Parce que...le fugitif a écrit :...Pourquoi...
...Pourquoi ... bla bla bla
G.
Parce que...le fugitif a écrit :...Pourquoi...
...Pourquoi ... bla bla bla
Parce qu'à force de fréquenter le forum, il ne peut pas ignorer le caractère spécieux de la "démonstration intuitivo-émotionnelle" qu'il préconise. Vous avez raison: comme nous ne sommes pas "intuitivo-émotionellement" prêts à le croire sur parole, nous pourrions nous apercevoir "intelligemment intellectuellement" qu'il prend des vessies pour des lanternes.le fugitif a écrit :Pourquoi ça vous dérangerait tant que l'on étudie scientifiquement vos matériaux étant donné que vous avez tout fait "pour démontrer que ce ne pouvait être une supercherie ?"
Ben voyons: parce qu'en tant que "wannabe guru", il en vaut la peinele fugitif a écrit :Pourquoi exigez vous de nous que nous abandonnions toute objectivité au profit de la subjectivité "un réel et sincère intéressement spirituel" ?
Il s'agit de déterminer jusqu'à quel point le comportement humain est d'origine instinctivo-animale ou instinctivo-spirituelle. Le seul point qui permet de différencier l'esprit de l'animal c'est sa capacité à aimer sans condition...Ghost a écrit :" La tâche est ardue car l'âme incarnée se mélange avec l'âme générée par le corps physique."
Ghost
Non je ne crois pas en quelque chose que je ne puisse prouver. Je crois que notre conception du réel doit tenir compte de ce que l'on sait pour vrai et nous savons très peu choses qui soit indéniable. Peut être que tout compte fait, nous ne savons rien dutout. Mais sûrement que ce qui passe pour certain, ne se rapporte pas à la réalité et que ce qui se rapporte à réalité est incertain.yone a écrit :magicfingers:crois-tu en quelque chose que tu ne peu prouver?
Fallait te contenter de dire ça, c'était largement suffisant.Magicfingers a écrit :...Peut être que tout compte fait, nous ne savons rien dutout. Mais sûrement que ce qui passe pour certain, ne se rapporte pas à la réalité et que ce qui se rapporte à réalité est incertain.
G a écrit :Croire en quelque chose qu'on ne peut prouver c'est pas bien compliqué, ça s'appelle la subjectivité.
M a écrit :Non je ne crois pas en quelque chose que je ne puisse prouver
Suffisant pourquoi? Qu'est-ce qui ne vas pas avec la première partie de ma réponse?Ghost a écrit :Fallait te contenter de dire ça, c'était largement suffisant.
Je peux très bien ressentir et savoir au fond de moi que telle ou telle chose est belle ou parfaite tout en étant incapable de le prouver. Il est où le problème?
Je ne suis en mesure de prouver que la distance terre-soleil soit de 150 000 000 de km en moyenne mais j'y crois, si c'est ce que vous voulez-dire. Par contre, j'ai longtemps cru que les décorporations (voyage astral) étaient possibles ayant moi-même eu une telle expérience, traversant le toit de la maison, le plancher de la cuisine, le plafond de ma chambre, me voyant étendu sur mon lit pour y atterrir et me réveiller en même temps, complètement médusé.TP a écrit :Vous etes sur de cela?
Cette réflexion est intéressante.Magicfingers a écrit :...Ne disait-on pas des Dieux qu'ils sont jaloux. Jaloux de ce que nous sommes mortels et que comme chaque instant peut être celui de notre propre mort, chaque instant compte infiniment plus que l'éternité des Dieux.
Si je suis immortel, je préferre ne pas le savoir et ne pas en être conscient.
M a écrit :Je ne pourrai jamais prouver une telle chose mais ce n'est pas la raison pour laquelle je n'y crois plus. Pas en cette singulière expérience, mais en l'idée que ce phénomène soutenderait. l'Âme immortelle, la dualité matière-esprit
Il me paraît légitime de croire en quelque chose pour des raisons éthiques. Kant estimait que l'existence de Dieu n'était pas prouvable mais que c'était un postulat de la raison pratique. Encore faut-il être bien sûr que ce qu'on considère comme un système moral en est objectivement un. Je vois plusieurs gros problèmes moraux à la théorie de la réincarnation :yone a écrit :Ce qui m'a amener a croire au destin et la réincarnation.
