Cela dépend évidemment de ce que vous entendez par intelligence.M'enfin...qui sait a écrit :Alors vous croyez que nous ne réussirons jamais à mettre au point quelque chose de plus intelligent que nous si je comprend bien.
Mais sur ce qui est de la conscience; elle n’a absolument rien à avoir avec l’étendue. Penser formaliser la conscience par empirisme c’est aussi absurde que de penser découvrir physiquement la créativité. La pensée n’a rien à voir avec l’étendue.
Sachez que la métaphysique n'a rien à voir avec quelconques construction morale, c'est un tout autre domaine.M'enfin...qui sait a écrit : C'est un peu comme si vous considériez que l'humain est ce qu'il y a de plus noble dans l'univers, non?
Mais personnellement, je considère le principe de raison suffisante comme étant le plus noble des principe, car c’est l’essence de l’existence. Et ce principe est inclus en toute échelle dans toute conscience animale. La différence à ce niveau entre l’homme et le reste du règne animal, est la densité des capacités conceptuelles. Chez l’homme elles sont exponentielles plus élevées grâce à la richesse de son héritage symbolique.
Comme je vous l'ai dit plus haut, la métaphysique n'est pas une discipline moraliste.M'enfin...qui sait a écrit :Si c'est le cas, et si vous ne croyez pas à la création, il s'agirait d'une forme d'anthropocentrisme athée, mais peut-être croyez-vous à une certaine forme de conscience universelle qui nous dépassera toujours.
En métaphysique classique Dieu existe parce que Dieu c’est fondamentalement un concept majeur. Dieu existe conceptuellement et Dieu est conceptuellement inclus dans toute proposition analytique dite d’inclusion; celle déjà incluse dans la conscience.
Le principe d’identité et le principe de raison suffisante se rapportent directement à l’essence et à l’immanence de toute chose.
Donc, tourné le comme vous voudrez appelé la notion univers, nature, force, hasard, mystère, spaghetti, chatte à Denis ou dieu; il faut bien un concept pour rendre raison à la série indéfinissable des causes, des effets et de la continuité.
Voilà pour Dieu et la métaphysique
Mais alors la question légitime est : que vous venez faire dans un débat métaphysique ??? Croyez-vous pouvoir toucher la pensée ?M'enfin...qui sait a écrit :Je suis comme Thomas moi, je ne crois que ce que je touche.
Arrêtez avec vos repères absolue. La sagesse, le bonheur, la vérité, Dieu ; la question en métaphysique n’est absolument pas de savoir si ses notions existent dans la réalité. Elle existe dans la métaphysique parce ce qu’elle sons concept et simple pour ça, elle se suffi à eux même comme totalité relative. C’est une notion extrêmement importante à comprendre pour faire de la métaphysique.M'enfin...qui sait a écrit :La sagesse, le bonheur, la vérité nécessitent selon moi un repère absolu, comme Dieu par exemple, mais ma théorie me dit qu'il n'y en a pas et que nous n'en avons pas besoin.
Détruire un concept symbolisé dans l’héritage par ce que vous jugez arbitrairement qu’il n’a pas d’existence dans la réalité, c’est carrément de la pseudométaphysique. Et c’est précisément ce genre de dérive qui a massacré les philosophies rationnelles classiques.

En métaphysique il faut abandonner tout réflexe arbitraire sinon c'est la fausse note assuré.
