une solution aux frais de scolarité ?
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une solution aux frais de scolarité ?
Bonjour
Parmi les solutions il y en aurait une qui lierait non seulement les nouveaux étudiants mais aussi les anciens étudiansts. L'université serait gratiuite aux nouveaux étudiants mais quand ils vont commencer à travailler il devront payer disons un pour cent de plus d'impôt. Mais les anciens étudiants qui ont profiter de de coÛts tres réduits devront eux aussi et c'est justice de payer également un pour cent d'impôt.
Avec ce système très vite le gouvernement aura assez de fric pour faire fontionner l'université. Les députés qui sont peût-être en majorité des universitaires devraient se sentir obligés d'y être d'accord. La même chose pour ceux qui sont dans les médias et qui sont égalements des universitaires.
Ce système a beauoup de bénéfices humanitaires. Ceux qui vont faire plus d'argent vont contribuer plus à la bonne marche de l'université et donner la chance à tout le monde d'y bénéficier pauvre ou riche.
Maurice
Parmi les solutions il y en aurait une qui lierait non seulement les nouveaux étudiants mais aussi les anciens étudiansts. L'université serait gratiuite aux nouveaux étudiants mais quand ils vont commencer à travailler il devront payer disons un pour cent de plus d'impôt. Mais les anciens étudiants qui ont profiter de de coÛts tres réduits devront eux aussi et c'est justice de payer également un pour cent d'impôt.
Avec ce système très vite le gouvernement aura assez de fric pour faire fontionner l'université. Les députés qui sont peût-être en majorité des universitaires devraient se sentir obligés d'y être d'accord. La même chose pour ceux qui sont dans les médias et qui sont égalements des universitaires.
Ce système a beauoup de bénéfices humanitaires. Ceux qui vont faire plus d'argent vont contribuer plus à la bonne marche de l'université et donner la chance à tout le monde d'y bénéficier pauvre ou riche.
Maurice
Re: une solution aux frais de scolarité ?
Donc, meilleur est notre choix de carrière et/ou plus on travaille, plus on paie.
Inversement, si on fait un mauvais choix et/ou si on ne se force pas, c'est gratuit?
C'est bizarre, mais ce n'est pas le genre de message que j'aimerais envoyer...
Inversement, si on fait un mauvais choix et/ou si on ne se force pas, c'est gratuit?
C'est bizarre, mais ce n'est pas le genre de message que j'aimerais envoyer...
Envoyé de mon iMac ou de mon MacBook ou de mon iPad ou de mon iPhone
- Feel O'Zof
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Re: une solution aux frais de scolarité ?
Je serais pour la gratuité scolaire financée par les impôts seulement si:
1- On limiterait le nombre d'étudiants par programme en fonction des débouchés;
2- On pénaliserait un étudiant qui aurait trop d'échecs ou qui changerait de programme trop souvent;
3- On exigerait de l'étudiant qu'il s'engage à travailler au Québec pendant un certain nombre d'années après qu'il soit diplômé.
Autrement, ça autoriserait trop de dérives et d'abus qui pourraient être coûteux.
1- On limiterait le nombre d'étudiants par programme en fonction des débouchés;
2- On pénaliserait un étudiant qui aurait trop d'échecs ou qui changerait de programme trop souvent;
3- On exigerait de l'étudiant qu'il s'engage à travailler au Québec pendant un certain nombre d'années après qu'il soit diplômé.
Autrement, ça autoriserait trop de dérives et d'abus qui pourraient être coûteux.
Pour plus de détails sur mes opinions, consultez mon blogue philosophique et laissez-y vos commentaires.
Re: une solution aux frais de scolarité ?
Assez d'accord, et j'aurais peut-être du lousse pour le point 3.
Pour le point 1, on pourrait ne pas limiter, mais passer un quota, le prix augmente.
Pour le point 1, on pourrait ne pas limiter, mais passer un quota, le prix augmente.
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- Feel O'Zof
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Re: une solution aux frais de scolarité ?
