Référentiels coulombien

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Etienne Beauman
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Re: Référentiels coulombien

#26

Message par Etienne Beauman » 28 sept. 2011, 21:56

Salut obi76,
obi76 a écrit : Voilà la raison du "discussion déplacée".
Ce qui semble plutôt clair quand on lit le message automatique qu'il a reçu :

Votre discussion a été déplacée :

=================================================================
Discussion : Référentiels coulombien (http://forums.futura-sciences.com/physi ... mbien.html)
Forum d'origine : Physique (http://forums.futura-sciences.com/physique/)
Nouveau forum :
=================================================================

ça s'appelle un coupé n'est pas collé :mrgreen:

ps : je suis pas un hacker, rommel m'a envoyé une copie du message par pm.
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obi76
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Re: Référentiels coulombien

#27

Message par obi76 » 28 sept. 2011, 22:53

Salut,
Etienne Beauman a écrit : ps : je suis pas un hacker, rommel m'a envoyé une copie du message par pm.
Pas de soucis, de toutes façons je crois que nous avons sensiblement le même point de vue de ce qu'est un forum :mrgreen: .

Pour Information, Rommel a lancé une autre discussion où le débat fait lieu. J'ai mon opinion mais je laisse discuter, on verra bien la conclusion.

rommel
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Re: Référentiels coulombien

#28

Message par rommel » 28 sept. 2011, 23:04

Bonjour,

OK obi76, OK Etienne Beauman.

Le lien de la nouvelle discussion:

http://forums.futura-sciences.com/physi ... ost3721396

Cordialement,
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rommel
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Re: Référentiels coulombien

#29

Message par rommel » 08 oct. 2011, 01:14

Bonjour,

Ok. Nous somme en relativité restreinte.

R est un référentiel inertiel dont l'espace physique est euclidien. Si on préfère, on peut que dire que l'espace-temps de R est celui Minkowski. Le livre d'Albert Einstein qui expose la relativité restreinte et générale explique qu'en imaginant un disque en rotation dans R, on peut conclure que la géométrie d'un système accéléré n'est pas euclidienne ou, si on veut, que son espace-temps n'est pas plat. Wikipédia (http://fr.wikipedia.org/wiki/Relativit% ... %C3%A9rale) le résume ainsi :

"Expert en expériences par la pensée, il imagina un disque en rotation regardé par un expérimentateur placé en son centre et tournant avec : comme pour Huygens, il y a une force centrifuge au niveau du périmètre qui est perçue comme une force gravitationnelle (car la masse gravifique et la masse inerte sont égales par hypothèse). De plus, en voulant rester dans le cadre de la relativité restreinte, il conclut que l'observateur doit constater la réduction du périmètre mais pas du rayon : ce n'est pas possible dans un espace plat. Conclusion : la gravitation oblige à utiliser une géométrie non-euclidienne."

Ok, ça me parait étrange mais admettons que ce disque en rotation uniforme, qu'on notera K, est le support d'un unique référentiel, celui de l’expérimentateur placé en son centre. Admettons que tout point matériel solidairement lié au disque parait immobile pour cet expérimentateur. Ok.

Ainsi, K mesure sa circonférence en additionnant des éléments de longueurs infinitésimales (?, ok) et ses éléments de longueur subissent une contraction de Lorentz quand on recherche leur mesure dans R. Ok.

Ainsi, si la circonférence de l'entité en rotation obéit à la formule diamètre fois pi dans le référentiel R, K ne peut pas être d'accord.

On veut conclure l'espace-temps de K n'est pas euclidien. Mais d'abord, pourquoi est-ce que K devait être d'accord avec cette formule ?

Considérons un référentiel inertiel R' qui se déplace dans R avec un vecteur vitesse contenu dans le plan de rotation de K. La relativité restreinte explique que d'après R', K a la structure d'une ellipse dont la circonférence n'est pas circulaire.

