
I.
Oui. Ils ont cru que c’était un clone crée par la coalition NWO-Illuminatis pour les remplacer après leur élimination (parce qu’ils en savent trop).Invité a écrit :Le test du miroir il a été fait avec un twoofer ?![]()
Si tu parles des lemmings, il me semble avoir lu quelques années plus tard un erratum de la part de la compagnie qui avait produit le documentaire et qui admettait que c'était faux.thx4 a écrit :De mémoire; des rats sur un îlot, le quittent en cas de surpopulation, et meurent noyés.
Ça a l'air vrai mais je ne pense pas que l'éléphant comprenne ce qu'il dessine. C'est un conditionnement. C'est dommage, ç'aurait été cool si c'eut été vrai. Je me demande de quel façon un animal se représenterait lui-même, comment il se perçoit. Sans doute différemment de comment nous le percevons (à supposer qu'il appartienne à une espèce à l'intellect suffisamment développer pour avoir une image mentale de lui-même).Denis a écrit :Parlant d'éléphant, je n'arrive toujours pas à me faire une tête sur cette vidéo. D'après vous, elle est truquée ou pas?
Je ne pense pas que les scientifiques de ces disciplines ne soient arrivé à la fin de leurs découvertes. L'étude du comportement animal commence tout juste à être intéressante.Poulpeman a écrit :Sachant que ça fait un bail que les zoologues et ethnologues parcourent la planète, je pense que la probabilité pour que l’on constate un jour l’existence du suicide chez les animaux est très faible.
Moi, je pense qu'il en a une petite conscience intuitive et diffuse. Pas zéro. En tout cas, il a un instinct de conservation qui ressemble beaucoup au nôtre. S'il refuse de sauter dans le vide (de très très haut) c'est pour des raisons~émotions pratiquement identiques aux nôtres.Je ne pense pas que l'animal ait vraiment conscience de sa propre mortalité.
Ah bon?Invité a écrit :Salut à tous.
Le suicide comme une volonté de mettre fin à sa vie c'est une chose et ce n'est probablement pas ce que l'ourse recherchait puisqu'il est très improbable qu'elle ait ce concept de vie/mort.
I.
Comment voulez-vous qu'on soit sûr de savoir comment un animal perçoit les choses ?akhalazabag a écrit :Ah bon?Invité a écrit :Salut à tous.
Le suicide comme une volonté de mettre fin à sa vie c'est une chose et ce n'est probablement pas ce que l'ourse recherchait puisqu'il est très improbable qu'elle ait ce concept de vie/mort.
I.![]()
Vous est sur que de ce que, prudement certe et c'est tout à votre honneur, vous avancez?
Je pense surtout que comme le lemming la surpopulation entrainne la famine et les sunuméraire, les plus faibles en général, tentent leur chance ailleurs, meme en prennant le risque de se noyer.thx4 a écrit :slt tous,
Le suicide collectif chez les animaux existe, j'ai lu des tests fait en ce sens, il faut que je retrouve, plusieurs dizaines d'années
De mémoire; des rats sur un îlot, le quittent en cas de surpopulation, et meurent noyés.
tout ça est inconscient. Je doute qu'un animal, prenne la décision de mettre fin à ses jours, c'est dans le mot décision qu'est la réponse
je penche plus sur action/réaction chez l'animal.....Sans être conscient de lui même, il ressent des choses, une forme de conscience, mon chat me le rend bien...
A++
Non. Dans cet exemple du wtc, le type a voulu probablement fuir une mort non désirée en optant pour une mort choisie. Le singe ou le chien ne «pensera» pas mourir, mais choisira de fuir une souffrance par peur. Il fuit, mais pas pour mourir. Sait-il qu'il va mourir le crâne fracassé sur l'asphalte? non. Il ne sait rien. Son instinct (comme celui de l'homme, du chimpanzé ou du ver de terre) lui fait agir pour se protéger. Sauter dans le vide fait moins mal qu'endurer la fumée et le feu, sans qu'il sache en comprendre la logique. C'est l'instinct de survie qui le fait se tuer. Ce n'est donc pas un bon exemple de suicide.Denis a écrit :Je pense qu'un chien ou un chimpanzé, pris dans la même situation, aurait réagi de la même façon. Toi et moi aussi.