Je me disais qu'on pourrait donner, disons, 30 bourses pour un programme donné, donc que 30 étudiants de ce programme bénéficieraient de la gratuité scolaire (ils auraient mérités leurs bourses en se démarquant dans le niveau scolaire antérieur) mais autoriser d'autres étudiants à s'inscrire en autant qu'ils payent eux-mêmes leurs cours. Si un étudiant avait de bonnes notes mais a été refusé pour une bourse parce qu'elles avaient toutes été distribués, il aurait priorité pour une bourse à l'année suivante.DanB a écrit :Pour le point 1, on pourrait ne pas limiter, mais passer un quota, le prix augmente.
Pour plus de détails sur mes opinions, consultez mon blogue philosophique et laissez-y vos commentaires.
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Re: une solution aux frais de scolarité ?
Bonjour
Vu que les universitaires vont payer entiièrement les frais de scolairité ils pourront regarder toujours de très prêt la manière de fonctionner de l'université.. Même si les gouvernements essaient de faire à leur tête les universitaires vont avoir moyens gratuits pour y rémédier. Les recteurs ne pourront pas demander la lune.
Cette façon de fonctionner pourrait être employée dans d'autres pays comme l'Angleterre. Avant la l'université etait gratuite. La France pourrait également suivre pour avoir une qualité d'enseiggnement qu'on retrouve dans le privé.
Maurice
Vu que les universitaires vont payer entiièrement les frais de scolairité ils pourront regarder toujours de très prêt la manière de fonctionner de l'université.. Même si les gouvernements essaient de faire à leur tête les universitaires vont avoir moyens gratuits pour y rémédier. Les recteurs ne pourront pas demander la lune.
Cette façon de fonctionner pourrait être employée dans d'autres pays comme l'Angleterre. Avant la l'université etait gratuite. La France pourrait également suivre pour avoir une qualité d'enseiggnement qu'on retrouve dans le privé.
Maurice
Re: une solution aux frais de scolarité ?
Bonsoir,
Tout paiement entraîne une reproduction sociale qui se retrouve de génération en génération dans plein de pays. Je pense qu'il faut une gratuité totale ainsi qu'une rémunération des étudiants quelque soit le revenu des parents. Car un étudiant issu de classe moyenne n'ayant pas de bourse se retrouve plus dépendant de ses parents que quelqu'un qui est aidé. Il faut sortir de la situation où avant même d'avoir commencé à travailler on est endetté.
En ce qui concerne la réduction des places elle pose 2 questions :
Qui décide du nombre de places autorisées ?
Quand une section est très demandée comment doit-on sélectionner les élus ?
En France certaines caricatures sont entre les psychiatres qui manquent cruellement à cause des limitations trop strictes dans les études de médecine et les psychologues surnuméraires au point où la France forme 1/3 des psychologues d'Europe et que pour un poste à temps plein il y a souvent plus de 200 candidates.
Il y a un certain nombre de choses que l'on peut prévoir : en fonction de la démographie on peut savoir le nombre d'enseignants à recruter, le vieillissement peut permettre de savoir qu'il faudra recruter du personnel de santé. Une volonté politique par exemple de construire ou rénover des logements peut permettre de planifier aussi des besoins de formation.
En ce qui concerne la sélection, en France on se base sur des concours. L'idée de base semble bonne, mais à l'usage il semble que la majorité de ceux qui réussissent sont ceux qui peuvent se payer une préparation privée ce qui nous renvoie au problème de la reproduction sociale. Je pense qu'il faut introduire de l'aléatoire pour sortir de cette situation. Par exemple une section très demandée pourrait dire "je choisis de manière aléatoire parmi les gens ayant eu une mention au dernier diplôme".
En ce qui concerne l'obligation de travailler dans le pays qui a payé la formation c'est nécessaire dans la situation actuelle et ça peut être nécessaire pour certaines professions comme les médecins qui peuvent manquer à certains moments. Mais si un pays fait comme les USA et crée un impôt citoyen que toute personne ayant la nationalité doit payer quelque soit l'endroit du globe où il se trouve, ce n'est plus nécessaire.
A+
Tout paiement entraîne une reproduction sociale qui se retrouve de génération en génération dans plein de pays. Je pense qu'il faut une gratuité totale ainsi qu'une rémunération des étudiants quelque soit le revenu des parents. Car un étudiant issu de classe moyenne n'ayant pas de bourse se retrouve plus dépendant de ses parents que quelqu'un qui est aidé. Il faut sortir de la situation où avant même d'avoir commencé à travailler on est endetté.
