Richard Lynn "The global bell curve"

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HarryCauvert
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Re: Richard Lynn "The global bell curve"

#26

Message par HarryCauvert » 21 janv. 2011, 00:30

Nicolas a écrit :A HarryCauvert : oui, c’est comme ça monsieur et pas autrement. Nous aurions peut-être préféré un ciel vert et une terre plate au milieu de l’univers, mais il faut se plier aux réalités
Reproche injustifié: même si j'aurais apprécié en croiser moins souvent je n'ai jamais mis en doute l'existence des racistes.
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switch
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Re: Richard Lynn "The global bell curve"

#27

Message par switch » 21 janv. 2011, 18:07

Nicolas a écrit :"Impossible, puisque les généticiens ont rejeté le concept de races depuis un moment déjà."
...
Les analyses génétiques montrent clairement que si vous regardiez l'humanité avec des lunettes spéciales permettant de voir la proximité génétique entre les individus, il se formerait très clairement 9 grands groupes: Européen, Asiatiques de l'est, Africains, Asiatiques du sud-est, middle easterners, pacific islanders, esquimaux, amérindiens, aborigènes d'Australie.
C'est dommage que vous n'ayez pas pris la peine de bien lire et surtout de comprendre ce que la génétique dit des races.

La génétique permet de retrouver des "marqueurs", c'est à dire de petites séquences dans le patrimoine génétique qui ont des caractéristiques bien précise et qui permette effectivement de retracer certaine lignée.

Les marqueurs (qui n'identifie pas vos fameuses 9 races) indiquent une dispertion qui ressemble à ça.

par contre, les études génétiques démontrent également que la variation du code génétiques dans son ensemble (les marquers n'étant qu'une infime partie), la diversité du génome humain est d'environ 0.4 %.
Cette faible diversité (inférieure à celle que l’on trouve au sein de chaque espèce de grands singes) est due à l’apparition et l’expansion très récente notre espèce à partir d’une population peu nombreuse (une dizaine de milliers de personnes il y a cinquante mille ans environ).
Et croyez vous ne fut-ce qu'un instant que l'espèce humaine soit plus métissée que les autres espèces animales ?
Non, par contre notre diversité est très "faible" et donc vos théories (racistes) n'ont pas de fondement scientifique.
« La Science est une méthode pour décider si ce que nous choisissons de croire se base ou non sur les lois de la Nature ».

Nicolas
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Re: Richard Lynn "The global bell curve"

#28

Message par Nicolas » 22 janv. 2011, 00:05

"Non, par contre notre diversité est très "faible" et donc vos théories (racistes) n'ont pas de fondement scientifique"

Je me permet quand même de vous dire que j'ai un doctorat en sciences bio-médicales et suis immunisé contre les mensonges idéologiques, ce que vous dites est digne d'un psychotique qui invente sa propre réalité.

La définition biologique d'une race:

Subdivision d'une espèce qui hérite des caractéristiques la distinguant des autres populations de l'espèce. Au sens génétique une race est une population qui diffère dans l'incidence de certains gènes des autres populations, conséquence d'une isolation, le plus souvent géographique.

Pour que race il y ait, il faut une isolation géographique pendant un laps de temps suffisant pour qu'il y ait apparition de fréquences alléliques différentes. Il ne s'agit pas de voir apparaitre des allèles différents, encore qu'il en existe de nombreux, comme par exemple celui de l'hybridation des yeux qui n’est pas présent chez les européens alors qu’il l’est chez les asiatiques de l’est, mais il y a également la taille des lèvres, des narines, il y a la couche de graisse sous cutanée des asiatiques qui leur donne un aspect jaunâtre, il y a le poids des os qui est différent et qui apporte d'ailleurs un avantage non négligeable aux populations noires en course, les aborigènes d'Australie ont une capacité cranienne de 300 cm cubes moindre à celle des européens et l'épaisseur de leur crane est deux fois supérieure, mais la différence qualitative n'est pas nécessaire, pour que race il y aie, il suffit qu'il y aie une variabilité quantitative suffisante, conséquente d'un isolement géographique pendant une période de temps suffisante.

La question est donc:
Les groupes humains sont ils restés suffisamment isolés les uns des autres pour qu'on puisse pertinemment parler de races ? Sous question: quel est donc ce temps t minimum ?
A des fins d'objectivité, il parait sensé de voir quel est le t moyen d'apparition de races différentes pour différentes espèces d'animaux et de comparer ces temps au temps durant lequel des peuples d'homo sapiens sont restés isolés les uns des autres.

Les chiens se sont différentié des loups il y a 15 mille ans, pour ensuite donner une diversité à nulle autre pareille chez les mammifères. Leur comportement a également changé : les chiens sont plus doués pour reconnaitre la voix et les gestes humains, alors que les loups ne nous comprennent pas du tout. Les africains et les européens ont vécu dans des milieux séparés pendant 100 mille ans (Stringer, 1989; Cavalli-Sforza, 2000).

La variation des fréquences allèliques des gènes fait la différence. Dans une étude américaine recensant les attaques de chiens entre 1982 et 2006, 1100 attaques sont imputées à des pitt bull terriers contre une seule attaque par un border colliers. Les chiens appartiennent tous à la même espèce, mais il y a des différences aussi bien morphologiques que « psychologiques » entre les races. Pour ce qui est de l’aptitude à l’apprentissage, le nombre de répétitions nécessaires pour apprendre une nouvelle commande peut varier fortement d’une race à l’autre. Un border colliers peut apprendre une nouvelle commande après 5 répétitions et répond correctement dans 95 pourcent des cas alors qu’un basset a besoins de 80 à 100 répétitions pour ne répondre correctement que dans 25 pourcent des cas.

John Goodrum a compilé les données comparatives de la diversité génétique chez les animaux, homo sapiens compris. Cette diversité est appréciée en termes d'hétérozygotie, en calculant la moyenne des microsatellites autosomique, l' heterozygotie d'une population (H) est le pourcentage d'individus qui sont hétérozygotes (deux allèles) sur un locus aléatoire. H varie de 0 à 1 ou 0-100%; plus la valeur augmente et plus grande est la diversité génétique d'une espèce. Les homo sapiens sont génétiquement plus diversifiés que de nombreuses espèces de mammifères.

De nombreuses espèces comprenant des sous-espèces ou races ont une valeur inférieure de diversité entre ces sous populations raciales. Goodrum a compilé des exemples de la diversité génétique entre les races chez différents animaux, la distance génétique est en FST.

De deux choses l'une, ou le terme est pertinent pour l'ensemble des individus du règne animal, homo sapiens compris, ou ce terme doit être invalidé pour l'ensemble des espèces. Nous avons mentionné précédemment les temps d'isolement entre les africains et les caucasiens, 100 mille ans, et entre les asiatiques de l'est et les caucasiens, 40 mille ans. En quoi la variabilité génétique découlant logiquement de cet isolement serait moindre en 100 mille ans chez l'homo sapiens qu'elle ne l'est en 15 mille ans pour les chiens ?
Qui plus est, les hommes et les chimpanzés partagent 98,8 pourcents de gènes en commun, pourtant il ne viendrait à l'esprit d'aucune personne censée de nier les différences relativement importantes. Entre l'homo sapiens et l'homme de néanderthal, la similitude atteint même 99,5 pourcents. Et si on compare les hommes et les femmes, la différence génétique est encore moindre, pourtant elle donne lieu à une différentiation bien réelle.

C'est donc bien que la différence n'est pas proportionnelle à la différence quantitative, ce n'est pas pertinent de nier la classification raciale sur base d'une haute similitude génétique puisque de très faibles variations sont à l'origine de phénotypes hautement différents. De faibles altérations du gène foxP2 sont probablement responsables de l'habileté de l'humain à la parole, en comparaison des singes.

