Florence a écrit :C'est très, très vilain. Vous ferez pénitence, après avoir récité 3 fois la première page du dernier livre de Dawkins ...

Pitié

Dawkins, c'est le protecteur morale officielle de la théorie synthétique de l'évolution. C'est le dirigent en chef des Darwiniste dit fort. Ceux qui affirme que (évolution = hasard) est cohérent et qui tentent de simplifier le tout.
Je suis Darwiniste faible car selon moi le hasard est une notion perceptiviste et la vie ne peut qu’être entièrement soumise à la cause à effet. Je crois qu'expliquer les mécanismes intime de l'évolution est certainement une des choses les plus compliqué qui soit, et de crier "c'est le hasard, ont a tout compris, ça invalide Dieu" c'est de l'enfantillage.
À mon avis, la théorie de l'évolution de la vie ne sera jamais comprise intimement tant que l'on ne disposera pas d'une autre planète portant une biosphère pour pouvoir les comparer.
Mais bon j'aime tout de même Dawkins, mais surtout pour son combat contre l’abrutissement religieux.
Florence a écrit :et vous êtes maintenant pris dans ses filets verbeux, bornés et totalement inopérants ... comme je le disais ailleurs, un successeur de Gatti, et comme le disait Beetlejuice, en bien moins intéressant ou attachant.
Je crois intimement que toutes idées, toutes choses, tout concepts et toutes personnes sont perfectibles. C'est même la base moral de l'optimisme Leibnizien. "Nous vivons dans le meilleurs des mondes possibles car toute substances simple de l'univers est perfectible. L'infinité de l'imperfection de l'univers est la réciproque exacte de l'infinie perfectionnement proposé à l'entendement humain. "
Certain disent que c'est naïf, moi je considère que c'est la seul façon convenable de définir la liberté.
Liberté = pouvoir infini de perfectionné l'univers.
Pessimisme = ne pas croire au perfectionnement
M'enfin...qui sait a écrit :Vous parlez des mécanismes intimes, je veux bien, mais que sait-on des mécanismes physiques de la conscience? J'avance une théorie physique là-dessus, c'est peut-être de là que partent vos "confusions". Pour une fois, la philosophie aurait du concret à se mettre sous la dent, c'est pas rien!
C’est un rêve noble, mais c’est de la science-fiction.
Une théorie physique doit être prouvée expérimentalement de façon empiriste. La métaphysique pure ne vous donnera jamais cette réponse. Mais je crois que le domaine scientifique peut très bien ce corresponde dans le domaine philosophique.
La philosophie c’est l’art conceptuel de la sagesse. C’est un mouvement de recherche du bonheur, de l’esthétique, de l’harmonie, de la vérité et des limites. Elle se nourrit elle même de l’existence donc même sans preuve physique de sa propre existence, elle ne mourra pas de faim.
M'enfin...qui sait a écrit :
Si ce que vous voulez dire est que la conscience a conscience d'elle même, je vous suis. Dans ma théorie, la redondance est justement une propriété de l'imagination, une curieuse propriété d'ailleurs puisqu'elle devrait finir par lui faire découvrir comment elle fonctionne physiquement. Par contre, pour y arriver, toujours selon ma théorie, il lui fallait des semblables, elle ne pouvait évoluer dans ce sens que par rapport à ses semblables. C'est tout l'inverse de ce que croient la plupart des gens quand ils parlent de spiritualité. C'est utile l'introspection, mais pas pour se connaître, tout au plus pour laisser son égo tranquille un instant, pour se calmer le pompon. Toutes les thérapies actuelles ne servent qu'à ça, rien d'autre. La connaissance c'est autre chose, il faut du concret pour ça, et dans le cas de la pensée, le concret, c'est l'autre. Aucune idée ne peut progresser par elle-même, on s'appuie toujours sur d'anciennes idées pour en avancer de nouvelles, et on ne peut pas savoir si les nouvelles sont consistantes sans les opposer à celles de nos semblables.
Évidemment, une idée est grandement structurée grâce aux architectures préexistantes de la symbolique constituer.
Je l’appelle simplement l’héritage culturel (hereditas cultura)
Sans aucun semblable conscient; l’humain ne symboliserait probablement pas ses concepts. Mais ce n’est pas un rapport d’opposition entre points de vu qui permet la symbolisation, c’est l’harmonisation par différence évanouissante.
Une totalité relative conceptualisée par un sujet se perfectionnera toujours grâce aux exigences des sujets correspondants.
C’est par principe de différence évanouissante entre les points de vue que le concept deviendra symbole pour s’ajouter à l’héritage. C’est probablement comme ça que c’est construit l’ensemble des langues et des écritures.
Et c’est la création de ses types de gammes qui permettrons à la conscience de surconceptualisé, c'est-à-dire de fabriquer des concepts à partir des totalités relatives aperçues dans ses propres symboles. Le savoir et la créativité se nourrie donc pleinement de l’héritage.
Bref, s’il n’était pas hautement grégaire l’humain n’aurait probablement jamais développé de symbolisation ni surement son intelligence.
M'enfin...qui sait a écrit :C'est exactement le même processus que celui de la masse dans ma théorie, ce n'est pas semblable, c'est identique.
Expliquez s.v.p..
M'enfin...qui sait a écrit :Comprenez-vous ici que si ma théorie sur la masse se confirme, elle pourrait révolutionner la pensée? Découvrir le mécanisme de la conscience ne bouleverserait-il pas tous nos concepts?
La conscience c’est comme un espace infini, étant donné qu'il n'est point de raison, convenance, possibilité, sens ou nature qui lui assigne une limite.
Donc à mon humble avis, il est strictement impossible d’expliquer physiquement la conscience. Tourné cela comme vous voudrez; c’est de l’incomceptualisable pour l’empirisme; cela resterait malgré toute ruses une hypothèse métaphysique. Espéré prouver ou infirmer Dieu par la physique tant qu’à ça.
M'enfin...qui sait a écrit :Ma théorie sur la masse porte le nom de Reptation, et celle sur la résistance intellectuelle s'appelle Reptation intellectuelle, je vous laisse le soin de traduire en grec.
Je ne parlais pas d’un mot pour désigner votre théorie, mais bien votre entité conceptuelle de « imagination-volonté-conscience ».
Mais je suis bien contant de savoir que votre théorie a bien un nom.
M'enfin...qui sait a écrit :Si je veux quelque chose, j'imagine que je le veux, et selon mon imagination, il n'est pas du tout certain que je l'aurai. Pour avoir conscience d'une idée, je dois l'imaginer, il n'y a aucun autre moyen, sauf peut-être en passant par Dieu. Volonté et conscience dépendent de l'imagination, mais ils ne sont pas tout seuls puisque tous nos concepts en sont issus.
Vouloir c’est l’appétition; la tendance de la conscience à aller vers ce qui l’attire, ce qu’elle désire.
La conscience est bombardée de façon infinie par de petites appétitions que le subconscient
capte complètement, mais la conscience elle ne perçoit un désir concret que par totalité suffisante; elle perçoit seulement la singularité dans une suite d’ordinaire, c’est ce qu’elle conceptualise, et c’est ce qui devient volonté.