Démystification de la MQ
Démystification de la MQ
Salut
Je crois avoir enfin trouver une manière de bien représenter les limites conceptuelles de la MQ, et par le fait même de ce quel encardre réellement comme modèle d'effectivité déductive (objectivité en science mathématique) et non comme véritable objectivité des choses de la nature ou leurs en soi propre !
Entre et dans tout modèle, il y a l'interface qui relit les objets de pure science (mesures expérimentale) relié a sa méthode (véritable essence de la science sur le plan épistémologique) et les encapsulations déductives (subjectivation et encapsulation des données fournis par la méthode scientifique vers leurs interprétation conceptuelles ou théorisation). Il y a donc objectivité réelle de la nature auquel nous avons accès que par les objets de la méthode scientifique (méthode/protocole expérimentale) et l'objectivation réelle des choses dans leurs en soi (la véritable nature des choses et de l'Univers en quelque sortes). Le tout est réunit via l'interface qui relit réalité et objet de science théorisée, d'ou va découler des tentatives d'explications rationnelle, via des conceptes théoriques qui cherche a rende cohérent l'ensemble des données fournis par la méthode scientifique et la collectes des données !
L'homme interprète donc la nature via cette interface qui relit science méthodique (objectivation subjective par interprétation) et recherche de la compréhension des comment fonctionnes la nature (théorisation) ! Lois et phénomène reproductive favorisant l'encapsulation des intersubjectivité de l'être étant (celui qui cherche a comprendre la chose étudié !), via des prémisses de reproductabilité comportementale. (ensemble de lois) !
Mais la chose que nous mesurons, à aussi un étant propre comme objet de la nature (la véritable objectivité de la choses non interprété), et l'approche scientifique chercher donc l'objectivité déduite a partire des comportement et non de la chose en soi ! Objectivité déduite à travers cette interface des réelle des objets dans leurs étant propres et des réelle interprété (sour forme de compotement déduit a partire des relations entre les données fournis sur le plan expérimentale) !
Que nous dit la MQ sur ce sujet ?
Le modèle de l'électron de Bohr va nous aider a mieu comprendre la réelle nature du modèle quantique. A cette époque (1913) l'atome était illustré comme étant l'association d'électrons gravitant autoure du noyau, tout comme pour l'orbite de la terre autoure du Soleil ! Mais de quel nature était cette électron et ces orbites réellement, et pourquoi avait-il des orbite de type mécaniciel autoure des noyaux. Un élection face a la ponctualité irréductible ou face a des champs sur certaines étandut !
Mais cela est devenut faut en MQ, pour plusieur raison, dont celle qui sont associé à Heizenberg, Strodinger, De Broglie, de Diracte et bien d'autre. En fait en MQ on parle plutôt de nuage composé d'indices de probabilité, qui finalement ce représente sous forme de champs d'énergie potenciel ! Pourquoi faire un atome, un objets mathématique abstrait remplit de statistique et de probabilité, et bien pour satisfaire les données expérimentale sur la dualité onde-particule (ou plutôt quanton, car il s'agit d'une fause dualité si on lui intègre la supperposition d'état de Strodinger) de De Broglit (ou onde de matière), et le principe d'indétermination d'Heizenberg et les effets relatif de Dirac.
Bon, tout cela est beau, mais comment se représenter tout cela d'une manière plus intuitive ! Et bien voilà le dilème, car ici il s'agit d'un modèle purement mathématique et abstrait qui encardre le comportement quantique de la matière (comportement ondulatoire).
Les électrons sont des objets en soi, mais prédire leurs positions, vitesse et autre caractéristiques physiques autoure du noyau, avant-après et pendant une expériance, n'est plus une donnée relié aux dimensions purement déterminisme au sens de la bonne vieille cinématique de Newton ! Pourquoi ?
Parce que le modèle quantique (la physique microscopique actuelle) n'a pas acces a toutes les données qui entoure un événement complet lors d'une expériance (les états d'avant, pendant et d'après une mesure). L'expériance est en fait une ponction d'un événement contextuelle plus globale ou ce déroule une expérimentation (relié au monde et à l'environnement de l'expérimentateur en question) ! L'objet de mesure survient uniquement lors d'une interaction (la ponction sur le protocole expériemntale a un temps donné sur un phénomène événementiel plus globale, mais réduit à cette mesure ponctuelle au moment de la prise de mesure expérimentale ===> lors de la réduction du paquet d'onde (fonction d'onde de De Broglie et échange d'énergie cinétique)) !
L'électron, étant à partir du modèle imprédictible de manière déterminisme, à cause qu'il est interprété par un indice de champs (en présence, position, vitesse, énergie potenciel et autre) sur une certaines étendut de probabilité autoure du noyau ou tout vibre constament (oscialtion d'états), et bien ce champs détermine a lui seul (et donc de manière abstraite mathématiquement) la superposition des états quantique de Strodinger. Ce prostulat suppose a partire de lui-même que tout les états quantique sont superposé a partire du champs quantique, qui encapsule tout les indices de probabilité sur une certaine étandut. Cela découle de la non possibilité de pouvoir déterminé (dans le monde réelle) et sans influencer le déroulement de l'expériance, les états antérieurs du système (l'état réelle avant la mesure) et aussi ses états après la mesure !
Pourquoi ?