Il faut donc bien comprendre que de très faibles variations génétiques peuvent causer de grandes différences visibles ou invisibles, et que variabilité entre différents groupe humain il y a, suffisante pour que l'on puisse parler de races dès lors que les temps t d'isolement furent suffisants.

Votre argument de la variabilité de 0,4 insuffisante est pathétique, on parle meme généralement de 0,1 pourcent, il ne vous aura pas échaper que l'homo sapiens a à 99 pourcent le même génome qu'un chimpanzé. Examinons ce qu'il en est précisément. Ce chiffre est fréquemment utilisé pour accréditer l'idée qu'il ne puisse pas exister de base biologique à la taxinomie raciale, dès lors que nous serions tous virtuellement identiques. Cependant, ces 0,1 pourcent contiennent une part très importante d'information génétique...
L'adn est formé de 4 bases, l'adénine, la guanine, le thymine et cytosine. Des combinaisons de ces 4 nucléotides (A,T,C,G) constitue le code génétique présent dans chacune de nos cellules. Il y a 3,2 milliard de paires de bases dans le génome humain, ce chiffre de 0,1 pourcent de différences permet donc une différence allant jusqu'à 3,2 millions de nucléotides.
L'homme partage en revanche 90 pourcent de ses gènes en commun avec la souris, personne ne proclame que les souris et les hommes sont virtuellement identiques. Pourtant elles sont suffisamment similaires pour être utilisées dans des recherches médicales pour évaluer l'effet de traitement de maladies humaines.
Les hommes et les femmes partagent plus de 99 pourcents de leur gène, personne n'affirme pourtant que le sexe est principalement une construction social.
Les effets des CNV (copy number variation) sont seulement entrain d'être décryptés. Il s'agit d'un segment d'adn qui montre une délétion, une multiplication ou d'autres réarrangements qui changent le nombre de copies de cette séquence dans l'entierté du génome. Les CNV peuvent avoir une taille très importante de plusieurs millions de bases appariées. Redp. et al (2006) a démontré qu'au moins 12 pourcent de l'adn humain est constitué de CNV. On a par ailleurs déjà trouvé 1447 CNV affectant 2900 gènes !
La relation entre des CNV et des pathologies commencent à être élucidées, et il y a déjà 17 maladies du système nerveux qui seraient impliquées, incluant la maladie de Parkinson ou d'Alzheimer (Ionita-Laza et al.,2009). L'affirmation suivant laquelle les hommes partageraient 99,9 pourcent de leur adn est impossible étant donné ces découvertes, et ne peut être vue que comme une malheureuse erreur qui continuera à sévir chaque fois qu'elle apparaitra dans la presse.

Les 9 races humaines:
-Africains
-Européens
-Asiatiques de l'est (Chine, Japon)
-Nord africains
-Sud asiatiques
-Eskimos
-Amérindiens
-Aborigènes d'Australie
-Habitants des îles du pacifique.

Ces 9 races diffèrent notablement. Les noirs et les européens ont vécu par exemple dans des milieux séparés pendant 100 mille ans. (Stringer, 1989; Cavalli-Sforza, 2000) Quand deux populations évoluent isolément l'une de l'autre pendant une telle période il y a des différences qui apparaissent dans tous les domaines dans lesquels il y a des possibilités de variations génétiques. La position environnementaliste extrême, postulant qu'il n'y a pas de différences intellectuelles entre deux races défie le principe général de l'évolution biologique et peut être vu comme impossible.

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carlito
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Re: Richard Lynn "The global bell curve"

#29

Message par carlito » 22 janv. 2011, 01:42

Nicolas a écrit :Je me permet quand même de vous dire que j'ai un doctorat en sciences bio-médicales et suis immunisé contre les mensonges idéologiques,
:a2: :a2: :a2: :a2: :a2: ....Ce qui ne vous empêche pas d'être raciste.. :evil:
La classification de la race humaine est totalement arbitraire, alors que vous, vous affirmez celà comme une vérité établie, ce que l'on retrouve clairement dans la littérature raciste.
Nicolas a écrit :Pour que race il y ait, il faut une isolation géographique pendant un laps de temps suffisant pour qu'il y ait apparition de fréquences alléliques différentes.
Les scientifiques ont pu démontrer qu’il était possible de définir de façon « scientifique » des groupes au sein de l’espèce humaine. Ces groupes diffèrents, non pas sur la base de génotypes différents, mais sur un ensemble de petites différences entre fréquences alléliques d’un grand nombre de marqueurs génétiques. Il est également possible de connaître (avec une certaine probabilité, cependant) le continent d'origine d'un individu, mais le fait de connaitre cette origine n’améliore quasiment pas la capacité à prédire son génotype (il n’existe aucun gène pour lequel un allèle donné ne se retrouve qu’au sein d'un grand groupe géographique) et ne revient pas à une catégorisation en races pour autant.

J'aimerais vous posez deux questions:
selon vous, à quoi ce résume l'intelligence?
Et pensez vous que ce genre d'étude est fondamentalement positive à l'humanité?
" Ce sont toujours les cons qui l'emportent. Question de surnombre! " -Frédérique Dard-

Greg
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Re: Richard Lynn "The global bell curve"

#30

Message par Greg » 22 janv. 2011, 03:55

Vous remarquerez tous que l'individu qui débite sans arrêt qu'il y aurait 9 races comme si c'était une vérité indiscutable est le même qui à son premier message avance qu'il y en a 10!!! :lol:

Les juifs supposément plus intelligents sont mystérieusement disparus sans que la prétendue ceinture noire en sciences biomédicales s'aperçoive de leur élimination. :lol:

Ah! Ces petits fumistes qui pensent impressionner le monde en faisant du copier-coller. :lol:

Nicolas
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Re: Richard Lynn "The global bell curve"

#31

Message par Nicolas » 22 janv. 2011, 04:44

carlito a dit:
Ce qui ne vous empêche pas d'être raciste

Bien évidement, je suis un scientifique. On ne peut pas être un scientifique et penser les races identiques ce n'est pas possible. Ceci étant si j'étais un idéologue je devrais mettre les européens au sommet de la hiérarchie intellectuelle. La réalité c'est que les est-asiatiques (Chine, Corée, Japon, Taïwan) sont situés en aval des européens sur l'échelle de l'évolution. Leur capacité cranienne moyenne est supérieure à celle des européens (1416 cm cubes contre 1369) et leur Q.I moyen est plus important.

carlito a dit:
vous affirmez celà comme une vérité établie, ce que l'on retrouve clairement dans la littérature raciste.