Comment est-ce que R va expliquer à R' qu'il y a une anomalie dans le fait que K ne trouve pas la formule "circonférence = diamètre fois pi". On sait bien que R' ne voit aucun cercle.

Cordialement,

Rommel Nana Dutchou
Dernière modification par rommel le 08 oct. 2011, 06:00, modifié 1 fois.
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Re: Référentiels coulombien

#30

Message par rommel » 08 oct. 2011, 05:43

Bonjour,

Pour l'étude des champs associés dans des référentiels inertiels à des
particules électriquement chargées et en mouvement, il est admis en
relativité restreinte que la solution générale est donnée par les
potentiels de Liénard-Wiechert.

Il est donc implicitement admis que quelque soit les mouvement d'une
charge dans un référentiel inertiel, les champs qui lui sont associés
(grâce auxquels il influence les trajectoires de toute autre particule
chargée) sont de nature électromagnétique et déterminés par les
équations de Maxwell. Sous ces hypothèses, s'il est toujours possible
de faire le choix de la jauge de Lorentz pour la détermination des
potentiels, on précise la structure des potentiels scalaires et
vecteurs en résolvant de façon technique l'équation de propagation
(fonction de Green). On vérifie que les solutions ainsi explicitées
sont relativistes ce qui signifie que le choix de la jauge de Lorenz
est compatible avec la transformation des coordonnées de Lorentz,
l'équation de propagation qu'on a résolu étant fondamentalement
relativiste (la transformation de Lorentz a été conçue pour la rendre
invariante).

Dans mon modèle je ne connais pas la nature des champs associés dans
un référentiel inertiel R à une charge dont le mouvement est
quelconque.

Si la charge est au repos ces champs son déterminés par Coulomb.

Si la charge est en translation uniforme alors la transformation de
Lorentz et la relation fondamentale de la dynamique de la relativité
restreinte permet de voir qu'ils sont de nature électromagnétiques et
déterminés par les formules retardées habituelles (Il suffit de
calculer leur action sur une particule test dans R sachant que dans le
référentiel galiléen où la charge source des champs est immobile, il
sont donné par Coulomb).

La détermination des formules explicites généralisant la
transformation de Lorentz me permet de calculer ces champs si le
mouvement de la charge est quelconque (il s'agit d'écrire leur action
sur une particule test et il apparait une composante de nature
gravitationnelle) en partant du fait que dans le référentiel de la
charge où elle est immobile, il faut utiliser Coulomb.

La mécanique quantique est née de l'étude de la stabilité des atomes
et de leurs rayonnement. Les mouvements des électrons autour des
nucléons sont supposés être des fonctions périodiques (fonctions
positions et vitesses) qu'on peut alors représenter par des
coefficients de Fourier. Ma théorie propose de nouvelles formules
déterministes pour l'étude de la stabilité et du rayonnement des
atomes. Elle n'est pas achevée mais elles est mathématiquement bien
avancée.

Cordialement,

Rommel Nana Dutchou
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curieux
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Re: Référentiels coulombien

#31

Message par curieux » 08 oct. 2011, 23:03

Bonjour

déjà j'annonce que je ne suis pas un scientifique, même si je me soigne depuis belle lurette.
Mais bon, quand je lis ceci:
"On a déduit la relativité générale de la théorie restreinte à partir d'un postulat de base physiquement infondé : il existe une quantité infinitésimale qui est conservée lors des changement de coordonnées."
je me dis qu'on n'a pas la même comprenette du sens du terme 'infondé'.
Autrement dit, 299 792 458 m/s n'est pas une constante mise en évidence par la nature ou les mathématiques comme le nombre \pi exprimant la relation entre la circonférence d'un cercle et son rayon en géométrie euclidienne. En ce sens, les notions de permittivité électrique et perméabilité magnétiques ne décrivent pas le vide mais sont finalement propres aux modèles pertinents décrivant l'électromagnétisme dans des "milieux" purement matériels.
Parler pour ne rien dire, c'est une chose, mais dire des conneries, c'en est une autre.
Comment aller plus loin après ce gros n'importe quoi ?
Moi je ne peux pas.
Le rôle de la physique mathématique est de bien poser les questions, ce n'est que l'expérience qui peut les résoudre. [Henri Poincaré]