Et si c'est un suicide pour nous, c'en est aussi un pour la bête.
Selon toi Denis, est-ce que le chien «pense» qu'il va mourir en sautant du wtc? Est-ce qu'il «pense» choisir sa mort? J'en doute fort. Il choisit de fuir, point, peu importe la suite. C'est probablement le cas pour le type. Fuir une souffrance par le feu et la fumée en espérant, peut-être, s'envoler, qui sait. Le sais-tu, toi-même?Selon une définition moderne qui ne préjuge pas des intentions de la personne et ne juge pas son acte, le suicide est « l’acte qui a pour effet la mort d’une personne et dont l’intention est soit d’en finir avec la vie, soit de produire un nouvel état de choses (comme le soulagement de la douleur), dont le sujet pense qu’il ne peut être atteint qu’au moyen de la mort ou qu’il conduira à la mort »1.
Invité a écrit :Le suicide comme une volonté de mettre fin à sa vie c'est une chose et ce n'est probablement pas ce que l'ourse recherchait puisqu'il est très improbable qu'elle ait ce concept de vie/mort.
Pourquoi essayez-vous de me faire dire que "l'état" de vie ou mort est un concept ? Je n'ai pas dis ça. Ce que je dis c'est que le concept de vie ou mort (*) existe.akhalazabag a écrit :L'etat de mort ou de vie n'est pas un concept. Je me demande même comment on peut appeler cela un concept. C'est un etat de fait de la matiere.
I.Un concept est une représentation générale et abstraite de la réalité d'un objet ou d'une situation ;
Des osieaux, des rongeurs, des primates en effet, des poissons, des gastéropodes même, utilisent des outils.. meme si il ne s'agit que de baguettes ou de crochet ou de cailloux...Poulpeman a écrit :Il existe tout de même un écart significatif entre la lignée humaine et les autres mammifères supérieurs en termes de capacité cognitives, même s’il ne s’agit que d’une différence de degrés. Nous savons par exemple que certains primates peuvent utiliser des outils, tout comme nous, mais ça reste très rudimentaire. Et c’est le cas pour d’autres aspects de la cognition. Certains animaux ont développé une conscience de soi, certains comportements de deuil face à la mort de congénères, etc. Mais là encore, ces comportements sont rudimentaire comparés à leur équivalent humain.
Le suicide implique un degré développé de certaines capacités congnitives : conscience de soi, conscience de la mort, capacité à se projeter dans le futur, etc. Je pense (sans en être absolument certain) que l’humain est le seul à avoir ces capacités suffisamment développées pour décider de mettre fin à ses jours.
Poulpeman
J'ai l'impression que c'est le "délibéré" qui cause problème. Selon toi, seuls les humains seraient capables de gestes délibérés?Le suicide est l’acte délibéré de mettre fin à sa propre vie.
Moi je pense que dans la danse des idées d'un lion, il y a une grosse différence entre une antilope vivante et une antilope morte. Aussi, entre un lion vivant et un lion mort.Ce que je dis c'est que le concept de vie ou mort (*) existe, mais que je considère comme improbable que l'ourse en soit pourvue.
Mais pour que la discussion soit rendue encore plus intéressante, peut-être serait-il opportun de donner quelques liens sur les notions vous décrivez.akhalazabag a écrit :Qu'on bien pu en déduire les éthologue????![]()
Il y a une branche de la zoologie qui s'apelle l'éthologie. C'est une science. Et il y a de grands labos, à San Diego entre autre et dans toutes les grandes université ou on étudie les sciences de la vie...Invité a écrit :Comment voulez-vous qu'on soit sûr de savoir comment un animal perçoit les choses ?akhalazabag a écrit :Ah bon?Invité a écrit :Salut à tous.