Ce que vous appellez littérature raciste provient d'individus des plus éminents. Un traité signé par 2 prix nobel et 52 spécialistes du domaine de l'intelligence a été signé (Raven, Cattell, Flynn, Rushton). Je peux vous citez pas moins de 10 prix nobels vivants et plus de 20 prix nobel qui aie fait preuve de leur position sur l'inégalité intellectuelle entre les races. A l'inverse, seriez-vous me citer seulement un prix nobel qui ait affirmer que les races étaient intellectuellement égales ? J'ai bien peur qu'il n'en existe pas.

carlito a dit:
sur un ensemble de petites différences entre fréquences alléliques

Le mot petit est subjectif. Vous n'avez pas besoin de nous redonner la définition du mot race que l'on connait: "Subdivision d'une espèce qui hérite des caractéristiques la distinguant des autres populations de l'espèce. Au sens génétique une race est une population qui diffère dans l'incidence de certains gènes des autres populations, conséquence d'une isolation, le plus souvent géographique"

carlito a dit:
il n’existe aucun gène pour lequel un allèle donné ne se retrouve qu’au sein d'un grand groupe géographique

Tout d'abord il est faut d'affirmer qu'il n'existe pas de gènes spécifiques à une race donnée. Le gène pour l'hybridation des yeux est présent chez les asiatiques et absent chez les européens par exemple.
Pour que race il y aie, il faut une isolation géographique pendant un laps de temps suffisant pour qu'il y aie apparition de fréquences alléliques différentes. Il ne s'agit pas de voir apparaitre des allèles différents, encore qu'il en existe de nombreux, comme nous l'avons montré dans l'exemple de l'hybridation des yeux, mais il y a également la taille des lèvres, des narines, il y a la couche de graisse sous cutanée des asiatiques qui leur donne un aspect jaune, il y a le poids des os qui est différent et qui apporte d'ailleurs un avantage non négligeable aux populations noires en course... mais la différence qualitative n'est pas nécessaire, pour que race il y aie, il suffit qu'il y aie une variabilité quantitative suffisante, conséquente d'un isolement géographique pendant une période de temps suffisante.

carlito a dit:
J'aimerais vous posez deux questions:
selon vous, à quoi ce résume l'intelligence?

L'intelligence est un paramètre organique présent en moyenne davantage chez un européen de 5 ans (35 de Q.I) que chez un grand singe (20-25 de Q.I), présent davantage chez un européen de 10 ans (65 de Q.I) que chez un européen de 5 ans, présent davantage chez un européen de 14 ans (85 de Q.I) que chez un européen de 10 ans et présent davantage chez un européen adulte (100 de Q.I) que chez un européen de 14 ans.

L'intelligence est au cerveau ce que le processeur est à un ordinateur. C'est une caractéristique innée déterminée par des gènes à plus de 80 pourcent.

Le développement du cerveau, sa taille et sa vitesse de traitement des informations chez un africain adulte est en moyenne équivalent à celui d'un européen de 13 ans et demi. (80 de Q.I).

carlito a dit:
pensez vous que ce genre d'étude est fondamentalement positive à l'humanité?

Je pense qu'il n'y a pas d'études plus fondamentales pour l'avenir de l'Europe.
L'explication de ces différences raciales dans l'intelligence, aujourd'hui largement acceptée, est que l'homme a évolué à partir de l'Afrique de l'Est équatorial. Il y a environ 100.000 ans, certains groupes ont émigré vers le nord, en Afrique du Nord, puis en Asie et en Europe. Ces groupes ont rencontré un environnement difficile dans lequel il n'y avait pas de plantes ou d'insectes pour se nourrir toute l'année, de sorte qu'ils ont du chasser de grands animaux comme les mammouths pour obtenir leur nourriture. Ils ont également eu à se chauffer et donc ils ont du apprendre à faire des vêtements et des abris. Ces problèmes sont devenus beaucoup plus grand durant la première époque glaciaire qui a commencé il y a environ 28.000 années et a duré jusqu'il y a environ 11.000 ans. Tous ces défis ont demandé une intelligence plus élevée. Seuls les plus intelligents ont été capables de survivre dans ces environnements difficiles alors que les moins intelligents ont péri. Un résultat visible est que la taille du cerveau en Europe et en Asie de l'Est a augmenté pour tenir compte de la plus grande intelligence nécessaire pour surmonter ces problèmes.

Ces différences raciales dans l'intelligence sont l'une des plus importantes raisons des différences dans la richesse et la pauvreté des nations qui sont présentes à travers le monde (l'autre raison principale étant la présence d'une économie de marché ou à contrario d'une certaine forme de socialisme ou le communisme, préjudiciable au développement). L'intelligence est un déterminant majeur de la compétence et de la capacité de gain, de façon inévitable l'Europe et les peuples d'Extrême-Orient dont les populations sont intelligentes atteignent des normes plus élevées de vie que les autres peuples, qui sont moins intelligents.

Ceci est souvent appelé le fossé Nord-Sud, composée de la richesse du nord de l'Europe, de l'Amérique du Nord et du Japon, et les pauvres du sud, l'Asie du Sud, l'Afrique et l'Amérique latine, mais ce n'est qu'un euphémisme par rapport aux richesses de l'Europe et de l'Extrême-Orient, peuples qui vivent principalement dans l'hémisphère nord et les pays pauvres d'Asie du sud, d'Afrique et de l'Amérique latine qui vivent dans le sud. Ces écarts de richesse sont en grande partie causés par les différences raciales dans l'intelligence.

L'idée que la pauvreté puisse être éliminée par l'annulation de dettes et la fourniture de d'avantage d'aide est vouée à l'échec.

Lorsque les peuples non-européens migrent vers l'Europe et l'Amérique du Nord, leurs faibles QI a pour conséquence qu'il est difficile pour eux de faire face dans les sociétés économiquement évoluées. L'effet des différences raciales de QI sur la capacité à faire face a été démontré pour les États-Unis par Richard Herrnstein et Charles Murray dans son livre The Bell Curve. Ils ont montré que les Noirs avec un QI moyen de 85 obtenaient de piètres résultats en matière d'éducation et de revenus, alors qu'ils ont des taux élevés de criminalité, de dépendance sociale et de chômage. Les Hispaniques sont un peu plus élevés avec un quotient intellectuel moyen généralement à environ 89 et ils font un peu mieux, alors que les Blancs et les Asiatiques (model minority) font le mieux.

De semblables différences raciales ont été trouvés en Grande-Bretagne, les Est asiatique, particulièrement les Chinois sont les plus performants en matière d'éducation et d'instruction et ont le plus faible pourcentage d'exclusions d'école et de la criminalité. Les natifs anglais viennent ensuite, suivis par les Sud-Asiatiques du sous-continent indien, tandis que les noirs effectuent les pires résultats.

Le taux d'augmentation de la population non-européenne pourrait être plus lente ou il pourrait être plus rapide que les prévisions indiquées dans le tableau 4, mais l'idée générale est claire et incontournable: à un certain point dans un avenir prévisible, les blancs du peuple britannique vont devenir une minorité dans ces îles, et les blancs vont également devenir des minorités dans l'ensemble de l'économie des pays développés des peuples européens.
Comme la proportion des non-Européens se développe en Europe et aux États-Unis (et aussi au Canada et en Australie) et va devenir la majorité, l'intelligence de la population va diminuer. La force de l'économie sera aussi inévitablement atteinte, avec un déclin du niveau de développement.
Les dirigeants du monde passeront en Russie et en Europe de l'Est, et à la Chine et au Japon, si ceux-ci parviennent à résister à l'invasion des peuples non-européens.
Nous vivons dans une période extraordinaire. Rien de tout cela n'a jamais eu lieu dans l'histoire humaine.
L'immigration massive de non-Européens mènera inévitablement les peuples de l'Europe à devenir des minorités et puis de plus en plus petites minorités dans leur propre pays, comme ils le sont dans la plupart des pays d'Amérique latine et les Caraïbes. Dans le monde occidental, les peuples de l'Europe permettent d'être remplacés dans leur propre patrie par les non-Européens.
Ce qui est encore plus remarquable, c'est que les peuples européens sont devenus tout à fait satisfaits de leur propre élimination. Certains sont même ravis de l'accueillir. C'est rare qu'une semaine passe sans que quelques intellectuels ou politiques ne déclare que l'immigration a été bonne pour le pays, que notre diversité fait notre force et que nous devons célébrer nos différences.

D'autres annoncent qu'ils attendent avec impatience le jour où les Blancs deviendront une minorité.

C'est la première fois dans l'ensemble de l'histoire de l'humanité qu'un peuple a volontairement conçu sa propre destruction.

Greg a dit:
9 races comme si c'était une vérité indiscutable est le même qui à son premier message avance qu'il y en a 10

Il y en a 10 en comptant les bushmens, mais ils sont si peu nombreux qu'on ne les compte généralement pas.