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Re: Référentiels coulombien

#32

Message par rommel » 09 oct. 2011, 01:01

Bonjour curieux,

Cordialement,

Rommel Nana Dutchou
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Etienne Beauman
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Re: Référentiels coulombien

#33

Message par Etienne Beauman » 09 oct. 2011, 01:38

rommel a écrit :Bonjour curieux,

Cordialement,

Rommel Nana Dutchou
:shock: :shock: :shock:
Ce message a gagné le prix du message le plus creux de tous les temps ou c'est moi qui suis out ?
Au royaume des cyclopes, les borgnes sont aveugles.
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Re: Référentiels coulombien

#34

Message par rommel » 09 oct. 2011, 02:53

Bonsoir Etienne,
Bonsoir curieux,

N'ayant pas saisi les reproches de curieux, j'ai répondu à la question posée c'est-à-dire aucune.

Soit c'est une véritable puriste que mon manque de rigueur (?) a gravement offensé, soit il ne souhaite pas me faire progresser en m'expliquant comment j'ai tout faux.

Ok pour l'expression "physiquement infondé", j'admettrais prudemment que c'est un avis très personnel.

Pour les notions de permittivité électrique et perméabilité magnétiques, la question m'avait été posée par un correspondant qui demandait s'il me semble logique d'ignorer l'éther support de la propagation des ondes de Maxwell et d'attribuer en même temps une permittivité et perméabilité aux vide. Ma réponse consistait à exprimer, et ce n'est pas un scoop, que les valeurs de ces constantes caractérisent un choix de système d'unités et si on souhaite construire la théorie de Maxwell dans le vide uniquement, il n'y a aucun intérêt à créer cette terminologie (point de vue personnel ?).

Wikipédia :

"En électromagnétisme des milieux en régime linéaire, la perméabilité magnétique caractérise la faculté d'un matériau à modifier un champ magnétique B, c’est-à-dire à modifier les lignes de flux magnétique."

"La permittivité, plus précisément permittivité diélectrique, est une propriété physique qui décrit la réponse d‘un milieu donné à un champ électrique appliqué."

À mon avis, quand on parle de réponse d'un milieu, il faut un étalon qui peut être la réponse du vide.

Cordialement,

Rommel Nana Dutchou
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Re: Référentiels coulombien

#35

Message par obi76 » 09 oct. 2011, 15:25

Je dois juste souligner que j'ai longuement hésiter à fermer la discussion sur FS, toujours à cause du même point de la charte...... Et je crois que ça ne saurai tarder.

rommel
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Re: Référentiels coulombien

#36

Message par rommel » 09 oct. 2011, 19:54

Bonjour obi76,

Il ne s'agit pas de vous reprocher quoique ce soit mais je constate que nous avons quelques points communs.

Comme cela m'arrive très souvent (peut être parce que je ne me relis pas souvent), vous faites des conjugaisons approximatives dans vos phrases, usage de l'infinitif à la place du participe passé ou réciproquement.

Il s'agit de remarquer que le fait que nous ne soyons pas d'accord sur quelque chose ne signifie pas que tout nous oppose.


Cordialement,

Rommel Nana Dutchou
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Re: Référentiels coulombien

#37

Message par rommel » 09 oct. 2011, 19:58

Bonjour,

Si vous restez dans une description des phénomènes relativement à un référentiel n'aurez-vous pas des descriptions non univoques tel que par exemple la trajectoire d'une particule en chute libre ?