En ce qui concerne la réduction des places elle pose 2 questions :
Qui décide du nombre de places autorisées ?
Quand une section est très demandée comment doit-on sélectionner les élus ?
En France certaines caricatures sont entre les psychiatres qui manquent cruellement à cause des limitations trop strictes dans les études de médecine et les psychologues surnuméraires au point où la France forme 1/3 des psychologues d'Europe et que pour un poste à temps plein il y a souvent plus de 200 candidates.
Il y a un certain nombre de choses que l'on peut prévoir : en fonction de la démographie on peut savoir le nombre d'enseignants à recruter, le vieillissement peut permettre de savoir qu'il faudra recruter du personnel de santé. Une volonté politique par exemple de construire ou rénover des logements peut permettre de planifier aussi des besoins de formation.
En ce qui concerne la sélection, en France on se base sur des concours. L'idée de base semble bonne, mais à l'usage il semble que la majorité de ceux qui réussissent sont ceux qui peuvent se payer une préparation privée ce qui nous renvoie au problème de la reproduction sociale. Je pense qu'il faut introduire de l'aléatoire pour sortir de cette situation. Par exemple une section très demandée pourrait dire "je choisis de manière aléatoire parmi les gens ayant eu une mention au dernier diplôme".
En ce qui concerne l'obligation de travailler dans le pays qui a payé la formation c'est nécessaire dans la situation actuelle et ça peut être nécessaire pour certaines professions comme les médecins qui peuvent manquer à certains moments. Mais si un pays fait comme les USA et crée un impôt citoyen que toute personne ayant la nationalité doit payer quelque soit l'endroit du globe où il se trouve, ce n'est plus nécessaire.
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Combien d'entre vous croient en la télékinésie ? Levez ma main...
Il n'y a pas de théorie de l'évolution. Juste une liste d'espèces que Chuck Norris autorise à survivre.
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Re: une solution aux frais de scolarité ?
Du grand Sylvain. Une chance que l'argent pousse dans les arbres autrement, on aurait des problèmes.Sylvain a écrit :Je pense qu'il faut une gratuité totale ainsi qu'une rémunération des étudiants quelque soit le revenu des parents.
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Re: une solution aux frais de scolarité ?
On a imprimé 1 000 000 000 000 euros en 4 mois pour les prêter aux banques au taux de 1% sur 3 ans donc oui pour certains l'argent pousse dans les arbres.DanB a écrit :Du grand Sylvain. Une chance que l'argent pousse dans les arbres autrement, on aurait des problèmes.Sylvain a écrit :Je pense qu'il faut une gratuité totale ainsi qu'une rémunération des étudiants quelque soit le revenu des parents.
Les études sont un investissement, l'argent dépensé pour élever le niveau d'instruction de la population se retrouve après dans les impôts que ces gens paieront.
D'autre part les intérêts que l'on paye à la banque sont un impôt privé qu'il faut éradiquer. En France, les intérêts de la dette représentent 50 000 000 000 euros par ans avec le quart de cette somme, on donne un revenu de 500 euros par mois à tous les étudiants du pays. On sait que les étudiants qui doivent travailler pour payer leurs études ont un taux de réussite inférieur aux autres. De toute façon ce genre de somme donnée à un étudiant revient illico dans la consommation et revient directement dans les caisses de l'état via la tva puis les impôts des propriétaires des logements loués ou des commerçants...
Toutes les économies de bouts de chandelle qu'on veut faire sur les salaires, la santé, les retraites, l'éducation... Se retrouvent à la fin totalement contre productives en terme économique (sans même parler de l'aspect humain qui devrait pourtant venir d'abord). On le voit en Grèce en Irlande... tous les plans d'austérité se terminent au bout du bout par de plus grands déficits publics qu'avant et une récession aggravée.
Donc oui je suis pour qu'une plus grande partie des enfants dont les parents ne sont pas aisés puissent faire des études supérieures. Et si ça passe par l'augmentation des impôts des plus riches et l'arrêt du paiement d'intérêts aux banques privées et bien ça ne me gène pas.
A+
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Il n'y a pas de théorie de l'évolution. Juste une liste d'espèces que Chuck Norris autorise à survivre.
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- Patapouffe
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Re: une solution aux frais de scolarité ?
Quelle charmante idée Sylvain. Je ferais 5 doctorats en sciences et prendrait ma retraite apres la graduation.
