Je crois qu'il faut rétablir la maîtrise de l’argent pour le bien commun, donc abolire le monétarisme. La vérité est qu’une grande partie de la dette américaine est totalement frauduleuse; elle est le résultat de spéculations et de tricheries comptables sans précédent.
Il est complètement aberrant qu’on offre aux méga-banques les conditions pour continuer à jouer sur les tables du casino financier mondial en leur permettant d’emprunter à bas taux et de reprêter à des taux plus élevés, sans que l’économie soit irriguée par des investissements productifs. Pour servir le bien commun, l’argent devrais être produit pour financer l’économie reel, l’éducation, les infrastructures économique de base, la santé et la recherche. La veritable économie, est la capacité commune de produire, échanger et utilisé les utilités( et non faire de l'argent avec de l'argent) L’argent n’est qu’un outil d'échage, elle n'a rien a voir avec la richesse. Si on imprimais 1 000 000 de dollar pour chaque canadien, nous ne seriont pas plus riche...
Au sens physique, le seule véritable progres économique viennent de notre capacité d'acroitre l'éfficacité de travail, pour la production, la distribution et l'échange de utilitées.
C’est complètement ridicule de voir la droite et la gauche incapable de remettre ce système financier en question. En respectant les rêgles du jeu d'un monétarisme devenu dément, c’est la république elle meme qu’ils menace à mon avis.
Le monétarisme et les dérèglementation extreme dans le systèmes financier internationalle sont devenu un fléau pour la civilisation. Les pays sont aujourd'hui dépendants de l'usure monétariste, et tout cela se traduit par des privatisations dans les services publiques et des coupes claires dans les budgets de la santé, de l’éducation et de la recherche. Pour sauver ceux qui ont triché hier, on détruit les bases de tout avenir pour la dignité humaine.
@Invité
Votre facon d'analysé le capitalisme et surtout l'économie en général me semble plutot érroné. Je vous invite a lire du Henrry Charles Carey (Principe de science social) qui est à mon avis LA réponse au Capital de Marx et au libéralisme de Smith et Ricardo. L'économie ne devrais pas être la science de la gestion de la rareté et du travail humain, mais bien de la créativité humaine, qui est le moteur fondamentalle de l'économie humain.
Invité a écrit :Globalement ceux qui ne croissent pas sont éliminés.
Les actionnaires exigent la croissance de l'entreprise dont ils détiennent des actions. L'entreprise avec la plus forte croissance, détronera son concurent dont la croissance est faible. Existe-t-il des entreprises qui ont survécues sans croître ? J'en doute, la croissance me semble l'essence même du capitalisme.
On peut croître autrement que par l'utilisation de ressources non renouvelable, je veux bien. Les sociétés de logiciels entre autre (quoique de plus en plus l'internet est un énorme consommateur de ressources non renouvelables). Il reste que l'activité économique est tributaire d'une demande sans cesse croissante de ressources loin d'être toutes renouvelables.
L'essence du capitalisme n'est pas la croissance mais le profit. La véritable croissance au sens économique du terme (peut importe le système) vient du progres dans l'éfficacité de travail. Ce progres jumellé à l'accroisement de la population augmente le déplacement et l'association des ressources. Cette accroisement est parfaitement naturelle à l'humanité; il s'exerse depuis l'aube de notre espèce et n'a rien à voir avec l'essence du capitalisme au sens Marxiste du terme.
A mon avis votre consta sur la société de surconsommation est bien plus une réaction à la mutation contre-culturelle hédoniste qu'un véritable consta économique. Or c'est justement de cette contre-culture qu'es émergé l'idée très post-moderne que l'homme et un parasite de la biosphere, étranger à la nature, que ces avancées technologiques, ca croissance démographique, ca production industrielle et ses recherche scientifique y sont synonymes de nuisances, d’usage forcé de la nature.
Mais personellement, cette panique face à l'épuisement des ressources, je n'y comprend rien. C'est quoi pour vous une ressource naturelle limité? Les ressources de la biosphere sont renouvelables par éssence, les ressources de la lithosphère sont fixe; il y a le meme nombre d'atome de fer et autres qu'il y a 10 000 ans(plus ou moins dépendament du nombre de sonde et satélitte perdu vs le nombre de météor qui tombe sur terre).
En faite, j'ai l'impression qu'à chaque fois qu'on parle de ces fameusses ressources on ne parle en faite que de ressources énergitique. Et la évidament le discoure prend du sens, car oui l'activité humaine (l'économie physique) détruit des molécules exotermique et participe donc à une entropie irréversible que la biosphere ne peut pas fournir.
Pour le reste, l'idée que l'humanité consomme des ressources est une image érroné de la réalité. (venant purement de l'idéologie du wilderness)L'activité humaine dans ce sens agit en principe plutot comme la biosphère elle meme, c'est plutot une accélération, une densification et une complexification, que l'humain fait avec les ressources.
La question est de savoir ci ses activités sont pour soutenir son prochain au long terme ou jouir de ses sens au moment présent (l'idéologie contre-culturelle actuelle).
Personellement, j'ai plutot l'impression que l'impasse actuelle de notre civilisation est du à notre situation politico-financiaro-socialo-culturelle plutot qu'à une limite formelle de l'univers sur notre espèce. Elle est la la tragédie; l'humanité a un potentielle incroyable et est une force géologique et bientot cosmique mais elle est souvent stupide et égoiste...
Faut-il en rire ou en pleurer, je crois qu'il faut avant tous agir pour le mieux et espèrer.
Principes de la science sociale: (XX, 564 p.)
Par Henry Charles Carey
http://books.google.fr/books?id=Hjz6-q5 ... &q&f=false