richard a écrit :Psyricien a écrit :Que tu te déplaces dans une direction ou une autre l'effet physique sera le même ... ton espace est donc isotrope.
Certes! mais les équations de Lorentz ne concernent-elles pas les points situés dans la direction du mouvement?
Un troisième "inconvénient" de la relativité einsteinienne est que le temps et l'espace ne sont plus distincts; de même que l'espace, le temps devient alors réversible, ce qui ne correspond pas à la réalité.
Non, le temps ne devient pas réversible! à Aucun moment tu ne peut avoir
\(dt' \propto -dt\), le facteur
\(\gamma\) ne prend que des valeur positives.
Même pour des vitesse surper-luminique,
\(\gamma\) n'est pas négatif ... il est imaginaire pure, ce qui peut avoir une interprétation physique tout de même, mais on va pas rentrer dans des truc exotique et compliqué, vu que les bases ne sont pas maitrisé par notre petit cancre préféré.
Un quatrième "inconvénient" est qu'il ne peut plus exister de corps solides, car ils pourraient transmettre des informations à des vitesses supérieures à celle de la lumière, à tel point qu'Einstein a substitué ses solides de référence par des "mollusques" de référence, sans rire en plus!
What ??? Non en RR rien ne dépasse la vitesse de la lumière.
Sauf que toi biensur comme un gros naïf, tu croit qu'un solide c'est un ensemble de point qui "bouge en même temps" ... mais ça ce n'est qu'une vu de l'esprit pour simplifier les calcul, quand les vitesse de propagation de l'information dans le solide est grande devant les vitesse considérer.
Mais dans le monde réel ... celui qui tu refuse de regarder ... il n'en est rien

.
Pour ce qui est de la confirmation d'une théorie par les faits, je dirais qu'une théorie n'est pas validée par les faits, elle ne peut être qu'invalidée par ceux-ci; une théorie reste valable tant qu'elle n'a pas été réfutée par les faits.
Une théorie est validée par les faits dans un cadre d'application donnée (en science le validité n'a de sens que dans un cadre d'application) quand cette dernière rend compte des expériences effectué dans ce cadre (à ce titre la cadre de validité dépend aussi de la précisions des mesures effectuées).
Si c'est tous se dont tu est capable en termes de "jouer sur les mots" ... c'est bien faible.
Il demeure que les faits sont compatibles avec la RR, et incompatible avec de la méca-classique.
C'est sûrement ce que tu veux dire: la théorie de la relativité einsteinienne demeure valable car elle n'a pas —encore— été réfutée par des observations. Eh ben je vais peut-être t'étonner mais je suis d'accord.
Admet tu donc que si ta théorie fait des prédictions qui diffèrent de la RR de façon significative, alors est elle est invalidée par le fait que la RR elle n'ai pas encore été invalidé ? Par exemple tu clamais une différence au niveau de l'accélération subit par une particule chargée dans un champs EM. Tu clamais aussi que dans ta théorie la perte d'énergie par rayonnement cyclotron serait différent de la perte d'énergie en RR, voir, celons tes dire, qu'il n'y aurait pas de pertes du tout.
Admet tu en conséquence, que ta théorie est invalidée par les faits ?
De plus ton expression de l'énergie dans ton document ".doc":
\(E = \sqrt{1 %2b \frac{v^2}{c^2}}mc^2\)
où
\(v\) est définiti explicitement comme une vitesse, est donc en complète désaccord des observations.
Admet tu aussi que la mesure de
\(dt' = \gamma dt\), invalide ton hypothèse initiale
\(dt' = dt\) ? Et donc rend caduc tout dévelloppement bâti sur cette hypothèse.
Soutiens-tu toujours que la RR est incohérente ?
c'est bien ce qui me tracasse dans la théorie einsteinienne! le temps est fonction non seulement du point considéré dans le référentiel* mais iil dépend également de la direction choisie. Je suis bien d'accord avec toi —pour une fois— ça ne veut rien dire du tout!
[...]
*c'est le cinquième "inconvénient" de la relativité einsteinienne, c'est que le temps qui est postulé le même en tout point d'un référentiel, devient fonction du point considéré t' = f(t,x,v); il ne devrait pas dépendre de x: ne devrait-on pas avoir uniquement t' = f(t,v)? N'est-il pas?
Non le temps ne dépend pas de la direction choisie ... la facteur de dilatation du temps pour des vitesse identique est le même pour toutes les directions de l'espace.
Où as tu vu que le temps dépendait de la position dans le référentiel ? T'es quand même pas en train de confondre
\(x\) et
\(dx\) ?
Prenons deux référentiel R et R' en mouvement rectiligne uniforme l'un par rapport à l'autre. Ce que la RR te dit c'est que l'espace dans R est équivalent à une combinaison de l'espace de R' et du temps de R' et le temps de R est équivalent à une combinaison de l'espace de R' et du temps de R' (et vice versa). Cela se voit très bien quand on utilise des notation matricielle et que l'on maitrise un minimum l'algèbre linéaire ... oups, oubli ça du coup, c'est pas pour toi

