Les vraies questions entre sciences et pseudosciences

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Gatti
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Les vraies questions entre sciences et pseudosciences

#1

Message par Gatti » 18 févr. 2005, 20:53

Voici le condensé de la conclusion de la these de MC Mousseau.Elles sont accablantes pour la recherche officielle en France .mais elles sont accablantes AUSSI pour les parasychologues français mais cela elle ne l'a pas vu parcequ'elle n'est pas au fait des realités paranormales recentes qui contiennet des preuves.Je ferai donc mes commentaires (acides a point) sur le site casar dans quelques jours sur http://perso.wanadoo.fr/casar/M133.htm



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Thèse de Marie-Christine MOUSSEAU

UNIVERSITE DE DUBLIN 2002

Sciences , recherche sur le paranormal et croyances :quel est le lien?



Extraits tirés de la conclusion de la thèse


MC Mousseau: Le jugement porté par Bertrand Méheust sur la situation du paranormal en France est pertinent Toute recherche en se domaine est considérée comme pseudoscience par la plupart des scientifiques (qui en fait ne la connaissent pas) , est complètement ignorée par les médias.


La science conventionnelle aurait beaucoup a apprendre de leur approche multidisciplinaire ( tandis que la plupart des sciences perdent sans doute beaucoup à tendre vers une trop grande spécialisation ) et de la richesse de réflexion épistémologique complètement ignorée par la plupart des scientifiques.


En réalité , le fait de réussir à fournir des données utiles n'est peut être pas le seule raison pour laquelle la parapsychologie est considérée comme une pseudoscience. L'absence de résultats pratique ne rend pas compte du puissant tabou présent dans la communauté universitaire française. La science par essence s'est construite sur le rejet de toute superstition et croyance populaire. Les scientifiques doivent donc venir à bout de très forts préjugés pour accepter qu'il puisse s'agir d'un sujet de recherche. A cet égard, leur conduite est proche de celle des pseudoscientifiques qu'ils méprisent : elle est basée sur une croyance plutôt que sur un questionnement.


On peut se demander si cela est lié au fait qu'en France , la société et la vie académique restent gérontocratiques. Donc Bertrand Meheust- et d'autres sociologues ou philosophes francophones tels que Pierre Lagrange et Isabelle Stengers - semblent avoir raison sur ce point .l'indifférence marquée à l'égard de la "Metapsychique" a un caractère politique. Elle n'est pas réellement justifiée par des critères scientifiques.


Un des paradoxes est que l'interet pour la science est corrélé positivement au degré de croyance aux parasciences…
De même , la frange de la population ayant un degré de connaissances scientifiques très faible est en moyenne moins crédule que celle ayant un niveau d e connaissance très bon.Les sondages révèlent aussi que les parasciences ne sont pas développées en réaction ou contre l'institution scientifique .



Je rejoint Bertrand Meheust lorsqu'il affire que la question "Metapsychique" est toujours d'actualité. Mais la vraie question est : en dehors des avancés technologiques qu'elle apporte, existe-t-il un quelconque intérêt dans la science ? La réponse dans notre monde matérialiste tend d e plus en plus a être négative. Et en fait la réponse rationnelle serait précisément : il n'y en a aucun , si ce n'est le plaisir que , parfois , certains d'entre nous éprouvent à employer leur intelligence pour essayer d e mieux comprendre le monde. Ce plaisir fait partie du lot dont l'évolution nous a pourvu en nous donnant un cerveau. Ne le gâchons pas ! si certains d'entre nous sont assez persévérants pour enquêter dans un domaine qui se situe en dehors du champ de notre compréhension , et qui ne fournira probablement pas d'applications pratiques fiables a court terme , je ne vois aucune raison de les en décourager.

Jean-Francois
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Re: Les vraies questions entre sciences et pseudosciences

#2

Message par Jean-Francois » 18 févr. 2005, 21:25

Gattif, citant Mousseau a écrit :L'absence de résultats pratique ne rend pas compte du puissant tabou présent dans la communauté universitaire française. La science par essence s'est construite sur le rejet de toute superstition et croyance populaire
Ben voyons, parce que la "communauté scientifique" rejette "la superstition et la croyance populaire", il faudrait laisser de côté que la parapsychologie peine à fournir le moindre "résultat pratique"? Je me demande si le reste de la thèse* est construit selon cette vision des choses. Si j'ai le temps, je la lirai.

