vous faites de la métaphysique

Bon ok j'arrête là. J'aurais essayé.
vous faites de la métaphysique
Bah superbe, je te propose autre chose dans un espace sphère déterminé : la terre.Cajypart a écrit :Bon, tu me saoules.
J'ai fait des efforts et je ne reçois que des gnagnagnas...
Ma démonstration a au moins satisfait Denis.
J'attends maintenant la démonstration que "il est impossible de prouver une inexistence".
(ce n'est pas parce que je n'arrive pas, à tes yeux, à démontrer une inexistence que "il est impossible de démontrer une inexistence"... D'ailleurs, est-ce possible de démontrer une impossibilité? Avec tes critères, on va se marrer)
Ah non! La charge de la preuve revient à celui qui affirme. Si tu dis que "il est impossible de prouver une inexistence", la charge de la preuve te revient.Etienne Beauman a écrit :Bah superbe, je te propose autre chose dans un espace sphère déterminé : la terre.
Démontre à Denis l'inexistence des races humaines.
Voilà ça c'est pour ton argument par l'autorité et ton ça me saoule.
Tu finis par un magnifique appel à l'ignorance, ce n'est pas parce que j'y arrive pas que c'est pas vrai, poursuivi par un renversement de la charge de la preuve, donc va y prouve moi que j'ai faux, digne d'un top zozo!
Mais tu affirmes exactement le contraire en prétendant l'avoir démontré !!!Ah non! La charge de la preuve revient à celui qui affirme. Si tu dis que "il est impossible de prouver une inexistence", la charge de la preuve te revient.
Ce que tu dis n'a pas le moindre sens, il n'y a aucune raison de considérer toutes les impossibilités comme un bloc, certaines peuvent être démontrables d'autres pas.Es-tu d'accord que "il est impossible de prouver une impossibilité" est absurde?
Donc, la démonstration est possible.
Et comment tu t'y prends ?Sinon, pour les races humaines, je pense qu'il est possible de démontrer qu'elles n'existent pas.
Tu ne donnes des exemples que dans des domaines restreints et bien définis. Là précisément où personne ne conteste qu'il est possible de prouver une non-existence.Cajypart a écrit :
Si cette expression "il est impossible de prouver une inexistence" s'applique dans l'absolu, ça signifie qu'il ne peut y avoir de contre-exemple, même dans un référentiel restreint!
Or je vous ai donné un contre-exemple. Encore une fois, se référer à mon exemple des pommes.
Apparemment, ce n'est pas l'avis d'Etienne Beauman qui soutient qu'il est impossible de prouver une inexistence, quel que soit le contexte.Wooden Ali a écrit :Tu ne donnes des exemples que dans des domaines restreints et bien définis. Là précisément où personne ne conteste qu'il est possible de prouver une non-existence.
Pourquoi t'obstines-tu à ne pas considérer le contexte dans lequel cette phrase est utilisée qui ne peut en aucun cas être considéré comme un référentiel défini ?
c'est un problème de définition je me réfère à celle qui à court dans le cadre de notre discussion :Apparemment, ce n'est pas l'avis d'Etienne Beauman qui soutient qu'il est impossible de prouver une inexistence, quel que soit le contexte
Cajypart a écrit :Apparemment, ce n'est pas l'avis d'Etienne Beauman qui soutient qu'il est impossible de prouver une inexistence, quel que soit le contexte.Wooden Ali a écrit :Tu ne donnes des exemples que dans des domaines restreints et bien définis. Là précisément où personne ne conteste qu'il est possible de prouver une non-existence.
Pourquoi t'obstines-tu à ne pas considérer le contexte dans lequel cette phrase est utilisée qui ne peut en aucun cas être considéré comme un référentiel défini ?
Donc, cette maxime peut prêter à confusion: il en est la preuve!
Non, mais je pense pouvoir prouver l'inexistence de la "platitude" de la terre.cedric74 a écrit :Cajypart a écrit :Apparemment, ce n'est pas l'avis d'Etienne Beauman qui soutient qu'il est impossible de prouver une inexistence, quel que soit le contexte.Wooden Ali a écrit :Tu ne donnes des exemples que dans des domaines restreints et bien définis. Là précisément où personne ne conteste qu'il est possible de prouver une non-existence.
Pourquoi t'obstines-tu à ne pas considérer le contexte dans lequel cette phrase est utilisée qui ne peut en aucun cas être considéré comme un référentiel défini ?
Donc, cette maxime peut prêter à confusion: il en est la preuve!
Peux tu prouver l’inexistence de la vie après la mort dans ton salon?