Et bien, tout simplement a cause de la conceptualisation du modèle en lui-même (mathématique et abstraction). Le champs quantique est par définition en osciation constante (imprédictible de manière déterministe), et l'électron peut-être en tout lieu dans celui-ci, mais ici ce "peut-être" est tout simplement interpréter comme le comportement d'une onde (onde de matière de De Broglie) et deviens une ensemble d'états probabilistique et statistique superposé à la Strodinger (le Chat est mort et vivant à la fois !). Ce champs électronique qui englobe l'atome sur une certaine étendut (pour cette électron spécifique que nous voulons mesurer), et bien il a un étant ou un en soi propre, cela est sa véritable objectivité dans la nature, mais nous n'avons pas acces a cette dernière directement, alors nous supposon par une objectivation indirecte (subjectivation objective des modèles de représentation interprétative et déductive) et donc abstraite (via l'interface de la représentation mathématique par des modèle conceptuelles découlant de l'esprit humain et non de la nature en elle-même) a partir du modèle quantique dans un tout globalisant d'état statistique pour satisfaire notre conceptualisation d'onde (comportement !).
Dès qu'il y aura une interaction (l'objet ou l'événement qui sera l'objet de mesure), et bien tout ce champs d'osciation quantique (en superposition d'état) subira une excitation a un certain endroit de ce champs étandut (disont par un photon !), cela provoquera la réduction du paquet (sur l'ensemble des indices de probabilité statistiques) d'onde (l'interaction en question) et le transfère d'énergie cinétique (non pas sur le champs au complet, mais bien a un endroit de ce dernier). À ce moment l'interaction ce matérialise, et dévoile le comportement corpusculaire (la partie matériel de la matière ====> concept du dureté, de consitance et etc...) et on peut alors soit prendre la mesure sur la position ou sur la vitesse ! Le champs (l'interprétation de champs d'énergie oscillant sur un certain étandut) détermine aussi à lui seul le principe d'indétermination d'Heisenberg, à partir du prostulat de De Broglit sur l'onde de matière. Car ici dès que l'on prend la mesure (invariance de C) et bien le système va également changé d'états, ou le champs va osciller d'une manière différente, la vitesse va donner l'énergie cinétique et la position va donné le système de coordonné, mais pas les deux en même temps (protocole expérimentale), car le système est en constante modification (sous influence ou non de la mesure)
C'est donc (la MQ) une mécanique de champs qui représente et symbolise notre méconnaissence des choses plus fondamentale (de la nature en propre et des choses qui la constitut dans leur en soi ===> objet de réalité et non de modèlisation), et la conceptualisation des probabilité sur le champs d'énergie quantifié, illustre de manière abstraite cette incertitude déterminisme sur les avant, pendant et après une mesure sur les états auxquels était le système avant et après la mesure. Les indices de probabilité statistique (leur encapsulation a travers la superposition de Strodinger) démontre et illustre en fait cela et rien de plus !
Le modèle et la théorisation de la MQ, est donc un modèle d'abstraction sur les comportements d'onde (et de particule lors d'interaction et du transfère des composantes d'énergie cinétique) a saveur prédictible sur certains niveau de connaissance actuelle et rien de plus. La MQ n'est pas une théorie sur les essence des choses (leur en soi propre), et traduit donc une objectivité conceptuelle et non réelle face a la nature elle-même, mais plutôt face a notre manière de l'aborder et de la conceptualiser via des modèles théorique et mathématique !
La MQ est donc imcomplète et ne réflete nullement la réalité en propre, la MQ n'est qu'un modèle théorique parmis bien d'autres, plus juste il est vrai, mais la MQ n'est pas une essence en propre, mais qu'un simple modèle de représentation déductive des comportement que nous cherchons a traduire par lois, et cela est un simple schémas de l'entendement humain pour mieux comprendre le monde !
Et ici le hasard de la MQ, découle de l'abstraction tout simple de la superposition de Strodinger ! Alors si il y a un étant, il ne peut y avoir de hasard
Gilles
Je crois avoir enfin trouver une manière de bien représenter les limites conceptuelles de la MQ, et par le fait même de ce quel encardre réellement comme modèle d'effectivité déductive (objectivité en science mathématique) et non comme véritable objectivité des choses de la nature ou leurs en soi propre !
Entre et dans tout modèle, il y a l'interface qui relit les objets de pure science (mesures expérimentale) relié a sa méthode (véritable essence de la science sur le plan épistémologique) et les encapsulations déductives (subjectivation et encapsulation des données fournis par la méthode scientifique vers leurs interprétation conceptuelles ou théorisation). Il y a donc objectivité réelle de la nature auquel nous avons accès que par les objets de la méthode scientifique (méthode/protocole expérimentale) et l'objectivation réelle des choses dans leurs en soi (la véritable nature des choses et de l'Univers en quelque sortes). Le tout est réunit via l'interface qui relit réalité et objet de science théorisée, d'ou va découler des tentatives d'explications rationnelle, via des conceptes théoriques qui cherche a rende cohérent l'ensemble des données fournis par la méthode scientifique et la collectes des données !
L'homme interprète donc la nature via cette interface qui relit science méthodique (objectivation subjective par interprétation) et recherche de la compréhension des comment fonctionnes la nature (théorisation) ! Lois et phénomène reproductive favorisant l'encapsulation des intersubjectivité de l'être étant (celui qui cherche a comprendre la chose étudié !), via des prémisses de reproductabilité comportementale. (ensemble de lois) !
Mais la chose que nous mesurons, à aussi un étant propre comme objet de la nature (la véritable objectivité de la choses non interprété), et l'approche scientifique chercher donc l'objectivité déduite a partire des comportement et non de la chose en soi ! Objectivité déduite à travers cette interface des réelle des objets dans leurs étant propres et des réelle interprété (sour forme de compotement déduit a partire des relations entre les données fournis sur le plan expérimentale) !