Sur les vraies "questions" (sic) entre sciences et pseudo-science, je conseille plutôt L'imposture scientifique en 10 leçons par M. de Pracontal.

Jean-François

* "mémoire" plutôt car c'est du niveau M.Sc. en "Communication Scientifique". Je l'ai téléchargée mais pas lue.

Gatti
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#3

Message par Gatti » 18 févr. 2005, 21:36

cette these http://pagesperso.laposte.net/casar/Rousseau.pdf est tres bien construite et etayée par des investigations hors de tout soupçons. Seule une etrangere peut s epermettre de dire les quatre verités et elle ne s'est pas génée pour le faire.

Pour une foi nous avons une vue d'ensemble et une analyse pertinente.

Gatti
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#4

Message par Gatti » 18 févr. 2005, 21:47

Il faudrait peut etre que pracontal medite ce que dit NICOLESCU physicien de tres haut niveau.
Avec mon petit niveau de bricoleur en Physique quantique j'ai dis il y a peu d e temps exacrtement come lui (avec quelque sfautes de presentation , en moins fouillé je vous l'accorde.
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Ce qu'il faudrait c'est que Nicolescu prenne connaissanc ede l'affaire Pantel et qu'il s'aventure a accoder ses vilons avec ses activités professionelles.
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1
2.2- Niveaux de Réalité
Basarab Nicolescu
Je tiens à préciser, tout d’abord, que je ne parle pas ici exclusivement en
tant que physicien quantique. Un physicien quantique veut tout d’abord utiliser
son formalisme, sa méthodologie et sa technique. Je parle en tant que physicien,
certes, mais un physicien qui essaye de réfléchir sur ce qu’il fait. Lorsque nous
sommes dans le domaine de la réflexion, il est honnête de dire que nous sortons
de notre domaine proprement dit, c’est-à-dire le domaine technique.
Deuxième point que je souhaiterais préciser : un point d’histoire. J’ai
introduit la notion de niveaux de réalité dans une série d’articles en 1982-1984
parce que je ne comprenais pas d’où venait le frein à l’unification entre la théorie
de la relativité et la mécanique quantique. Tel a été le point de départ de ma
réflexion. Ensuite, durant un séjour à Berkeley — je travaillais à l’époque dans le
domaine du bootstrap topologique avec Geoffrey Chew, qui est aussi un homme
de réflexion — les discussions que j’ai eues avec lui et avec d'autres collègues
m’ont beaucoup stimulé pour arriver à cette formulation des niveaux de réalité.
J’étais également stimulé par la notion de « réel voilé » de Monsieur d’Espagnat,
qui est, à mon sens, un des concepts philosophiques les plus intéressants du
siècle passé. La formulation du concept de « niveaux de Réalité » a été reprise
dans mon livre Nous, la particule et le monde (Le Mail, 1985). Puis, au fil des
années, j’ai développé cette idée dans plusieurs écrits : dans des livres, dans des
articles et dans des revues philosophiques.
Ensuite, est survenue la première surprise, celle de Nottale. Laurent
Nottale, en se posant la même question — c’est-à-dire : « d’où vient l'apparente
impossibilité d’unification entre la théorie de la relativité et la mécanique
quantique ? » — est arrivé à la même conclusion que moi. Nottale ne se propose
pas d’établir des passerelles entre les deux théories de la relativité et de la
mécanique quantique. Il veut une théorie qui ne soit ni la physique classique ni
la physique quantique, une théorie tierce, où l'on retrouve, comme cas
particuliers, à certaines échelles, la mécanique quantique et la mécanique
classique. Il s’agit d’un programme, bien entendu, et non d’une théorie parvenue
à son aboutissement. J'ai retrouvé chez lui l’idée de niveaux, d’une manière très
subtile, c’est-à-dire par les fractales et l’espace-temps, qui doit être lui-même
soumis à la relativisation d’échelle.
La deuxième surprise, est arrivée, il y a deux ans, lorsque j’ai découvert
l'ouvrage de Werner Heisenberg, Philosophie. Le manuscrit de 1942 (Le Seuil,
Paris, 1998, traduction de l'allemand et introduction par Catherine Chevalley).
