Je l'ai changée hier soir pour le communiqué de presse de Médecins du monde/Act UP, mais cet article était dans ma signature depuis plusieurs jours (Féminisme et prostitution)Ildefonse a écrit :Un petit article d'une personne concernée.

Je l'ai changée hier soir pour le communiqué de presse de Médecins du monde/Act UP, mais cet article était dans ma signature depuis plusieurs jours (Féminisme et prostitution)Ildefonse a écrit :Un petit article d'une personne concernée.
Il faut pas être désolé, tu as bien fait de publier cet (excellent) article.Ildefonse a écrit :désolé.
Hallucigenia a écrit :Il faut pas être désolé, tu as bien fait de publier cet (excellent) article.Ildefonse a écrit :désolé.
J'ai crée une enfilade pour que nous en discutions.Tryphon a écrit :Je suis venu précisément parler de l'article de Morgane Merteuil. (...) Hallucigenia , je suis prêt à discuter avec vous.
Oppression writers have been roundly criticized for violating standard canons of social science inquiry and for viewing sex work through a monochromatic lens.9 Despite this criticism, proponents rigidly adhere to the central tenets of their paradigm, even when confronted with compelling counter-evidence.10 Moreover, most oppression writers restrict their citations to writings of like-minded authors and ignore research findings that contradict the pillars of their paradigm.11
http://www.law.northwestern.edu/jclc/ba ... eitzer.pdf
devinez de qui parle l'auteur de la citation!
une petite lecon d'ethique pour Mme farley. Mme raymond. et Mme poulin
votre erreur que je cite plus haut résulte en ceci. (le souligné)Nathalie a écrit :
moi aussi.Weitzer ne présente pas d’exemples de recherches bien menées. IL ne fait que critiquer les recherches.
vous refaites l'erreur de diviser les recherches en 2 camps. etudier les biais des abolitionistes n'oblige en rien l'auteur a tout critiquer.Mais mes recherches n’indiquent pas qu’à ce titre, les travaux du « camp » pro industrie du sexe sont plus rigoureux. Aucune critique n’est soulevée à cet égard par Weitzer, qui ne reconnait donc pas que le manque de rigueur se retrouve dans les deux « camps » adverses (soit le camp pro industrie du sexe et le camp abolitionniste).
pour moi un chercheur n'est pas un activiste. faut choisir. en science ce n'est pas compatible. a la limite donnez un appuie...ok. mais donner dans l’extrémisme!!!
Pour une personne qui prône, comme l’indique son titre, l’importance de la recherche basée sur les faits, il donne plutôt l’impression nette d’avoir un biais en faveur de la décriminalisation de la prostitution, celle de la prostitution « indoor », en ayant deux poids deux mesures quant à sa sévérité dans sa critique des démarches des deux camps opposés. Seulement des critiques à l’égard du camp abolitionniste sont formulées, alors qu’une analyse de la littérature pro industrie du sexe n’a pas besoin d’être poussée pour qu’on se rende compte de biais graves ou de raisonnements fallacieux présents dans les publications pros industrie du sexe.
C’était une hypothèse basée sur cette idée étonnante:Nathalie a écrit : Il est intéressant de mentionner que les auteurs avaient une hypothèse de recherche toute autre que les résultats qu'ils ont obtenus. Leur hypothèse que la légalisation de la prostitution dans un pays est associée à un plus faible taux de traite d'êtres humains dans ce même pays a été infirmée.
Je suis d'accord avec vous que leur hypothèse était un peu bizarre. celles que vous proposez me semblent préférables.Archibald a écrit :C’était une hypothèse basée sur cette idée étonnante:Nathalie a écrit : Il est intéressant de mentionner que les auteurs avaient une hypothèse de recherche toute autre que les résultats qu'ils ont obtenus. Leur hypothèse que la légalisation de la prostitution dans un pays est associée à un plus faible taux de traite d'êtres humains dans ce même pays a été infirmée.