Je pense ceci : caractériser les trajectoires indépendamment des référentiels est une solution excitante qui est peut être le choix de la nature, mais cela ne signifie pas qu'on peut observer une trajectoire sans référentiel. La nécessité de la définition des référentiels vient du fait que tous les observateurs n'observent pas la même trajectoire pour une entité désignée. Je pense qu'on ne peut pas réaliser des mesures lors d'une expérimentation des lois de la physique sans référentiel et quelque soit la théorie, la mise en évidence de ce concept doit être théoriquement possible à défaut d'être mathématiquement triviale.

Ma théorie définie un référentiel par sa définition c'est-à-dire que différents physiciens qui se trouvent dans l'espace interplanétaire, chacun étant à bord d'un véhicule spatial monoplace (;)), n'attribuent pas le même état (immobilité ou mouvement) à une entité désignée et par conséquent n'observent pas la même trajectoire (position spatiale comme fonction du temps) pour cette entité. Une durée se mesure sur une horloge propre et une position spatiale est à priori définie par une direction et un éloignement par conséquent la notion même d'espace est propre à chaque référentiel.

Comment reconnaitre dans un référentiel la trajectoire d'une particule libre. Je répond en demandant c'est quoi une articule libre. De mon point de vue, une particule libre c'est une particule dont la trajectoire ne peut être expliquée par des causes identifiables.

En physique classique il existe une classe de référentiel où la structure de la trajectoire d'une particule libre est triviale en ce sens que son vecteur vitesse est supposé constant. On peut penser que c'est simplement un choix commode pour expliquer les observations. Il se trouvent que cette classe de référentiel n'est pas constituée de tous les référentiels à cause d'un hypothèse (non scientifique, c'est un avis personnel) que cette physique fait par ailleurs :

"Si le véhicule spatial monoplace d'un physicien subit des collisions à des intervalles de temps réguliers par rapport à son temps propre, tous les physiciens possibles seront d'accord pour dire que ces collisions sont réalisés à des intervalles de temps réguliers par rapport à leurs temps propres."

La physique classique définie par ailleurs une distance spatiale comme la mesure d'une entité linéaire et rigide et il n'est pas certain que cette définition soit consistante:
1/ Linéaire pour qui ? chaque physicien possède sont espace vectoriel pour différencier les directions dans lesquelles se trouvent les entités qui lui paraissent immobiles.
2/ Rigide ça veut dire quoi ? Pour un physicien la distance spatiale qui le sépare d'une entité lui paraissant constamment immobile est une constante. Mais l'immobilité est une perception sensorielle liée à la propagation dans le vide des signaux d'origine électrique. L'immobilité est une notion relative à ce qu'on appelle un référentiel et il devrait en être de même de la rigidité.

Dans ma théorie, et c'est une définition, un physicien évalue la distance spatiale qui le sépare d'une entité lui paraissant constamment immobile en mesurant (par rapport à une durée choisie pour étalon) l'intervalle de temps propre écoulé entre l'émission et la réception d'un signal sphérique d'origine électrique qui se propage dans le vide et est réfléchit par l'entité. C'est une définition cohérente et par ailleurs s'avère commode.

Prendre le problème en s'intéressant à définir des propriétés qui caractérisent la trajectoire (spatio-temporelle) en elle-même n'est-il pas plus fécond ?

Sans être un spécialiste de cette théorie, la relativité générale suppose que l'espace-temps possède une structure géométrique propre décrite par une distance infinitésimale (!) existant entre tous les couples d'évènements infiniment proches (!). Il existe une classe pertinente de systèmes de coordonnées étendus relativement auxquels cette distance infinitésimale a toujours la structure d'une forme quadratique et est conservée lors d'une transformation (toujours bijective et même continue) entre deux tels repères d'espace-temps.

Je continue à penser que rigoureusement, on ne peut savoir définir des distances infinitésimales sur un tel espace-temps que si on sait définir les distances non infinitésimales même si les résultats ne sont pas utilisés.