Ce livre a été pour moi un éblouissement parce que j’y retrouvais la même idée de
niveaux de réalité. Le livre de Heisenberg a eu une histoire étonnante : il a été
écrit en 1942, publié en allemand en 1984 (donc je n’ai pas pu prendre
connaissance de ce manuscrit, ne lisant pas l’allemand) et n’a été traduit en
français qu’en 1998.
Académie des Sciences morales et politiques - http://www.asmp.fr
2
Troisième point que je souhaiterais préciser : le point de vue que j’exprime
ici est en accord total avec celui des fondateurs de la mécanique quantique :
Heisenberg, Pauli et Bohr. Je parle du Bohr de la correspondance avec les autres
physiciens et non du Bohr des articles scientifiques. De même, je parle du Pauli
tel qu'il se révèle dans ses écrits philosophiques (Wolfgang Pauli, Writings on
Physics and Philosophy, Springer-Verlag, Berlin-Heidelberg, Germany, 1994,
édition dirigée et commentée par Charles P. Enz et Karl von Meyenn, traduit par
Robert Schlapp), mais aussi de son étonnante correspondance avec Jung
(Wolfgang Pauli et Carl Gustav Jung, Correspondance 1932-1958, Albin Michel,
Paris, Coll. « Sciences », 2000, édition dirigée et commentée par C. A. Meier,
introduction par Michel Cazenave, traduction de l'allemand par Françoise
Périgaut).
Le plus important, dans mon intervention, concerne Heisenberg et ses écrits
et c’est ce par quoi je vais commencer avant d’en venir à mes propres idées et à la
correspondance entre mes idées et celles d’Heisenberg.
Quelle est l’idée fondamentale de ce livre, Le manuscrit de 1942, qui
mériterait qu’on en débatte d’une manière plus profonde ? Comme le dit
Catherine Chevalley dans son admirable introduction au livre, l’axe de la pensée
philosophique de Heisenberg est constitué de « deux principes directeurs : le
premier est celui de la division en niveaux de réalité, correspondant à différents
modes d’objectivation en fonction de l’incidence du processus de connaissance, et
le second est celui de l’effacement progressif du rôle joué par les concepts d’espace
et de temps ordinaires... »
Heisenberg parle de trois régions de réalité. Premier niveau de réalité : état
des choses objectivables indépendamment du processus de connaissance.
Deuxième niveau de réalité : état des choses inséparables du processus de
connaissance. Troisième niveau de réalité : état des choses créées en connexion
avec le processus de connaissance. Distinction très subtile qui est fondée sur une
sorte de révélation que Heisenberg a eu, mais également Pauli et d’autres —
c’est-à-dire la réfutation de l’axiome fondamental de la métaphysique moderne :
la division stricte entre sujet et objet (Bernard d’Espagnat parle souvent, dans
ses ouvrages, de la même idée, comme d'ailleurs Husserl, Heidegger et Cassirer).
D’où la nécessité de considérer une réalité non pas stratifiée, dans le sens naïf du
terme, mais structurée en niveaux discontinus. Les trois niveaux de réalité sont
une conséquence de cette interaction entre le sujet et l’objet — entre processus de
connaissance et ce que nous objectivons en tant que scientifiques. Les trois
régions sont identifiées de la manière suivante : première région : la physique
classique ; deuxième région : physique quantique et phénomènes biologiques et
psychiques ; troisième région : la région d’expériences religieuses, philosophiques
et artistiques.
Sur le mot « réalité », il faudrait insister un peu. Pour Heisenberg, la réalité
est « la fluctuation continue de l'expérience telle que la saisit la conscience. À ce
titre, elle n'est jamais identifiable en son entier à un système isolé... »
Académie des Sciences morales et politiques - http://www.asmp.fr
3
Permettez-moi tout d'abord de distinguer « réel » et « réalité ». Le réel est ce
qui est (c’est-à-dire ce qui ne tolère aucun attribut, qui n’offre pas de résistance).
La réalité, c’est ce qui offre une résistance. Cette acception que j'ai développée
dans mes écrits est en accord avec la notion de « réalité empirique » de Monsieur
