Non je ne suis pas bête, j'ai lu trop vite et mal compris ce que vous aviez écrit. Erreur de ma part, mille excuses.Florence a écrit :Des fois, je me demande si vous êtes vraiment aussi bête que vous le paraissez, si vous faites exprès de jouer l'avocat du diable, ou si votre interprétation de nos propos ne relèverait pas simplement de lunettes mal adaptées qui vous font lire de travers ...
Gros soupir ....![]()
C'est là que je ne vous suis plus. Je ne connais pas Ayn Rand et je vais me renseigner sur ce qu'elle a écrit, mais ce n'est pas parce que c'est une "grande prêtresse", ni parce qu'elle est célèbre que ses propos sont justes.Florence a écrit :la notion de "héros" est purement contextuelle, comme l'a expliqué Beetlejuice. Les actions des Kamikaze étaient considérées comme héroïques en 1945, elles sont vues comme futiles de nos jours, par les Japonais eux-mêmes. Le sacrifice des liquidateurs de Tchernobyl est vu comme héroïques par la majorité des gens, il serait anathéme pour Ayn Rand, la grande prêtresse de l'objectivisme et de l'égoïsme comme principe de fonctionnement bénéfique de l'individu (je résume et simplifie, évidemment). Etc., etc.
Il me semble au contraire que le qualicatif de héros est universel. Peu importe les motifs qui poussent une personne à se sacrifier pour les autres, sans faire de mal à personne, je ne vois pas où est le mal, c'est quand même mieux qu'une personne qui sacrifie les autres pour avoir du plaisir.
Dites moi Florence, voici directement tiré du Wikipédia une phrase de Ayn Rand:
"Par exemple pour elle les voleurs ne sont pas motivés par une volonté de vivre (contrairement à l'artisan honnête), mais par le désir de survivre à un niveau sous-humain".
Votre "grander prêtresse objectiviste" reconnaît elle même qu'il y a des humains et des sous humains. Je ne vous suis plus là!