Le suicide comme une volonté de mettre fin à sa vie c'est une chose et ce n'est probablement pas ce que l'ourse recherchait puisqu'il est très improbable qu'elle ait ce concept de vie/mort.
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Vous est sur que de ce que, prudement certe et c'est tout à votre honneur, vous avancez?![]()
Non je suis pas sûr. C'est une opinion.
I.
Excusez moi si vous l'avez pris personnelement ce n'est pas le cas.Invité a écrit :Invité a écrit :Le suicide comme une volonté de mettre fin à sa vie c'est une chose et ce n'est probablement pas ce que l'ourse recherchait puisqu'il est très improbable qu'elle ait ce concept de vie/mort.Pourquoi essayez-vous de me faire dire que "l'état" de vie ou mort est un concept ? Je n'ai pas dis ça. Ce que je dis c'est que le concept de vie ou mort (*) existe.akhalazabag a écrit :L'etat de mort ou de vie n'est pas un concept. Je me demande même comment on peut appeler cela un concept. C'est un etat de fait de la matiere.
(*) (selon la définition suivante)
I.Un concept est une représentation générale et abstraite de la réalité d'un objet ou d'une situation ;
Bonjour, pour l'otho ok je fairai attention, une faute??? Un archaisme peut etre en français européen..Cartaphilus a écrit :Mais pour que la discussion soit rendue encore plus intéressante, peut-être serait-il opportun de donner quelques liens sur les notions vous décrivez.akhalazabag a écrit :Qu'on bien pu en déduire les éthologue????![]()
La loi de Skitt est dure, mais c'est la loi.
Dans le cas de sauter dans le vide, je serais plutôt de l'avis de pan-pan:Denis a écrit :Moi, je pense qu'il en a une petite conscience intuitive et diffuse. Pas zéro. En tout cas, il a un instinct de conservation qui ressemble beaucoup au nôtre. S'il refuse de sauter dans le vide (de très très haut) c'est pour des raisons~émotions pratiquement identiques aux nôtres.
Ce type (avec quelques dizaines d'autres, au WTC) s'est-il suicidé? Je penche plus pour le OUI que pour le NON.
Je pense qu'un chien ou un chimpanzé, pris dans la même situation, aurait réagi de la même façon. Toi et moi aussi.
Et si c'est un suicide pour nous, c'en est aussi un pour la bête.
La bête choisira l'alternative qui lui fait le moins peur sans nécessairement comprendre que cela la tuera.pan-pan a écrit :Son instinct (comme celui de l'homme, du chimpanzé ou du ver de terre) lui fait agir pour se protéger. Sauter dans le vide fait moins mal qu'endurer la fumée et le feu, sans qu'il sache en comprendre la logique. C'est l'instinct de survie qui le fait se tuer.
Je ne pense pas qu'il soit pertinent d'évoquer un concept aussi mal défini que «la conscience de soi» pour parler de suicide. C'est plus la conscience de la mort qui est en jeu, ou plutôt la conscience que si je fais telle action le résultat sera ma mort. Si je vois une bête s'ouvrir elle-même les veines avec ses griffes, ou se tuer d'une manière plus «directe» que de cesser de manger ou que de sauter dans le vide (qui peut n'être qu'un instinct de fuite), là je parlerai de suicide.Poulpeman a écrit :Le suicide implique un degré développé de certaines capacités congnitives : conscience de soi, conscience de la mort, capacité à se projeter dans le futur, etc. Je pense (sans en être absolument certain) que l’humain est le seul à avoir ces capacités suffisamment développées pour décider de mettre fin à ses jours.
Dois-je vous vous avouer, naïvement, que je ne connais pas ce « Dawnkins » ? En revanche, la rumeur publique qui est parvenue jusques à moi m'a fait lire (un peu) Richard Dawkins... peut-être un vague cousin du précédent.akhalazabag a écrit :Je pensais, naivement, que des "septiques" auraient lu les ouvrages et peut etre feuilleté les etudes de Dawnkins.., entre autre éthologistes connus.
