Babel a écrit :Psyricien a écrit :Est tu en désaccord avec ceci ?:
-->La science traite de ce qui est objectif et vérifiable.
-->La métaphysique traite de se qui est subjectif.
Ces concept s'oppose en ce sens qu'il traite de choses différentes ! L'un produisant des savoir valable pour tous, l'autre produisant des choix valable pour le sujet !
On ne peut pas les opposer de manière aussi brutale. La science et la métaphysique ont le même objet (expliquer/comprendre le monde) mais expriment leur compréhension du monde dans deux langages différents. Un langage symbolique pour la métaphysique, un langage mathématique pour la science. Elles peuvent et doivent être complémentaires. C'est leur point de rencontre, de jonction qui m'intéresse.
Nie tu la subjectivité de la métaphysique ?
Quelles compréhension du monde à été dégagé via la métaphysique ? J'aimerais des exemples

.
Il n'y a pas de point de jonction ... il y a une frontière, mais ce sont des ensemble dis-joint (dans la définition que j'en pratique) !
Rien n’empêche de pratiquer les deux ! Mais:
-->Les savoir scientifique s'applique à tous !
-->Les choix philosophique ne s'applique qu'au sujet !
Mais d'autres en parlent tellement mieux que moi :
C'est un peu dommage de ne pas pouvoir s'exprimer avec ces propre mots ...
"Le langage de la métaphysique et de la religion s'apparente davantage à celui de la poésie qu'à celui de la science.
La dessus je le suit !
De prime abord, certes, on aurait tendance à penser que dans la science il s'agit d'obtenir des informations sur des faits objectifs, alors que dans la poésie il s'agit de réveiller des sentiments subjectifs
Et bien je souscrit à ce prime abors

.
comme la religion, de son côté, prétend à une vérité objective, elle devrait plutôt être soumise aux critères de vérité de la science.
C'est tout le problème des religieux ... il prétendent que leur vérité est objectives ... mais dans le mesure où il n'y a aucun moyen de la tester, elle est forcément subjective !
Et oui, sur ce point certains croyants exhibe leurs incohérences !
Mais cette division du monde en une face objective et une face subjective me paraît beaucoup trop radicale.
Bah ... soit tu peut test, soit tu peut pas ...
Si les religions ont de tout temps utilisé le langage des images, des paraboles et des paradoxes, c'est parce qu'il n'existe pas d'autres possibilités de saisir la réalité. Cela ne veut pourtant pas dire que ce ne soit pas une réalité authentique.
Euh ... comment dire ...
La je requiert une explicitation et des exemple précis ... le propos est suffisamment vague pour que chacun y mettent se qu'il veux !
Décomposer la réalité en une part objective et une part subjective, cela ne nous avance pas beaucoup.
Bien au contraire, c'est le fondement même du respect envers d'autre que soit même qui pratique des choix différent !
Faire cette séparation est le point fondamentale dans l'acception et le respect des différences idéologique !
Pour cette raison, je considère comme une libération intellectuelle le fait que l'évolution de la physique au cours des dernières décennies nous ait appris combien problématiques sont les notions d'objectif et de subjectif.
Ce propos, pose problème, car j'y perçois un mélange maladroit entre les faits et l'interprétation de ces faits ! J'ai l'impression qu'il mets des choses dans la physique, qui pour moi relève de la métaphysique !
Ceci a commencé déjà par la théorie de la relativité. Autrefois, l'affirmation selon laquelle deux évènements étaient simultanés était considérée comme une constatation objective.
Et elle l'est, dans un certain cadre (référentiel) ! La science n'a de vocation qu'explicative ... elle s'assujettie donc à des cadres d’applications ! Elle n'a pas prétention à être une Vérité absolu !
Mes craintes se confirme ... il met de la métaphysique dans la physique !
Aujourd'hui nous savons bien que cette notion de simultanéité contient un élément subjectif, en ce sens que deux évènements qui doivent nécessairement être considérés comme simultanés par un observateur au repos ne sont pas forcément simultanés pour un observateur en mouvement.
Oulala, là je ne le suit plus du tout ! Visiblement on ne pratique la même définition de subjectif !
Les variation de perception du temps en RR, sont objectives, on peut les reproduire et les tester ! La validité de cette constations n'est pas soumise au sujets !
Et cependant, la description relativiste est objective en ce sens que chaque observateur peut déterminer par un calcul ce que l'autre observateur a perçu ou percevra. Il n'en reste pas moins que l'on s'est éloigné de l'idéal d'une description objective dans le sens de la vieille physique classique.
Contorsion cérébrale sans intérêt ! Nos définition ne sont visiblement pas les même !
Chez moi, subjectif c'est ça:
"Dans son sens ordinaire, « subjectif » désigne le caractère de ce qui est personnel."
La perception du temps en RR n'a rien de personnelle ... n'importe qui dans la même situation le percevra de la même façon !
Il y a un amalgame ici en référentiel et subjectivité ... auquel, je ne souscrit pas du tout !
En mécanique quantique, on tourne le dos de façon radicale à cet ancien idéal.
Je me prépare à syncoper

