C'est tout à fait le propos, si c'est un amalgame fait par le personnel de santé. Mon propos à moi, c'est de dire qu'il y a une possibilité qu'on interdise le don des homosexuels pour d'autres raisons que celles présentées. Ces raisons étant discutables, offrant la possibilité dans certains pays aux homos de donner leur sang, il n'est pas interdit de s'interroger sur les raisons d'un refus quand il existe et persiste. Et c'est vous après qui venez me dire "Pour les enfants et les simples d'esprit, il est plus facile que tout soit blanc ou noir. " ?...Le refus d'accepter du sang des homosexuels mals , des hétéros qui ont des relations non protégées avec des prostituées et des toxicomanes qui se crinquent n'a rien à voir avec la contamination indirecte. Le refus reposait uniquement sur le risque pour les cas de transfusions. Votre mélange est donc hors de propos.
L'usage des statistiques en sciences humaines, dans les milieu de la santé, de l'économie, de l'environnement, du comportement, pour moi oui c'est du flan. Ces chiffres on peut leur faire dire tout et son contraire. On le voit bien sur le fil de l'homoparentalité. Vous prétendez toujours qu'il y a certaines études qui valent mieux que d'autres ou qu'une méthode est infaillible pour vous permettre d'abonder dans votre sens. Forcément infaillible. Si je vous fais peur, imaginez seulement si j'étais homo... quelle horreur, n'est-ce pas !Vous ne comprenez pas ce qu'est un risque actuariel. Vous me faite peur! J'espère que vous n'occupez pas un poste décisionnel quelque part!
Vous me faites rire. Je cite des exemples qui dézinguent l'intérêt de ces questionnaires et entretiens avant le don et vous retournez ça en inventant une situation là pour le coup totalement hors de propos. J'occupe peut-être pas un poste décisionnel mais vous à force de retourner ainsi les exemples, je vais commencer à me demander si vous n'êtes pas crêpier. Le choc vagal s'il arrive c'est après la prise de sang. Non, vous vous imaginez le mec qui vient d'avoir un malaise vagal, la première chose qu'il pense à faire, c'est donner son sang^^. Désolé, c'est n'importe quoi. "Monsieur, vous avez fait un malaise vagal récemment, je ne pense pas que ce soit une bonne chose. Ne vous en faites pas, nous allons répandre le bruit dans la société que vous n'êtes ni un gros niqueur ni un homosexuel. Rassuré ?" Je vous parle des raisons qui poussent les gens à mentir et vous me retournez l'exemple comme une crêpe. Beau travail de prestidigitation.Il y a mille bonnes raisons de ne pas donner du sang. Être sujet à un choc vagalest un des meilleurs.
Qu'est-ce qui est pas clair pour vous dans un raisonnement constitué d'un 1/ et d'un 2/ ? Quel valeur a l'un sans l'autre ? C'est pas 1 ou 2, c'est pas 2 après 1, c'est 1 puis 2. Et c'est suffisant pour réduire le risque à zéro.Kraepelin a écrit :Qu'est-ce qui n'est pas clair pour vous dans la notion de "faux négatif"?Brève de comptoir a écrit :1/ le sang est testé donc le virus détectéC'est grave, par contre, pour le receveur qui va se faire contaminer par du sang contaminé que l'on a pas détecté.
Si, mettons, les garagistes roux présentaient une forte population de malade infecté par le SIDA, devrions-nous interdire tous les garagistes roux à donner leur sang ?
Si un mec se présente et que son sang est sain (ou au pire chauffé), je vois pas parce qu'il est homo, garagiste, coureur cycliste ou plombier ce qui justifie qu'on profite pas de l'occasion pour le vampiriser.
Vous pouvez aller donc vous coucher. Le scandale du sang contaminé, ça vous dit rien. Non depuis, on continue, les yeux aux ciels et la bouche en cœur à transfuser des poches de sang non traitées...Kraepelin a écrit :Si le procédé est systmatique et sûr à 100%, alors cette discussion est aussi inutile que le questionnaire de sélection des donneurs. Vous pouvez me documenter cette certitude?Brève de comptoir a écrit :2/ dans le cas d'une erreur, le sang est chauffé donc le virus détruit
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La chaleur constitue le seul moyen physique d’inactivation du VIH (par exemple 56° C pendant 30 minutes ou ébullition pendant 15 minutes).
Votre argument aurait été meilleur avec un meilleur exemple. Vous n'y connaissez rien en cinéma américains. Je pourrais vous citer un paquet de films... "nuancés". Mais c'est amusant, je pense la même chose de vous...Les cinéastes américains et les organisateurs de matches de lutte l'ont bien compris. Ils campent leurs personnages dans des rôles sans nuances pour que les spectateurs moyens puissent comprendre.
Bah oui c'est simple la vie, c'est comme un boîte de chocolat. C'est légitime quand ça va dans votre sens, et ça l'est pas quand ça va dans un autre...Pour ces adultes, certaines revendications d'un groupe peuvent être très légitimes et d'autres revendications, du même groupe, ne pas être légitimes.
Hum, ok, ça sent la haine, la croisade, bref pas grand-chose à voir avec un esprit rationnel.D'une part, je déteste le "politically correct" presque autant que la haine gratuite de la différence. Sur ces questions, les "politically correct" ont le vent dans les voiles jusqu'à la stupidité. Ils sont naturellement ma cible.
Oui enfin vous êtes probablement le seul "sceptique" à vous ranger systématiquement du côté des "anti-homos". Vous êtes plus proche de Don Quichotte que d'un sceptique. "D'autre part, c'est un beau thème sceptique: le sujet est chaud, les interlocuteurs nombreux, les arguments très pauvres, les sophismes sont légions. Tout pour aiguiser la fibre sceptique, ne trouvez-vous pas?
— On voit bien, répondit don Quichotte, que tu n'es pas expert en fait d'aventures : ce sont des pédés, te dis-je et, si tu as peur, ôte-toi de là et va te mettre en oraison pendant que je leur livrerai une inégale et terrible bataille.