C'est bien le même homme. Et l’on n’est pas obligé de savoir que c'est un biologiste et un éthologiste je vous l'accorde.Cartaphilus a écrit :Dois-je vous vous avouer, naïvement, que je ne connais pas ce « Dawnkins » ? En revanche, la rumeur publique qui est parvenue jusques à moi m'a fait lire (un peu) Richard Dawkins... peut-être un vague cousin du précédent.
Quant à savoir ce que les sceptiques ont feuilleté, lu ou étudié, je sais très bien ce qu'il en est pour moi, mais il n'est guère évident de supposer ce que vous-même avez consulté, et surtout retenu et compris ; ne m'en veuillez donc pas de me comporter à votre égard comme... sceptique.
... je regrette que ne soit pas passé dans l'usage le point d'ironie...akhalazabag a écrit :[...] celui ci pour ce qui est de votre démarche je m'étonne simplement qu'il [Richard Dawkins] apparaisse inconnu.
Même si c'est ce qu'en dit Wikipedia, il est difficile de dire que Dawkins est un éthologiste.akhalazabag a écrit :C'est bien le même homme. Et l’on n’est pas obligé de savoir que c'est un biologiste et un éthologiste je vous l'accorde
Non, juste un signe de jugement en méconnaissance profonde de cause qui concorde assez bien avec la superficialité générale de vos remarques "éthologiques" (e.g., votre incapacité à citer le moindre résultat de votre propre "recherche bibliographique" permet de penser que celle-ci n'a pas été très approfondie.). Faites donc une recherche avec "Dawkins" dans le moteur de recherche du forum pour voir s'il est inconnu.Je ne suis pas très porté sur les hommes «providentiels" mais celui ci pour ce qui est de votre démarche je m'étonne simplement qu'il apparaisse inconnu. Est ce un crime?
Bien sûr qu'il se fait des expériences intéressantes dans des grands labos, mais je doute que les éthologues soient entrés dans la tête d'un animal.akhalazabag a écrit :Il y a une branche de la zoologie qui s'apelle l'éthologie. C'est une science. Et il y a de grands labos, à San Diego entre autre et dans toutes les grandes université ou on étudie les sciences de la vie...Comment voulez-vous qu'on soit sûr de savoir comment un animal perçoit les choses ?Vous est sur que de ce que, prudement certe et c'est tout à votre honneur, vous avancez?![]()
Non je suis pas sûr. C'est une opinion.
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Et on sait beaucoup de choses.
Pour ce que j’en sais, ceci tient de la légende urbaine (je parle du suicide animal. La dépression est possible chez les animaux).Pour ce qui est des suicide du aux dépréssion, oui ils existe chez les animaux, en général ils arettent de se nourrir jusqu'à l'inanition. C'est un fait connue dans les zoos et les cirques et qu'on soigne comme pour les humains par des euphorisant et anti déprésseurs.
Une brève recherche ne m'a rien donné qui aille dans ce sens. Si tu as une source, je suis preneur.Le suicide collectif chez les animaux existe, j'ai lu des tests fait en ce sens
Les deux sont intimement liés. Sans une conscience de soi bien développé, la conscience de la mort ne pourrait pas émerger.Feel O'Zof a écrit :Je ne pense pas qu'il soit pertinent d'évoquer un concept aussi mal défini que «la conscience de soi» pour parler de suicide. C'est plus la conscience de la mort qui est en jeu, ou plutôt la conscience que si je fais telle action le résultat sera ma mort.
J'en suis rendu à la même conclusion pour le moment.Feel O'Zof a écrit :Cela dit, je ne nie pas que c'est peut-être possible pour certains mammifères de se suicider. Seulement, rien jusqu'à présent ne me donne à penser que c'est le cas.
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