"Ce qui fait la vraie valeur d'un être humain, c'est de s'être délivré de son petit moi." A. Einstein
Re: une solution aux frais de scolarité ?
Tu dérappes encore. Il te manque des notions sur l'économie qui sont primordiales et, surtout, une capacité de modéliser l'impact de tes propositions loufoques.Sylvain a écrit :[...]
Tu pourrais aussi résumer ton discours à ceci : c'est la faute des autres.
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Re: une solution aux frais de scolarité ?
Tu considères les cégeps et universités comme des usines à qualifications professionnelle. Le mandat est, et doit rester, beaucoup plus large.Feel O'Zof a écrit :Je serais pour la gratuité scolaire financée par les impôts seulement si:
1- On limiterait le nombre d'étudiants par programme en fonction des débouchés;
C'est déjà le cas depuis une dizaine d'années. Les étudiants de cégep qui ont trop d'échecs à une session signent un contrat de performance. S'ils coulent ensuite des cours, ils sont expulsés.Feel O'Zof a écrit : 2- On pénaliserait un étudiant qui aurait trop d'échecs ou qui changerait de programme trop souvent;;
Pas bête à condition de réserver cette contrainte aux programmes couteux et où le recrutement est difficile (médecine, physiothérapie orthophonie, etc.)Feel O'Zof a écrit : 3- On exigerait de l'étudiant qu'il s'engage à travailler au Québec pendant un certain nombre d'années après qu'il soit diplômé.;
En histoire, la mesure serait inutile et peut-être même nuisible.
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell
Re: une solution aux frais de scolarité ?
Bonsoir,
Quant à l'impact de mes propositions, on a vu l'impact des propositions de l'austérité généralisée sur l'économie et c'est là que je trouve qu'il y a le moins de logique.
Mais puisque j'ai perdu la raison je ne peux sûrement pas comprendre ou alors uniquement si vous m'expliquez avec des mots simples.
A+
Entre une allocation qui permet de vivre en chambre universitaire et un salaire qui permet de faire vivre une famille, il y a quand même une différence, mais chacun peut choisir sa vie. La situation actuelle est que seuls les héritiers peuvent choisir cette vie.Patapouffe a écrit :Quelle charmante idée Sylvain. Je ferais 5 doctorats en sciences et prendrait ma retraite apres la graduation.
Expliquez-moi la notion économique qui me manque pour trouver absurde le système qui consiste à :Tu dérappes encore. Il te manque des notions sur l'économie qui sont primordiales et, surtout, une capacité de modéliser l'impact de tes propositions loufoques.
Tu pourrais aussi résumer ton discours à ceci : c'est la faute des autres.
- La banque centrale prête aux banques privées à 1%
- Les banques privées prêtent aux états à 6% et +++ car il y aurait un risque de non remboursement
- La banque centrale rachète à la banque privée la créance à 6% et donc reprend sur elle le risque de défaut
Quant à l'impact de mes propositions, on a vu l'impact des propositions de l'austérité généralisée sur l'économie et c'est là que je trouve qu'il y a le moins de logique.
Mais puisque j'ai perdu la raison je ne peux sûrement pas comprendre ou alors uniquement si vous m'expliquez avec des mots simples.
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Il n'y a pas de théorie de l'évolution. Juste une liste d'espèces que Chuck Norris autorise à survivre.
Il n'y a pas de théorie de l'évolution. Juste une liste d'espèces que Chuck Norris autorise à survivre.
Re: une solution aux frais de scolarité ?
Du moment qu'on demande aux qualifications professionnelles de payer, il faut tenir compte de celles-ci. On ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre. Ça prend un peu de cohérence un moment donné...Kraepelin a écrit : Tu considères les cégeps et universités comme des usines à qualifications professionnelle. Le mandat est, et doit rester, beaucoup plus large.
S'il y en a qui veulent aller à l'université pour jouer à la cigale, libre à eux, mais ils ne doivent pas demander aux fourmis de payer pour eux.
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Re: une solution aux frais de scolarité ?