« One theory is that legalised prostitution reduces demand [pour le trafic] because legally residing prostitutes are favoured over trafficked ones after legalisation. »
Je n’ai jamais lu de théorie qui défende cette idée farfelue. Elle présuppose qu’il y a une grande élasticité de l’offre locale dans la prostitution, ce qui n’est pas du tout le cas.
N’aurait-il pas été plus adéquat de poser deux hypothèses patentes :
1 les trafiquants préfèrent faire des affaires dans les pays où l’activité est légale ;
2 quand un pays légalise une activité qui est illégale ailleurs, dans ce cas-ci la prostitution « in-door », il y a accroissement de la demande extérieure et, pas conséquent, besoin de main-d ‘œuvre extérieure.
Très juste. On a d’ailleurs tranché en faveur du droit des femmes de disposer de leur corps, ce que les travailleuses du sexe réclament. En plus, il n’y a même pas de fœtus qui souffre dans ce dernier cas.Nathalie a écrit :Comme si la reconnaissance de la sensibilité du fœtus détruisait la légitimité pour une femme de se faire avorter
Et pourtant, le titre de l’article du site du LES est bien : Legalised prostitution increases human trafficking. C’est un choix éditorial […] may increase eut été plus adéquat.Nathalie a écrit :Les auteurs de ce texte ont la rigueur d’affirmer que rien ne peut nous indiquer à coup sûr qu’il y a un lien de cause à effet qui puisse être établi entre la légalisation de la prostitution (ou décriminalisation) et l’augmentation de la traite dans un pays.
Je salue votre position non dogmatique, dans la vraie tradition abolitionniste (je ne parle pas de la bêtise idéologique à la suédoise). Manifestement, la prostitution est une réalité qui vous heurte, mais vous considérez que celles qui le veulent ont le droit à leur libre arbitre et vous êtes prête à évaluer les politiques non pas en fonction de la moralité mais de leurs effets réels. De ce point de vue, vous êtes très représentative d’une majorité de citoyens ici au Canada et à peu près partout en Europe ainsi qu’un grand nombre d’autorités sanitaires partout dans le monde.Nathalie a écrit :Dans le cas de la prostitution, il y a bien entendu le droit des personnes de faire ce qu’elles veulent de leurs corps. Il existe des prostituées qui se battent pour la reconnaissance de leur travail dont elles considèrent que c’est un travail tout à fait comme un autre. Nous n’avons pas à décider à leur place, tant et aussi longtemps que leur combat ne nuit pas à d’autres. C’est plus compliqué que ça de prendre des décisions de société.
je ne suis pas heurté par la prostitution, mais par l'exploitation et la violence. il faut distinguer les deux, le faites-vous?Archibald a écrit :Manifestement, la prostitution est une réalité qui vous heurte
Et pourtant, le titre de l’article du site du LES est bien : Legalised prostitution increases human trafficking. C’est un choix éditorial […] may increase eut été plus adéquat.
Selon vos critère à vous, avez-vous un texte publié sur le sujet qui ne présente pas d'écueuil méthodologiquie considérable? Pouvez-vous me dire lequel ou lesquels?Les écueils méthodologiques de cette étude sont considérables. Pour n’en montrer que quelques uns
Les auteurs du texte ne tirent pas de conclusions définitive sur l'effet réel des législations. Il n'y a donc pas "d'écueuil méthodologique considérable".La période étudiée (1996-2003) est beaucoup trop courte pour tirer des conclusions sur l’effet réel des législations
Les auteurs combattent une théorie — légaliser diminue le trafic — qui n’existe pas !