Que nous dit la MQ sur ce sujet ?
Le modèle de l'électron de Bohr va nous aider a mieu comprendre la réelle nature du modèle quantique. A cette époque (1913) l'atome était illustré comme étant l'association d'électrons gravitant autoure du noyau, tout comme pour l'orbite de la terre autoure du Soleil ! Mais de quel nature était cette électron et ces orbites réellement, et pourquoi avait-il des orbite de type mécaniciel autoure des noyaux. Un élection face a la ponctualité irréductible ou face a des champs sur certaines étandut !
Mais cela est devenut faut en MQ, pour plusieur raison, dont celle qui sont associé à Heizenberg, Strodinger, De Broglie, de Diracte et bien d'autre. En fait en MQ on parle plutôt de nuage composé d'indices de probabilité, qui finalement ce représente sous forme de champs d'énergie potenciel ! Pourquoi faire un atome, un objets mathématique abstrait remplit de statistique et de probabilité, et bien pour satisfaire les données expérimentale sur la dualité onde-particule (ou plutôt quanton, car il s'agit d'une fause dualité si on lui intègre la supperposition d'état de Strodinger) de De Broglit (ou onde de matière), et le principe d'indétermination d'Heizenberg et les effets relatif de Dirac.
Bon, tout cela est beau, mais comment se représenter tout cela d'une manière plus intuitive ! Et bien voilà le dilème, car ici il s'agit d'un modèle purement mathématique et abstrait qui encardre le comportement quantique de la matière (comportement ondulatoire).
Les électrons sont des objets en soi, mais prédire leurs positions, vitesse et autre caractéristiques physiques autoure du noyau, avant-après et pendant une expériance, n'est plus une donnée relié aux dimensions purement déterminisme au sens de la bonne vieille cinématique de Newton ! Pourquoi ?
Parce que le modèle quantique (la physique microscopique actuelle) n'a pas acces a toutes les données qui entoure un événement complet lors d'une expériance (les états d'avant, pendant et d'après une mesure). L'expériance est en fait une ponction d'un événement contextuelle plus globale ou ce déroule une expérimentation (relié au monde et à l'environnement de l'expérimentateur en question) ! L'objet de mesure survient uniquement lors d'une interaction (la ponction sur le protocole expériemntale a un temps donné sur un phénomène événementiel plus globale, mais réduit à cette mesure ponctuelle au moment de la prise de mesure expérimentale ===> lors de la réduction du paquet d'onde (fonction d'onde de De Broglie et échange d'énergie cinétique)) !
L'électron, étant à partir du modèle imprédictible de manière déterminisme, à cause qu'il est interprété par un indice de champs (en présence, position, vitesse, énergie potenciel et autre) sur une certaines étendut de probabilité autoure du noyau ou tout vibre constament (oscialtion d'états), et bien ce champs détermine a lui seul (et donc de manière abstraite mathématiquement) la superposition des états quantique de Strodinger. Ce prostulat suppose a partire de lui-même que tout les états quantique sont superposé a partire du champs quantique, qui encapsule tout les indices de probabilité sur une certaine étandut. Cela découle de la non possibilité de pouvoir déterminé (dans le monde réelle) et sans influencer le déroulement de l'expériance, les états antérieurs du système (l'état réelle avant la mesure) et aussi ses états après la mesure !
Pourquoi ?
Et bien, tout simplement a cause de la conceptualisation du modèle en lui-même (mathématique et abstraction). Le champs quantique est par définition en osciation constante (imprédictible de manière déterministe), et l'électron peut-être en tout lieu dans celui-ci, mais ici ce "peut-être" est tout simplement interpréter comme le comportement d'une onde (onde de matière de De Broglie) et deviens une ensemble d'états probabilistique et statistique superposé à la Strodinger (le Chat est mort et vivant à la fois !). Ce champs électronique qui englobe l'atome sur une certaine étendut (pour cette électron spécifique que nous voulons mesurer), et bien il a un étant ou un en soi propre, cela est sa véritable objectivité dans la nature, mais nous n'avons pas acces a cette dernière directement, alors nous supposon par une objectivation indirecte (subjectivation objective des modèles de représentation interprétative et déductive) et donc abstraite (via l'interface de la représentation mathématique par des modèle conceptuelles découlant de l'esprit humain et non de la nature en elle-même) a partir du modèle quantique dans un tout globalisant d'état statistique pour satisfaire notre conceptualisation d'onde (comportement !).
Dès qu'il y aura une interaction (l'objet ou l'événement qui sera l'objet de mesure), et bien tout ce champs d'osciation quantique (en superposition d'état) subira une excitation a un certain endroit de ce champs étandut (disont par un photon !), cela provoquera la réduction du paquet (sur l'ensemble des indices de probabilité statistiques) d'onde (l'interaction en question) et le transfère d'énergie cinétique (non pas sur le champs au complet, mais bien a un endroit de ce dernier). À ce moment l'interaction ce matérialise, et dévoile le comportement corpusculaire (la partie matériel de la matière ====> concept du dureté, de consitance et etc...) et on peut alors soit prendre la mesure sur la position ou sur la vitesse ! Le champs (l'interprétation de champs d'énergie oscillant sur un certain étandut) détermine aussi à lui seul le principe d'indétermination d'Heisenberg, à partir du prostulat de De Broglit sur l'onde de matière. Car ici dès que l'on prend la mesure (invariance de C) et bien le système va également changé d'états, ou le champs va osciller d'une manière différente, la vitesse va donner l'énergie cinétique et la position va donné le système de coordonné, mais pas les deux en même temps (protocole expérimentale), car le système est en constante modification (sous influence ou non de la mesure)
C'est donc (la MQ) une mécanique de champs qui représente et symbolise notre méconnaissence des choses plus fondamentale (de la nature en propre et des choses qui la constitut dans leur en soi ===> objet de réalité et non de modèlisation), et la conceptualisation des probabilité sur le champs d'énergie quantifié, illustre de manière abstraite cette incertitude déterminisme sur les avant, pendant et après une mesure sur les états auxquels était le système avant et après la mesure. Les indices de probabilité statistique (leur encapsulation a travers la superposition de Strodinger) démontre et illustre en fait cela et rien de plus !