3 choix:1 tu vie tu meure fini!
2 tu vie tu meure t'est juger selon tes acte (tu vas en enfer ou au paradie)3 ton ame choisie sa vie pour évoluer,tu meure tu te réincarne ainsi jusqua un niveau de 'perfection'.
mon exemple:celine dion vs ma mere
Si tu vie tu meure fini pas de probleme,no1
no2:céline a quand meme une tres belle vie comparé a ma mere qui a manger de la misere toute sa vie.
Placer chez les soeur a l.age de 5 ans abuser battu pauvre,etc.
les 2 meure arrive au ciel mérite les 2 le paradis, injustice flagrante
pourquoi céline a eu droit a une vie de reve,et ma mere a une vie de merde.
no3:voila pourquoi je crois en la réincarnation,tout s'égalise.
céline une belle vie la,l'ancienne etait peu etre une vie de merde ou la prochaine, Céline evolue dans sa belle vie,ma mere dans sa vie de merde.ainsi de suite.
les 2 vont avoir eu le nombre de vie égale pour évoluer,le meme nombre de souffrance le meme nombre de beau moment.
Ma parole, Miky, t'es vraiment grave. T'es pourtant pas bête mais tu n'y piges vraiment que dalle au système spirituel. Et quand je pense que parfois certains comme Stéphane s'aventurent à dire "c'est simple, j'ai tout compris".Mikaël a écrit :...Pourquoi et repourquoi...
Le problème, c'est que des mères ayant eu une vie de merde il y en a probablement des dizaines ou des centaines de millions, tandis que celles ayant eu une vie de rêve comme Céline Dion sont très rare.yone a écrit :les 2 meure arrive au ciel mérite les 2 le paradis, injustice flagrante
pourquoi céline a eu droit a une vie de reve,et ma mere a une vie de merde.
no3:voila pourquoi je crois en la réincarnation,tout s'égalise.
céline une belle vie la,l'ancienne etait peu etre une vie de merde ou la prochaine, Céline evolue dans sa belle vie,ma mere dans sa vie de merde.ainsi de suite.
les 2 vont avoir eu le nombre de vie égale pour évoluer,le meme nombre de souffrance le meme nombre de beau moment.
J'ai découvert ce texte sur un autre forum:Mikaël a écrit :- Il me paraît incompatible avec la supposée bonté divine que Dieu oblige les âmes à revenir dans cette vallée de larmes et à tout recommencer à zéro...
Raphaël a écrit :J'ai découvert ce texte sur un autre forum:Mikaël a écrit :- Il me paraît incompatible avec la supposée bonté divine que Dieu oblige les âmes à revenir dans cette vallée de larmes et à tout recommencer à zéro...
- «Je ne vois pas en quoi le fait qu'il n'y ait rien après la mort fasse peur : si vous cessez d'exister, vous n'êtes plus : pas de pensée, de sentiment, sensation, même plus vous : simplement RIEN.
Tout dépend comment on envisage l'éternité. Pour moi, ça serait plutôt une existence hors du temps qu'un temps infini. Peut-être que les sentiments de lassitude n'existeraient même pas (sauf si on en a vraiment envieRaphaël a écrit :A contrario je détesterais le paradis : la suppression de la souffrance, des difficultés et l'immortalité nous ôterait tout but, toute motivation, nous finirions las et blasés, fous (je veux bien admettre que les qq premières années ça irait, mais c'est d'infinité dont il s'agit...). Ce lieu serait l'enfer.»[/list]
(Nietzsche, L’Antéchrist, § 23)...si c'est de foi qu'il ait avant tout besoin, il faut jeter le discrédit sur la raison, la connaissance, la recherche de la vérité : la voie de la vérité devient une voie interdite. Une forte espérance est un stimulant beaucoup plus puissant de la vie que n'importe quel bonheur qui survient réellement. Il faut soutenir ceux qui souffrent par une espérance qui ne puisse être démentie par aucune réalité - qui ne puisse être anéantie par aucun accomplissement - bref, une espérance d'au-delà. C'est bien à cause de ce pouvoir de faire languir le malheureux que l'Espérance semblait aux Grecs le mal suprême, le mal perfide, et qu'elle resta enfermée au fond de la boîte de
Pandore
On peut dire que le néant est partout. En fait, il existe une infinité de néants. Ils sont indétectables parce qu'ils occupent un espace=0.Mikaël a écrit :Je ne suis pas d'accord non plus. Si c'est le néant après la mort (d'abord c'est quoi le néant ? comment s'en faire une représentation adéquate ?