Les auteurs du texte ne prétendent pas que le rapporteur des Pays-Bas prétend que la légalisation diminue le trafic. Ils donnent ce document en référence pour soutenir le fait que le gouvernement a légalisé la prostitution dans le but, entre autres, de combattre la traite de personnes. si vous lisez bien le document du rapporteur des pays-bas, vous verrez qu'il est écrit noir sur blanc que le but de ce rapport est de vérifier, 10 ans après l'adoption de la légalisation, si les prétentions du gouvernement (au sujet du combat de la traite grâce à la légalisation) semble s'être concrétisées.Le Rapporteur des Pays-Bas est loin de prétendre que la légalisation diminue le trafic, dans le rapport cité de 2005 comme dans tous ses autres rapports (trouvez-moi il où dit une telle chose dans son rapport).
Voilà un argument intéressant, enfin, qui démontre un intérêt à répondre à cette question : "comment dénicher les meilleurs informations disponibles sur la traite"? Vous avez votre opinion là dessus, à savoir qu'il ne faut considérer que les données sur les condamnations.La source utilisée pour faire rouler leur modèle est l’index des cas de trafic rapportés par l’UNODC. Cet index est un assemblage tarabiscoté de données impossibles à vérifier dont la plus grande partie viennent de sources gouvernementales, d’instituts de recherche, des médias et d’ONG dont plusieurs sont financées pour participer de la panique morale. On peut vraiment se demander pourquoi les auteurs n’ont pas tout simplement choisi le SEUL indicateur à peu près fiable des mouvements du trafic : les convictions criminelles devant les tribunaux. Ces données sont disponibles dans les rapports TIP de l’ONODC.
.Selon cet index, le Canada a un niveau « élevé » de trafic entrant
il est tout de même étonnant que vous critiquiez la démarche de ces chercheurs, alors que vous n'avez pas vraiment pris la peine de lire le texte.Il est quand même étonnant que les auteurs ne disent pas un seul mot sur les transferts observés des illégales de la Suède vers le Danemark et la Norvège après la prohibition.
Je me suis posé à peu près la même question, mais pour l'Australie (haut taux de traite entrant) et pour la Hollande (très haut flot entrant de traite).Pourquoi, mais pourquoi donc, les auteurs ont-ils ignoré l’Australie et la Nouvelle-Zélande dans leur comparaison ?
L’analyse en a parte des cas de la Suède de l’Allemagne et du Danemark manque franchement de sérieux. Quand vous mélangez les données sur la prévalence de la prostitution en Suède fournies par Ekberg, une neo abolitionniste engagée dans la vente du modèle suédois à l’étranger, avec des données non publiées sur le trafic transmises gracieusement par Belser (chercheur à l’OIT) et les ratios trafic déclaré/trafic réel de Di Nicola, on peut vraiment faire dire n’importe quoi aux chiffres.
Je suis content de vous l’entendre dire. Dois-je en conclure que vous condamnez les néo-abolitionnistes qui ne font pas cette distinction ?Nathalie a écrit :je ne suis pas heurté par la prostitution, mais par l'exploitation et la violence. il faut distinguer les deux, le faites-vous?
Je ne mélange rien du tout, je parlais du choix éditorial du site du LES.Nathalie a écrit :Vous mélangez le titre de l'article du site LES avec le titre du texte original. Le titre du texte original est celui-ci : Does Legalized Prostitution Increase Human Trafficking?
Il n’y a pas de théorie de la substitution en économie. On l’appellerait plutôt la théorie des préférences, ou plus généralement, les théories du producteur et du consommateur. Dans la présente étude, on parle de l’effet de substitution anticipé par les promoteurs de la légalisation. En passant, l’étude ne nous apprend rien sur l’effet de substitution. Les chercheurs sont incapables de le quantifier. Ils présument simplement que cet effet existe.Nathalie a écrit :Je crois que vous n'avez pas lu le texte. Leur théorie est une théorie économique, nommée la théorie de substitution, qui existe bel et bien. Les auteurs sont des économistes.
Bien sur que c’est ce qu’ils prétendent. Le passage est le suivant :Nathalie a écrit :Les auteurs du texte ne prétendent pas que le rapporteur des Pays-Bas prétend que la légalisation diminue le trafic.