Le modèle et la théorisation de la MQ, est donc un modèle d'abstraction sur les comportements d'onde (et de particule lors d'interaction et du transfère des composantes d'énergie cinétique) a saveur prédictible sur certains niveau de connaissance actuelle et rien de plus. La MQ n'est pas une théorie sur les essence des choses (leur en soi propre), et traduit donc une objectivité conceptuelle et non réelle face a la nature elle-même, mais plutôt face a notre manière de l'aborder et de la conceptualiser via des modèles théorique et mathématique !
La MQ est donc imcomplète et ne réflete nullement la réalité en propre, la MQ n'est qu'un modèle théorique parmis bien d'autres, plus juste il est vrai, mais la MQ n'est pas une essence en propre, mais qu'un simple modèle de représentation déductive des comportement que nous cherchons a traduire par lois, et cela est un simple schémas de l'entendement humain pour mieux comprendre le monde !
Et ici le hasard de la MQ, découle de l'abstraction tout simple de la superposition de Strodinger ! Alors si il y a un étant, il ne peut y avoir de hasard
Gilles
Dernière modification par glevesque le 06 oct. 2012, 17:08, modifié 1 fois.
Re: Démystification de la MQ
Le Lapin d'Alice et la Mécanique quantique
Mises à jour de la fable d'Alice
Voici le texte avec ses corrections (en vert)
Je vous propose ici, une manière simple pour mieux comprendre la mécanique quantique !
N'oubliez pas que le monde dans lequel nous vivons est bel et bien réel, seule notre perception nous donne l'impression de son illusion et pour preuve et bien nous sommes en interaction constante avec ce dernier, et cette interaction peut nous menacer à tout instant !
Et ceci, malgré que la matière n'existe pas réellement comme substance tangible, cette perception de dureté découle en fait d'une illusion ( apparente, car relié à la perception sensible ) tout comme la perception des couleurs.
Pour expliquer cela, il faut se tourner vers la mécanique quantique, qui nous apprend que la matière est en fait composé en très grande partie par du vide et par des champs d'énergies qui vibrent de différentes manières !
Les interactions qui impliquent ces champs d'énergies dans le monde macroscopique ( via le décohérence quantique ), nous donne la sensation ou l'illusion de la perception de la dureté à la matière à notre échelle !
Le monde est donc un monde composé, non-pas de matière, mais de champs d'énergies en interaction constante, composé de substance qui peut prendre une forme ondulatoire et corpusculaire en même temps (superposition d'états de Schrödinger et dualité onde-corpuscule ) ! (Marc Lévy Leblond faisait référence au quanton pour illustrer cela).

Gracieuseté de Ange (de PPF).
Voici donc notre histoire du lapin d'Alice !
Alice est assise sur une chaise à l'intérieur d'un petit chalet qui se trouve au beau milieu de la campagne. Tout autour du chalet, il y a un grand jardin de laitues et de carotte. Le jardin est coupé en deux par un petit sentier qui part de la porte du chalet jusqu'à la limite du jardin qui se trouve tout près de la forêt.
A chaque jour, Alice a pu observer qu'un petit lapin (en MQ il s'agirait d'une particule ) venait faire régulièrement son petit tour dans le jardin, et a chaque fois, il mangeait soit une laitue ou sois quelques petites carottes. Parfois, il venait le matin et le midi, et parfois le midi et le soir, mais à chaque fois, il prenait des routes différentes ! (comportement indéterminisme du lapin pour Alice )
Un jour, Alice décida de faire une petite expérience afin de savoir comment elle pourrait prédire la venue du petit lapin dans son jardin, et par le fait même, d’essayer de mieux saisir ce qui l'attirait tant dans celui-ci, et pourquoi il venait deux fois par jour pour manger des choses différentes ! Elle se dit aussi qu'elle pourrait l'attendre (à l'endroit ou se dernier pourrait-ce présenter ) et lui donner ce qu'il désire, afin de l'apprivoiser très doucement et de pour se faire un compagnon de jeu, sans devoir à l'apprivoiser !
Alors Alice, ( notre observatrice ), établit son premier schéma de calcule. Dans un premier temps, elle se doit de prédire les heures de la venues du lapin, selon la fréquence journalière et par rapport au type de nourriture qu’il prendra (laitues ou carotte) !
Première étape. Alice construit un tableau qui reproduit un ensemble de possibilités statistiques (symbolisant la fonction d'onde ). Mais voilà, Alice est assise sur une chaise qui est au milieu du chalet, elle ne peut pas voir à l'extérieur de celui-ci, et elle ne peut donc pas savoir à l'avance par qu'elle chemin le lapin fera son entrer dans le jardin, pour le moment dans l’imaginaire d’Alice (espace de Hilbert), le lapin il peut entrer par tous les chemins possibles donnant accès au jardin (non-localité quantique et indétermination d'Heisenberg ).