.
Ainsi
bouger dans l'espace de R' revient aussi à bouger dans le temps de R et dans l'espace de R. Ce n'est pas pas la position,
\(x\), qui compte c'est le changement de position,
\(dx\), qui compte ... ce n'est clairement pas la même pas la même chose.
Et avant que tu redélire sur du "temps réversible" ... non le temps n'est pas réversible pour autant, car il est question de rotation hyperbolique !!!
c'est bien ce que je disais: le temps devient réversible.

, Ah tu juste essayer de regarder les transformées de Lorentz ... si tu arrive à inverser la flèche du temps (avec des grandeurs physique, les vitesse imaginaires ça ne compte pas

.) ... champion ...
voir le message précédent: les faits ne peuvent valider une théorie.

. Ah bon ? Alors comment détermine tu si une théorie rend compte du réel (donc qu'elle est valide dans un cadre d'application donnée) ? Si ce n'est via les faits ? Nous sommes tout ouïe

.
je crois que c'est ça qu'il va être difficile à admettre pour ceux qui ont étudié la relativité einsteinienne, c'est que la célérité est La vitesse tandis que la vélocité devient une pseudo-vitesse, une vitesse fictive, "visuelle".
Tu te rend compte que tu ergote juste sur un "nom", c.a.d. une convention arbitraire ? Pourquoi les changer ? Où est l’intérêt ? Sinon créer la confusion ? Ah j'oubliais créer la confusion est ton but, c'est ton moyen de fuite préférer, pour dire tous et son contraire et ne pas faire face à tes contradictions répété
Tu as précédemment reconnu que la vitesse et la célérité pour toi se mesurait comme en RR, c.a.d. pour un objet en mouvement dans un ref
\({\cal R}_1\) et fixe dans un ref
\({\cal R}_2\):
\(v = \frac{dx_1}{dt_1}\), la vitesse dans
\({\cal R}_1\)
\(u = \frac{dx_1}{dt_2}\), la célérité dans
\({\cal R}_1\)
Mais tu dit aussi
\(dt_1 = dt_2\) et donc
\(u=v\) ... mais juste avant tu disais
\(v = u.cos(\theta)\) ... c'est contradictoire

.
Va tu enfin t'expliquer sur ces définition fluctuante et incohérentes que tu pratique ?
Ça commence à me revenir*: il faut aller voir du côté des forces conservatives: "Le champ U est appelé potentiel de la force et est homogène à une énergie."
* ça fait plusieurs années que je ne m'étais pas plongé pas dans cette "histoire".
Ça se voit !
La conservation des forces ... ça ne veut rien dire ! C'est l'énergie qui se conserve.
Exemple à deux balle:
Soit un ressort dans le vide initialement éloigné de sa position d'équilibre, il se met à osciller (on néglige la perte d'énergie par rayonnement termique).
-->L'énergie se conserve au cours du temps !
-->Les forces évolue dans le temps !
Comprend tu cela ? Dans la mesure où dans ta théorie tu dit que l'énergie-impulsion ne se conserve pas ... elle est invalidé par les faits.
C'est de plus en plus gag-esque, on voit d’ailleurs comment tu répond de façon "sélectives" aux commentaires de tes interlocuteurs. Mais en même temps, tu répond à se que tu peut ... trouver des pirouette pour se dégager de tes incohérences, ne semble pas ton fort.
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