ServerError503 : C'est vous qui compartimentez l’origine et le fonctionnement. Si l'on admet que le créateur est omniscient et parfait, pourquoi donc avoir créé des créatures si imparfaite, et donc, sujette à l'évolution ?
Julien : Elle ne sont pas sujette à l’évolution définie en terme d’augmentation d’information génétique.
Définissez « imparfaite ».
Julien : Un système organisé ne peut pas émerger sans concepteur, sans plan. C'est un concept très très basic qui n'a jamais été violé.
ServerError503 : C'est vous qui le dites alors prouvez-le !
Julien : Cette règle n’a jamais été violée, je n’ai rien à prouver. Donnez nous un contre exemple à la règle. C'est vous qui croyez que le lapin sors du chapeau POUF !
Embtw : Puisque que d'après votre citation, il ne peut y avoir deux dépôts par an, alors c'est que c'est votre hypothèse qui est vraie ? Donc, vous attestez parfaitement qu'il y a eu 3 dépôts sédimentaires toutes les deux secondes.
Julien : Des oiseaux et poissons sont fossilisés au travers de multiples couches. Les couches se sont donc déposées avant que l’animal pourrisse. Retournez à votre calculatrice.
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Festival des cancres :
Embtw : bien que la datation au carbone 14 soit biaisée ici, puisqu'elle est reconnue comme hasardeuse au delà de 35 000 ans.
Pakete : Et même grandement impossible, puisqu'il ne reste plus assez de C14 pour être examiné au bout d'une certaine durée. Il est alors remplacé par d'autres techniques de datation.
Mais Julien n'a pas l'air d'être au courant.
[Julien : observez celui là, c’est le moment fort du spectacle]
Keinlezard : et pour le phanerozoique ... c'est la période couvrant les 540 dernier million d'année ... alors que les mesures de C14 cessent d'être
apres 50 000 ans ...
plouf plouf ... tu as encore d'autre références ?
je me marre bien pour l'instant
Julien : Wow, je paierai pour en avoir d’autres comme cela. 3 petits faits :
1) Le C14 se dégrade relativement rapidement ce qui fait qu’on ne peut pas l’utiliser pour dater des objets que l’on croit vieux (car la quantité de C14 serait trop faible et le risque d’erreur grand). Les cancres se félicitent de souligner ce fait comme une réfutation à mon argument alors que c'est la base de l'argument.
Faut pas s’énerver rendu ici, respirez un bon coup, ce n’est pas fini.
2) La
détection du C14 dans un matériel organique (et non la datation du matériel lui-même), oui la
détection.
On trouve du C14 dedans … trop compliqué ? Comment s’adresser à des cancres bouchés ?? Y’a un tit bout de bois et y’a du C14 en quantité significative dedans.
3) si jamais vous avez passé l’étape 2, et que vous êtes capable de croire qu’en 115 000 ans le C14 n’est plus détectable, et bien vous comprendrez (peut-être pas finalement…) que le matériel analysé à moins de 115 000 ans. C’est tout. Ce n’est donc pas une datation ici, c’est un borne maximale à l’âge de la strate géologique qui contient de tel matériau organique à teneur significative en C14.
Et il n’y a pas un article qui en parle mais plutôt 30 années de publications scientifiques dans le domaine. Les strates où les échantillons ont été répertoriés sont généralement datées à 40-250 millions d’années (ou plus).
MEASURABLE 14C IN FOSSILIZED ORGANIC MATERIALS:
CONFIRMING THE YOUNG EARTH CREATION-FLOOD MODEL
http://www.icr.org/pdf/research/RATE_IC ... ardner.pdf
Vous y trouverez :
- 47 références à des articles techniques sur le sujet dont près de la moitié proviennent de la revue
Radiocarbon ou
Nuclear Instruments and Methods in Physics Research B.
- 90 exemples de matériaux organiques prélevés dans des strates dites de millions d’années, la référence ainsi que la quantité de C14 mesuré. (p.3)
- la référence à un livre qui compte dans la littérature des 30 dernières années
15 000 cas de tels d’échantillons.
- l’étude du RATE project portant sur 10 échantillons de charbon provenant du Éocène, Crétacées, Pennsylvanien.
L’article mentionne des études récentes où les chercheurs reconfirment ce qui a toujours été pensé : le C14 est intrinsèque à l’échantillon. Leurs études sur des coquilles, entres autres, ont démontrés que
même après de puissants traitements visant à éliminé toute contamination externe à l’échantillon, la quantité de C14 mesurée reste quasi la même : une quantité substantielle. Ils concluent (sans être créationnistes) que le C14 est bien intrinsèque aux échantillons. (p.6)