@Jean François
Oui, je comprend ton point de vue, et je suis en accord avec. Ce qui me laisse un peu patoit, c'est simplement que la parapsychologie (autant que la psychologie elle même) sont des domaines souvent rejetté. Cela ne fait que très peu de temps que de consulter un psychologue est bien vue, mais encore, il y a beaucoup de rejet social. Ce sont des domaines mal connues et comprenant beaucoup de préjugé. En plus, les résultats de certains checheurs, étant mauvais ou subjectifs, noircient encore plus ce champ d'étude. Je crois que, s'il y aurait moins de préjugés, que si des chercheurs* sérieux s'y penchait et que s'il y ait un respect de la discipline, il y aurait des résultats. Pausitif ou négatif, il y aurait une réponse claire.
* Je parle de plusieurs chercheurs, car des fois, il y a des résultats pausitifs qui ne sont pas reproduit pour prouver la véracité du faits - un exemple, Philipe le fantôme.
Si je rêve un peu, imaginez vous si on trouverais la partie du cerveau (bon j'imagine ...) qui serait la cause de la télépatie. Je crois que la science exploiterait cette découverte et tout fonctionnerait avec la pensé: débarrer une voiture, écouter la télévision, lire un livre. Bref, rêver c'est rêver.
@ viddal26
La meilleur objectivité est de savoir que nous sommes subjectif. Dans N'IMPORTE quel domaine (para-, comme la sociologie, la bio-mécanique, la chimie, l'histoire, les méthodes quantitatives... tout). Quand nous voulons trop, il y a un biais des résultats. C'est pour cela que, quand nous entrons dans un laboratoire (ou autre lieu d'étude scientifique) il faut laisser ses volontés à l'extérieur. Ceux qui ne le font pas ne sont pas des scientifiques. On peut être déçu ou charmé, cela de dois en aucun cas, ou, au pire des cas, le moins possible, changer le résultat.
@ invité
Oui, certains on cette attitude. Par contre, comme le sujet n'est pas assez défriché, je crois que cela pourrait tourner à l'avantage des chercheurs et de la recherche. "on dégage de l'énergie négative" disons, ou même "l'énergie ne passe pas dans [cette] situation". si on Contrôle ce genre de chose (dans notre exemple, on pourrait diminuer le nombre de personnel près du sujet et augmenter le nombre de caméra, ou donner un "canal" pour son énergie que les chercheurs fabrique [et non le sujet]) cela pourrait donner des résultats négatifs ou pausitif. Si négatif, les chercheurs pourraient dire "voila, nous nous sommes plier aux exigences et cela n'a rien donné". Si pausitif : "nous nous sommes pliés aux exigences et nous avons découvert qu'il pourrait y avoir un fluide énergitique éventuel qui, lui, reste à prouver dans une autre étude"
J'ai un exemple plutôt drôle pour la situation:
Une copine a un de mes ami voulait faire des boulettes de hamburger pour une soirée BBQ. dans la recette, on disait qu'une boulette devrait pèser 150 grammes. Elle trouvait que c'était beaucoup et décida d'aller voir dans le guide alimentaire canadien et trouva que 30 g./boulettes est ce qui est recommendé. Elle fit comme le guide et imaginez la grosseur des boulettes ! Il en falait trois pour recouvrir la surface du pain et 3 autres pour aller chercher la bonne hauteur. Quand nous ne savons pas, je crois que suivre la recette pourrait nous mener à de meilleur résultat.
timide mais
- Samuel Rooke
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Re: timide mais
Il faut être capable de sortir de la caverne pour voir la vérité... qui d'ailleurs est subjective
Re: timide mais
Salut Samuel.Samuel Rooke a écrit :si on Contrôle ce genre de chose (dans notre exemple, on pourrait diminuer le nombre de personnel près du sujet et augmenter le nombre de caméra, ou donner un "canal" pour son énergie que les chercheurs fabrique [et non le sujet]) cela pourrait donner des résultats négatifs ou pausitif. Si négatif, les chercheurs pourraient dire "voila, nous nous sommes plier aux exigences et cela n'a rien donné". Si pausitif : "nous nous sommes pliés aux exigences et nous avons découvert qu'il pourrait y avoir un fluide énergitique éventuel qui, lui, reste à prouver dans une autre étude"
Le défi sceptique tient toujours compte des exigences du sujet parapsychologue. S'il ne veut personne autour on développera un protocole qui tient compte de cette exigence. Le protocole doit tenir compte des exigences des deux bords, on négocie dans ce sens.
Le sujet qui participe doit être d'accord et à l'aise avec le protocole, sinon inutile de faire ce test. Le problème est que même s'il accepte le protocole, ça marche jamais. Qu'est-ce qu'il faut en conclure ?
