Human a écrit : Bonjour Eve_en_Gilles,
C’est certain que tout dépend de la signification que l’on apporte aux mots. Je comprend que vous trouviez extrême ma définition du mot libre. On pourrait aussi trouver extrême une définition trop édulcorée de ce mot. Bref, c'est une question d'interprétation, et certains mots prêtent plus à interprétation que d’autres. Le mot ''libre'' prête plus à interprétation que le mot ''crabe''.
Tu as ici résumé un des principaux problème de cette discussion.
Human a écrit : Disons... si on oublie la forme (c'est-à-dire le mot libre-arbitre) et que l’on garde la définition que vous prisez, ''la capacité de l’homme à se déterminer''. Personnellement, je puis reconnaitre à l'homme cette capacité, bien que je considère que cette capacité est limité, et variable selon chaque individu .
Sur ceci je peux dire que nous sommes d'accord. y compris sur l'existence de limites et de variabilité.
Human a écrit : Pour revenir sur la peur, je ne connais personne qui n’en possède aucune. En ce sens, personnellement je la considère comme quelque chose de généralisé. Aussi, même si elle n’est pas toujours aussi flagrante que lors d’un saut à l’élastique, cela ne veut pas dire qu'elle n'est pas présente de façon plus ou moins subtile .
Là on s'est mal compris, parce que j'ai l'impression qu'on dit la même chose au final.
Quand je séparais "général" et "particulier", c'était pour exprimer le fait que nous avons tous des peurs et que sans peurs, je pense que nous n'aurions jamais survécu, mais que la peur n'est pas toujours contraignante. En fait elle l'est même assez rarement. A tel point que lorsque c'est le cas, on utilise un terme médicale : "phobie".
Général -> un sentiment de peur va me faire hésiter ou me faire prendre des précautions supplémentaires, me faire réfléchir. C'est une influence. Au final je renoncerais peut-être, mais j'ai eu l'occasion de poser le pour et le contre et de me décider pour le contre.
Particulier -> une phobie va me faire agir sans avoir le temps de peser le pour et le contre ou plutôt "quand bien même je l'aurais fait". C'est une contrainte.
Human a écrit : Pour la question du tutoiement. C’est peut-être une question d’éducation, mais personnellement je ne tutoie jamais quelqu'un avec qui je ne partage pas une certaine familiarité, sauf exception quand la personne à qui je m'adresse est de mon âge ou est plus jeune que moi. Sur un forum (ne connaissant généralement pas l'âge des gens) jamais je ne tutoie quelqu'un de prime abord. Maintenant, faites comme bon vous semble, je ne vous en tiendrai pas rigueur!
je sais pas si c'est une question d'éducation (je ne pense pas, mon père est très à cheval sur le vouvoiement au point d'avoir vouvoyé ma compagne à leur première rencontre), disons que c'est pour moi une façon d'abolir les distances que l'on s'impose.
Pour en revenir à cette histoire de respect d'un peu avant, je vouvoie les gens qui demandent à être vouvoyé (j'essaierais de m'y tenir vous concernant, pardonnez à l'avance mes oublis) à condition évidemment qu'ils me vouvoient également (question de reciprocité du respect).
bref en conclusion, nous sommes relativement en accord dans l'ensemble. il va donc être difficile de poursuivre la discussion en effet.
au moins cette part aura été réalisée sans se balancer des noms d'oiseau et sans remettre en cause nos compétences intellectuelles mutuelles.
Srevne'l à eril zevas suov euq tse'c, esarhp ettec zennerpmoc suov is.
Ovarb !!! Spmet ertov udrep riova'd noisserpmi'l sap zeva'n suov ?