Vous soulevez des questions bien intéressantes, mais à mon avis si on dérive vers la morale l’éthique et la politique, en plus de la métaphysique et votre théorie de la Reptation le discours va vite devenir cacophonique et surréaliste selon moi.M'enfin...qui sait a écrit : En réalité ces trois concepts n'existeraient pas comme absolu, mais seulement par rapport au changement: le bonheur évoluerait par rapport au malheur, la sagesse par rapport à la bêtise, la vérité par rapport au mensonge, et les êtres humains les uns par rapport aux autres. Pour s'entendre entre nous, il faut des règles sociales qui fonctionnent, cad sur lesquelles tous peuvent facilement se mettre d'accord, de manière à pouvoir les respecter facilement par la suite, mais pour se mettre d'accord, personne ne doit chercher à avoir raison, il faut faire des compromis de part et d'autre, c'est la seule manière. Si un des deux partis croit avoir raison, par exemple s'il croit que son Dieu a raison, aucun compromis ne sera possible. La croyance en un repère stable et universel pour mieux nous comporter entre nous est dangereux selon moi, et c'est aussi ce que l'histoire nous enseigne.
Car autant que l’on ne mélange pas arbitrairement métaphysique pure et science, autant on ne mélange pas métaphysique pure avec les philosophies morales, éthique ou politique sans dérapage presque certain,
La métaphysique est une pure introspection rationnelle; la raison pure y est le seul maitre d’orchestre et le seul sujet de la discipline c’est comment, la pensée pense à elle même.
Si vous voulez avoir un débat moral éthique et politique, c’est tout autre chose; on doit absolument changer de discipline, car je crois que sinon on n’a de bonnes chances d’augmenter la confusion de façon exponentielle.
Bon, je doit me faire à l'idée, ce n’est clairement pas la métaphysique qui vous intéresse et pour être franc, sais vraiment pas trop ce que c'est votre théorie, ni à quoi elle rime. Mais personnellement, je vous suggère très fortement d’y faire émerger les grandes tendances sous forme de principes.M'enfin...qui sait a écrit :Ce qui attire la conscience, ou l'imagination dans ma théorie, c'est le futur. La capacité que l'imagination a d'entrevoir un futur nouveau geste, et de le tenter s'il lui procure suffisamment de plaisir virtuel, lui permet tout simplement d'apprendre rapidement. Je pars d'un geste connu, je l'imagine, il me revient en mémoire, j'en modifie une partie virtuellement pour en composer un nouveau, je mesure le futur plaisir que l'exécution de ce nouveau geste pourrait me procurer, si je crois que je vais me faire mal je recommence à le changer, jusqu'à ce que croie avoir trouvé, là je ressens du plaisir, et je peux tenter le nouveau geste, mais jamais je ne pourrai être certain du résultat final avant de le tenter, qui plus est, si ce geste est trop loin dans le temps, mon milieu risque d'avoir changé, et je ne pourrai jamais le vérifier. C'est uniquement en vérifiant nos nouveaux gestes que nous pouvons les acquérir car ainsi, nous finissons par les automatiser en les réitérant.
Cela aidera beaucoup à y voir plus clair et comprendre si c’est logique et rationnel et surtout savoir c’est quoi; le faire comprendre aux autres. Je vais tenter le coup brièvement pour vous donner un exemple ainsi, vous comprendrez surement mieux comment je perçois votre théorie et ainsi on pourra peut-être mieux se comprendre.
Théorie de la Reptation
Principe 1 (dit principe d’unification)
Le Principe imagovulucientia ;( la conscience, l’imagination et la volonté sont une seule et même chose; une seule et même essence)
Principe 2 dit principe d’essence
Le principe d’essence du corps et du geste (le corps et le geste s'automatisent et veulent rester dans le plaisir)
Principe 3 dit principe de nécessité d’analyse des plaisirs potentielle
(à chaque mouvement conscient imagovulucientia doit analyser le plaisir potentiel)
Principe 4 dit principe de perception futuriste
Le principe de voyance perfectible (à chaque nouveau geste, l’imagovulucientia devient capable d’entrevoie le futur)
Principe 5 dit principe autocorrectionnel
Le Principe du perfectionnement gestuel inconscient.
(imagovulucientia fondamentalement modifie le geste; le perfection; l’améliore pour l’harmonisé à l’environnement)
Bon en gros pour l'instant, c’est ce que je "comprend" dans votre théorie.
Cordialement