Une trajectoire spatio-temporelle c'est une ligne d'univers mais je l'utilise souvent relativement à un référentiel pour dire position d'espace comme fonction du temps.

Caractériser une trajectoire spatio-temporelle indépendamment de la notion de référentiel signifie, à mon avis, conférer une certaine structure à l'espace-temps topologique. C'est en un sens le cas dans ma théorie puisqu'il est supposé qu'un signal sphérique d'origine électrique caractérise l'espace-temps indépendamment des référentiels, indépendamment des systèmes de coordonnées cartésiens éventuellement en mouvement les uns par rapport aux autres.

Je n'ai pas développé ma théorie pour proposer une approche plus féconde que celle de la relativité générale, mais pour explorer la possibilité que j'ai observé de décrire par une autre théorie (que celle de Liénard-Wiechert) les rayonnements des particules électriquement chargées dans des référentiels galiléens sans remettre en cause les lois empiriques intégrales qui permettent la dérivation des équations fondamentales de Maxwell dont le domaine de validité absolue est alors sensiblement diminué.

Ce n'est peut être pas le choix de la nature mais il s'agit de postuler que dans le référentiel d'une particule chargée où elle est par définition immobile, la structure des équations permettant de décrire son influence sur les trajectoires de toute autre particule chargée est toujours la même (celle de Coulomb). Cela ne m'a pas semblé plus absurde que d'explorer la possibilité d'utiliser les géométries non euclidiennes pour la description des référentiels qui nous paraissent cartésiens mais il vrai que le succès expérimental pourrait ne pas être le même.

Plaçons nous dans un référentiel galiléen R et considérons une particule chargée q1 dont le mouvement de translation rectiligne et uniforme est imposé, et une quelconque particule test q2. On veut décrire dans R l’influence que q1 exerce sur la trajectoire de q2. Si on suppose que cette influence est décrite par Coulomb dans le référentiel où q1 est immobile, l'utilisation de la transformation de Lorentz et de la dynamique associée permet de constater que dans R cette influence est de nature électromagnétique, d'expliciter des champs électrique et magnétique et de se rendre compte qu'ils sont solution des équations Maxwell (alors justifiés ?) et que les lois expérimentales de Boit et savart sont approximatives.

On peut se demander ce que devient cette influence si le vecteur vitesse de q1 dans R est une fonction constante par morceau. On doit penser que si la vitesse de q1 prend une certaine valeur constante pendant un intervalle de temps important, alors l'influence précédente est décrite de façon identique au voisinage de cette période si q2 se trouve (spatialement) à proximité de q1. Que devient cette influence, au voisinage de la même période de temps, si q2 est vraiment très éloigné de q1 ? Que devient cette influence (à différentes dates et à différents endroits) lorsque, entre deux valeurs caractéristique de sa fonction vitesse en escalier, le mouvement de q1 est accéléré ?

À priori cette étude peut être féconde puisque rien ne nous oblige à postuler R constate toujours L'expression de la force électromagnétique et les équations de Maxwell, qu'il pleuve ou qu'il neige.

C'est pour répondre à ces questions que je me posais que j'ai fais dans un premier temps des hypothèses réalistes permettant de constater que les équations de Maxwell peuvent être non plus absolues mais approximatives pour décrire les champs associés à une particule chargée accélérée dans un référentiel galiléen, et que j'ai développer par la suite une théorie de changement de référentiel afin d'utiliser Coulomb dans le référentiel où la charge est immobile en lui associant la relation fondamentale de la dynamique explicitée en relativité restreinte.

Cordialement,

Rommel Nana Dutchou
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Re: Référentiels coulombien

#38

Message par obi76 » 09 oct. 2011, 20:49

Effectivement, je n'ai pas fait attention.

rommel
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Re: Référentiels coulombien

#39

Message par rommel » 13 oct. 2011, 19:03

Pour justifier ma théorie :

Définition :
"Un référentiel est la ligne d'univers d'un point matériel. Il est assimilable à une horloge ayant une notion intrinsèque d'égalité ou de non égalité entre les intervalles de temps écoulés en son sein et il est apte à reconnaitre le mouvement ou l'immobilité de toute autre trajectoire matérielle."