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Denis
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La désacralisation de l'homme

#32

Message par Denis » 22 janv. 2011, 05:18


Salut Carlito,

Tu dis :
Ce qui ne vous empêche pas d'être raciste
Le problème, avec ce mot-là, c'est qu'il est terriblement peau-de-banané.

Dans un sens, "être raciste" peut signifier : "qui reconnaît qu'il y a objectivement des races humaines, et qui en caractérise les différences".

Dans un autre sens, "être raciste" peut signifier : "qui propose que les lois civiles ne soient pas les mêmes pour tous, et dépendent de la race".

J'ai l'impression que tu mêles les deux. Le fais-tu ?

Tu dis aussi :
pensez vous que ce genre d'étude est fondamentalement positive à l'humanité?
Cette critique me fait penser à ce qu'on reprochait aux premiers anatomistes : ça désacralise l'homme!

Penses-tu que l'étude objective de l'homme désacralise l'homme ?

:) Denis
Les meilleures sorties de route sont celles qui font le moins de tonneaux.

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Re: Richard Lynn "The global bell curve"

#33

Message par Greg » 22 janv. 2011, 06:07

Nicolas a écrit :Greg a dit:
9 races comme si c'était une vérité indiscutable est le même qui à son premier message avance qu'il y en a 10

Il y en a 10 en comptant les bushmens, mais ils sont si peu nombreux qu'on ne les compte généralement pas.
Tiens, une autre dans la collection :lol: Nous sommes donc maintenant rendus en 11, en incluant les juifs askhenazes qui sont disparus après le premier message, apres avoir été temporairement la race la plus intelligente au monde selon votre gourou Richard Lynn. :lol:

Dites, de quelle race êtes-vous pour etre aussi incohérent dans vos propos d'un message à l'autre?

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Re: La désacralisation de l'homme

#34

Message par Greg » 22 janv. 2011, 06:30

Salut Denis,

Pour moi, un raciste n'est pas quelqu'un qui prétend qu'il y ait des races (je peux reconnaître qu'il ya des différences physiques évidentes entre un chinois, un turc et un sénégalais), mais quelqu'un qui tente de prouver quitte à manipuler les données comme le démontre l'histoire (lire la mal-mesure de l'homme de Stephen Jay Gould) la supériorité d'une race sur les autres, que ce soit pour ainsi justifier les inégalités sociales, ou pour justifier le colonialisme ou l'imposition de la culture de la prétendue "race supérieure".

L'exemple de Lynn exhibé par note brave ceinture noire en sciences bio-médicales le montre bien. Est-ce que les juifs askhenazes sont une race? Eh bien, selon notre brave Nicolas, ce n'est pas une puisqu'elle n'est pas incluse dans son tableau, ce qui n'empêche ce dernier de croire à la valeur des pseudos analyses de Lynn. Comme malhonneté intellectuelle, c'est dur à battre bien que ce soit fréquent dans ces prétendus analyses qui prétendent faire un lien entre "race" et "intelligence".

Pour conclure, je considère faire partie de la race des 0 +. Je me sens 1000 plus compatible avec un chinois ou un aborigène australien qui a le même groupe sanguin que moi car il peut me sauver la vie, qu'un européen dont le groupe sanguin est A ou B-.
Dernière modification par Greg le 22 janv. 2011, 18:58, modifié 1 fois.

pan-pan
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Re: Richard Lynn "The global bell curve"

#35

Message par pan-pan » 22 janv. 2011, 06:55

Denis a écrit :Le problème, avec ce mot-là, c'est qu'il est terriblement peau-de-banané.
Pas du tout. Raciste, c'est limpide, péjoratif et évident. Pourquoi lui donnes-tu un sens plus large, plus soft? Le fais-tu vraiment? Explique-toi. Ta trottinette ne suffit plus à s'embourber à tirer un bulldozer. Elle a besoin d'aide. Je répète. Explique-toi.

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Re: Richard Lynn "The global bell curve"

#36

Message par pan-pan » 22 janv. 2011, 07:38

Nicolas a écrit :Je pense qu'il n'y a pas d'études plus fondamentales pour l'avenir de l'Europe.
Hmmm, vous voyez ça dans votre boule de cristal?
Nicolas a écrit :Bien évidement, je suis un scientifique.
On s'en fout, pour ce que vous en faites.
Nicolas a écrit :L'explication de ces différences raciales dans l'intelligence, aujourd'hui largement acceptée, est que l'homme a évolué à partir de l'Afrique de l'Est équatorial.
Cette affirmation est carrément fausse. Les différences raciales dans l'intelligence est largement contestée dans ses explications.
Nicolas a écrit :Tous ces défis ont demandé une intelligence plus élevée. Seuls les plus intelligents ont été capables de survivre dans ces environnements difficiles alors que les moins intelligents ont péri.
Ce n'est pas comme çà que ça s'est passé. Les défis de survie ont DÉVELOPPÉ l'intelligence, et ce, chez tous les peuples de la terre. L'adaptation aux contraintes naturelles développe chez l'humain les cellules, les neurones nécessaires à créer sa survie. Ce processus est égalitaire. La survie dans des environnements difficiles peut être due à de nombreux facteurs indépendants de l'intelligence. Un hiver plus clément, une meute de loup qui décime la tribu voisine et non la sienne, une force physique et une endurance hors du commun, un taux naissance plus élevé, etc. Vous prenez un exemple et en faites une règle générale. Ça ne marche pas. Facile après pour nous de vous taxer de raciste.
Nicolas a écrit :L'idée que la pauvreté puisse être éliminée par l'annulation de dettes et la fourniture de d'avantage d'aide est vouée à l'échec.
Économiste, avec çà. Ici, vous tombez dans l'idéologique à souhait. J'espère que les Denis de ce monde le liront.
Nicolas a écrit :Les dirigeants du monde passeront en Russie et en Europe de l'Est, et à la Chine et au Japon, si ceux-ci parviennent à résister à l'invasion des peuples non-européens.
Les dirigeants? Parce que ce sont les plus intelligents? hmmm... C'est votre boule de cristal qui le dit?
Nicolas a écrit :Nous vivons dans une période extraordinaire. Rien de tout cela n'a jamais eu lieu dans l'histoire humaine.
Lapalisse se retourne dans sa tombe. Je ne me fie pas sur vous pour qualifier notre époque.
Nicolas a écrit :D'autres annoncent qu'ils attendent avec impatience le jour où les Blancs deviendront une minorité.
D'autres? Qui sont-ils? Vos sources? Où avez-vous pigé çà? Les Denis de ce monde ont-ils lu???
Nicolas a écrit :C'est la première fois dans l'ensemble de l'histoire de l'humanité qu'un peuple a volontairement conçu sa propre destruction.
Une époque extraordinaire, disiez-vous? J'ai une envie folle de m'ajouter un point Godwyn.
SVP, lisez les topics qu'on vous a proposés et cessez de faire le «messager de vérité». On en a marre. Sauf peut-être, les DDCM* et autres statisticiens.

* Denis De Ce Monde

isquemvis
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Re: La désacralisation de l'homme

#37

Message par isquemvis » 22 janv. 2011, 15:56

Denis a écrit :Dans un sens, "être raciste" peut signifier : "qui reconnaît qu'il y a objectivement des races humaines, et qui en caractérise les différences".

Dans un autre sens, "être raciste" peut signifier : "qui propose que les lois civiles ne soient pas les mêmes pour tous, et dépendent de la race".

