont plus de facilité (ou prédisposition ?) que d'autres à accomplir certaines choses, mais tu peux appeler ça simplement " avoir du talent "....Je suis d'accord pour dire que l'on peut apprendre et progresser mais je pense réellement que certaines personnes ont plus de facilité (ou prédisposition ?) que d'autres. Quelles en sont les raisons exactes, c'est une autre question dont la réponse n'est peut être pas très simple, ni unique. La science a t'elle répondu à cette question, je n'en sais rien...

Ovide
La plupart des zozos ont un mode d'argumentation qui ne méritent que des coups de la légendaire massue de la rationalité transfixée du clou du sarcasme ...
REF; un sceptique de ce forum....!
REF; un sceptique de ce forum....!
Re: Démonstration de mon roman
Vous êtes quand même très dur avec Anabiosis, bien que je partage complètement les arguments de Beetlejuice sur les erreurs faites dans cet essai.
J'avou avoir eu du mal à lire, je n'ai pas été "transporté". Et comme il est dit, écrire les mémoire d'un tueur est un exercice loin d'être à la porté d'un débutant. ça demande un effort psycologique pour raisonnner de manière "décalé". A votre place je partirai sur un sujet plus accessible pour commencer, et reverrai ma syntaxe.
Mais moi je part du principe qu'il faut encourager les débutants, quelconque soit la qualité de leurs premiers travaux. Et quand aux détracteurs qui qualifient votre travail de "laid, médiocre, nullité..." je trouve ça pas très critique si il n'y a pas de conseils derrière. Derrière ces paragraphes il y a eu un travail de réalisé et on peux au minimum féliciter l'intiative et le temps consacré, tout en espérant une progression dans le style. ça demande un certain courage.
J'avou avoir eu du mal à lire, je n'ai pas été "transporté". Et comme il est dit, écrire les mémoire d'un tueur est un exercice loin d'être à la porté d'un débutant. ça demande un effort psycologique pour raisonnner de manière "décalé". A votre place je partirai sur un sujet plus accessible pour commencer, et reverrai ma syntaxe.
Mais moi je part du principe qu'il faut encourager les débutants, quelconque soit la qualité de leurs premiers travaux. Et quand aux détracteurs qui qualifient votre travail de "laid, médiocre, nullité..." je trouve ça pas très critique si il n'y a pas de conseils derrière. Derrière ces paragraphes il y a eu un travail de réalisé et on peux au minimum féliciter l'intiative et le temps consacré, tout en espérant une progression dans le style. ça demande un certain courage.
Re: Démonstration de mon roman
Franchement, les seuls prix littéraires que pourraient remporter une telle prose sont le prix décerné chaque année au plus mauvais début de roman *, en mémoire de l'écrivaillon qui avait commencé par "C'était pendant l'horreur d'une profonde nuit ...", et le Prix Champignac **, en raison du style horriblement ampoulé et constellé de superpositions de métaphores incompatibles ("Un pied vaillant posé sur la vague que n'avait jamais foulée la main de l'homme, il s'exclama en portugais et en roulant les r, car c'était ne l'oublions pas sa langue maternelle, : Ah, les cochons !").
Mon conseil: renoncez momentanément à écrire et lisez, lisez, lisez ! Des auteurs classiques, des célèbres, des spécialisés, du roman, du documentaire, bref, lisez ! C'est le meilleur apprentissage vers l'écriture.
Edité pour ajouter:
* le "Bulwer–Lytton Fiction Contest" [...] initié en 1982 par le Prof Scott Rice du Département d'Anglais de la San Jose State University, en "l'honneur" du romancier et auteur de théatre anglais Edward George Bulwer-Lytton, auteur de la célèbre première ligne "It was a dark and stormy night." Ce début est suivi, dans le roman de 1830 "Paul Clifford", de la floride suite que voilà:
"It was a dark and stormy night; the rain fell in torrents, except at occasional intervals, when it was checked by a violent gust of wind which swept up the streets (for it is in London that our scene lies), rattling along the housetops, and fiercely agitating the scanty flame of the lamps that struggled against the darkness."
(C'était pendant l'horreur d'une sombre et tempétueuse nuit; la pluie tombait à torrents, sauf à d'occasionnels intervalles, lorsqu'elle était tenue en respect par une violente bourrasque de vent qui balayait les rues (car c'est à Londres que se déroule notre scène), tambourinant sur le toîts des maisons et agitant furieusement la faible flamme des lampes qui luttaient contre les ténèbres.)