Chaque point de l'espace physique d'un référentiel est une ligne d'univers d'un point matériel qui lui parait continument immobile et cet espace physique est supposé euclidien c'est-à-dire qu'il existe une certaine cohérence entre les distances spatiales que ce référentiel constate dans son espace physique. Nécessairement,un point de l'espace physique d'un référentiel R décrit dans un quelconque autre référentiel R' une trajectoire avec des vecteurs vitesse caractéristiques.

Si un point matériel B est en translation uniforme d'après un point matériel A, on dira que le référentiel de B est en translation uniforme par rapport au référentiel de A et on postulera (car il faudrait leurs poser la question) que toutes les entités immobiles aux yeux B se déplacent à la même vitesse constante dans d'après A. Que devient cette relation si le mouvement de B n'est pas uniforme d'après A ?? ma théorie établie des formules compliquées.

Un disque en rotation dans un référentiel R n'est pas un référentiel (toutes les points matériels qui lui solidaires sont immobiles pour un certain point matériel) car la transformation de Lorentz indique que tous les référentiels galiléens ne disposent pas du même critère pour l'identifier.

Les transformations écrites en physique classique ne sont pas des changements de référentiels mais une utilisation des repères mobiles au sein d'un unique référentiel.

Qu'est-ce que le disque en rotation a de spécial par rapport aux autres surface en mouvement dans un référentiel R ?

Il se trouve que R étant euclidien, une entité non réduite à un point (qui peut être constituée de plusieurs véhicules spatial avec chacun à son bord un physicien) ne peut se mouvoir sans se déformer dans R que s'il lui est attribué des vecteurs de rotation et de translation instantané (vecteurs relatifs à R). La transformation de Lorentz indique que ceci ne signifie pas que cette entité se déplace sans se déformer par rapport à tout autre référentiel par conséquent le critère de rigidité n'est pas consistent pour la reconnaissance au sein d'un référentiel de la variété spatiale d'un autre.

Cordialement
Rommel Nana Dutchou
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Re: Référentiels coulombien

#40

Message par rommel » 13 oct. 2011, 21:49

Bonjour,

Déjà je m'excuse de poster fréquemment même sans réponse.

ceci est un extrait d'une récente discussion (c'est moi qui m'explique en premier) :


Je doute de la cohérence absolue du ds^2 pouvant être négatif.

1/ Une quantité infinitésimale ça ne veut rien dire dans les mathématiques que je connais (elles sont limitées, c'est vrai). Pour évoquer des distances ou pseudo-distances infinitésimales qui sont une notation, il faut savoir évoquer les distances ou pseudo-distances non infinitésimales.

2/ Vous direz peut être que l'espace-temps de la relativité générale est une réunion d'ouverts tels que chacun soit homéomorphe à R^4 et rigoureusement assimilable un espace de Minkowski : quelle est la dimension de ses ouverts ?

