Je dirai plutôt un dessein qu’un dessin.
La base philosophique du scepticisme nait ou apparaît dès lors que l’on demande du discernement dans l’élaboration d’un raisonnement .
Elle se maifeste face à telle affirmation ,telle idée ,telle pratique ,telle découverte ou toute autre choses de notre segment de vie.
Ce discernement qu'on applique dans l'élaboration de toute demonstration pour affirmer ou infirmer une chose doit passer par une case que je nommerai « monadiforme »( seul terme et je suis d'accord que l'on attribuera au néologisme pris de monade) .
Cette étape du discernement va générer une espèce de catalyseur d’idées ou tout va s'imbriquer puis bien se positionner et pour ensuite atteindre une seconde phase que je nommerai « formalisateur » qui demandera de l’élaboration intellectuelle et verbale et là intervient ce que j’appelle le « consentement intrinsèque d’idées » qui lui est le fait du raisonnement scientifique et contemporain .
C'est dans ce consentement intrinsèque que va puiser le dogmatisme et la vérité scientifique pure.
Il y a une autre notion que j’appellerai « le vécu personnel» (plus subjectif et moins probabiliste) qui puise simplement dans le formalisateur et mettra ainsi un frein ou accélérera plutôt la décision du consentement intrinsèque d’idées.
En dernière partie interviennent trois choses : le « relationnel réel ou virtuel » « l’échange psycho intellectuel » ainsi que le
« sentiment », ces derniers apparaissent plutôt dans la phase de la critique .
Peut etre plus clair pour les néo-sceptiques de la philosophie.