Ah c'est là où tu voulais en venir ?Cajypart a écrit : Non, mais je pense pouvoir prouver l'inexistence de la "platitude" de la terre.
Voilà pourquoi je réclamais une réponse à ma question qui ressemble fort à un "échec et mat".
Blablabla, c'est toi qui a fui!Etienne Beauman a écrit :Ah c'est là où tu voulais en venir ?Cajypart a écrit : Non, mais je pense pouvoir prouver l'inexistence de la "platitude" de la terre.
Voilà pourquoi je réclamais une réponse à ma question qui ressemble fort à un "échec et mat".
La platitude de la terre serait une propriété de la terre, pas une chose en soi. L'existence concerne les choses en soi.
La rotondité de la terre n'existe pas par elle-même, c'est la terre (l'objet/chose existant) qui est ronde (propriété de l'objet).
Si tu essayais un peu de répondre aux argument plutôt que poursuivre ta fuite en avant à la recherche d'un nouvel exemple complétement hors contexte, non ?
Les propriétés d'une chose n'existeraient pas selon toi?
Là pour le coup on est plus dans la philo, mais ce que je défends c'est surtout c'est le dico, voir ci après...Es-tu sûr de toujours défendre la science?
Non seulement, je répond à tous les arguments,
Tu l'attendras longtemps j'ai déjà répondu à ce sujet.J'attend toujours ta démonstration de "il est impossible de prouver une inexistence"
Mais si l'objet est définit localement, que sa position dans la salon de Cajypart est une propriété même de l'objet, alors on peut prouver son inexistence, non ? Un autre exemple : il est possible de prouver l'inexistence d'un triangle carré du simple fait que les propriétés de ces deux formes sont contradictoires, un peu comme la présence de l'éléphant dans le salon de Cajypart entre en contradiction avec le constat qu'il n'y a rien, non ?Etienne Beauman a écrit :"Alors qu'il n'y a aucune méthode opérante en pratique (en théorie il faudrait comme le suggère Wooden scruter en même temps les moindres recoin de l'univers) pour prouver leur inexistence, tu peux juste constater localement leur absence provisoire (rien ne te dit qu'ils ne vont pas débarquer dès que tu auras le dos tourné)."
Il considère une différence puisqu'il introduit une idée de référentiel. Il ne parle pas d'un absolu.Etienne Beauman a écrit :Tant que tu refuseras de considérer que exister et être présent quelque part c'est pas équivalent, tu comprendras pas de quoi on te parle
greem a écrit : Mais si l'objet est définit localement, que sa position dans la salon de Cajypart est une propriété même de l'objet, alors on peut prouver son inexistence, non ?
Je sais ce qu'est un triangle.Un autre exemple : il est possible de prouver l'inexistence d'un triangle carré du simple fait que les propriétés de ces deux formes sont contradictoires, un peu comme la présence de l'éléphant dans le salon de Cajypart entre en contradiction avec le constat qu'il n'y a rien, non ?
Mon seul but est de créer une "idée". Je suis bien évidemment au courant que je ne suis en aucun cas une "référence". En tant que zététicien, je prône l'art du doute. (si vous cherchez à me comprendre...)Jean-Francois a écrit :Il considère une différence puisqu'il introduit une idée de référentiel. Il ne parle pas d'un absolu.Etienne Beauman a écrit :Tant que tu refuseras de considérer que exister et être présent quelque part c'est pas équivalent, tu comprendras pas de quoi on te parle
En pratique, il est vrai que l'on peut prouver l'inexistence de certaines choses hors de tout doute raisonnable: par l'accumulation d'indices rendant très improbables cette existence (i.e., les fées, Dieu, des êtres vivants dans le soleil, le psi, etc.). Ce genre de preuve peut ne pas satisfaire un philosophe-logicien et ne sont évidemment pas bétonnées, cela explique la difficulté qu'il y a à faire comprendre les faits en faveur de l'inexistence de certains "machins" à des tenants (dieu, par exemple*), mais elles sont quand même une certaine valeur empirique.
Cela dit, je reconnais que les exemples de Cayjpart sont mauvais puisque prouver la non-présence d'un éléphant ou de la phrase ne prouve pas l'inexistence des éléphants ou de la phrase (au contraire, on sait que ces deux éléments existent).
Jean-François
* Un trait que partagent ces "machins" est d'être mal définis donc polymorphes. C'est pourquoi la charge de preuve est importante.
Bah non justement il emploie exister indifféremment dans les deux cas.Jean-Francois a écrit :Il considère une différence puisqu'il introduit une idée de référentiel. Il ne parle pas d'un absolu.
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