Elle superpose donc à son premier tableau de départ ( superposition d'états quantiques évoluant dans le temps, ou chat de Schrödinger ) un autre schéma qui représente tous les chemins possibles que peut prendre le lapin ( chemin des intégrales lagrangienne ou hamiltoniennes qui indique le plus court chemin parcouru en fonction de l'énergie du système ).
Ce tableau regroupe toutes les possibilités permises et possibles ( fonction d'onde et probabilité quantique ), dont chaque unité ( constante de Planck ou plus petite unité d'action possible sur la matière ) est représenté par le croisement et la superposition d'une ligne et une colonne ( principe de Pauli pour les particules de spin 1/2, stipulant que le lapin (matière) ne peut-être à deux endroits en même temps et de manière simultanée (onde)) pour chacun des deux tableaux ( la fonction d'onde de matière de De Broglie, dont l'évolution dans le temps suit les règles de Schrödinger ) ! (Si on ajoute l'aspect relativiste à tout ça (Schrödinger), et bien on retrouve le formalisme de Dirac ).
Mais pour vérifier son hypothèse, Alice doit faire quelques petites expérimentations, afin d'ajuster ses calculs et ses prédictions. Elle construit donc un modèle expérimental afin de mieux prédire toutes les éventualités possibles ( Protocole expérimental sur la fonction d'onde ) fait à partir d'une représentation pouvant interpréter le plus fidèlement possible le monde qui se trouve à l'extérieur d'elle et tout autour du chalet ( mécanique quantique , mais a noté que cette forme imaginaire du texte découle de la mécanique classique ).
Ainsi pendant plusieurs jours, elle observe et mesure la venu et le comportement du lapin constamment , et retranscrit tout ce qu'elle voit (données expérimentales ). Au dernier jour, elle désire de tester son modèle afin de vérifier les prédictions de ce dernier.
Pour ce faire, Alice doit rester assis sur la chaise sans bouger, et tenter de prédire à l'avance ( l'aspect indéterminisme de la MQ ) le moment exact ou le lapin viendra chercher sa nourriture, elle doit aussi déterminer le chemin qu'il prendra et le type de nourriture qu'il mangera, ( elle veut vérifier la réduction du paquet d'ondes de son système ).
Le modèle d'Alice représente donc toutes les possibilités possibles qui peut être projeté sur le monde réel qui l'entoure, soit le chalet, heure de la journée, comportement du lapin et le jardin (et symbolisant le formalisme quantique ).
Il y a donc un monde réel et un monde de perception qui se superpose, et qui sont en continuelle interaction ( réalité versus conscience, ici les décisions d'Alice et du lapin schématisent l'aspect indéterministe de la MQ ) ! Alice sait que le lapin n'est pas loin dans les bois, et elle sait aussi qu'à un certain moment de la journée, il viendra par deux reprises dans le jardin. Mais elle ne peut pas le voir, étant assis sur la chaise et ne pouvant pas regarder par la fenêtre . Elle imagine donc, que le lapin peut-être partout a la fois à un instant précis. ( non-localité quantique et superposition d'états de Schrödinger ).
La mécanique quantique est une représentation par la modélisation du monde extérieur ( microscopique ), et ceci en fonction d'une expérience bien précise et bien encadrée, tout comme pour notre exemple avec Alice qui se trouve dans un monde macroscopique. La jonction entre les deux s'appelle la décohérence ).
Elle regarde et examine ses calculs, et par le fruit de son imagination elle peut voir et se représenter le lapin faire son entrer dans le jardin (, le paquet d'ondes est parti, selon Alice ) et ceci et à cette heure bien précise de la journée. Elle détermine aussi l'endroit du jardin par lequel le lapin fera son entrée ( état quantique relié à la fonction d’onde ).
Elle le voit franchir les limites du jardin et se diriger vers une laitue bien précise ! Sauf que là ! Il est impossible de savoir si le modèle d'Alice représente bien la réalité objective ( l'ensemble des états quantiques ) qui est en marche à l'extérieur d'elle ( comportement ondulatoire possible du système ou onde de matière de De Broglie, non-localité quantique d'Hinsenberg, superposition d'états de Schrödinger ).
Le seul moyen de vérifier ses prédictions, et de se lever et d'aller voir par la fenêtre ( l'acte de mesure ) ! Bien que le lapin était soit dans le jardin ou ailleurs, le monde réel était bel et bien en marche de manière autonome et indépendante du choix d'Alice, mais Alice ne savait pas vraiment ce qui se passait en réalité dans le jardin et tout autour d'elle. L’influence de la conscience sur la mesure quantique découle de la manière de préparer les protocoles qui encadrent l’aspect instrumental de l’expérience face à l’environnement du laboratoire, et non, d’une action de la conscience à distance pouvant influencer la mesure par une sorte d’intrication entre la conscience de l’expérimentateur et l’objet .
Alice regarde donc par la fenêtre, si le lapin est bien présent à cet instant, Alice ne pourra pas voir le lapin de manière bien précis, car il y a de la laitue et des plants de carottes qui lui bloc la vue partiellement, ce qui donne en fait une position approximative du lapin situé dans le jardin ( indétermination d'Heisenberg ).. Cependant, dès quelle aperçois le lapin ( interaction qui s'effectue de manière instantanée entre Alice et le lapin, et qui est associé à la réduction du paquet d'ondes, l'interaction prend ainsi la forme et les attributs d'une particule ), elle peut déterminer si son modèle représente et interprète bien les phénomènes du monde qui nous entoure ( mécanique quantique et décohérence ) !