Tu es une cause perdue, tu ne piges rien, tu l'as prouvé maintes fois. Tu n'es même pas capable d'être cohérent avec toi même. Ça paraît que ta source de connaissances est DailyMotion...Sylvain a écrit :Expliquez-moi la notion économique qui me manque pour trouver absurde le système qui consiste à :S'il est nécessaire de me traiter de fou pour pouvoir justifier le système actuel c'est quand même un signe de la fragilité de ses fondements.
- La banque centrale prête aux banques privées à 1%
- Les banques privées prêtent aux états à 6% et +++ car il y aurait un risque de non remboursement
- La banque centrale rachète à la banque privée la créance à 6% et donc reprend sur elle le risque de défaut
Quant à l'impact de mes propositions, on a vu l'impact des propositions de l'austérité généralisée sur l'économie et c'est là que je trouve qu'il y a le moins de logique.
Mais puisque j'ai perdu la raison je ne peux sûrement pas comprendre ou alors uniquement si vous m'expliquez avec des mots simples.
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Re: une solution aux frais de scolarité ?
Bonjour
À DanB, tu sais que le système monétaire dupe constamment la plupart des citoyens sauf ceux ceux qui en profitent. C'est pour cela que je dis qu'il faut s'instruire en économie comme le fait pour le sport. Si tu a la chance de pouvoir en profiter tant mieux pour toi. Ce n'est pas seulement dans ce domaine que c'est dégeuilasse.
La cour suprème me doit 300 dollards. On va dire que c'est peu. C'est pour le princiipe. Cette cour considère que partir en retraite ou pour toute autre raison ce n'est pas un droit fondamental. Mais si un haut fonctionnaire le fait, en plus de considérer ce geste comme un droit fondamental on a même droit à une prime de départ
Si tu dis que tu trouves cela normal ,prouve le au llieu de te dire plus connaissant que les autres.
Quant aux frais de scolarité si tu es étudiant ou universitaire cette solution serair équitable pour tout le monde.
Maurice
À DanB, tu sais que le système monétaire dupe constamment la plupart des citoyens sauf ceux ceux qui en profitent. C'est pour cela que je dis qu'il faut s'instruire en économie comme le fait pour le sport. Si tu a la chance de pouvoir en profiter tant mieux pour toi. Ce n'est pas seulement dans ce domaine que c'est dégeuilasse.
La cour suprème me doit 300 dollards. On va dire que c'est peu. C'est pour le princiipe. Cette cour considère que partir en retraite ou pour toute autre raison ce n'est pas un droit fondamental. Mais si un haut fonctionnaire le fait, en plus de considérer ce geste comme un droit fondamental on a même droit à une prime de départ
Si tu dis que tu trouves cela normal ,prouve le au llieu de te dire plus connaissant que les autres.
Quant aux frais de scolarité si tu es étudiant ou universitaire cette solution serair équitable pour tout le monde.
Maurice
Re: une solution aux frais de scolarité ?
C'est circulaire comme argument. Faudra trouver mieux.mauricemaltais a écrit : À DanB, tu sais que le système monétaire dupe constamment la plupart des citoyens sauf ceux ceux qui en profitent.
À voir la quantité de gens qui paient peu ou pas d'impôt, j'en vois plusieurs qui en profitent. Lire à cet effet l'éditorial de Mario Roy intitulé Gouverner, intéressant.
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Re: une solution aux frais de scolarité ?
J'aime bien cette idée.Sylvain a écrit : Je pense qu'il faut une gratuité totale ainsi qu'une rémunération des étudiants quelque soit le revenu des parents.

"Aujourd'hui la plupart des filles de mon âge sont nées et ont connu seulement cette société féminisée, et il en résulte que les filles d'aujourd'hui agissent vraiment comme des garçons."@Catho...
Re: une solution aux frais de scolarité ?
Je propose du même coup la rémunération des parents.
Ah, aussi, profitons-en pour interdire le cancer. Ce sera ça de réglé aussi!
Ah, aussi, profitons-en pour interdire le cancer. Ce sera ça de réglé aussi!
Envoyé de mon iMac ou de mon MacBook ou de mon iPad ou de mon iPhone
Propositions de plus en plus équivalentes
Salut DanB,
Tu dis :
Cet éditorial est ici. Intéressant en effet.Lire à cet effet l'éditorial de Mario Roy intitulé Gouverner, intéressant.
Pareil pour cet article de Lysiane Gagnon.