3/ Partons de la définition qui dit qu'une variété est un espace topologique muni en chaque point d'une copie d'un espace vectoriel qu'on dira tangent sur lequel est défini un produit scalaire. Habituellement un produit scalaire est une forme bilinéaire symétrique définie positive mais celui de la relativité générale n'est pas pareil. Que signifie ce produit scalaire ? étant donné une quelconque courbe paramétrée sur l'espace-temps (vraiment quelconque), sa pseudo longueur est l'intégrale par rapport qu paramétrage de la courbe d'une certaine fonction de ce paramétrage, et la valeur de cette fonction en un quelconque évènement est la pseudo norme du vecteur tangent à la courbe paramétrée en cet évènement. Dans le cadre riemannien on a les longueurs des courbes qui caractérisent la géométrie de l'espace mais dans le cadre pseudoriemannien je ne sais pas si ça donne des choses cohérent. Par ailleurs, les coordonnées des vecteurs tangents aux courbes paramétrées ne peuvent être explicitées que relativement à des choix de systèmes de coordonnées étendus mais étant donné la bizarrerie des mathématiques postulées (pourquoi ce postulat déjà ?), il est fortement déconseillé d’interpréter un paramétrage étendu de l'espace-temps comme des coordonnées d'espace de temps. Quand on essai, comme dans une paramétrisation de Schwarzschild, d’interpréter une des coordonnées étendue comme une distance spatiale par rapport à quelque chose (eh oui, expérimenter la physique signifie aussi mesurer des distances spatiales entre entités immobiles) on renonce à une interprétation immédiate de ce qui devait être la coordonnée temporelle.
On sait faire des mathématiques compliquées mais on ne sait pas dire voilà des entités immobiles et les distances spatiales entre elles, on ne sait pas définir un référentiel tout simplement (si ce n'est inévitablement au moment de faire des mesure concrètes).
L'affirmation qu'une entité est immobile ou en mouvement ne peut se faire qu'au sein de ce qu'on n'appelle un référentiel et en relativité générale ce n'est pas seulement obscure, c'est peut être impossible.

je vous cite :

<<Il est vrai qu'au début Einstein a fondé la relativité restreinte,en se plaçant dans les référentiels d'inertie:il admettait une géométrie euclidienne pour l'espace>>

Effectivement, une certaine géométrie pour décrire ce qu'on appelle distance spatiale entre entité immobile (qui est liée à la durée nécessaire pour qu'un signal d'origine électrique fasse un aller retour), pour décrire un référentiel tout simplement.

<< puis en tirait le"ds^2">>

Je dirai qu'on a remarqué l'existence d'une quantité invariante et sachant qu'il fallait étendre la pertinente relativité restreinte à des situation qu'elle ne prenait pas en compte [ qu'observe, avec son horloge, ses yeux et ses radars perfectionnés, un physique à bord d'un véhicule spatial qui effectue des manœuvres quelconques par rapport à un référentiel (inertiel ?)], et parce qu'on ne savait pas faire autrement (ma théorie toute nouvelle par exemple), on a postulé des formes infinitésimales quadratiques (par rapport à des paramétrages ayant une certaine régularité) qui seraient invariantes sous des transformations entre coordonnées. Peut être direz vous que grossièrement un mouvement accéléré est la limite d'une suite de mouvement uniformes par morceaux et qu'il s'agit d'espérer appliquer la formule de Lorentz dans des voisinages locaux et de recoller les morceaux (d'espace-temps!). Il se trouve que l'immobilité des entités est une réalité physique (le mouvement l'est n'est ce pas ?) qui n'a rien de locale et ne semble pas pouvoir être mise en évidence par cette intuition ingénieuse. Vous ne devrez pas le nier.


<<La méthode habituelle est alors de partir du "ds^2"pour trouver la géométrie des variétés spatiales:géométrie sur le disque en rotation par exemple.>>

Oui, il faut postuler ce fameux ds^2 et espérer que l'expérience le justifie. Vous savez que cette espoir de décrire ainsi les référentiels n'a rien produit comme transformation explicite même mathématiquement compliquée.

Avant de décrire la géométrie d'une variété spatiale, il faut préciser les lignes d'univers qui caractérisent cette variété spatiale, c'est-à-dire quelles sont les trajectoires des points matériels qui y paraissent mobiles ou en mouvement et quelles sont celles qui paraissent immobiles. C'est le minimum. Il se trouve que d'après la transformation de Lorentz justement, un disque en rotation dans un référentiel (on sait y définir le mouvement ou l'immobilité d'une entité) n'a pas la même structure dans un autre référentiel en translation uniforme par rapport au premier, les vecteurs vitesses des points matériels liés à ce disque ne sont pas définis de la même façon et sa circonférence n'est plus circulaire. La terminologie disque en rotation n'est donc pas appropriée il l vaut mieux dire "entité en mouvement".