Voilà les mystères de la mécanique quantique démystifiée et à sa plus simple expression !
Gilles
Mises à jour de la fable d'Alice
Voici le texte avec ses corrections (en vert)
Je vous propose ici, une manière simple pour mieux comprendre la mécanique quantique !
N'oubliez pas que le monde dans lequel nous vivons est bel et bien réel, seule notre perception nous donne l'impression de son illusion et pour preuve et bien nous sommes en interaction constante avec ce dernier, et cette interaction peut nous menacer à tout instant !
Et ceci, malgré que la matière n'existe pas réellement comme substance tangible, cette perception de dureté découle en fait d'une illusion ( apparente, car relié à la perception sensible ) tout comme la perception des couleurs.
Pour expliquer cela, il faut se tourner vers la mécanique quantique, qui nous apprend que la matière est en fait composé en très grande partie par du vide et par des champs d'énergies qui vibrent de différentes manières !
Les interactions qui impliquent ces champs d'énergies dans le monde macroscopique ( via le décohérence quantique ), nous donne la sensation ou l'illusion de la perception de la dureté à la matière à notre échelle !
Le monde est donc un monde composé, non-pas de matière, mais de champs d'énergies en interaction constante, composé de substance qui peut prendre une forme ondulatoire et corpusculaire en même temps (superposition d'états de Schrödinger et dualité onde-corpuscule ) ! (Marc Lévy Leblond faisait référence au quanton pour illustrer cela).

Gracieuseté de Ange (de PPF).
Alice est assise sur une chaise à l'intérieur d'un petit chalet qui se trouve au beau milieu de la campagne. Tout autour du chalet, il y a un grand jardin de laitues et de carotte. Le jardin est coupé en deux par un petit sentier qui part de la porte du chalet jusqu'à la limite du jardin qui se trouve tout près de la forêt.
A chaque jour, Alice a pu observer qu'un petit lapin (en MQ il s'agirait d'une particule ) venait faire régulièrement son petit tour dans le jardin, et a chaque fois, il mangeait soit une laitue ou sois quelques petites carottes. Parfois, il venait le matin et le midi, et parfois le midi et le soir, mais à chaque fois, il prenait des routes différentes ! (comportement indéterminisme du lapin pour Alice )
Un jour, Alice décida de faire une petite expérience afin de savoir comment elle pourrait prédire la venue du petit lapin dans son jardin, et par le fait même, d’essayer de mieux saisir ce qui l'attirait tant dans celui-ci, et pourquoi il venait deux fois par jour pour manger des choses différentes ! Elle se dit aussi qu'elle pourrait l'attendre (à l'endroit ou se dernier pourrait-ce présenter ) et lui donner ce qu'il désire, afin de l'apprivoiser très doucement et de pour se faire un compagnon de jeu, sans devoir à l'apprivoiser !
Alors Alice, ( notre observatrice ), établit son premier schéma de calcule. Dans un premier temps, elle se doit de prédire les heures de la venues du lapin, selon la fréquence journalière et par rapport au type de nourriture qu’il prendra (laitues ou carotte) !
Première étape. Alice construit un tableau qui reproduit un ensemble de possibilités statistiques (symbolisant la fonction d'onde ). Mais voilà, Alice est assise sur une chaise qui est au milieu du chalet, elle ne peut pas voir à l'extérieur de celui-ci, et elle ne peut donc pas savoir à l'avance par qu'elle chemin le lapin fera son entrer dans le jardin, pour le moment dans l’imaginaire d’Alice (espace de Hilbert), le lapin il peut entrer par tous les chemins possibles donnant accès au jardin (non-localité quantique et indétermination d'Heisenberg ).
Elle superpose donc à son premier tableau de départ ( superposition d'états quantiques évoluant dans le temps, ou chat de Schrödinger ) un autre schéma qui représente tous les chemins possibles que peut prendre le lapin ( chemin des intégrales lagrangienne ou hamiltoniennes qui indique le plus court chemin parcouru en fonction de l'énergie du système ).
Ce tableau regroupe toutes les possibilités permises et possibles ( fonction d'onde et probabilité quantique ), dont chaque unité ( constante de Planck ou plus petite unité d'action possible sur la matière ) est représenté par le croisement et la superposition d'une ligne et une colonne ( principe de Pauli pour les particules de spin 1/2, stipulant que le lapin (matière) ne peut-être à deux endroits en même temps et de manière simultanée (onde)) pour chacun des deux tableaux ( la fonction d'onde de matière de De Broglie, dont l'évolution dans le temps suit les règles de Schrödinger ) ! (Si on ajoute l'aspect relativiste à tout ça (Schrödinger), et bien on retrouve le formalisme de Dirac ).
Mais pour vérifier son hypothèse, Alice doit faire quelques petites expérimentations, afin d'ajuster ses calculs et ses prédictions. Elle construit donc un modèle expérimental afin de mieux prédire toutes les éventualités possibles ( Protocole expérimental sur la fonction d'onde ) fait à partir d'une représentation pouvant interpréter le plus fidèlement possible le monde qui se trouve à l'extérieur d'elle et tout autour du chalet ( mécanique quantique , mais a noté que cette forme imaginaire du texte découle de la mécanique classique ).
Ainsi pendant plusieurs jours, elle observe et mesure la venu et le comportement du lapin constamment , et retranscrit tout ce qu'elle voit (données expérimentales ). Au dernier jour, elle désire de tester son modèle afin de vérifier les prédictions de ce dernier.
Pour ce faire, Alice doit rester assis sur la chaise sans bouger, et tenter de prédire à l'avance ( l'aspect indéterminisme de la MQ ) le moment exact ou le lapin viendra chercher sa nourriture, elle doit aussi déterminer le chemin qu'il prendra et le type de nourriture qu'il mangera, ( elle veut vérifier la réduction du paquet d'ondes de son système ).
Le modèle d'Alice représente donc toutes les possibilités possibles qui peut être projeté sur le monde réel qui l'entoure, soit le chalet, heure de la journée, comportement du lapin et le jardin (et symbolisant le formalisme quantique ).
Il y a donc un monde réel et un monde de perception qui se superpose, et qui sont en continuelle interaction ( réalité versus conscience, ici les décisions d'Alice et du lapin schématisent l'aspect indéterministe de la MQ ) ! Alice sait que le lapin n'est pas loin dans les bois, et elle sait aussi qu'à un certain moment de la journée, il viendra par deux reprises dans le jardin. Mais elle ne peut pas le voir, étant assis sur la chaise et ne pouvant pas regarder par la fenêtre . Elle imagine donc, que le lapin peut-être partout a la fois à un instant précis. ( non-localité quantique et superposition d'états de Schrödinger ).
La mécanique quantique est une représentation par la modélisation du monde extérieur ( microscopique ), et ceci en fonction d'une expérience bien précise et bien encadrée, tout comme pour notre exemple avec Alice qui se trouve dans un monde macroscopique. La jonction entre les deux s'appelle la décohérence ).
Elle regarde et examine ses calculs, et par le fruit de son imagination elle peut voir et se représenter le lapin faire son entrer dans le jardin (, le paquet d'ondes est parti, selon Alice ) et ceci et à cette heure bien précise de la journée. Elle détermine aussi l'endroit du jardin par lequel le lapin fera son entrée ( état quantique relié à la fonction d’onde ).
Elle le voit franchir les limites du jardin et se diriger vers une laitue bien précise ! Sauf que là ! Il est impossible de savoir si le modèle d'Alice représente bien la réalité objective ( l'ensemble des états quantiques ) qui est en marche à l'extérieur d'elle ( comportement ondulatoire possible du système ou onde de matière de De Broglie, non-localité quantique d'Hinsenberg, superposition d'états de Schrödinger ).
Le seul moyen de vérifier ses prédictions, et de se lever et d'aller voir par la fenêtre ( l'acte de mesure ) ! Bien que le lapin était soit dans le jardin ou ailleurs, le monde réel était bel et bien en marche de manière autonome et indépendante du choix d'Alice, mais Alice ne savait pas vraiment ce qui se passait en réalité dans le jardin et tout autour d'elle. L’influence de la conscience sur la mesure quantique découle de la manière de préparer les protocoles qui encadrent l’aspect instrumental de l’expérience face à l’environnement du laboratoire, et non, d’une action de la conscience à distance pouvant influencer la mesure par une sorte d’intrication entre la conscience de l’expérimentateur et l’objet .
Alice regarde donc par la fenêtre, si le lapin est bien présent à cet instant, Alice ne pourra pas voir le lapin de manière bien précis, car il y a de la laitue et des plants de carottes qui lui bloc la vue partiellement, ce qui donne en fait une position approximative du lapin situé dans le jardin ( indétermination d'Heisenberg ).. Cependant, dès quelle aperçois le lapin ( interaction qui s'effectue de manière instantanée entre Alice et le lapin, et qui est associé à la réduction du paquet d'ondes, l'interaction prend ainsi la forme et les attributs d'une particule ), elle peut déterminer si son modèle représente et interprète bien les phénomènes du monde qui nous entoure ( mécanique quantique et décohérence ) !
Voilà les mystères de la mécanique quantique démystifiée et à sa plus simple expression !
Gilles
Dernière modification par glevesque le 06 oct. 2012, 17:06, modifié 2 fois.
Re: Démystification de la MQ
Salut
En Conclusion (une démarche épistémologique)
Dans le cadre d'une théorie interprétative et déductive sur les comportements interactionnelle (interface effectif) des choses, le comportement de supperposition d'onde découle de l'isolement d'une chose parmis les autres mêmes choses qui l'entoure, par l'ignorance et l'incapacité (limite technique et de connaissence sur le monde réelle) de pouvoir déterminé le tout associatif avant une interaction (les lois causale porté sur les essence des choses !). Les probabilités statistiques illustre tout simplement cette ignorance des choses et de leur relation a un moment donnée avant l'acte de mesure. En MQ les choses sont ditent isoler avant leur manifestation et c'est cette idée d'isolement qui entraine la supperposition mathématique (de conception !) ou supperposition des états. Ici l'interaction dévoile le coté obscure d'Alice (coté MQ) pour émerger par ponction d'une réduction d'un paquet d'onde quantique (matrice de probabilité statistique !) dans l'objectivité du monde réelle comme fait observable en création ou émergence.
La MQ est un ensemble descriptif qui unit l'immaginaire (espace d'Hilbert ou ce qui n'est pas connu en connaissence) au monde réelle, le lapin d'Alice peut-être partout dans le jardin à la fois dans l'esprit immaginaire d'Alice avant d'être observé et vue (interaction) par elle dans le jardin lors de l'observation du lapin en un lieu spécifique (la réduction du paquet d'onde) près d'une carote par exemple (car il avait faim : la cause que la MQ dans le monde des particule-onde ne prend pas en charge ! (la relation des choses pré-existante avant leurs mesures ?)).
