Salut MadLuke
MadLuke a écrit :C'est important de définir Dieu et pourquoi vous utiliser ce mot pour décrire ce qu'il défini ?
vous pouvez donné un lien vers un passage du forum ou vous expliqué (Je voix mal comment on peut démontrer que quoi que ce soit dans l'univers est nécessaire ou qu'une entité consciente ai jamais été nécessaire).
Ma définition simple de Dieu c’est :
l’essence rationnelle de l’existant. J’utilise le mot Dieu, car tout le monde sait à quoi ce rapporte ce mot ; la raison suffisante de pourquoi quelques chose plutôt que rien. Mais j’avoue que le mot est galvaudé et représente dans l’esprit de plusieurs un quelconque machin surnaturelle, un être supérieur.
Pour ce qui est de mon explication sur le forum, elle est trop étalé et adapté à divers discutions pour que je puisse vous référer de façon simple.
Je vais tenter de vous expliquer clairement et sans trop de verbiage ce que j'entend par
vérité nécessaire.
La première question à ce poser pour envisager de comprendre la réalité, c’est de comprendre quel est l’essence de la Vérité. Quel sont les principes inné de la raison ? (celle qui nous permet ensuite de faire de la science ; approfondir nos connaissance des vérités de faits)
Nos raisonnements, ou opérations de notre raison(capacité à crée et combiner des concepts), sont fondés sur les deux grands principes de l’identité – non-contradiction et de la raison suffisante, lesquels s’appliquent concurremment aux deux sortes de vérités auxquelles se ramènent toutes les vérités possibles, savoir les vérités de raisonnement et les vérités de fait.
On dit les vérités de raisonnement (ou vérités logiques) nécessaires et leur opposé impossible
1+1=2 = vrai 1+1=3 = faux *toute vérité analytique.
Donc toute vérité de résonnement commence inévitablement par le principe d’identité. La chose est ce que la chose est ; l’attribut doit être contenu dans le sujet. Qui donne le principe de non-contradiction = une vérité ne serais en contredire une autre. A=A, c’est vrai. C’est la seul vérité absolue possible pour la raison mais elle ne nous apprend rien.
“Dans toute proposition vraie, universelle ou singulière, nécessaire ou contingente, le prédicat est contenu dans le sujet; en d'autres termes, toute vérité est réductible à une proposition identique”
Ainsi, toutes propositions analytiques est vraies dans trois cas:
-soit par réciprocité (1+2)=(2+1)
-soit par inclusion 5 = (4+1)
-soit par contradiction (1 ≠ 2)=vrai
On dit les propositions analytiques de réciprocité, objets d’intuition.
Et on dit les propositions analytiques d’inclusion et de contradiction, objets de démonstration.
Vérité ontologique = une chose ne peut avoir une propriété et la propriété contraire en même temps et sur le même point.
Vérité logique = on ne peut affirmer vraie et fausse la même chose.
Pour les vérités de fait, (ou vérité empirique) ont les dits contingentes et c’est le principe de raison suffisante qui permet à la conscience de donné justification causale à tout. Pour ce type de vérité, leur opposé est possible, on peut les nier sans contredire un grand principe.
-Il peut y avoir des paradoxes entre divers modèles scientifiques.
-Je suis assis, mais il n’y aurait rien de contradictoire à ce que je sois debout.
Cela signifie que l’ensemble des vérités de fait a quelque chose de différent que la simple non-contradiction des vérités de raisonnements.
Ces principes son nécessaire pour comprendre comment la conscience crée son univers conceptuelle. Et puisque la pensé humaine est une vaste opération de symbolisation, il faut considérer ces principes de façon très sérieuse. La perception consciente c'est l'intégration des
petites perceptions capté par les sens et interprété sous forme conceptuelle à partir du principe d’identité et de raison suffisante. Et si la raison est innée dans la conscience c’est que la raison fait parti de l’univers.
Sinon, l’autre position c’est de jouer les matérialistes athées et de prétendre que le principe d’identité et de raison suffisante n’est qu’une conséquence aléatoire qu'a acquis notre espèce par la sélection naturelle… et donc, que l’univers n’est pas nécessaire...
Moi je m’oppose à ce raisonnement car il consiste à faire passer une vérité de fait comme une vérité nécessaire.