Les inégalités intellectuelles entre les races sont d'origine essentiellement génétiques.
Il y a 12 arguments majeurs qui démontrent l'existence et l'importance de facteurs génétiques innés dans les différences intellectuelles. Cette liste s'allonge chaque année.
Prenons la comparaison entre la race noire et la race caucasienne, car c'est celle qui est le plus détaillée dans l'ouvrage de Richard Lynn, il va de soit que les arguments sont extrapolables à d'autres comparaisons.
1. Les deux races ont évolué indépendamment l'une de l'autre et dans des milieux différents pendant une période de cent mille ans. (Stringer, 1989; Cavalli-Sforza, 2000) Quand deux populations évoluent isolément l'une de l'autre pendant une telle période il y a des différences qui apparaissent dans tous les domaines dans lesquels il y a des possibilités de variations génétiques. La position environnementaliste extrême, postulant qu'il n'y a pas de différences intellectuelles entre deux races défie le principe général de l'évolution biologique et peut être vu comme impossible.
2. Les africains obtiennent des Q.I assez semblables dans de nombreuses localisations différentes, que ce soit en Afrique sub-saharienne, en Amérique du sud ou du nord ou en Europe cela doit être considéré comme la preuve d'un fort facteur génétique.
3. Le haut niveau d'héritabilité trouvé chez des vrais jumeaux en Amérique, en Europe, au Japon et en Inde montre que l'intelligence est fortement déterminée par des facteurs génétiques. L’héritabilité de l’intelligence atteint 0,83 à l’âge adulte, ce qui signifie que quelque soit la race 83 pourcent de la variance intellectuelle est causée par des facteurs génétiques, l'héritabilité de l'intelligence chez les noirs est également de 0,83.
4. Les africains ont une capacité crânienne moyenne inférieure de 90 cm cubes à celles des caucasiens. Ces différences de volume crâniens entre caucasiens et noirs démontrent l'existence de facteurs génétiques, car l'héritabilité des volumes crâniens est de 0,9 et la corrélation entre l'intelligence et les volumes crâniens est de 0,4.
5. De nombreux égalitaristes ont proposé que le racisme des blancs pouvait diminuer le Q.I des noirs, mais il n'y a pas d'explication qui puisse expliquer comment le racisme pourrait diminuer le Q.I, et pourquoi alors le Q.I des africains d'Afrique noire serait il de 67 ? Si le racisme diminue l'intelligence, il est curieux que les juifs d'Amérique et d'Angleterre aient un Q.I de 108, alors qu'ils ont été exposés au racisme depuis des siècles. Le haut Q.I des juifs américains est bien connu depuis 1930.
6. Les enfants noirs adoptés par des parents blancs obtiennent les mêmes scores que la prédiction raciale. Il persiste une différence de 17 points de Q.I entre blancs et noirs élevés dans les mêmes conditions. Etre élevé par des parents adoptifs blancs n'a pas d'effet positif sur l'intelligence des noirs.
7. Le Q.I des hybrides est intermédiaire entre celui des deux races parentales, de même que le volume cranien, qui est lui aussi intermédaire entre celui des deux races parentales.
8. Il a été montré une différence significatives entre les européens et les africains en terme de temps de réaction. Le temps de réaction est corrélé au Q.I, car l'un comme l'autre sont des signes d'efficience du système nerveux central. Les caucasiens réagissent en moyenne plus vite à un stimulus.
Les temps de réaction sont mesurés comme suit: L'individu est placé devant une petite lampe qui va s'allumer. Chaque fois que c'est le cas, il appuie simplement sur le bouton placé devant lui.
C'est un signe de l'efficience du système nerveux puisque c'est en quelque sorte un traitement basique de l'information qui doit remonter jusqu'au cerveau puis redescendre pour appuyer sur le bouton. Les temps de réaction sont mesurés en millisecondes.