Exact. La vie est souvent désespérante, morne et injuste. Mais heureusement, il y a l'imagination pour nous soulager...je pense que l'existence est une nécessité cognitive) alors la vie est désespérante et encore plus morne. Les inégalités sont encore plus saillantes car on se dit en même temps qu'on ne pourra jamais les compenser.
Attention quand tu cites. Tu donnes l'impression que ces commentaires sont de moi alors que ce n'est pas le cas. (Ça ne représente pas non plus mon opinion.)Raphaël a écrit :A contrario ...
Faudrait d'abord être capable d'imaginer ce que ça peut vouloir dire "existence hors du temps". (pas facile)Tout dépend comment on envisage l'éternité. Pour moi, ça serait plutôt une existence hors du temps qu'un temps infini.
J'espère que Dieu t'écoute...Peut-être que les sentiments de lassitude n'existeraient même pas (sauf si on en a vraiment envie)
Le temps est une réalité physique, sinon Einstein se serait mis le doigt dans l'oeil jusqu'au coude. C'est seulement notre façon de percevoir le temps qui est une illusion de la conscience.On peut un peu faire l'expérience de l'éternité dès maintenant, si on prend conscience que l'écoulement du temps est une illusion de la conscience
Je ne vois pas l'intérêt de que ton questionnement à propos du néant. S'imaginer le "retour au acides aminés" demande absolument une conceptualisation intellectuelle poussée? Tu as déjà vu un cadavre?Mikaël a écrit :Je ne suis pas d'accord non plus. Si c'est le néant après la mort (d'abord c'est quoi le néant ? comment s'en faire une représentation adéquate ? je pense que l'existence est une nécessité cognitive) alors la vie est désespérante et encore plus morne
Si tu ne peux interagir avec rien, où se situe la grosse différence avec le "néant"?Mikaël a écrit :Pour moi, ça serait plutôt une existence hors du temps qu'un temps infini. Peut-être que les sentiments de lassitude n'existeraient même pas (sauf si on en a vraiment envie)
Je trouve déconcertant que des gens puissent trouver qu'une vie dans un au-delà, plus qu'hypotétique, puisse être à la mesure d'êtres humains qui passent le plus claire de leur temps à espérer qu'il se passe quelque chose dans leur vie. Si les innégalités vous choquent vraiment, pourquoi ne pas combattre ces innégalités ici et maintenant même si ce n'est pas pour vous-même ou même pour vos enfants. Ça mettrait du piquant non? Pourquoi s'agenouiller devant des idoles que nous avons nous-même créé? Pourquoi vivre en attendant l'avènement du royaume des cieux; ailleurs qu'ici et maintenant?JF a écrit :Ensuite, si tu n'as qu'une vie à vivre pourquoi veux-tu la rendre morne? Que les inégalités soient saillantes, oui, mais en même temps on se dit qu'il est d'autant plus important de les réduire: pour que ceux qui te suivent ne les subissent pas. Un système prônant des récompenses dans une (d')autre(s) vie(s) n'encourage pas forcément à abraser les inégalités... surtout envers ceux qui ne sont pas de la bonne religion
La fuite vers l'irréel, pour prendre l'exemple du boudhisme, ne se fait que par la mort définitive de l'envie. Comment pourrait-on avoir envie de chasser la lassitude?JF a écrit :Si tu ne peux interagir avec rien, où se situe la grosse différence avec le "néant"?