J'ai l'impression que tu mêles les deux. Le fais-tu ?
L'un n'est que la suite logique de l'autre. Si on admettait au Canada l'existence de races et d'inégalités intellectuelles entre celles-ci comme on admet aujourd'hui que la Lune est plus près de nous que le Soleil, croyez-vous que nous n'adopterions pas des mesures en conséquence?

En supposant qu'il soit statistiquement plus probable qu'une personne A de QI:115 obtienne un doctorat et un poste avec salaire élevé qu'une personne B de QI:90. En admettant que le "retour sur investissement" d'un état qui finance les études universitaires soit beaucoup plus grand pour A que pour B.

Ne croyez-vous pas qu'il deviendrait, lentement mais sûrement, tout à fait logique de réduire systématiquement l'accès aux universités à certaines personnes comme B qui font partie des races que vous considérez intellectuellement défavorisée?

C'est lorsqu'on accorde théorie et pratique que le racisme devient embarassant.
Dernière modification par isquemvis le 22 janv. 2011, 16:08, modifié 1 fois.

Nicolas
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Re: Richard Lynn "The global bell curve"

#38

Message par Nicolas » 22 janv. 2011, 16:08

Peut-être serez-vous surpris par ces informations, car elles ne circulent pas beaucoup dans les médias. (Pas du tout même) Pourtant, si vous vous rendez sur ncbi (la principale base de données scientifique américaine) et que vous recherchez des études scientifiques ayant trait aux différences raciales dans l'intelligence, vous serez surpris de vous rendre compte que la quasi-totalité des études appuient clairement ce qui est ici et même le considère comme un acquis, tant il est vrai que ces informations sont, depuis maintenant un certain temps et même un temps certain, validées.

Des activistes politiques et des égalitaristes ont réussis à cacher la réalité alors que la science a aujourd'hui bien démontré que l'intelligence est en grande partie héréditaire. Cependant, ces conclusions ont été violemment attaquées par un petit groupe d'académistes ayant pignon sur rue, parmi lesquels Léon Kamin, Stephen Jay Gould, Barry Mahler et Albert Jacquard en France.

La gauche, motivée par des raisons politiques, a fait campagne pour faire mentir la réalité sur ces questions.

Des académies gauchistes et marxistes ont mal représenté l'évidence, et des activistes radicaux ont intimidé et physiquement attaqué les académies qui avaient pris position pour la base héréditaire de l'intelligence.

Dans son dernier livre, Roger Pearson décrit de manière détaillée les attaques qu'on subit Jensen, Eysenck, Shokley, Rushton et de nombreux autres scientifiques de premier plan qui ont écrit ou enseigné sur l'hérédité. Ces attaques ont réussi à intimider de nombreuses académies de sorte que peu expriment leur vue réelle sur la question, de nombreux syllabus représentent mal la question et les administrateurs des universités n'osent pas supporter les quelques académiciens qui ont l'intégrité et le courage de prendre la parole sur ces sujets.

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HarryCauvert
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Re: Richard Lynn "The global bell curve"

#39

Message par HarryCauvert » 22 janv. 2011, 16:10

Salut pan-pan,
pan-pan a écrit :
Nicolas a écrit :Je pense qu'il n'y a pas d'études plus fondamentales pour l'avenir de l'Europe.
Hmmm, vous voyez ça dans votre boule de cristal?
Je n'ai pas été surpris par ce passage, qui est un développement logique de la propagande du discours du bon docteur.
Ce que ce type nous rappelle ici sans même qu'on le lui demande, c'est que le racisme -y compris dans ses jolis atours pseudoscientifiques- a toujours la ségrégation raciale (voire l'épuration) comme Horizon Radieux. Suffit de lire les lamentations du docteur sur l'autodestruction de la race blanche européenne pour bien comprendre ses motivations (qui n'ont pas grand chose à voir avec l'amour de la science et l'accroissement des connaissances). Le couplet sur l'inutilité de l'entraide internationale (prouvée scientifiquement!) est tout aussi révélateur.
Un raciste a écrit :j'ai un doctorat en sciences bio-médicales
On peut vous sortir des listes de créationnistes diplômés en ceci ou cela, est-ce que ça rend le créationnisme plus crédible?
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Re: Richard Lynn "The global bell curve"

#40

Message par Nicolas » 22 janv. 2011, 16:42

Ah ah ah ah :-D
Vous êtes pathétique mon bon monsieur :-)

Je me permets de vous dire qu'un traité signé par 2 prix Nobel et 52 spécialistes du domaine de l'intelligence (Raven, Cattell) a été signé, ce qui est dit ici est considéré comme confirmé :-)

Vous êtes vraiment authentiquement débile, allez donc contacter les prix Nobels William Schokley, James Crick, James Watson, Wiliam Huxley, Hermann, Lorrenz, Christian de Duve… pour leur faire part de votre profonde réflexion, cela changera totalement leurs conclusions j’en suis sur :-)

Mais qu'est ce qui a comme débiles mégalo c'est pas croyable ^^

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Re: Richard Lynn "The global bell curve"

#41

Message par ServerError503 » 22 janv. 2011, 16:50

Nicolas a écrit :...
Quand bien même ce que vous diriez serait scientifiquement juste(ce que je ne crois pas), vous en faites quoi ? En quoi cette théorie, peut-elle contribuer au bien-être général et à l’avancement de l'humanité ? Quel en sont les applications ? Comme l'a justement fait remarqué judicieusement Harry Cauvert, à l'horizon, je ne vois que poindre la ségrégation et la discrimination.
Le texte ci-haut concerne seulement les exemples et sujets qui y sont traitées, l'auteur n'a aucunement l'intention de salir la réputation de quiconque ne serait pas mentionnée explicitement dans ce texte, ou omis pour des raisons de lisibilité-commodité-paresse. L'auteur présente d'avance toutes ses excuses à toute personne qui serait offusquées par le texte ou ce qu'il n'y est pas dit ou encore ce que l'auteur a jugé implicite mais qui n'aurait pas été compris comme tel par le lecteur. Le tout sans préjudice.

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Re: Richard Lynn "The global bell curve"

#42

Message par pan-pan » 22 janv. 2011, 16:55

Nicolas a écrit :Ces attaques ont réussi à intimider de nombreuses académies de sorte que peu expriment leur vue réelle sur la question, de nombreux syllabus représentent mal la question et les administrateurs des universités n'osent pas supporter les quelques académiciens qui ont l'intégrité et le courage de prendre la parole sur ces sujets.
Si exprimer votre vue réelle sur la classification des gènes consiste au final à une représentation de la société, du pouvoir et de tout ce qui s'en suit, ne vous en faites pas, il y aura toujours des poings levés contre. Comment, de quel droit, par quel stratagème vous octroyez-vous le droit d'imposer votre conception de la société humaine sous prétexte qu'il s'agit d'études scientifiques sur la génétique? N'avez-vous pas réalisé cette énorme généralisation que vous faites autour de l'intelligence des peuples? Vous généralisez quand vous liez une génétique à un peuple et que vous évitez les cas particuliers, que vous niez les contextes sociaux, pour en arriver à vos fins, e.i., la disparition du Blanc occidental. Vous faites des prédictions. Vous avertissez de ce déclin. Vous nommez les coupables de ce «désastre»: les gauchistes, les communistes, les gouvernements démocratiques, les politiques libérales, les mouvements sociaux pour la paix, etc. Finalement, vous perdez toute cette objectivité qui définit le scientifique, ce que vous n'êtes pas à mes yeux. Vous êtes un idéologue qui utilise la science à ses desseins. Vous direz que non, mais hélas, vous ne pouvez vous empêcher de prêcher pour votre paroisse. C'est votre erreur et c'est celle de la plupart d'entre nous. Le malheur avec vous, c'est de nier ce fait. Ça vous rend pire encore, puisque vous érigez la science en dogme et que ce dogme est votre religion. Vous nierez encore et jetterez du revers de la main ce que je vous dis. Mais là, voyez-vous, nous vous avons repéré très très rapidement. Le raciste, ça pue et on le sent de loin.

