Cette solution à la crise parait dans le Soleil du 12 juin.

[mauricemaltais]

Bonjour

On trouve le texte à la page 17. Il est sous la rubrique carrefour des lecteurs et sous le titre" une solution fiscale". J'espère que cela va provoquer d'une manière ou d'une autre un déblocage.

Maurice

[Samuel Rooke]

Une solution fiscale
Parmis les solutions au conflit relatif aux droits de scolarité, il y en aurait une qui lierait non seulement les étudiants actuels, mais aussi les anciens étudiants. L'université serait gratuite mais quand ils commenceraient à travailler, ils commenceraient à travailler, ils paieraient 1% de plus d'impôt. Les anciens étudiants qui ont aussi bénéficié d'études à coût très réduit devraient également payer 1% de plus d'impôt. On estime que la moyenne des salaires des diplômés universitaires est de 52 000 $ par année. Si on enlève 10 000 $ pour les exemptions, cela nous laisse 42 000 $ imposable. Un pour cent donc 420 $, multiplié par un million de diplômés nous donne 420 millions $. Une étude faite par André Shields évalue à 405 millions $ le coût de la gratuité universitaire. Le montant de plus à payer en impôt pourrait être moindre pour certains et plus élevé pour d'autres. Bien sûr, il faudrait encadrer ce système de conditions raisonnables.

Maurice Maltais, Québec

Le Soleil, Carrefour des lecteur, 2012-06-12, p.17.

[DanB]

Plus tu travailles, plus tu paies. Moins tu travailles, moins tu paies. Beau message!

[ServerError503]

Plus tu travailles, plus tu paies. Moins tu travailles, moins tu paies. Beau message!

C'est le principe de redistribution des richesses, non ?
D'ailleurs, croyez-vous vraiment que plus on travaille plus nos revenus augmentent ?
Personnellement j'en doute, moi par exemple le temps supplémentaire n'est pas payé à mon travail. C'est un frein important à l'effort additionnel pour plusieurs de mes collègues. Pour ma part, il m'arrive souvent de faire du bénévolat, et devinez qui récolte le fruit de mon labeur ?

[Samuel Rooke]

Plus tu travailles, plus tu paies. Moins tu travailles, moins tu paies. Beau message!

N'est-ce pas simplet comme affirmation ? On parle ici d'accès aux études, un étudiant va devoir payer anyway avant où après. En plus, c'est "étudiant payant" comme principe car ce sont les diplomés qui ont la taxe à payer pour ce qu'ils ont eut de "gratuit" dans le passé. Vous avez un discours contradictiore n'est ce pas?

Vous auriez du dire: Ceux qui on eu des études payées repaient leur dû, ceux qui n'ont pas descidé d'aller à l'université ne paie simplement pas.

Ce qui reviens à dire: Ceux qui veulent aller à l'université paie leur entré, ceux qui n'ont pas descidé d'aller à l'université ne paie simplement pas

Par contre, la première affirmation donne une chance égale à tous d'avoir accès à l'étude supérieur. Et si jamais l'étudiant ne fini pas, il pait pareil pour ce qu'il a débuté où échouer... Cela me semble le meilleur des deux monde non ? Un système d'éducation payant qui laisse la chance à tous d'avoir un accès à l'université, ainsi, d'avoir une meilleur possibilité d'emploi payante tout en gardant le niveau d'éducation social intéressant.

Sinon, que voulez-vous? proposez nous quelque chose !

A+
Sam Rooke

[Pardalis]

Comment on fait pour ne pas décider d'aller à l'université?

[Samuel Rooke]

Comment on fait pour ne pas décider d'aller à l'université?

On ne s'inscrit pas...

[Pardalis]

Comment on fait pour ne pas décider d'aller à l'université?

On ne s'inscrit pas...

Donc vous prônez une réduction d'impôts pour ceux qui ne sont pas allés à l'université?

[Samuel Rooke]

Donc vous prônez une réduction d'impôts pour ceux qui ne sont pas allés à l'université?

Non, je n'ai jamais dis cela...

j'édit pour être plus clair,
Le principe proposé par M. Maltais et celui de l'étudiant payant post-étude par impôts spécial de 1% pour payer l'étude universitaire qu'il a eu "à crédit" dans le passé et dont il bénifie dans le présent et le futur.

Sam Rooke

[DanB]

Donc, plus il paie d'impôt, plus son travail est important pour la société, plus on va le faire payer?

S'il décide d'en faire plus, on lui demande d'en payer plus.

Et s'il décide à la place de prendre une sabbatique après un épuisant 6 mois de travail, on lui offre un rabais sur ses études?

Suis-je le seul à voir un méchant effet anti travail dans tout ce taxage du fruit du travail?

Inciter les gens à prendre du sans solde, à refuser de faire plus d'heures, ça ne permet pas d'envoyer des millions dans les coffres de l'état. Trop d'impôt tue l'impôt. Ceux qui l'ignorent l'apprennent à la dure.

Désolé, mais s'il m'en reste pas plus à la fin de l'année à travailler qu'à prendre ça relax, je vais prendre ça relax, et tant pis pour les finances de l'état. Après ça, les grands penseurs qui ont proposé des solutions aussi stupides se demanderont ce qui s'est passé.