S'imaginer le retour aux acides aminés est facile, de l'extérieur, du dehors. Mais de l'intérieur, du dedans, c'est impossible. On ne peut pas se représenter sa propre inexistence, l'inexistence du sujet, l'absence absolue de la sensation (c'est-à-dire l'absence notamment de la sensation d'espace et de durée). Car se réprésenter quoi que ce soit nécessite préalablement d'exister, et si on existe, on ne peut pas imaginer en même temps que l'on n'existe pas.Jean-Francois a écrit :Je ne vois pas l'intérêt de que ton questionnement à propos du néant. S'imaginer le "retour au acides aminés" demande absolument une conceptualisation intellectuelle poussée? Tu as déjà vu un cadavre?Mikaël a écrit :Je ne suis pas d'accord non plus. Si c'est le néant après la mort (d'abord c'est quoi le néant ? comment s'en faire une représentation adéquate ? je pense que l'existence est une nécessité cognitive) alors la vie est désespérante et encore plus morne
Certes oui, mais une conséquence paradoxal pourrait être la suivante : si ce qui compte c'est de réduire les inégalités, alors un génocide global, instantané et indolore ne serait pas inéthique. C'est effectivement un moyen : de supprimer toute inégalité, et même de régler une fois pour toute les problèmes de l'humanité.Jean-Francois a écrit :Ensuite, si tu n'as qu'une vie à vivre pourquoi veux-tu la rendre morne? Que les inégalités soient saillantes, oui, mais en même temps on se dit qu'il est d'autant plus important de les réduire: pour que ceux qui te suivent ne les subissent pas. Un système prônant des récompenses dans une (d')autre(s) vie(s) n'encourage pas forcément à abraser les inégalités... surtout envers ceux qui ne sont pas de la bonne religion*.
En quoi ne pouvoir interagir avec rien est une conséquence de cette idée ?Jean-Francois a écrit :Si tu ne peux interagir avec rien, où se situe la grosse différence avec le "néant"?Mikaël a écrit :Pour moi, ça serait plutôt une existence hors du temps qu'un temps infini. Peut-être que les sentiments de lassitude n'existeraient même pas (sauf si on en a vraiment envie)
Tu confonds deux choses :Magicfingers a écrit :Je trouve déconcertant que des gens puissent trouver qu'une vie dans un au-delà, plus qu'hypotétique, puisse être à la mesure d'êtres humains qui passent le plus claire de leur temps à espérer qu'il se passe quelque chose dans leur vie. Si les innégalités vous choquent vraiment, pourquoi ne pas combattre ces innégalités ici et maintenant même si ce n'est pas pour vous-même ou même pour vos enfants. Ça mettrait du piquant non? Pourquoi s'agenouiller devant des idoles que nous avons nous-même créé? Pourquoi vivre en attendant l'avènement du royaume des cieux; ailleurs qu'ici et maintenant?JF a écrit :Ensuite, si tu n'as qu'une vie à vivre pourquoi veux-tu la rendre morne? Que les inégalités soient saillantes, oui, mais en même temps on se dit qu'il est d'autant plus important de les réduire: pour que ceux qui te suivent ne les subissent pas. Un système prônant des récompenses dans une (d')autre(s) vie(s) n'encourage pas forcément à abraser les inégalités... surtout envers ceux qui ne sont pas de la bonne religion
Mon terme était peut-être mal choisi. La lassitude est elle-même une envie. Une envie de changement.Magicfingers a écrit :Mikaël a écrit:
Pour moi, ça serait plutôt une existence hors du temps qu'un temps infini. Peut-être que les sentiments de lassitude n'existeraient même pas sauf si on en a vraiment envie
La fuite vers l'irréel, pour prendre l'exemple du boudhisme, ne se fait que par la mort définitive de l'envie. Comment pourrait-on avoir envie de chasser la lassitude?JF a écrit :Si tu ne peux interagir avec rien, où se situe la grosse différence avec le "néant"?