Vous vous trompez de rapport. Le rapport de 2005, celui cité dans l’étude, a été fait un peu plus de 4 ans après la légalisation. Je crois que vous confondez avec le rapport Skarhed qui ne porte pas sur les Pays-Bas, mais sur les dix ans de la loi suédoise.Nathalie a écrit :Ils donnent ce document en référence pour soutenir le fait que le gouvernement a légalisé la prostitution dans le but, entre autres, de combattre la traite de personnes. si vous lisez bien le document du rapporteur des pays-bas, vous verrez qu'il est écrit noir sur blanc que le but de ce rapport est de vérifier, 10 ans après l'adoption de la légalisation, si les prétentions du gouvernement (au sujet du combat de la traite grâce à la légalisation) semble s'être concrétisées.
Pour être bien franc avec vous, si le Canada a un flot élevé de trafic humain, ça me rassure sur la situation mondiale ! Vous avez une idée, vous, du trafic humain au Canada ? La GRC, elle publie des chiffres vous croyez ? Vous en entendez souvent parler dans les medias ? Il se porte relativement peu d’accusations devant les tribunaux.Nathalie a écrit :si vous allez regarder dans l'appendice B (Distribution of Countries across Categories of Human-Trafficking Inflows) du texte, vous verrez que dans la catégorie des pays avec un flot élevé de traite on trouve le Canada, la France et l'Australie. Dans la catégorie très élevé figurent les États-Unis, l'Allemagne et la Hollande. la Nouvelle-Zélande et la Suède se trouvent dans la catégorie moyenne.
C’est une note de bas de page. Ils n’en tirent aucune conséquence. Ne vous tapez pas la tête comme ça, vous allez vous faire mal !Nathalie a écrit :il est tout de même étonnant que vous critiquiez la démarche de ces chercheurs, alors que vous n'avez pas vraiment pris la peine de lire le texte.Si vous l'aviez fait, vous auriez pu lire ceci, que j'avais déjà traduit en français
Ekberg est une folle à lier, à mettre dans la catégorie des féministes castratrice pour utiliser vos mots. C’est plutôt difficile de faire une critique de sa méthodologie. Ekberg n’est pas une chercheuse, elle est juriste. Quant à Belser, je connais plutôt bien ses travaux. Si vous avez quelques notions de statistiques, je vous recommande la lecture de http://www.ilo.org/wcmsp5/groups/public ... 081989.pdf où il décrit ses méthodes en détails. C’est un spectaculaire exercice de mystification à partir de simulations Monte Carlo et de la technique de capture-recapture. Bref, comment passer de 1580 événements tirés de sources diverses (des incidents comme tels, des estimations, et des taux) à 2,4 millions de cas réels.Nathalie a écrit :Merci d'avoir retenu notre attention sur les possibles liens d'intérêts d'Ekberg pour vendre le modèle suédois à l'étranger. mais qui dit lien d'intérêt ne dit pas automatiquement faille méthodologique. Pour cela, il faut en faire la démonstration. Pouvez-vous précisez les failles méthodologiques de Ekbert et Belser ?
Pour vous rafraichir la mémoire, vous avez écrit que les auteurs n'ont pas écrit UN SEUL MOT. Maintenant, vous écrivez que c'est une note de bas de page. La rigueur n'est pas au rdv chez vous, ça ne semble pas vous défriser de faire une erreur, mais vous faites le malin en critiquant la rigueur des auteurs du texte.Archibald a écrit :Nathalie a écrit :je ne suis pas heurté par la prostitution, mais par l'exploitation et la violence. il faut distinguer les deux, le faites-vous?je n'aime pas l'extrémisme et le manque de nuance, alors oui, sont qui mettent tout le monde dans le même paquet et sont incapables de reconnaitres qu'il existe des singularités, j'ai de la misère avec ça . Il ne faut pas plus mettre les clients et prostituées dans le même paquet qu'il faut mettre les néo abolitionnistes dans le même paquet.Je suis content de vous l’entendre dire. Dois-je en conclure que vous condamnez les néo-abolitionnistes qui ne font pas cette distinction ?
pour nuancer vos propos, je ne condamne pas LES néo-abolitionnistes, mais ceux qui sont extrémistes et ne font pas nuances.