[Samuel Rooke]

@DanB

Quel est la différence entre un étudiant qui paye son université avant et celui qui le paye après ?

Ce que vous attaquer c'est l'impôt proportionnel et non la proposition. Ce n'est pas le cas dans cette dernière car c'est simplement un remboursement et le reste des contribuables n'y contribuent même pas à ce système...

Éclairez moi.

A+
Sam Rooke

[DanB]

Plus tu travailles, plus tu paies. Moins tu travailles, moins tu paies. Beau message!

C'est le principe de redistribution des richesses, non ?

Récompenser la paresse? Et bien, j'en apprends, mais je comprends mal.

D'ailleurs, croyez-vous vraiment que plus on travaille plus nos revenus augmentent ?
Personnellement j'en doute, moi par exemple le temps supplémentaire n'est pas payé à mon travail. C'est un frein important à l'effort additionnel pour plusieurs de mes collègues. Pour ma part, il m'arrive souvent de faire du bénévolat, et devinez qui récolte le fruit de mon labeur ?

Moi, j'ai le choix de me le faire payer ou de le reprendre en temps. Et comme l'état veut trop en prendre si je me le fais payer, je le prends en temps et il ne collecte pas une foutue cenne.

D'autres refusent de faire plus de job pour la même raison.

D'autres prennent des congés pour la même raison.

D'autres vivent très bien de temps en temps sans contrat pour la même raison.

Il faut conserver un attrait à en faire plus autrement personne n'en fera plus.

On a un ami pompier. Samedi, l'été, quand il fait beau, il est en gros suit, pas de bière, il ne peut pas s'embarquer à faire qqch, il est de garde. S'il part pour aller travailler alors que le reste du monde reste sur le bord de la piscine à se la couler douce, il va être payé. Et, par la suite, ceux qui sont restés assis vont lui dire que la moitié de l'argent qu'il a fait, sale riche, leur revient de droit. Belle solidarité. Ça lui apprendra à faire de l'argent à aider des mal pris.

[DanB]

@DanB

Quel est la différence entre un étudiant qui paye son université avant et celui qui le paye après ?

Ce que vous attaquer c'est l'impôt proportionnel et non la proposition. Ce n'est pas le cas dans cette dernière car c'est simplement un remboursement et le reste des contribuables n'y contribuent même pas à ce système...

Éclairez moi.

A+
Sam Rooke

1% de 40 000$, c'est la moitié de 1% de 80 000$.

À moins qu'on calcule des intérêts et qu'on considère que c'est un prêt qui se rembourse. Si tu t'en vas foirer au Costa Rica, ben tu vas payer plus longtemps.

C'est pas semblable au système de prêt? C'est pas le même principe que ce qu'offrent les sales banques?

[Samuel Rooke]

@DanB

On a un ami pompier. Samedi, l'été, quand il fait beau, il est en gros suit, pas de bière, il ne peut pas s'embarquer à faire qqch, il est de garde. S'il part pour aller travailler alors que le reste du monde reste sur le bord de la piscine à se la couler douce, il va être payé. Et, par la suite, ceux qui sont restés assis vont lui dire que la moitié de l'argent qu'il a fait, sale riche, leur revient de droit. Belle solidarité. Ça lui apprendra à faire de l'argent à aider des mal pris.

Vous ne vous attaquez pas à la bonne chose. On parle de l'éducation qui doit être payé d'un façon ou d'une autre... Ici, on parle d'étudiant payant, pas de faire payer encore plus les riches. N'est-ce pas contradictoire si vous êtes contre la gratuité et contre l'étudiant payant ? En plus, c'est une anecdote, j'en connais moi qui travaille 30$ de l'heure mais ne font pas grand chose de leur journée et vice versa, du monde qui gagne en dessous du salaire minimum mais qui travail en fou (moi même dans ce cas concernant mes 4 derniers étés) Seulement, je comprend avec le reste...

1% de 40 000$, c'est la moitié de 1% de 80 000$.

C'est vrai, alors si j'entre cette nouvelle variable :

la taxe de remboursement est supprimé une fois que la totalité du montant des frais de scolarité est payé, ainsi, une personne qui gagne 80 000$ remboursera deux fois plus vite que celle qui gagne 40 000$ et ce, comme un forme dette sans intéret (à ajouter, au pire, en tems et lieu). Ce qui veux dire qu'une personne qui foire au Costa Rica doit tout de même payer.

Qu'en pensez vous ?

A+
Sam Rooke

[mauricemaltais]

Bonjour

Je ne vois pas pourquoi cette solution au payment de l'univirsité par ceux qui en bénifient le plus ne serait pas adoptée. En plus ces bénéficiaires pourrait dire leur mot dans la gestion de l'iniversité. Ce milieu peut devenir facilement un nid de corruption. Seuls des intérêts égoistes de certains pourraient faire obstacle. C'est une solution que d'autres pays comme le Royaume- Uni et d'autres pays en Europe pourraient intégrés.

Maurice