Peut-être un vieux reste de notre époque chasseurs-cueilleurs: un endroit où se trouve plein de morts, c'est pas bon signe, alors on est naturellement sur ses gardes. Et au moindre bruit, l'instinct de survie reprend le dessus et on sursaute.
Notre génome évolue plus lentement que nos connaissances, alors il y aura toujours ce décalage.
Seul(e) dans un cimetière la nuit
Re: Seul(e) dans un cimetière la nuit
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"Lourd est le parpaing de la réalité sur la tartelette aux fraises de nos illusions." - Boulet
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Re: Seul(e) dans un cimetière la nuit
Oui, Jean-François. "Le doute faute de preuve" j'avais saisi... et n'ayant aucune preuve outre nombreuses expériences personnelles, je me garde d'approfondir.
"Entre ce que je pense, ce que je veux dire, ce que je crois dire, ce que je dis, ce que vous avez envie d'entendre, ce que vous entendez, ce que vous comprenez... Il y a maintes possibilités qu'on ait des difficultés à communiquer mais essayons quand même..."
BERNARD WERBER
BERNARD WERBER
Re: Seul(e) dans un cimetière la nuit
Si les gens qui ont peur la nuit seul dans une cimetière ont peur seul la nuit en forêt, pour ceux la (la majorité) on ne pourra donc pas en dire grand chose 
Avoir peur en plein jour dans un cimétière la se serait avoir peur des fantôme/mort, la nuit c'est plus avoir peur du noir.

Avoir peur en plein jour dans un cimétière la se serait avoir peur des fantôme/mort, la nuit c'est plus avoir peur du noir.
- Samuel Rooke
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Re: Seul(e) dans un cimetière la nuit
Salut à tous
J'ADORE me promener seul dans un cimetière la nuit(ou avec ma blonde (copine) nous adorons les cimetières). Nous préférons cependant le crépuscule car il est toujours possible de voir ou nous allons. Mais la nuit, c'est très bien aussi. Je n'ai jamais eu d'expérience dit "paranormal" dans les cimetières, je ne sais pas pourquoi ? peut être car j'aime trop ça et que je ne me forme aucune idée dans ma tête.
Je suis aussi friand de promenade nocturne dans le bois. Même si j'en ai pas peur, il est normal d'être plus sur nos gardes. Un bois renferme beaucoup plus de "dangers" réels (animaux, racines trébuchantes, eau invisible la nuit, ados intoxiqués) sans compter la perception de la forets en soit. Cela fait que notre imagination travail plus. C'est d'ailleurs dans ces endroits où j'ai eu quelques expériences paranormales (bon que je rationalise qui qui devienne, de facto, normales).
Je dois avoué que, pour avoir travaillé dans un hôpital, cet endroit, directement lié à la mort et quasi-vierge de fantasmes rocambolesque, en fait un des établissements, personnellement, de choix pour des expériences inattendues. Deux anciennes collègues faisant l'entretien (annuel) d'une aile condamner de l'hôpital Laval (IUCPQ) auraient tombés sur un demi patient (seulement le haut du corps) en jaquette des années 1930-1940 passé à travers un mur. L'accès y est barré à clé d'époque et clé numérique moderne. Sans le savoirs, elles ont apprise que ce secteur était l'incinérateur durant un bon moment destiné à brûler les corps non réclamés. Bon, témoignage témoignage, mais qui me fait franchement plus "flipper" que le classique du cimetière.
J'ai aussi cette histoire du collège Saint Charles Garnier à Québec que j'ai connue récemment. Une de mes présente collège de travail au Camp Saint-Sacrement et qui va à ce collège ou nous travaillons (le camp se situe sur plusieurs site dont sur celui du collège) nous a raconter de très bonnes histoires. Le sous-sol GIGANTESQUE barré car c'est un vraie labyrinthe ou quelques morts ont eu lieu (notamment dans l'ancienne piscine durant son temps d'activité, rien de trop bizarre... Sauf la présence d'une ancienne crypte. Et oui, une crypte dans une école secondaire) propose une expérience intéressante (avec accord du garde de sécurité). Il ne faut pas oublier l'historie d'une aile complètement fermée car un/des cadavres (c'est floue dans ma tête, j'aime mieux le mentionné) ont été retrouvé dans les plafond. Le même problème à l'école primaire Holland à deux coin de rue. Un anciens cimetière s'y trouvait (photo de l'ancienne entrée du cimetière ICI) menant directement à la cours d'école). Je trouve ça beaucoup plus passionnant qu'une simple nuit parmi des tombes
A+
Sam Rooke
J'ADORE me promener seul dans un cimetière la nuit(ou avec ma blonde (copine) nous adorons les cimetières). Nous préférons cependant le crépuscule car il est toujours possible de voir ou nous allons. Mais la nuit, c'est très bien aussi. Je n'ai jamais eu d'expérience dit "paranormal" dans les cimetières, je ne sais pas pourquoi ? peut être car j'aime trop ça et que je ne me forme aucune idée dans ma tête.