9. Plus l’admixture blanche est importante, plus le poids cérébral moyen d’un africain est élevé (tests génétiques indépendants de la couleur de la peau). Plus l’ad mixture blanche est importante et plus le Q.I des noirs est important.
10. Les différences raciales de capacité cranienne sont corrélées à 76 traits musculo squelettiques identifiés dans des ouvrages standards d’anatomie évolutive comme étant systématiquement liés à une augmentation de la capacité cranienne chez les hominidés.
http://www.ssc.uwo.ca/psychology/facult ... lution.pdf
Parmi ces différences, on retrouve :
-Le diamètre transversal du pelvis : L’augmentation de la capacité crânienne et de l’intelligence a été de paire avec une augmentation du diamètre transversal du pelvis, pour permettre le passage du crâne à la naissance. Les africains ont un diamètre pelvien significativement plus petit que celui des européens. (27,4 cm contre seulement 24,6 pour les africains)
-En conséquence d’un pelvis plus large, le fémur, (l’os de la cuisse) qui s’insère au niveau du bassin, s’est incurvé puisqu’en dépit d’un bassin qui grandissait, espaçant les insérions fémorales et provoquant un angle plus large pour la sortie des deux fémurs, il fallait impérativement que le genou fasse une jonction correcte avec le péroné, provoquant une incurvation du fémur. Les européens une incurvation fémorale significativement plus importante que celle des africains.
12. Si l'intelligence est génétique, c'est donc qu'elle est dictée par certains gènes qui doivent avoir une plus grande fréquence chez les européens que chez les africains.
Certains gènes ont déjà été liés à un gain intellectuel et ils montrent de fait une fréquence supérieure chez les européens.
-Le gène de la myopie congénitale (myopie de naissance), trait qui se transmet de façon homozygote récessive, montre une fréquence supérieure chez les européens et moindre chez les africains. Les myopes de naissance montrent un gain de 7 points de Q.I sur la moyenne nationale.
Race------------------------IQ------Brain Size (cc)
East Asians----------------106------1416
Europeans-----------------100------1369
Southeast Asians----------90------1332
Pacific Islanders-----------85------1317
South Asians---------------84------1293
Africans---------------------67------1282
Australian Aborigenes----62-------1225
D'après "race differences in intelligence", 2006, Lynn.
Richard Lynn est docteur en psychologie de l'université de Cambridge.
Il est professeur de psychologie à l'institut de recherches de psychologie et d'économie à Dublin et professeur et chef du département psychologie de l'université d'Ulster. Il a gagné le prix Passingham, le prix de l'université de Cambridge comme meilleur étudiant de l'année en psychologie, et le prix attribué par mensa, le US mensa award for excellence (1985 et 1993) pour son travail sur l'intelligence.
"Les différences d'intelligence entre les races, exprimées sous forme de Q.I, s'expliquent comme la conséquence d'une évolution dans des environnements différents dans lesquels elles ont vécu, avec en particulier l'impact de la période de Wurm dans l'hémisphère nord ayant exercée des pressions de sélection pour une plus grande intelligence pour la survie pendant les hivers froids, il y a donc eu apparition de mutations pour plus d’intelligence chez les populations nombreuses et soumises au plus grand stress dû au froid. Les différences de QI entre les races expliquent les différences de capacité à faire la transition néolithique de chasse-cueillette à l'agriculture sédentaire, la construction des premières civilisations, et le développement des civilisations matures durant les deux mille dernières années. La position des environnementalistes qui prétendent que depuis son apparition il y a 100.000 ans, les hommes, séparés par des barrières géographiques dans différentes parties du monde, ont évolué en une dizaine de races différentes avec des différences marquées dans la morphologie génétique, les groupes sanguins, et l'incidence des maladies génétiques, et auraient pourtant les mêmes génotypes pour l’intelligence, est si improbable que ceux qui l'avance doivent être totalement ignorants des principes fondamentaux de la biologie évolutive ou avoir un agenda politique pour nier de cette façon l'importance de la race. Ou les deux."