Nathalie a écrit :Vous mélangez le titre de l'article du site LES avec le titre du texte original. Le titre du texte original est celui-ci : Does Legalized Prostitution Increase Human Trafficking?Je ne mélange rien du tout, je parlais du choix éditorial du site du LES.![]()
Vous avez écrit : "Et pourtant, le titre de l’article blablabla", en réaction à un de mes posts dans lequel je parle de la rigueur des auteurs du texte origina (Les auteurs de ce texte ont la rigueur d’affirmer , blablabla).
Nathalie a écrit :Je crois que vous n'avez pas lu le texte. Leur théorie est une théorie économique, nommée la théorie de substitution, qui existe bel et bien. Les auteurs sont des économistes.Vous écrivez à peu près n'importe quoi, n'est-ce pas? on commence par dire que la théorie n'existe pas, pour ensuite dire qu'elle porte un autre nom, en finissant par dire qu'ils n'ont pas réellement expliqué l'effet de substitution.Il n’y a pas de théorie de la substitution en économie. On l’appellerait plutôt la théorie des préférences, ou plus généralement, les théories du producteur et du consommateur. Dans la présente étude, on parle de l’effet de substitution anticipé par les promoteurs de la légalisation. En passant, l’étude ne nous apprend rien sur l’effet de substitution. Les chercheurs sont incapables de le quantifier. Ils présument simplement que cet effet existe.
vraiment n'importe quoi
Nathalie a écrit :Les auteurs du texte ne prétendent pas que le rapporteur des Pays-Bas prétend que la légalisation diminue le trafic.Vous n'avez toujours pas compris, ou vous ne voulez pas comprendre?Bien sur que c’est ce qu’ils prétendent. Le passage est le suivant :
Vous raisonnez ainsi :
1. les auteurs écrivent que certains croient que la légalisation diminue la traite.
2. ils ont mis entre parenthèse la référence du rapporteur des pays bas
3. donc ça signifie que les auteurs affirment que le rapporteur des pays bas croit que la légalisation diminue la traite.
vous avez tout faux de sauter à cette conclusion. en mettant entre parenthèse la référence, cela signifie tout simplement que dans ce document de référence (le rapporteur), on trouvera la preuve de ce qui est annoncé. dans cet exemple, ce qui est annoncé est ceci: "certains croient que la légalisation diminue la traite". Lorsqu'on vérifie le document fourni en référence (le rapporteur des pays-bas), on se rend compte qu'effectivement, c'est vrai que certains croient que la légalisation diminue la traite, car il est écrit noir sur blanc que le gouvernement hollandais l'a affirmé
Nathalie a écrit :il est tout de même étonnant que vous critiquiez la démarche de ces chercheurs, alors que vous n'avez pas vraiment pris la peine de lire le texte.Si vous l'aviez fait, vous auriez pu lire ceci, que j'avais déjà traduit en français
C’est une note de bas de page. Ils n’en tirent aucune conséquence. Ne vous tapez pas la tête comme ça, vous allez vous faire mal !
et le sujet essentiel, c'est? le problème de l'argent? Vous êtes marxiste? Un client de prostitution marxiste? si c'est le cas, j'aurai tout vu et tout lu.Vous hésiter tant à emprunter l'axe central en n'abordant pas le sujet essentiel, que vous préférez les petites routes peut-être pour ne pas affronter le réel problème, tant et si bien que vous vous attaquez entre vous sur des broutilles ridicules.
