pan-pan a écrit : Merci pour cette réponse. Cependant, vous affirmez qu'elle n'est pas un acteur important dans ce conflit. Élaborez, puisque ma position n'est certainement pas comme la vôtre.
Elle n'est pas à la table de négociation avec les étudiant, elle n'a pas de prise sur les lois mises en cause, elle n'a même pas de véritable autorité morale sur le gouvernnement ou sur les étudiants.
pan-pan a écrit : (...) d'une opposition vindicative et hargneuse, fortement appuyée (allez le voir) par Le Devoir, entre autres, et une partie très importante des intellectuels nationalistes regroupés parmi le milieu de l'éducation qui m'amène à ne pas penser comme vous.
Premièrement, je n'ai jamais lu, de toute ma vie, prise de position hargneuse ou vindicative dans Le Devoir. Deuxièmement, vous croyez vraiment que les éditorialistes du Devoir ou les intellectuels nationaliste ont besoin de Marois pour se faire une opinion sur quoi que ce soit?
pan-pan a écrit : Je me suis demandé maintes et maintes fois si tout ce beau monde avait perdu l'esprit en ne cherchant qu'à se plaindre pour tous les maux du système quand on sait que c'est celui-là même qui les fait vivre.
Perception erronée et argument assez pauvre! Qu'est-ce qui fait vivre les intellectuelle québécois, les dernières virées du néolibéralisme ou les bases économiques de la social-démocratie? Pourquoi être surpris de les voir s'opposer vertement à une menasse sérieuse à l'une des bases de la sociale-démocratie?
pan-pan a écrit : En aparté, n'avez-vous pas observé un désir de putsch sur le gouvernement actuel?
Vous connaissez des partis d'oppostion qui ne rêvent pas de renversser le gouvernnement pour prendre sa place?
Par ailleurs, Martois fait de son côté ce que Charest fait du sien. Vous croyez que Charest a choisi la "ligne dure" sans faire une calcul politique des gains qu'il allait faire? Ne soyez pas naïf. Tous ces politiciens sont des calculateurs.
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell