Zwielicht a écrit :Ça vole de plus en plus bas ici, et je ne parle pas de Gatti.
Tellement bas que vous êtes revenu pour relever le niveau, c'est fantastique !
Zwielicht a écrit :
Comment fait-on pour pousser ou inciter les gens à faire des choses volontairement ?
En les amenant à penser que c'est volontairement qu'ils le font, cela s'appelle notamment l'éducation.
Je défèque dans un cabinet de toilette volontairement alors que ce n'est qu'une pression éducative qui m'a amené à déféquer dans un cabinet de toilette et pas dans la rue, même si c'est pour de bonnes raisons sanitaires.
Zwielicht a écrit :
Un contrôle volontaire.. parce que présentement, les gens qui font des bébés le font involontairement ?
D'une certaine manière oui.
Il y a en effet un encouragement sociétal, social et familial indéniable à avoir des bébés.
Sociétal/social en France, [ n'hésitez-pas à nous indiquer quelle est la situation au Québec ] par des dispositifs fiscaux et/ou légaux :
Réduction de l'impôt sur le revenu par l'introduction de part, chaque adulte représente une part, les deux premiers enfants une demi-part, chaque enfant suivant une part supplémentaire. [
source ]
Primes à la naissance des mutuelles pour ceux qui en ont ce qui est la majorité.
Émoluments mensuels liés au nombre d'enfants. ( Par la Caisse d'Allocations Familiales [
CAF ], le supplément familial de traitement, [
SFT ] )
Avantages divers et variés liés au nombre d'enfants ( Déplacements ferroviaires, cartes familles etc ... )
Un vrai calcul sous forme de bilan plus/contre au niveau financier nous démontrerait sans doute que la balance est négative mais néanmoins, cela aide bien à passer le pas, toutes ces aides, d'autant que l'enfant qui coûte le plus cher, c'est le premier, le temps d'acquérir tout l'équipement ( Poussettes, jouets d'éveil etc ), cet équipement étant in facto disponible pour le deuxième ou le troisième enfant.
Familial :
Par l'envie faussement volontaire de participer au financement des retraites résultant du matraquage médiatique des politiques ( Qui va payer quand nous serions vieux ).
Assurer la descendance de la famille, ou parfois simplement le nom de famille.
Pour les jeunes couples en famille, 'c'est quand que vous nous faites un petit, les jeunes', dont j'ai peine à croire qu'il n'est pas commun dans toutes les sociétés à structure familiale.
Et je passe sur l'absence de structures éducatives dans nombre de pays en voie de développement concernant la contraception mais qui existe aussi en occident par exemple, le nombre de jeunes filles enceintes qui augmente, faute d'éducation (
Source )
Et je suis certain que j'en oublie encore ...
Jean-françois a écrit :
et, de toute façon, ne s'adressent pas au coeur du problème: la surpopulation. Ça ne sert à rien de réduire le "coût écologique" de chacun si c'est pour multiplier les "chacuns".
embtw a écrit :
Que faut-il préconiser alors pour s'adresser au cœur du problème ?
Et si au lieu de nous faire une démonstration de logique syntaxique en sortant une phrase de son contexte [
1], Zwielicht, vous vous abaissiez à nous expliquer :
Si vous considérez que le cœur du problème de la pollution industrielle, c'est la surpopulation ?
Si oui, comment préconiseriez-vous d'en limiter les effets ?