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tséveuxdire
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#26
Message
par tséveuxdire » 07 août 2012, 18:24
kestaencordi a écrit :tséveuxdire a écrit :
mdrrrrrrrrrrr Les parents qui font cela n'ont bien souvent pas conscience des processus de destruction qu'ils ont et transmettent. Ensuite, malheureusement il existe bel et bien des parents qui font tout pour détruire leurs enfants. On est pas dans un monde de bisounours. Tout le monde n'est pas des ti-n'amis-es. Comment pouvoir donner se que je n'ai pas?
je vous suit. c'est inconscient pour plusieurs, et il y a les saboteurs qui savent se qu'il font. aiment-ils leurs enfants? pour la majorité je dirais que oui. les mauvais traitement ne sont pas lier a l'absence du sentiment d'amour du parents.
Au fait, c'est ce que je voulais exprimer.
Comment pouvoir donner se que je n'ai pas?
je retourne la question ainsi: comment ne pas donner ce que j'ai.(je parle de transmettre des tares) en fait les 2 version meritent reflexion.
Au fait, je crois que la réponse au deux revient au travail sur soi, prise de conscience, sentir, ressentir... peut importe la méthode employée. La prise de conscience des différents mécanismes internes et externe est selon moi le début de touuuuuuut changement. Et décider de se que l'on fait avec nos découvertes. Faut-il croire en sa propre valeur (estime de soi) et s'aimer un tant soi peu pour vouloir cesser d'être en souffrance et changer. La même chose s'applique à ce que je veux transmettre.
Qu'en penses-tu?
Bonne journée!
je crois qu'il faut distinguer maladie et trouble. bon...ceci dit vous ne repondez pas a ma question: peut-il aimer son enfant et l'abuser? a ca , je crois que l'on peut repondre.[/quote]
lolll!! Dans certain cas, oui. Dans d'autre non. C'est ce que je voulais exprimer. Du cas par cas et de la prudence 
LES PIGEONS ne sont pas aussi bêtes qu'ils en ont l'air
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kestaencordi
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#27
Message
par kestaencordi » 07 août 2012, 18:58
Comment pouvoir donner se que je n'ai pas?
je retourne la question ainsi: comment ne pas donner ce que j'ai.(je parle de transmettre des tares) en fait les 2 version meritent reflexion.
Au fait, je crois que la réponse au deux revient au travail sur soi, prise de conscience, sentir, ressentir... peut importe la méthode employée. La prise de conscience des différents mécanismes internes et externe est selon moi le début de touuuuuuut changement. Et décider de se que l'on fait avec nos découvertes. Faut-il croire en sa propre valeur (estime de soi) et s'aimer un tant soi peu pour vouloir cesser d'être en souffrance et changer. La même chose s'applique à ce que je veux transmettre.
prise de conscience oui. prendre conscience que quelque chose ne va pas premièrement. j'avance que la souffrance sera déclencheur de cet première étape.
on en revient a nos premier message: si j’anesthésie mes souffrances par un moyen ou un autre je peux toute ma vie passer a coté de quelque chose de majeur.
les mecanisme de protection et de defenses peuvent tres bien ''m’anesthésier'' m'eviter la souffrance et la prise de conscience qui pourrait en résulter qui elle générerait le changement.
ainsi une autre génération (mes enfants) seront contaminé. par moi qui les aimes pourtant! le ''travail'' de ''correction'' des tares serait le fardeaux de mes enfants a ce moment.
lolll!! Dans certain cas, oui. Dans d'autre non. C'est ce que je voulais exprimer. Du cas par cas et de la prudence 
il y a plusieur ''sorte'' d'abuseur le plus connu est l'agresseur. il est aux yeux de plusieurs le seul existant. mais existe bel et bien le charmeur, seducteur qui lui croit fermement ne pas agresser. il séduit et parfois meme réussi a ''séduire''. la victime collabore et apprécie meme.
c'est un autre sujet.
Victoriae mundis et mundis lacrima.
ça ne veut absolument rien dire, mais je trouve que c’est assez dans le ton.
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kestaencordi
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#28
Message
par kestaencordi » 08 août 2012, 01:39
je me suis amusé a ''trafiquer'' un texte sur l'abus sexuel. il devient un texte sur le non respecte de l'individu enfant qui pense et réfléchi.
dans mes message plus haut ce n'était pas un accident de ma part que de faire un lien avec l'inceste et amour. maltraitance et amour.
lisez ceci et dites moi si vous voyez le meme lien que moi.
Ignorance sincère, non prise en compte des émois de l'enfant, absence ou ignorance de son droit à l'intimité droit de penser etre critique ou perversion ? La perversion est peu crédible dans la mesure où ces parents dans l'ensemble ne se doutent absolument pas des effets pervers de leur conduite qu'ils considèrent comme normale" en famille "comme des valeurs famillial qu'il faut inculquer.
On voit déjà là que l'enfant est englobé, assimilé à une entité plus globale, celle de la famille (famille proche ou large ou de l'eglise) dans laquelle les liens d'intimité les valeurs sontvécu transmis comme normaux normalement sans forcément tenir compte qu'une famille est avant tout formée d'individus et que l'enfant est un individu à part entière qui a de ce fait droit à des limites(de penser, de critiquer, contester), une intimitéopinion et un minimum depudeurrespect tant dans ce qu'il voit (entend) que dans ce à quoi il est amené à participer(messe, cathechese).