Avant de poursuivre dans vos théories, j'aimerais que vous preniez une petite pause de quelques mois et que vous suiviez quelques cours de psychologie sociale, juste pour vous mettre dans le bain. Faites-vous l'interprète des petits, des moins nantis, des défavorisés. Vérifiez ce qu'ils donnent au peuple. Observez comment les rapports entre le monde, la société, la famille et les gens sont beaucoup plus complexes que vos parties de chiffres.

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Re: Richard Lynn "The global bell curve"

#43

Message par Nicolas » 22 janv. 2011, 17:08

Lorsque Copernic publie ses théories, il y avait déja des déficients pour expliquer que de considérer la terre comme le centre de l'univers était plus sain que la réalité. Lorsque Darwin publie sa théorie, on le carricature en singe et des Q.I de 90 lui expliquent que cela n'apportera rien de bon à l'humanité.
Les esprits brillants se sont toujours vu mettre des battons dans les roues par les esprits médiocres, comme dit Goethe je préfère une vérité nuisible à une erreur utile, la vérité guérit le mal qu'elle a pu causer.

Tout ce que j'ai dit est vrai et validé. Il arrivera bien un jour ou l'autre ou ces informations seront connues du grand publique, il conviendra alors de lui expliquer pourquoi on lui a menti alors que cela avait des conséquences dramatiques sur le pool génétique occidental. Nous aurons sacrifié l'occident sur l'autel de l'antiracisme.

All truth passes through three stages.
First, it is ridiculed, second it is violently opposed,
and third, it is accepted as self-evident.
Arthur Schopenhauer

Races : Une revue médicale brise le tabou
Pourrait-on dire ou écrire aujourd’hui en France que : « Les populations originaires d’Afrique Noire obtiennent des scores plus bas, en moyenne, que les populations originaires d’Europe ou d’Asie dans les tests d’intelligence générale » ? Eh bien c’est exactement ce que la revue de recherche scientifique britannique Medical Hypotheses va publier dans un éditorial à paraître en novembre 2008. Ames sensibles s’abstenir : la parole est à l’hérésie !

Les auteurs de ces propos qui, en d’autres lieux, les conduiraient tout droit au bûcher judiciaire, ne sont pas de quelconques « crânes rasés néo-nazis » que les médias se complaisent si souvent à dépeindre. Il s’agit de Jean-Philippe Rushton, professeur de psychologie à l’université de l’Ontario au Canada, et Arthur Jensen, professeur de psychologie à l’université de Berkeley en Californie. Et tous deux jouissent d’une réputation internationale dans leur domaine.

Rushton et Jensen ne s’arrêtent pas là. Ils affirment en outre, à grand renfort d’études et d’analyses, que :

1. Le Quotient Intellectuel (QI) moyen est de 106 pour les Asiatiques, 100 pour les Blancs, 85 pour les Noirs américains, et 70 pour les Noirs d’Afrique (page 630).
2. Le métissage entre Blancs et Noirs produit des enfants dont le QI est inférieur en moyenne aux enfants de couples Blancs non métissés (page 635).
3. Les enfants de Noirs adoptés par des Blancs ont un QI plus proche de la moyenne des Noirs que de la moyenne des Blancs (Table 1).
4. La théorie selon laquelle l’environnement socioculturel explique les différences de QI moyen entre les races a été testée à plusieurs reprises, et elle ne tient pas la route (page 636).
5..La différence de QI moyen entre Noirs et Blancs n’est pas non plus due à la qualité des écoles, parce qu’elle apparaît dès 3 ans, avant que l’enfant ne soit scolarisé (page 631).
6. Aux États-Unis, la différence de 15 points entre le QI moyen des Noirs et des Blancs est héréditaire à 80% (page 630).
7. Les races qui ont un QI moyen plus faible ont aussi un plus petit cerveau : 1364 cm3 de moyenne pour les Asiatiques, 1347 cm3 de moyenne pour les Blancs et 1267 cm3 de moyenne pour les Noirs (page 633).
8. Les races qui ont un QI moyen plus faible réagissent plus lentement à un stimulus : les Asiatiques ont en moyenne un temps de réaction (mesuré en millisecondes) plus rapide que les Blancs, et les Noirs réagissent en moyenne moins vite que les Blancs (page 633).
9. Les Asiatiques sont en moyenne moins agressifs et impulsifs que les Blancs, et les Noirs sont en moyenne plus agressifs et impulsifs que les Blancs (Table 2).
10. Les Asiatiques sont en moyenne plus respectueux de la loi que les Blancs, et les Noirs sont en moyenne moins respectueux de la loi que les Blancs (Table 2).

Les deux professeurs citent 68 articles scientifiques publiés dans des revues de recherche à comité de lecture à l’appui de leurs assertions. En 2005 un article des mêmes auteurs a étayé les mêmes résultats avec 229 références. Un prix Nobel de Physique (William Shockley, qui a découvert le transistor) et un prix Nobel de biologie (James Watson, qui a découvert l’ADN) ont soutenu publiquement les mêmes positions, ce qui leur a valu de gros ennuis.

Ce sont des réalités, pas des opinions. Cela fait plus d’un siècle et demi que les preuves scientifiques s’accumulent pour corroborer ces assertions. De plus, de nouvelles données et analyses allant dans le même sens sont publiées régulièrement dans les principales revues de recherche scientifique des disciplines concernées. Les articles tendant à prouver le contraire sont excessivement faibles. Le tabou sur la race deviendra certainement un grand sujet d’enquête pour les sociologues de la connaissance. Il n’y a jamais rien eu d’équivalent dans l’histoire de la science.

http://fr.novopress.info/13505/races-un ... -le-tabou/

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HarryCauvert
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Re: Richard Lynn "The global bell curve"

#44

Message par HarryCauvert » 22 janv. 2011, 17:19

Après la revue scientifique en ligne intelligence.wikeo.be, voici """""l'agence de presse""""" novopress.

Attendons encore un peu et on verra peut-être des liens vers le site du Dr Duke ou de l'université indépendante du KKK.
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Nicolas
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Re: Richard Lynn "The global bell curve"

#45

Message par Nicolas » 22 janv. 2011, 17:29

La presse est majoritairement de gauche en France, le monde soutenait officiellement Pol Pot à l'époque, il n'y a rien d'étonnant à ce que novo press reprenne l'information. La vérité n’a pas de couleur politique. De nos jours de toute façon on placerait Darwin, Kant, Hegel, Victor Hugo ou Montesquieu sur le bucher :-)
Je vous suggère d’arrêter d’utiliser votre ordinateur monsieur car vous devez savoir que vous le devez à William Shokley qui permet le passage à l’ère de l’électronique…
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Feel O'Zof
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Re: Richard Lynn "The global bell curve"

#46

Message par Feel O'Zof » 22 janv. 2011, 17:40

Bonjour,

J'ai lu en diagonale alors je ne commenterai pas tout, seulement quelques petits bouts qui m'ont accrochés.
Nicolas a écrit :Lorsque Copernic publie ses théories, il y avait déja des déficients pour expliquer que de considérer la terre comme le centre de l'univers était plus sain que la réalité. Lorsque Darwin publie sa théorie, on le carricature en singe et des Q.I de 90 lui expliquent que cela n'apportera rien de bon à l'humanité.
Les esprits brillants se sont toujours vu mettre des battons dans les roues par les esprits médiocres, comme dit Goethe je préfère une vérité nuisible à une erreur utile, la vérité guérit le mal qu'elle a pu causer.
Tiens, on en a déjà vu beaucoup se comparer à Einstein ou à Galilée, vous c'est à Copernic et Darwin. Intéressant.
Tout ce que j'ai dit est vrai et validé. Il arrivera bien un jour ou l'autre ou ces informations seront connues du grand publique, il conviendra alors de lui expliquer pourquoi on lui a menti alors que cela avait des conséquences dramatiques sur le pool génétique occidental. Nous aurons sacrifié l'occident sur l'autel de l'antiracisme.
Ça aussi j'ai déjà entendu ça il me semble... à propos des ovnis, des conspirations, etc.
Rushton et Jensen ne s’arrêtent pas là. Ils affirment en outre, à grand renfort d’études et d’analyses, que :

1. Le Quotient Intellectuel (QI) moyen est de 106 pour les Asiatiques, 100 pour les Blancs, 85 pour les Noirs américains, et 70 pour les Noirs d’Afrique (page 630).
2. Le métissage entre Blancs et Noirs produit des enfants dont le QI est inférieur en moyenne aux enfants de couples Blancs non métissés (page 635).
3. Les enfants de Noirs adoptés par des Blancs ont un QI plus proche de la moyenne des Noirs que de la moyenne des Blancs (Table 1).
4. La théorie selon laquelle l’environnement socioculturel explique les différences de QI moyen entre les races a été testée à plusieurs reprises, et elle ne tient pas la route (page 636).
5..La différence de QI moyen entre Noirs et Blancs n’est pas non plus due à la qualité des écoles, parce qu’elle apparaît dès 3 ans, avant que l’enfant ne soit scolarisé (page 631).
6. Aux États-Unis, la différence de 15 points entre le QI moyen des Noirs et des Blancs est héréditaire à 80% (page 630).
7. Les races qui ont un QI moyen plus faible ont aussi un plus petit cerveau : 1364 cm3 de moyenne pour les Asiatiques, 1347 cm3 de moyenne pour les Blancs et 1267 cm3 de moyenne pour les Noirs (page 633).
8. Les races qui ont un QI moyen plus faible réagissent plus lentement à un stimulus : les Asiatiques ont en moyenne un temps de réaction (mesuré en millisecondes) plus rapide que les Blancs, et les Noirs réagissent en moyenne moins vite que les Blancs (page 633).
9. Les Asiatiques sont en moyenne moins agressifs et impulsifs que les Blancs, et les Noirs sont en moyenne plus agressifs et impulsifs que les Blancs (Table 2).
10. Les Asiatiques sont en moyenne plus respectueux de la loi que les Blancs, et les Noirs sont en moyenne moins respectueux de la loi que les Blancs (Table 2).
Personnellement, je ne vois toujours pas pourquoi ils attribuent ces différences de QI à des facteurs génétiques alors que des facteurs socioculturels expliqueraient beaucoup plus facilement cet état de fait.
Lorsque les peuples non-européens migrent vers l'Europe et l'Amérique du Nord, leurs faibles QI a pour conséquence qu'il est difficile pour eux de faire face dans les sociétés économiquement évoluées. L'effet des différences raciales de QI sur la capacité à faire face a été démontré pour les États-Unis par Richard Herrnstein et Charles Murray dans son livre The Bell Curve. Ils ont montré que les Noirs avec un QI moyen de 85 obtenaient de piètres résultats en matière d'éducation et de revenus, alors qu'ils ont des taux élevés de criminalité, de dépendance sociale et de chômage. Les Hispaniques sont un peu plus élevés avec un quotient intellectuel moyen généralement à environ 89 et ils font un peu mieux, alors que les Blancs et les Asiatiques (model minority) font le mieux.
Et vous écartez vraiment toute influence possible de facteurs socioculturels là-dedans? Je pense que vous percevez mal la causalité dans cette corrélation. Le fait que les Noirs et les Hispaniques soient plus pauvres aux États-Unis n'est pas causé par leur faible QI, qui lui même serait causé par le fait qu'ils sont Noirs ou Hispaniques; c'est l'inverse! Ils ont un faible QI parce qu'ils sont issus de milieux plus pauvres (donc moins scolarisé et avec plus de criminalité), et ce sont des facteurs sociohistoriques qui font que les plus pigmentés sont en moyenne les plus pauvres aux États-Unis. Vous pensez à l'envers.
L'immigration massive de non-Européens mènera inévitablement les peuples de l'Europe à devenir des minorités et puis de plus en plus petites minorités dans leur propre pays, comme ils le sont dans la plupart des pays d'Amérique latine et les Caraïbes. Dans le monde occidental, les peuples de l'Europe permettent d'être remplacés dans leur propre patrie par les non-Européens.
Et je suppose que quand les Européens ont éliminés et remplacés les peuples autochtones des autres continents de l'Occident, c'était positif à vos yeux? Peut-être devrait-on éliminer toutes les races inférieures pour faire plus de place aux purs-races de souche supérieure?
Greg a écrit :Vous remarquerez tous que l'individu qui débite sans arrêt qu'il y aurait 9 races comme si c'était une vérité indiscutable est le même qui à son premier message avance qu'il y en a 10!!! :lol:
Je suis également curieux de savoir ce qu'il est advenu des juifs ashkénazes. Au début de l'enfilade, il s'agissait pourtant pour Nicolas de la race supérieure (élue par Dieu?).
Nicolas a écrit :Bien évidement, je suis un scientifique. On ne peut pas être un scientifique et penser les races identiques ce n'est pas possible. Ceci étant si j'étais un idéologue je devrais mettre les européens au sommet de la hiérarchie intellectuelle. La réalité c'est que les est-asiatiques (Chine, Corée, Japon, Taïwan) sont situés en aval des européens sur l'échelle de l'évolution. Leur capacité cranienne moyenne est supérieure à celle des européens (1416 cm cubes contre 1369) et leur Q.I moyen est plus important.
L'échelle de l'évolution?? Voulez-vous parler de ce concept obsolète depuis Darwin? Vous ne m'en voudrez pas si je ne vous crois pas lorsque vous prétendez être un scientifique... :roll:
Pour plus de détails sur mes opinions, consultez mon blogue philosophique et laissez-y vos commentaires.

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Re: Richard Lynn "The global bell curve"

#47

Message par pan-pan » 22 janv. 2011, 17:52

Nicolas a écrit :J’ai rarement croisé un individu aussi stupide que vous :-)
Nicolas a écrit :Vous êtes vraiment authentiquement débile
Merci pour Harry. On appelle çà des insultes. Moi j'aime les insultes!! Maudit épais! Sans-dessein! Crétin! Imbécile! Espèce de nul! Cerveau de poule! Mayonnaise infecte! Purée de raciste! Crottin d'éléphant! Biaisé par sa mère! Frustré! Soumis!

Je vous l'dis, cessez ce genre d'intervention. Les mods sont sur les dents, là.

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Re: Richard Lynn "The global bell curve"

#48

Message par Greg » 22 janv. 2011, 18:00

J'attends moi aussi de connaître le sort de ces pauvres juifs ashkenazes qui sont mystérieusement disparus en tant que race. Et marrant en outre de constater que notre raciste préféré ne nomme pas les pygmés comme race, alors qu'ils ont des différences physiques évidentes.

Pour le reste, l'ensemble de l'argumentation du pauvre Nico n'est que recyclage de tout ce que la science a jeté aux vidanges: bientôt il va nous ramener le concept d'"homme criminel" de Lombroso et la phrénologie de Gall. Je suis fier d'avoir lu Stephen Jay Gould quand j'étais universitaire pour ainsi etre immunisé pour toujours a ces balivernes.