<<Ce point de vue devient fondamental en relativité générale ou il n'y a plus de référentiels d'inertie.>>

Inertiel ou pas, c'est quoi un référentiel ?

<<Donc à mon avis un théorie qui ne part pas du "ds^2" ne peut traiter des référentiels non inertiels de la relativité restreinte>>

Non, ce n'est pas exacte : c'est quoi un référentiel ?

<<et encore moins de la relativité générale>>

Il ne s'agit effectivement pas de réécrire la relativité générale, mais de proposer une nouvelle théorie qui ne traite peut être pas encore de la gravitation expliquée par Newton.

Nos différents viennent de cette question : c'est quoi un référentiel ? Pour répondre on peut poser cette autre question : c'est quoi une entité en mouvement et une entité immobile ?

Wikipédia :

<<un référentiel est la référence que l'on utilise pour décrire un mouvement.>>

<<En physique, un référentiel est un système de coordonnées de l'espace-temps lié à un observateur, composé de trois coordonnées d'espace et d'une coordonnée de temps, utilisé pour définir les notions de position, de vitesse et d'accélération.>>

Pour observer quoi que ce soit en physique, il faut l'observer depuis un Référentiel. Je vais essayer d'être plus précis :

* A bord de son véhicule spatial et effectuant des manœuvres dans le vide interplanétaire, Jean regarde un oiseau et affirme que d'après ses yeux et ses radars, la trajectoire de cet oiseau est une hélice.

* A bord de son véhicule spatial et effectuant des manœuvres dans le vide interplanétaire, Paul regarde un oiseau et affirme que d'après ses yeux et ses radars, la trajectoire de cet oiseau est rectiligne et uniforme.

* A bord de son véhicule spatial et effectuant des manœuvres dans le vide interplanétaire, Pierre regarde un oiseau et affirme que d'après ses yeux et ses radars, la trajectoire de cet oiseau est rectiligne et accéléré.

En physique, il ne faut pas se poser la question de savoir qui a raison, ils ont tous raison mais ils n’appartiennent au même référentiel. Cela signifie qu'il ne caractérisent pas la trajectoire d'une entité de la même façon : mêmes vecteurs vitesses en tout évènement.

C'est quoi un référentiel dans ma théorie : Un référentiel c'est une personne qui regarde avec les yeux et qui dit, pour un quelconque point matériel, que ça ne bouge pas ou que ça bouge. Indiscutablement, il attribue de façon unique des vecteurs vitesses aux trajectoire matériel.

Cordialement,
Rommel Nana Dutchou
Un cheval -------> Des chevaux
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Hallucigenia
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Re: Référentiels coulombien

#41

Message par Hallucigenia » 13 oct. 2011, 22:17

Salut Rommel,
rommel a écrit :Déjà je m'excuse de poster fréquemment même sans réponse.
C'est vrai que c'est un forum de discussions, pas un forum de dissertations, ni un blog personnel.

Puisque tu n'obtiens pas de réponse, c'est que manifestement le sujet n'intéresse pas nos membres, ou qu'ils ne se sentent pas en mesure de te répondre (et vu la complexité du sujet, ce n'est pas très étonnant).

Désolé pour ça, mais effectivement, il n'est peut-être pas très pertinent de poursuivre seul cette discussion.

Amicalement,
Hallu

rommel
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Re: Référentiels coulombien

#42

Message par rommel » 15 oct. 2011, 19:03

Bonjour,

Un autre lien vers une discussion:

http://www.sciences.ch/htmlfr/php/dvfor ... =1&id=4729

Cordialement,
Rommel Nana Dutchou
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