.
Ce que nous pouvons transmettre dans un langage objectivant au sens de la physique antérieure, ce sont seulement des affirmations concernant les faits. Par exemple : "En ce point, la plaque photographique est noircie" ou encore "Ici se sont formées des gouttelettes de brouillard". Là, on ne parle pas des atomes. Mais ce qui peut être déduit pour l'avenir de la constatation ainsi faite, cela dépend de la manière dont la question est posée sur le plan expérimental; et cette manière est choisie librement par l'observateur. Dans ce contexte, il est évidemment indifférent que l'observateur soit un homme, un animal ou une machine.
On est content qu'il le précise, il commençait à me faire peur

.
Cependant je persiste, quelque soit le sujet qui mène les expériences (la même expérience), le résultats est objectif, car il ne dépend pas du sujets !
Il intègre une notion subjective via un truchement assez magique du genre:
-->Je fais varier "n" variables (dont le sujet) ... les résultats changes ... j'en déduit que le résultats est subjectif ! C'est à la limite du débile !!! Désolé Heisenberg, les grands aussi on le droit d'écrire de la merde !
-->Si tu ne fait varier que la variable "sujet" ... les résultats ne changes pas ... donc le résultats est indépendant du sujet, c'est objectif !
Mais la prédiction concernant les évènements futurs ne peut pas être faite sans référence à l'observateur ou au moyen d'observation.
Le moyen d'observation est partie intégrante de la mesure ! Nous sommes d'accord ! C'est la METHODE d'observation qui compte, et non l'OUTILS lui même en tant que sujet. Un autre OUTILS utilisant la même METHODE arrivera au même résultats ... donc indépendant du sujet !
Je pressent un début d'amalgame entre OBSEVATEUR et METHODE d'observation !
En ce sens, dans la science actuelle, toute situation physique comporte des aspects objectifs et subjectifs. Le monde objectif de la science du XIXème siècle était un concept-limite idéal, mais non la réalité.
Dans ça définition flou, et à lumière des concept qu'il "merge", certes ! Cependant je n'y souscrit pas ! Justement parce que son approche en terme de concept est trop flou !
Il amalgame des choses disparate ensemble :
RR:-->Référentiel/Sujet : Le Sujet est dans un Référentiel, la perception du temps change par changement de référentiel et non par changement de sujet !
MQ:-->Observateur/Méthode : L'observateur emploie une méthode, le résultats change par changement de méthode et non par changement d'observateur !
Il sera certes nécessaire également à l'avenir, à chaque confrontation avec la réalité, de distinguer la face objective de la face subjective, de faire une coupure entre ces deux faces.
Sur ce point, on ne peut être plus d'accord. Cependant on distingue un problème de consistance interne dans ce texte, plus haut on lisait :
Décomposer la réalité en une part objective et une part subjective, cela ne nous avance pas beaucoup.
On ne comprend pas bien pourquoi, il juge "nécessaire", quelque chose qui ne "l'avance pas beaucoup". mais soit, passons !
Mais la position de cette coupure peut dépendre du mode d'observation; elle peut jusqu'à un certain point être choisie arbitrairement. Il me semble donc tout à fait compréhensible que l'on ne puisse pas discuter du contenu de la religion dans un langage objectivant.
Bien-sur, il enfonce une porte ouverte ... comment discuter de façon objective, d'une chose qui ne possède pas d'objet ? Bah oui, on peut pas !
La religion est purement subjective, puisqu'elle ne propose aucun test de réfutabilité !
Le fait que les diverses religions cherchent à reproduire ce contenu selon des formes spirituelles très différentes ne justifie donc pas une objection contre le noyau même de la religion.
une objection contre la religion est simplement: "La religion est subjective, on est libre d'y souscrire où pas ! Il n'existe aucun argument objectif qu'une croyance est meilleur qu'une autre, où meilleur que pas de croyance."
Conclusion: Chacun croit se qu'il lui plait, en gardant à l'esprit que c'est subjectif et non objectif !
Mon choix: Je n'ai aucune raisons objectives de formulé un questionnement sur l’existence d'entité sur-naturelle, je ne pratique donc pas ce questionnement ... je n'en ai pas besoin.
A ce titre je ne suis ni athée, ni croyant, ni agnostique ... je ne me pose pas la question (par commodité cependant, la plupart des gens me mette dans la case athée) !
Peut-être devrait-on concevoir ces diverses formes comme des modes de descriptions complémentaires qui s'excluent certes mutuellement
Ah bah voilà, là on est d'accord !
La science à un intérêt objectif !
La philosophie à un intérêt subjectif !
Cependant l'emploi du mot "description" est pour moi mal venu ... si la science décrit un objet ! La métaphysique choisit des positions !
mais qui se conjuguent en ce sens que c'est seulement l'ensemble de ces modes qui fournit une idée de la richesse qui émane de la relation des hommes avec le grand contexte général."
C'est quoi le "grand contexte général" ?
Il n'y a rien de mal à fonder ces principe moraux sur des postulats philosophique personnel, en effet, il faut juste en être conscient ! Et accepter la subjectivité de tels postulats !
Ce que beaucoup de zozos on du mal à intégrer d'ailleurs.
Conclusion:
A postériori, je pense qu'Heisenberg est d'accords avec moi sur le fond (de toute façon, il peut plus nous le dire) ... mais dans la façon de s'exprimer, je le trouve trop flou, laissant trop place au "cherry-picking" dans son texte !
je garde donc ma version avec une séparation clair de
*Référentiel/Sujet
*Observateur/Méthode
Il est lui aussi de l'avis que Objectif et subjectif doivent être séparé de façon clair !
Sur ce,
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