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Re: Richard Lynn "The global bell curve"

#49

Message par Nicolas » 22 janv. 2011, 18:01

Certes mea culpa messieurs Albert Jacquard et autre poncifs, mais il me semble que vous êtes aujourd’hui remis à votre place par des études aussi nombreuses que camouflées par les grands médias… vous avez jusqu’ici réussi à ce que l’arbre cache la forêt, numérotez vos abatis il est temps aujourd’hui de mettre cartes sur table:

Les européens obtiennent un Q.I moyen de 100, soit l'âge mental d'un européen de 16 ans. (Plafond de la croissance intellectuel en quelque sorte) Les africains obtiennent un Q.I moyen de 67 en Afrique sub-saharienne et de 85 en Amérique du nord ou en Europe, soit une différence d'au minimum plus de deux ans d'âge mental entre les deux races [1].

Cette différence est imputable à des facteurs génétiques innés:

1. Les deux races ont évolué indépendamment l'une de l'autre et dans des milieux différents pendant une période de cent mille ans. (Stringer, 1989; Cavalli-Sforza, 2000) Quand deux populations évoluent isolément l'une de l'autre pendant une telle période il y a des différences qui apparaissent dans tous les domaines dans lesquels il y a des possibilités de variations génétiques. La position environnementaliste extrême, postulant qu'il n'y a pas de différences intellectuelles entre deux races défie le principe général de l'évolution biologique et peut être vu comme impossible.

2. Les africains obtiennent de bas quotients intellectuels dans de nombreuses localisations différentes, que ce soit en Afrique sub-saharienne, en Amérique du sud ou du nord ou en Europe [1]. Cela doit être considéré comme la preuve d'un fort facteur génétique.

3. Le haut niveau d'héritabilité trouvé chez des vrais jumeaux en Amérique, en Europe, au Japon et en Inde montre que l'intelligence est fortement déterminée par des facteurs génétiques. L’héritabilité de l’intelligence atteint 0,83 à l’âge adulte, ce qui signifie que quelque soit la race 83 pourcent de la variance intellectuelle est causée par des facteurs génétiques, l'héritabilité de l'intelligence chez les noirs est également de 0,83.

4. Les africains ont une capacité crânienne moyenne inférieure de 90 cm cubes à celles des caucasiens. Ces différences de volume crâniens entre caucasiens et noirs démontrent l'existence de facteurs génétiques, car l'héritabilité des volumes crâniens est de 0,9 et la corrélation entre l'intelligence et les volumes crâniens est de 0,4.

5. De nombreux égalitaristes ont proposé que le racisme des blancs pouvait diminuer le Q.I des noirs, mais il n'y a pas d'explication qui puisse expliquer comment le racisme pourrait diminuer le Q.I, et pourquoi alors le Q.I des africains d'Afrique noire serait il de 67 ? Si le racisme diminue l'intelligence, il est curieux que les juifs d'Amérique et d'Angleterre aient un Q.I de 108, alors qu'ils ont été exposés au racisme depuis des siècles. Le haut Q.I des juifs américains est bien connu depuis 1930.

6. Les enfants noirs adoptés par des parents blancs obtiennent les mêmes scores que la prédiction raciale. Il persiste une différence de 17 points de Q.I entre blancs et noirs élevés dans les mêmes conditions. Être élevé par des parents adoptifs blancs n'a pas d'effet positif sur l'intelligence des noirs.

7. Le Q.I des hybrides est intermédiaire entre celui des deux races parentales, de même que le volume crânien, qui est lui aussi intermédiaire entre celui des deux races parentales.[1]
Le Q.I moyen des européens est de 100, celui des noirs 80, celui des métisses 90.[1]

8. Il a été montré une différence significatives entre les européens et les africains en terme de temps de réaction. Le temps de réaction est corrélé au Q.I, car l'un comme l'autre sont des signes d'efficience du système nerveux central. Les caucasiens réagissent en moyenne plus vite à un stimulus.
Les temps de réaction sont mesurés comme suit: L'individu est placé devant une petite lampe qui va s'allumer. Chaque fois que c'est le cas, il appuie simplement sur le bouton placé devant lui.
C'est un signe de l'efficience du système nerveux puisque c'est en quelque sorte un traitement basique de l'information qui doit remonter jusqu'au cerveau puis redescendre pour appuyer sur le bouton. Les temps de réaction sont mesurés en millisecondes.

9. Plus l’admixture blanche est importante, plus le poids cérébral moyen d’un africain est élevé (tests génétiques indépendants de la couleur de la peau). Plus l’ad mixture blanche est importante et plus le Q.I des noirs est important.[1]

10. Les différences raciales de capacité crânienne sont corrélées à 76 traits musculo-squelettiques identifiés dans des ouvrages standards d’anatomie évolutive comme étant systématiquement liés à une augmentation de la capacité crânienne chez les hominidés [2].
Parmi ces différences, on retrouve :
-Le diamètre transversal du pelvis : L’augmentation de la capacité crânienne et de l’intelligence a été de paire avec une augmentation du diamètre transversal du pelvis, pour permettre le passage du crâne à la naissance. Les africains ont un diamètre pelvien significativement plus petit que celui des européens. (27,4 cm contre seulement 24,6 pour les africains)
-En conséquence d’un pelvis plus large, le fémur, (l’os de la cuisse) qui s’insère au niveau du bassin, s’est incurvé puisqu’en dépit d’un bassin qui grandissait, espaçant les insérions fémorales et provoquant un angle plus large pour la sortie des deux fémurs, il fallait impérativement que le genou fasse une jonction correcte avec le péroné, provoquant une incurvation du fémur. Les européens une incurvation fémorale significativement plus importante que celle des africains.
-Tandis que l’intelligence et la capacité crânienne ont augmenté, les crânes sont devenus plus sphériques et profonds. Les européens ont des cerveaux significativement plus sphériques, plus profonds et plus gros.
-L’augmentation de la sphéricité a donc réduit les protubérances, notamment le processus mastoïde. Les blancs ont un processus mastoïde significativement plus petit que les noirs.
-L’augmentation de la capacité crânienne s’est produite vers l’avant du crâne, il en a résulté une diminution du prognathisme et une augmentation de l’orthognathisme (face plus plate). Les européens ont une face significativement moins prognathe et plus orthognathes que les africains.

11. Les africains n'ont pas qu'un cerveau de plus petite taille identique à celui des blancs, il y a également des différences qualitatives:[3]
-Le cortex des africains est en moyenne moins circonvolué.
-Le cortex des africains est en moyenne 15 pourcent plus fin que celui des européens.
-Les africains ont un lobe frontal et occipital plus petit et un lobe pariétal plus large.
-Les africains ont une proportion de neurones pyramidaux moindre à celle des européens.

12. Si l'intelligence est génétique, c'est donc qu'elle est dictée par certains gènes qui doivent avoir une plus grande fréquence chez les européens que chez les africains.
Certains gènes ont déjà été liés à un gain intellectuel et ils montrent de fait une fréquence supérieure chez les européens.
-Le gène de la myopie congénitale (myopie de naissance), trait qui se transmet de façon homozygote récessive, montre une fréquence supérieure chez les européens et moindre chez les africains.[4] Les myopes de naissance montrent un gain de 7 points de Q.I sur la moyenne nationale.

Greg
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Re: Richard Lynn "The global bell curve"

#50

Message par Greg » 22 janv. 2011, 18:04

Le chat est sorti du sac: Nicolas est un digne reprentant de la race des cancres:

http://knol.google.com/k/francis-galton ... mf9dwto/22#

Normal donc qu'il soit incapable de dire par lui-même ce que sont devenus les juifs askhenazes, il n'a pas encore trouvé un document à copier-coller lui offrant la possibilité de penser à sa place, comme tout étudiant paresseux de sa race. :lol:

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