d’Espagnat. Les niveaux de réalité concernent la réalité empirique et non pas le
réel voilé. Je parle donc de niveaux à l’intérieur de la réalité empirique.
Une autre remarque très intéressante de Heisenberg : « Les concepts sont
pour ainsi dire les points privilégiés où les différents niveaux de réalité
s’entrelacent ». Je trouve cette formulation à la fois fulgurante, poétique et
scientifique, car c’est toute l’expérience d’un homme de science qui s’exprime ici.
Heisenberg précise ensuite : « Quand on s’interroge sur les connexions
nomologiques de réalité, ces dernières se trouvent chaque fois insérées dans un
« niveau » de réalité déterminé; on ne peut guère interpréter autrement le
concept de « niveau » de réalité (il n’est possible de parler de l’effet d’un niveau
sur un autre qu’en faisant un usage très général du concept d’« effet »). En retour,
les différents niveaux sont mis en connexion dans les idées et dans les mots qui
leur sont associés et qui, dès le début, sont en relation simultanément avec de
nombreuses connexions ».
Ces remarques vont très loin. Ce n’est pas une remise en cause de la science,
loin de là. Il est vrai que Heisenberg parle aussi d’une option : le Moyen Âge a
fait l’option de la religion, les XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles ont fait l’option de la
science et le XXe siècle a opté pour la perte de tous les repères.
Personnellement, j’ai essayé de donner une définition beaucoup plus
connectée à ce que je savais, de ma propre expérience de physicien : je définis
tout d’abord la réalité en tant que résistance. Car nous savons que ça résiste
lorsque nous faisons de la science. Mais cela résiste à quoi ? Il n’y a pas que les
organes des sens qui éprouvent une résistance, il y a aussi une résistance de la
représentation. Il y a même une résistance de la formalisation mathématique.
Certaines théories scientifiques apparaissent et d’autres disparaissent.
Pourquoi ? Parce qu’il y a quelque chose qui résiste. Une formulation
mathématique peut être extrêmement belle et cohérente et pourtant être
abandonnée car il suffit d'un seul fait expérimental en contradiction avec la
théorie en question. C’est la beauté de la science. Ceci est contraire à tout
relativisme radical, hélas, à la mode actuellement.
Je dis que deux niveaux de réalité sont différents si, en passant de l’un à
l’autre, il y a rupture des concepts fondamentaux et rupture des lois. C’est la
raison pour laquelle j’ai donné comme point de départ, dans la formulation des
niveaux de réalité, la question : « pourquoi ne peut-on passer de la mécanique
classique à la relativité d’une manière rigoureuse, formalisée, mathématique ? ».
On pourrait penser que la décohérence est contre l’idée de niveaux. Mais il ne
s’agit que d’une apparence, tout d’abord parce qu’il n’y a pas qu’une théorie de la
décohérence, il y en a plusieurs. Il n’y a aucune compréhension du moment précis
du passage du classique au quantique, du point de vue formel. La décohérence
Académie des Sciences morales et politiques - http://www.asmp.fr
4
fournit d'admirables recettes, des règles de passage, mais pas de compréhension.
Tout comme Nottale ou comme Heisenberg, j’émets l’option qu’il ne s’agit pas
d’un passage mais d’une nouvelle théorie qui, un jour, va contenir et l’une et
l’autre théorie.
Le concept de niveaux de réalité transcende le domaine de la science : il ne
s’agit pas de résoudre des problèmes de mécanique quantique, mais de
comprendre la conciliation entre la mécanique classique et la mécanique
quantique. Mais comme je l’ai dit, en citant Heisenberg, cela va beaucoup plus
loin, vers le domaine du sujet. Et qui dit domaine du sujet dit aussi domaine de
l’art, de la vie intérieure, de l’esthétique, etc. Donc, dans ce sens-là, on retrouve la
notion de niveaux de réalité, qui est très ancienne. On retrouve cette notion dans
toutes les traditions du monde. Ce qui est nouveau, c’est que l’on peut s’appuyer
sur des données de la science pour donner consistance à cette notion de niveaux
de réalité.