Je me demande quel serait le résultat d'un vote (à main levée, parmi le quart le plus "politisé" des étudiants) si la question « voulez-vous poursuivre la grève? » était remplacée par « voulez-vous que la session d'hiver soit annulée? ».
Ces deux propositions sont de plus en plus équivalentes.

Les meilleures sorties de route sont celles qui font le moins de tonneaux.
- kestaencordi
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Re: une solution aux frais de scolarité ?
on pourrait traduire les createurs du cancer en justice. et reclamer une indemnite qui financerait une nouvelle discipline universitaire,DanB a écrit :Je propose du même coup la rémunération des parents.
Ah, aussi, profitons-en pour interdire le cancer. Ce sera ça de réglé aussi!
science GBS (gros bon sens). bac et maitrise.
P.S. je rémunère ma femme chaque soir



Victoriae mundis et mundis lacrima.
ça ne veut absolument rien dire, mais je trouve que c’est assez dans le ton.
ça ne veut absolument rien dire, mais je trouve que c’est assez dans le ton.
Re: une solution aux frais de scolarité ?
Je crois aussi que le vote à main levée favorise l'intimidation. La preuve, c'est que c'est la façon retenue par le PLQ lors de ses congrès de moutons.
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Re: Propositions de plus en plus équivalentes
J'essayais de mettre le doigt sur le bobo. Il l'a fait :Denis a écrit :Salut DanB,
Tu dis :Cet éditorial est ici. Intéressant en effet.Lire à cet effet l'éditorial de Mario Roy intitulé Gouverner, intéressant.
D'abord, plus de 40% des électeurs québécois ne paient pas d'impôt sur le revenu, le moyen le plus voyant et le plus souffrant pour le citoyen de nourrir la caisse de l'État. Cela signifie que près de la moitié de la population soutiendra de façon quasi automatique toute bonification de la «gratuité» des services gouvernementaux
Envoyé de mon iMac ou de mon MacBook ou de mon iPad ou de mon iPhone
Re: une solution aux frais de scolarité ?
Admettons que la rémunération des étudiants soient un peu de trop. Mais il faut bien qu'ils vivent ces gens là pendant leurs études, d'une façon ou d'une autre.DanB a écrit :Je propose du même coup la rémunération des parents.
Non ?
Avant de l'interdire, je lui collerais un procès pour homicides. Après, on pourra l'interdire.DanB a écrit : Ah, aussi, profitons-en pour interdire le cancer. Ce sera ça de réglé aussi!

"Aujourd'hui la plupart des filles de mon âge sont nées et ont connu seulement cette société féminisée, et il en résulte que les filles d'aujourd'hui agissent vraiment comme des garçons."@Catho...
- kestaencordi
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- Inscription : 10 janv. 2012, 08:41
Re: Propositions de plus en plus équivalentes
la formulation ''pres de la moitie'' est un peu tordu. pcq ca laisse croire a une répartition égale des ''opinions'' des electeurs.DanB a écrit :J'essayais de mettre le doigt sur le bobo. Il l'a fait :Denis a écrit :Salut DanB,
Tu dis :Cet éditorial est ici. Intéressant en effet.Lire à cet effet l'éditorial de Mario Roy intitulé Gouverner, intéressant.
D'abord, plus de 40% des électeurs québécois ne paient pas d'impôt sur le revenu, le moyen le plus voyant et le plus souffrant pour le citoyen de nourrir la caisse de l'État. Cela signifie que près de la moitié de la population soutiendra de façon quasi automatique toute bonification de la «gratuité» des services gouvernementaux
60% des électeurs sont dans l'autre camp. ce qui est 50% de plus que le 40% ( a suppose que l'opinion est corrélé au cotisation d'impots ) je la crois plus corrélé au revenu net.
dans se 40% le tiers supperieur peut permettre des etudes universitaires pour leurs enfants sans ''souffrir'' des frais rattachés.
3.9 million de travailleur au qc.
1.01 million de chomeur au qc (moyenne 2011)
1.4 million de +65ans au qc (2011)
1.9 million de moin de 15 ans (2011)
45% de ceux qui ont pris leurs retraite l'an dernier avait moin de 60 ans
ca aide a se faire un e idee
Victoriae mundis et mundis lacrima.
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ça ne veut absolument rien dire, mais je trouve que c’est assez dans le ton.
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