Si l'enfant est amené à n'être pas considéré comme cet individu à qui on ne peut tout exposerimposer, c'est bien souvent qu'il est considéré comme sa propre chair, le prolongement de soi et qu'il paraît aberrant qu'une partie de soi manifeste de la pudeur envers une autre. un sens critique, remise en question.Le problème de non reconnaissance de la séparation est ici majeur.
Il n'y a pas quand ça en arrive là, passage à l'acte sexuelmaltraitance sur l'enfant au nom d'une pulsion incontrôlable ou au nom de l'appartenance de cet enfant à ses géniteurs qui ont tous les droits, mais simplement non prise en compte de l'individualité de l'enfant resté " collé " à la chair parentale et le plus souvent maternelle(en bas age c la mere qui éduque), bien que le problème puisse aussi concerner les pères. Nous sommes bien ici dans le domaine de l'incestuelcontrole emotif, il y a bien sexualisation de la relation mais le problème n'est pas d'origine sexuel à proprement parler. Et sil'inceste agiabus physique, violence est majoritairement du côté des pères, l'incestuel controle, chantage emotif lui, prend naissance du côté de la mère. C'est ce que nous allons examiner ici.
je vous met le lien du texte poursuivre la lecture en remplacant certain mot nous montre bien l'effet de la negation du droit a exercé son sens critique. et le transfert intergénérationnel qui suivra. jusqu'a ce que un heritier brise le cycle.
http://www.adps-sophrologie.com/cgi-bin ... 0203025149
Victoriae mundis et mundis lacrima.
ça ne veut absolument rien dire, mais je trouve que c’est assez dans le ton.
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tséveuxdire
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#29
Message
par tséveuxdire » 03 oct. 2012, 17:30
kestaencordi a écrit :je me suis amusé a ''trafiquer'' un texte sur l'abus sexuel. il devient un texte sur le non respecte de l'individu enfant qui pense et réfléchi.
dans mes message plus haut ce n'était pas un accident de ma part que de faire un lien avec l'inceste et amour. maltraitance et amour.
lisez ceci et dites moi si vous voyez le meme lien que moi.
Ignorance sincère, non prise en compte des émois de l'enfant, absence ou ignorance de son droit à l'intimité droit de penser etre critique ou perversion ? La perversion est peu crédible dans la mesure où ces parents dans l'ensemble ne se doutent absolument pas des effets pervers de leur conduite qu'ils considèrent comme normale" en famille "comme des valeurs famillial qu'il faut inculquer.
On voit déjà là que l'enfant est englobé, assimilé à une entité plus globale, celle de la famille (famille proche ou large ou de l'eglise) dans laquelle les liens d'intimité les valeurs sontvécu transmis comme normaux normalement sans forcément tenir compte qu'une famille est avant tout formée d'individus et que l'enfant est un individu à part entière qui a de ce fait droit à des limites(de penser, de critiquer, contester), une intimitéopinion et un minimum depudeurrespect tant dans ce qu'il voit (entend) que dans ce à quoi il est amené à participer(messe, cathechese).
Si l'enfant est amené à n'être pas considéré comme cet individu à qui on ne peut tout exposerimposer, c'est bien souvent qu'il est considéré comme sa propre chair, le prolongement de soi et qu'il paraît aberrant qu'une partie de soi manifeste de la pudeur envers une autre. un sens critique, remise en question.Le problème de non reconnaissance de la séparation est ici majeur.
Il n'y a pas quand ça en arrive là, passage à l'acte sexuelmaltraitance sur l'enfant au nom d'une pulsion incontrôlable ou au nom de l'appartenance de cet enfant à ses géniteurs qui ont tous les droits, mais simplement non prise en compte de l'individualité de l'enfant resté " collé " à la chair parentale et le plus souvent maternelle(en bas age c la mere qui éduque), bien que le problème puisse aussi concerner les pères. Nous sommes bien ici dans le domaine de l'incestuelcontrole emotif, il y a bien sexualisation de la relation mais le problème n'est pas d'origine sexuel à proprement parler. Et sil'inceste agiabus physique, violence est majoritairement du côté des pères, l'incestuel controle, chantage emotif lui, prend naissance du côté de la mère. C'est ce que nous allons examiner ici.
je vous met le lien du texte poursuivre la lecture en remplacant certain mot nous montre bien l'effet de la negation du droit a exercé son sens critique. et le transfert intergénérationnel qui suivra. jusqu'a ce que un heritier brise le cycle.
OUF! Un grand mal dont BEAUCOUP de gens au Québec souffrent! La négation au droit a exercé son sens critique. Je dirais aussi bien souvent par conséquence négation de soi, de l'autre...
Cycle quasi sans fin.
Ma vieille mère dirait ici: ''Hé oh! Toi MON enfant être éternelllle prolongation de mon moi. Toi ne pas avoir droit à l'existence en dehors de moi. En dehors de se que je dis, pense, agis, chie... Toi etre responsable de moi, parce que toi être moi.''
Et SURTOUT.. que ne ce brise jamais se cycle de mal-être et de non dit.
C'était ma vieille mère.
Le lien que je vois dans se texte présentement est celui très primaire du questionnement ''j'existe?'', ''ou commence mon existance?''... ''Est-ce que l'autre existe?'' et ''ou est mon commencement? Ou est celui de l'autre? Et la fin?'' Je parle bien ici de limite. De territoire. De cette connaissance qui fait que l'autre n'est plus un instrument de soi...
Apprentissage que bébé et maman font vers la deuxième année de vie de celui-ci.
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