spin-up a écrit :
Maintenant, tu regardes le schema, tu me felicites aimablement pour mes talents de dessinateur et tu m'expliques:
- qui a decidé que la coudée serait cette portion de courbe pour un hexagone de precisement 1m de diametre
- pourquoi ce meme schema avec un hexagone de 1pieds/1verge/1yard/1brassse de diametre ne donne pas une coudée
- comment les egyptiens ont pu tracer cet hexagone de precisement 1m de diametre
"qui a decidé que la coudée serait cette portion de courbe pour un hexagone de precisement 1m de diametre" le compas.
"- pourquoi ce meme schema avec un hexagone de 1pieds/1verge/1yard/1brassse de diametre ne donne pas une coudée"
la brasse mesure le cheminement, elle est variable selon la latitude,
la coudée de royale cycle mesure le temps, non pas la durée mais la manifestation phénoménique: 1er, temps de la valse par ex.
" comment les egyptiens ont pu tracer cet hexagone de precisement 1m de diametre"
Ce cercle. La question serait, pourquoi une coudée royale de cette dimension déterminant accidentellement ou non un diamètre de 1m
Il semble y avoir "un mixte" entre la brasse humaine et la coudée de cycle, l'idée de "temps" et de cheminement.
27 brasses humaines moyennes* seraient égales à 50m; de là 27/100 de brasse sont égaux à 0.50m,jouant ici le rôle de rayon.
*1.851 m à 45°.
Ps 1: La variation de la brasse suivant l'angle, déterminera une coudée nouvelle.
Les coudées varient n'est-ce pas ?
Ps 2: , Flinders Petrie, in Ancient weights and measures semble avoir noté l'étalon métrique.
Idem dans un fascicule, de la Description de l'Egypte, concernant le nilomètre d'Elephantine.
Ps 3:
"« La mesure de la Terre attribuée à Eratosthène est la première tentative de ce genre que nous offre l'histoire de l'Astronomie. Il est très vraisemblable que longtemps auparavant on avait essayé de mesurer la Terre; mais il ne reste de ces opérations que quelques évaluations de la circonférence terrestre, que Von a cherché, par des rapprochements plus ingénieux que certains, à ramener à une même valeur à très peu près conforme à celle qui résulte des opérations modernes. Eratosthène ayant considéré qu’à Syène, nu solstice d'été, le Soleil éclairait un puits dans toute sa profondeur, et comparant cette observation à celle de la hauteur méridienne du Soleil au même solstice à Alexandrie, trouva l’arc céleste compris entre les zéniths de ces deux villes égal à la cinquantième partie de la circonférence, et comme leur distance était estimée d’environ cinq mille stades, il donna deux cent cinquante-deux mille stades à la longueur entière du méridien terrestre. Il est peu probable que, pour une recherche aussi importante, cet astronome se soit contenté de l’observation grossière d’un puits éclairé par le Soleil. Cette considération et le récit de Cléomède autorisent à penser qu’il fit usage de l’observation des longueurs méridiennes du gnomon aux solstices à Syène et à Alexandrie. C’est la raison pour laquelle l’arc céleste qu’il détermina entre les zéniths de ces deux villes s’éloigne peu du, résultat des observations modernes. Eratosthène se trompa en plaçant Syène et Alexandrie sous le même> méridien. Il se trompa encore en n’évaluant qu’à cinq mille stades la distance de ces deux villes, si le stade qu’il employa contenait trois cents fois la coudée du nilo-mètre d’Eléphantine, comme il y a des raisons de le penser. Alors les deux erreurs d’Eratosthène se seraient à fort peu près compensées, ce qui porterait à croire que cet astronome ne fit que reproduire une mesure de la Terre anciennement exécutée avec soin, et dont l’origine s’était perdue » (1).
(1 ) LAPLACE Œuvres complètes, t. VI, Exposition du Système du Monde, Paris 1884, Livre V, Chap. II, p. 411-412."
Doc. numérisé.