Gatti
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#5

Message par Gatti » 18 févr. 2005, 21:59

Il a vu grand le Nicolescu hein!
Y A T-il un physicien specialisé quantique dans la salle?
C'est ici que tout ce tient:

LA COMPREHENSION DU MOMENT PRECIS DU PASSAGE du classique au quantique. C'est clair , Nicolescu laisse la porte ouverte aux phenomene s Panteliens.Il est bien trop intelligent pour prendre le risque d epassé pour un imbecile le jour ou le pot aux roses Pantelien sera decouvert; quand on s'apaercevra que tout est vraiIL AURA ASSURE SE SARRIERES

NICOLESCU: On pourrait penser que la décohérence est contre l’idée de niveaux. Mais il ne
s’agit que d’une apparence, tout d’abord parce qu’il n’y a pas qu’une théorie de la
décohérence, il y en a plusieurs. Il n’y a aucune compréhension du moment précis
du passage du classique au quantique, du point de vue formel. La décohérence
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ti-poil
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#6

Message par ti-poil » 18 févr. 2005, 22:26

Gatti a écrit :Il a vu grand le Nicolescu hein!
Y A T-il un physicien specialisé quantique dans la salle?
C'est ici que tout ce tient:

LA COMPREHENSION DU MOMENT PRECIS DU PASSAGE du classique au quantique. C'est clair , Nicolescu laisse la porte ouverte aux phenomene s Panteliens.Il est bien trop intelligent pour prendre le risque d epassé pour un imbecile le jour ou le pot aux roses Pantelien sera decouvert; quand on s'apaercevra que tout est vraiIL AURA ASSURE SE SARRIERES

NICOLESCU: On pourrait penser que la décohérence est contre l’idée de niveaux. Mais il ne
s’agit que d’une apparence, tout d’abord parce qu’il n’y a pas qu’une théorie de la
décohérence, il y en a plusieurs. Il n’y a aucune compréhension du moment précis
du passage du classique au quantique, du point de vue formel. La décohérence
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Denis
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Le pot aux roses

#7

Message par Denis » 18 févr. 2005, 22:43


Salut Gatti,

Tu dis :
Il est bien trop intelligent pour prendre le risque de passé pour un imbecile le jour ou le pot aux roses Pantelien sera decouvert; quand on s'apaercevra que tout est vrai IL AURA ASSURE SES ARRIERES
Et toi, les assures tu, tes arrières, pour quand le pot aux roses Pantelien sera découvert et qu'on s'apercevra que tout est faux?

Tu devrais commencer à y penser tout de suite.

:) Denis
Les meilleures sorties de route sont celles qui font le moins de tonneaux.

Ghost
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Re: Le pot aux roses

#8

Message par Ghost » 19 févr. 2005, 00:20

Denis a écrit : Salut Gatti,

Tu dis :
Il est bien trop intelligent pour prendre le risque de passé pour un imbecile le jour ou le pot aux roses Pantelien sera decouvert; quand on s'apaercevra que tout est vrai IL AURA ASSURE SES ARRIERES
Et toi, les assures tu, tes arrières, pour quand le pot aux roses Pantelien sera découvert et qu'on s'apercevra que tout est faux?

Tu devrais commencer à y penser tout de suite.

:) Denis
Il n'a rien à assurer et, surtout, rien à perdre. Contrairement aux sceptiques de ce forum et à beaucoup de scientifiques imbus d'eux-mêmes, je pense que Gatti aurait suffisamment d'humilité pour venir faire ses excuses.

J'ai bien peur, donc, que l'on n'ait jamais d'excuses de qui que ce soit. :wink:

G.
Notre cerveau, dont le "métier" est de nous bricoler une présence au monde, a tout ce qu'il faut pour nous en bricoler des imitations pas mal réalistes. (28 avril 2008: prise de conscience de Denis que nous ne sommes pas notre cerveau, Rien n'est perdu! )

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