Vous parlez en votre nom, ce qui compte pour vous en tant que client, c'est votre plaisir à vous.Par exemple, est-ce que le client croit que la prostituée prend du plaisir? Non mais vous êtes sérieux? En tant que client, je vais vous dire certaines choses que vous semblez ignorer. Ce qui compte pour un client c'est SON plaisir, pas celui de la fille.
Monsieur, je crois qu'a peu près tout le monde le sait, vous nous apprenez rien, que les trafiquants d'êtres humains ont pour but de faire de l'argent.Je lis Nathalie son premier post : le trafic d'êtres humains aux fins d'exploitation sexuelle. Quelle absurdité!! La fin de ce trafic n'est pas d'ordre sexuelle, mais de gagner de l'argent; le sexe est le moyen! Ce moyen est inscrit et ancré en l'Homme, par l'instinct: de conservation (sexe) de survie (arme).
Pourquoi vous connaissez des prostituées qui le font pour le plaisir sans être payé??et le sujet essentiel, c'est? le problème de l'argent?
Et à votre plus grand désespoir c'est malheureusement le cas de la majorité des clients. Ceux dont vous parlez qui prétendent rechercher le plaisir de la fille : d'abord qu'est-ce qui vous faite croire qu'ils sont capable de le reconnaître sachant que la plupart ne savent même pas quand une fille simule, ensuite il me semble que vous confondez des "raison" avec des "excuses" qu'utilisent les clients pour se justifier d'aller les voirs. Du genre "je vais y aller, je vais lui offrir du plaisir..."ben voyons, et la prostituée rétorque :" oh je lui offre de la tendresse que sa femme n'est pas fichu de lui donner!", comme c'est attendrissant.Vous parlez en votre nom, ce qui compte pour vous en tant que client, c'est votre plaisir à vous.
Ne vous fâchez pas ! Je faisais une correction mineure à votre terminologie parce qu’il est manifeste que vous ne connaissez pas l’économie et j’en profitais pour vous souligner le côté « boîte noire » de beaucoup de méthodes utilisées en économie comme dans votre discipline, la psychologie, et les sciences : quand on a les données nécessaires, on est capable de mesurer si un résultat s’est produit, mais les mesures n’expliquent pas comment les relations opèrent. Dans le cas présent, on « mesure » l’incidence de la traite pour vérifier si la substitution prétendument attendue s’est réalisée. On se rend compte, sur la base des données utilisées, celles de l’UNODC, qu’il y aurait plus de traite dans les pays où la prostitution est légale, mais on n’arrive pas à dire si c’est parce que la substitution ne se produit pas ou si c’est parce que l’incidence de la prostitution y est plus élevée (les auteurs ne mesurent pas cette incidence). Je n’accuse les auteurs de rien à ce sujet. Ils expliquent fort bien ce qu’ils font.Nathalie a écrit :Vous écrivez à peu près n'importe quoi, n'est-ce pas? on commence par dire que la théorie n'existe pas, pour ensuite dire qu'elle porte un autre nom, en finissant par dire qu'ils n'ont pas réellement expliqué l'effet de substitution.
vraiment n'importe quoi
Si vous avez vraiment vérifié par vous-même, vous pourriez me donner la page du rapport ? Si ça peut vous aider, je vous suggère la lecture des sections 1.4 et 2.2.1 et 2.2.2. Vous pouvez le télécharger ici : http://english.bnrm.nl/reports/ C’est le troisième.Nathalie a écrit :vous avez tout faux de sauter à cette conclusion. en mettant entre parenthèse la référence, cela signifie tout simplement que dans ce document de référence (le rapporteur), on trouvera la preuve de ce qui est annoncé. dans cet exemple, ce qui est annoncé est ceci: "certains croient que la légalisation diminue la traite". Lorsqu'on vérifie le document fourni en référence (le rapporteur des pays-bas), on se rend compte qu'effectivement, c'est vrai que certains croient que la légalisation diminue la traite, car il est écrit noir sur blanc que le gouvernement hollandais l'a affirmé
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