I.
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Re: timide mais
À lire le reste de votre message, je ne suis pas sûr que vous soyez d'accord (à moins que je ne vous aie pas très bien compris?).Samuel Rooke a écrit :Oui, je comprend ton point de vue, et je suis en accord avec
Vous défendez encore la parapsychologie de manière indirecte (et un peu misérabiliste), sans reconnaitre le peu d'impact qu'elle a eu en plus de 100 ans d'histoire. Quand vous dites que c'est un "domaine mal connu"*, vous ne manifestez aucune véritable curiosité envers cet état de fait. Vous ne vous demandez pas pourquoi rien de concret n'est sorti des recherches en parapsychologie, pourquoi après autant de temps personne ne sait ce qu'est le psi, etc. Après autant de temps, il est difficile de prétendre qu'aucun chercheur sérieux ne s'est penché sur la question. (Tout comme il est futile d'invoquer le financement de la parapsychologie car de nombreux chercheurs ont disposé de fonds conséquents.) En fait, si la parapsychologie est encore si "mal connue" (malgré l'intérêt culturel indéniable des phénomènes "paranormaux"), c'est très possiblement à cause d'un problème intrinsèque: les parapsychologues s'obstinent à considérer vraie la réalité des phénomènes psi malgré la persistance des faits à indiquer le contraire. Cela force les parapsychologues à ajuster leur théorie pour "expliquer" l'absence d'évidence positive (de manière reproductible) et à modifier constamment leur approches méthodologiques plutôt que de tirer des conclusions des expériences. Ce faisant, ils maintiennent surtout de la polémique, ils ne progressent pas vraiment. Pas étonnant dans ces conditions que rien de clair ne soit survenu.
C'est en partie pourquoi je reproche la "neutralité" dans l'approche de la parapsychologie: si on veut présenter cette discipline comme une science (surtout en l'associant à la psychologie), on ne doit pas taire l'absence de résultats. On ne doit pas cacher ce côté stérile, une absence de fait démontrés derrière une scientificité de façade (l'utilisation de statistiques dans des problèmes tout théoriques, par exemple). Que l'on amène objectivement la démarche de parapsychologues, leur tentative pour améliorer les expériences, etc., c'est bien mais ce n'est pas suffisant pour porter un regard véritablement neutre sur la parapsychologie.
En passant, jusqu'à quand doit-on laisser la chance au coureur? Si après plus de cent ans, la parapsychologie n'a rien offert d'indéniable, ne faut-il pas commencer à envisager qu'elle fasse route quelque part plutôt que de dire que le sujet "n'a pas été assez défriché"?
Mais, je suis d'accord sur le merveilleux impact qu'aurait pu avoir la parapsychologie... C'est pourquoi je vous faisait remarquer qu'il n'y en a eu aucun alors qu'on pouvait en attendre pas mal. Et cela va aussi dans le sens de mon reproche sur l'enseignement dans ce cours car, voyez-vous, rêver pour rêver n'est pas très scientifique.Si je rêve un peu, imaginez vous si on trouverais la partie du cerveau (bon j'imagine ...) qui serait la cause de la télépatie. Je crois que la science exploiterait cette découverte et tout fonctionnerait avec la pensé: débarrer une voiture, écouter la télévision, lire un livre
À côté de ça, "ouvrir sa voiture par la pensée" devient une possibilité réelle avec le développement de nos connaissances en neurophysiologie, en informatique, etc. Des sciences qui, elles, travaillent sur des phénomènes concrets, dont l'existence a été démontrée.
(Notez toutefois que je ne comprends pas du tout vos deux derniers exemples. Écouter la télé et lire un livre se fait déjà "par la pensée", sans contact physique.)
Il y a certainement une bonne raison à l'absence de reproduction de cette expérience de création d'un "fantôme": il s'agit d'un sorte de canular. En effet, le "fantôme" a commencé à se manifester seulement quand les conditions sont devenues propices aux magouilles, quand les séances ont été faites dans le noir sans trop de supervision.Je parle de plusieurs chercheurs, car des fois, il y a des résultats pausitifs qui ne sont pas reproduit pour prouver la véracité du faits - un exemple, Philipe le fantôme
Jean-François
* je ne mélangerai pas la psychologie car je ne partage pas votre point de vue: ça fait longtemps que la psychologie est reconnue comme ayant des bases scientifiques. Ce n'est pas parce qu'il a pu être socialement mal vu de voir un psychologue (ce qui se discute) que la psychologie n'a pas de telles bases.
“Belief is the wound that knowledge heals.” (Ursula Le Guin, The Telling)
("La foi est la blessure que le savoir guérit", Le dit d'Aka)
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