Donc il n'existe pas.Raphaël a écrit :On peut dire que le néant est partout. En fait, il existe une infinité de néants. Ils sont indétectables parce qu'ils occupent un espace=0.Mikaël a écrit :Je ne suis pas d'accord non plus. Si c'est le néant après la mort (d'abord c'est quoi le néant ? comment s'en faire une représentation adéquate ?
Ben c'est important car si on ne peut se l'imaginer, qu'est-ce qui nous garantie que l'on puisse ne plus exister ?Raphaël a écrit :On peut aussi affirmer le contraire, i.e. que le néant n'existe pas parce que si il existait ce ne serait plus le néant.
(et puis à quoi bon perdre son temps à essayer d'imaginer ce que pourrait être le néant ?)
Oups... désolé !Raphaël a écrit :Attention quand tu cites. Tu donnes l'impression que ces commentaires sont de moi alors que ce n'est pas le cas. (Ça ne représente pas non plus mon opinion.)Raphaël a écrit :A contrario ...
Ah, tu vois, toi aussi tu as besoin d'imaginer un concept avant de pouvoir l'admettreRaphaël a écrit :Faudrait d'abord être capable d'imaginer ce que ça peut vouloir dire "existence hors du temps". (pas facile)Tout dépend comment on envisage l'éternité. Pour moi, ça serait plutôt une existence hors du temps qu'un temps infini.
Il faudrait d'abord qu'il existeRaphaël a écrit :J'espère que Dieu t'écoute...Peut-être que les sentiments de lassitude n'existeraient même pas (sauf si on en a vraiment envie)
Pourquoi pas ? Mais je n'ai pas dit que le temps n'existait pas ni qu'il n'était pas une réalité physique.Raphaël a écrit :Le temps est une réalité physique, sinon Einstein se serait mis le doigt dans l'oeil jusqu'au coude.On peut un peu faire l'expérience de l'éternité dès maintenant, si on prend conscience que l'écoulement du temps est une illusion de la conscience
Quelle est la différence avec ce que je dis au final ?Raphaël a écrit :C'est seulement notre façon de percevoir le temps qui est une illusion de la conscience.
Je répète que c'est surtout que je ne comprends absolument pas ce que ta réflexion philosophique sur le néant vient faire là? Tu cherches à prouver l'inexistence du néant avec cet argument?Mikaël a écrit :Bien sûr, tu me diras que ce n'est aucunement une preuve
Quel argument mesuré*! Je te rappelle que c'est toi qui amenait les "inégalités saillantes". En plus, ta solution n'est pas "éthique": ce serait priver chaque être humain de sa seule vie.Mikaël a écrit :Certes oui, mais une conséquence paradoxal pourrait être la suivante : si ce qui compte c'est de réduire les inégalités, alors un génocide global, instantané et indolore ne serait pas inéthique. C'est effectivement un moyen : de supprimer toute inégalité, et même de régler une fois pour toute les problèmes de l'humanité
En quoi cela résoud-il ton problème des inégalités (qui est plus celui d'yone, en fait)? Une personne qui revivrait dix mille vies misérables aurait gagné quoi?Mikaël a écrit :Ensuite, toute croyance en une existence transcendant notre existence "matérielle" n'implique pas forcément un système de récompense/punition en fonction de si on est bon ou mauvais
C'est l'impression que j'avais à lecture de ta phrase. Maintenant, si tu peux interagir avec quelque chose, avec quoi? Et, en quoi peux-tu réellement mieux conceptualiser cette "existence" que le "néant"?Mikaël a écrit :En quoi ne pouvoir interagir avec rien est une conséquence de cette idée ?
Salut Mike,Mikaël a écrit :...Certes oui, mais une conséquence paradoxal pourrait être la suivante : si ce qui compte c'est de réduire les inégalités, alors un génocide global, instantané et indolore ne serait pas inéthique. C'est effectivement un moyen : de supprimer toute inégalité, et même de régler une fois pour toute les problèmes de l'humanité...
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