** http://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_Prix ... Champignac
Mon conseil: renoncez momentanément à écrire et lisez, lisez, lisez ! Des auteurs classiques, des célèbres, des spécialisés, du roman, du documentaire, bref, lisez ! C'est le meilleur apprentissage vers l'écriture.
Edité pour ajouter:
* le "Bulwer–Lytton Fiction Contest" [...] initié en 1982 par le Prof Scott Rice du Département d'Anglais de la San Jose State University, en "l'honneur" du romancier et auteur de théatre anglais Edward George Bulwer-Lytton, auteur de la célèbre première ligne "It was a dark and stormy night." Ce début est suivi, dans le roman de 1830 "Paul Clifford", de la floride suite que voilà:
"It was a dark and stormy night; the rain fell in torrents, except at occasional intervals, when it was checked by a violent gust of wind which swept up the streets (for it is in London that our scene lies), rattling along the housetops, and fiercely agitating the scanty flame of the lamps that struggled against the darkness."
(C'était pendant l'horreur d'une sombre et tempétueuse nuit; la pluie tombait à torrents, sauf à d'occasionnels intervalles, lorsqu'elle était tenue en respect par une violente bourrasque de vent qui balayait les rues (car c'est à Londres que se déroule notre scène), tambourinant sur le toîts des maisons et agitant furieusement la faible flamme des lampes qui luttaient contre les ténèbres.)
** http://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_Prix ... Champignac
"As democracy is perfected, the office of President represents, more and more closely, the inner soul of the people. On some great and glorious day, the plain folks of the land will reach their heart's desire at last and the White House will be adorned by a downright moron." - H. L. Mencken
Re: Démonstration de mon roman
Eh bien j'ai eu une avis extérieur d'une personne très professionnel dans ce domaine.
Bon honnêtement, vos commentaires m'ont vraiment attristé jusqu'à douter mon droit à l'écriture en tant que écrivain.
Eh bien elle m'a certifié que mon texte comportait quelques erreurs, mais qu'il n'était en aucun cas illisible.
Elle m'a fait prendre conscience que la plupart qui me juge sont français, donc nous n'avons pas les mêmes
manières de s'exprimer. J'ai continué à faire lire mon texte à des gens qui j'avais confiance au niveau critique...
et j'ai compris amèrement que certaine chose devait être amélioré...sauf que TOUT MES PERSONNES qui l'ont lient ont TOUS
BIEN COMPRIS LE SENS PROFOND DU TEXTE ET N'ONT JAMAIS EU DE PROBLÈME lors de la lecture... Qui croire ? un faible % des gens me trouve horrible et le reste me trouve génial...je pense que je vais méditer la dessus. MIEUX ENCORE ILS ONT ADORÉ LE FAIT QUE SA SOIT DÉMENT, GRATUIT, etc.
ELLE a même ajouté, qu'elle aurait bien aimé pense à ça lors de ses examens en littérature. Que j'aurais véritablement un fort talent. (ces sa fille qui a dit ça, de mon âge.) J'ajoute que je suis véritablement talentueux et que je suis apte à écrire un tel roman. Vous ne me connaissez pas.
Bon honnêtement, vos commentaires m'ont vraiment attristé jusqu'à douter mon droit à l'écriture en tant que écrivain.
Eh bien elle m'a certifié que mon texte comportait quelques erreurs, mais qu'il n'était en aucun cas illisible.
Elle m'a fait prendre conscience que la plupart qui me juge sont français, donc nous n'avons pas les mêmes
manières de s'exprimer. J'ai continué à faire lire mon texte à des gens qui j'avais confiance au niveau critique...
et j'ai compris amèrement que certaine chose devait être amélioré...sauf que TOUT MES PERSONNES qui l'ont lient ont TOUS
BIEN COMPRIS LE SENS PROFOND DU TEXTE ET N'ONT JAMAIS EU DE PROBLÈME lors de la lecture... Qui croire ? un faible % des gens me trouve horrible et le reste me trouve génial...je pense que je vais méditer la dessus. MIEUX ENCORE ILS ONT ADORÉ LE FAIT QUE SA SOIT DÉMENT, GRATUIT, etc.
ELLE a même ajouté, qu'elle aurait bien aimé pense à ça lors de ses examens en littérature. Que j'aurais véritablement un fort talent. (ces sa fille qui a dit ça, de mon âge.) J'ajoute que je suis véritablement talentueux et que je suis apte à écrire un tel roman. Vous ne me connaissez pas.
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