Il s'agit donc d'une démarche purement déductive épistémologiquement, qui cherche a reflété une partie seulement de la réalité ou le référenciel Univers (ou centrale) deviens celui qui observe en oubliant tout les autres (les autres reperts relié aux autres observateur qui est ici toutes choses qui existent dans l'univers et qui peut interagire dans le monde)
Gilles
En Conclusion (une démarche épistémologique)
Dans le cadre d'une théorie interprétative et déductive sur les comportements interactionnelle (interface effectif) des choses, le comportement de supperposition d'onde découle de l'isolement d'une chose parmis les autres mêmes choses qui l'entoure, par l'ignorance et l'incapacité (limite technique et de connaissence sur le monde réelle) de pouvoir déterminé le tout associatif avant une interaction (les lois causale porté sur les essence des choses !). Les probabilités statistiques illustre tout simplement cette ignorance des choses et de leur relation a un moment donnée avant l'acte de mesure. En MQ les choses sont ditent isoler avant leur manifestation et c'est cette idée d'isolement qui entraine la supperposition mathématique (de conception !) ou supperposition des états. Ici l'interaction dévoile le coté obscure d'Alice (coté MQ) pour émerger par ponction d'une réduction d'un paquet d'onde quantique (matrice de probabilité statistique !) dans l'objectivité du monde réelle comme fait observable en création ou émergence.
La MQ est un ensemble descriptif qui unit l'immaginaire (espace d'Hilbert ou ce qui n'est pas connu en connaissence) au monde réelle, le lapin d'Alice peut-être partout dans le jardin à la fois dans l'esprit immaginaire d'Alice avant d'être observé et vue (interaction) par elle dans le jardin lors de l'observation du lapin en un lieu spécifique (la réduction du paquet d'onde) près d'une carote par exemple (car il avait faim : la cause que la MQ dans le monde des particule-onde ne prend pas en charge ! (la relation des choses pré-existante avant leurs mesures ?)).
Il s'agit donc d'une démarche purement déductive épistémologiquement, qui cherche a reflété une partie seulement de la réalité ou le référenciel Univers (ou centrale) deviens celui qui observe en oubliant tout les autres (les autres reperts relié aux autres observateur qui est ici toutes choses qui existent dans l'univers et qui peut interagire dans le monde)
Gilles
Oui, les OGM sont des poisons !
Erreur de manipulation.....
Dernière modification par glevesque le 07 oct. 2012, 22:08, modifié 1 fois.
Re: Oui, les OGM sont des poisons !
Erreur de manipulation....
Dernière modification par glevesque le 07 oct. 2012, 22:05, modifié 1 fois.
Re: Oui, les OGM sont des poisons !
Erreur de manipulation
Dernière modification par glevesque le 07 oct. 2012, 22:06, modifié 1 fois.
Re: Oui, les OGM sont des poisons !
Erreur de manipulation....
Dernière modification par glevesque le 07 oct. 2012, 22:07, modifié 1 fois.
Re: Démystification de la MQ
J'ai deja lu ce texte quelque part, mais je ne sais plus ou. Sur le forum zetetique peut être?
-
Jean-Francois
- Modérateur

- Messages : 28222
- Inscription : 03 sept. 2003, 08:39
Re: Oui, les OGM sont des poisons !
Ce n'était pas le problème et que vous soyez incapable de le comprendre en dit long sur l'inutilité de perdre du temps avec les autoproclamés spécialistes en tout dans votre genre... qui sont surtout confus et incapables de la moindre remise en question.glevesque a écrit :Alors explique moi la technique d'incersion de gène utiliser pour créers des plantes génétiquement modifier de manière artificiel (face a naturel).
-----------------
Il a dû poster ça sur plusieurs forums scientifiques ou sceptiques, dont il s'est fait virer au bout d'un moment pour irrationalité aggravée. Lorsqu'on cherche sur google, on s'aperçoit que ses textes demeurent surtout sur des forums zozos.spin-up a écrit :J'ai deja lu ce texte quelque part, mais je ne sais plus ou. Sur le forum zetetique peut être?
Jean-François
"La religion est un poisson carnivore des abysses. Elle émet une infime lumière, et pour attirer sa proie, il lui faut beaucoup de nuit." (Hervé Le Tellier, L’anomalie)
Re: Démystification de la MQ
Salut
Mes quatre derniers poste (et ta réponce a ceux-ci) plus haut étaient pour la discusion sur les OGM, il faudraient les déplacer car il n'ont rien a faire ici !
Il y a eu erreur a quelque part ! Peut être lors du transfère de ce sujet dans la section science.
Gilles
Mes quatre derniers poste (et ta réponce a ceux-ci) plus haut étaient pour la discusion sur les OGM, il faudraient les déplacer car il n'ont rien a faire ici !
Il y a eu erreur a quelque part ! Peut être lors du transfère de ce sujet dans la section science.
Gilles
- Hallucigenia
- Modérateur

- Messages : 5197
- Inscription : 02 févr. 2006, 10:24
Re: Démystification de la MQ
Salut glevesque,
Merci de ne pas confondre notre forum de discussions avec ton blog personnel, et d'éviter à l'avenir de nous infliger tes copiés/collés venus d'autres sites.
Cordialement,
Hallucigenia
Merci de ne pas confondre notre forum de discussions avec ton blog personnel, et d'éviter à l'avenir de nous infliger tes copiés/collés venus d'autres sites.
Cordialement,
Hallucigenia
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