Je suis aussi friand de promenade nocturne dans le bois. Même si j'en ai pas peur, il est normal d'être plus sur nos gardes. Un bois renferme beaucoup plus de "dangers" réels (animaux, racines trébuchantes, eau invisible la nuit, ados intoxiqués) sans compter la perception de la forets en soit. Cela fait que notre imagination travail plus. C'est d'ailleurs dans ces endroits où j'ai eu quelques expériences paranormales (bon que je rationalise qui qui devienne, de facto, normales).
Je dois avoué que, pour avoir travaillé dans un hôpital, cet endroit, directement lié à la mort et quasi-vierge de fantasmes rocambolesque, en fait un des établissements, personnellement, de choix pour des expériences inattendues. Deux anciennes collègues faisant l'entretien (annuel) d'une aile condamner de l'hôpital Laval (IUCPQ) auraient tombés sur un demi patient (seulement le haut du corps) en jaquette des années 1930-1940 passé à travers un mur. L'accès y est barré à clé d'époque et clé numérique moderne. Sans le savoirs, elles ont apprise que ce secteur était l'incinérateur durant un bon moment destiné à brûler les corps non réclamés. Bon, témoignage témoignage, mais qui me fait franchement plus "flipper" que le classique du cimetière.
J'ai aussi cette histoire du collège Saint Charles Garnier à Québec que j'ai connue récemment. Une de mes présente collège de travail au Camp Saint-Sacrement et qui va à ce collège ou nous travaillons (le camp se situe sur plusieurs site dont sur celui du collège) nous a raconter de très bonnes histoires. Le sous-sol GIGANTESQUE barré car c'est un vraie labyrinthe ou quelques morts ont eu lieu (notamment dans l'ancienne piscine durant son temps d'activité, rien de trop bizarre... Sauf la présence d'une ancienne crypte. Et oui, une crypte dans une école secondaire) propose une expérience intéressante (avec accord du garde de sécurité). Il ne faut pas oublier l'historie d'une aile complètement fermée car un/des cadavres (c'est floue dans ma tête, j'aime mieux le mentionné) ont été retrouvé dans les plafond. Le même problème à l'école primaire Holland à deux coin de rue. Un anciens cimetière s'y trouvait (photo de l'ancienne entrée du cimetière ICI) menant directement à la cours d'école). Je trouve ça beaucoup plus passionnant qu'une simple nuit parmi des tombes
A+
Sam Rooke
Il faut être capable de sortir de la caverne pour voir la vérité... qui d'ailleurs est subjective
Re: Seul(e) dans un cimetière la nuit
Idem.embtw a écrit :Plus jeune, j'ai passé quelques nuits dans des cimetières, alcoolisé ou "canabisé".
Idem.embtw a écrit :Pas vu l'ombre d'un fantôme ni celle d'un troll, ni .. rien.
Connaissant la nature humaine, s'ils pouvaient revenir* (pour aider, pour se venger, pour faire peur, etc.), il y aurait tellement de manifestations, tout partout, que la question de leur existence ne se poserait même pas.
* Supposons qu'ils sont encore « quelque part ».
Penser savoir est une chose, savoir penser en est une autre !
Re: Seul(e) dans un cimetière la nuit
Surtout si de leur vivant, ils se sont battus pour essayer de prouver la possibilité de communiquer avec les morts...Dash a écrit :Connaissant la nature humaine, s'ils pouvaient revenir* (pour aider, pour se venger, pour faire peur, etc.), il y aurait tellement de manifestations, tout partout, que la question de leur existence ne se poserait même pas.
* Supposons qu'ils sont encore « quelque part ».

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"Lourd est le parpaing de la réalité sur la tartelette aux fraises de nos illusions." - Boulet
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- Eve_en_Gilles
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Re: Seul(e) dans un cimetière la nuit
L'imaginaire du "patient fantôme" est quand même bien ancré dans l'imaginaire moderne. Toutes les séries touchant à ce thème y vont de leur épisode hospitalier et le scénario du "patient fantôme" est un classique du jeu de rôle l'Appel de Cthulhu voire même le thème central du jeu de rôle Patient 13. Dès qu'on y ajoute "aile condamnée" et/ou "années 30 ou antérieures" et/ou "psychiatrie", l'imagination travaille. L'image de l'hopital crade, abandonné, est récurrent dans l'horreur contemporaine (même une série de zombies comme The Walking Dead s'ouvre sur ça)Samuel Rooke a écrit :Je dois avoué que, pour avoir travaillé dans un hôpital, cet endroit, directement lié à la mort et quasi-vierge de fantasmes rocambolesque, en fait un des établissements, personnellement, de choix pour des expériences inattendues. Deux anciennes collègues faisant l'entretien (annuel) d'une aile condamner de l'hôpital Laval (IUCPQ) auraient tombés sur un demi patient (seulement le haut du corps) en jaquette des années 1930-1940 passé à travers un mur. L'accès y est barré à clé d'époque et clé numérique moderne. Sans le savoirs, elles ont apprise que ce secteur était l'incinérateur durant un bon moment destiné à brûler les corps non réclamés. Bon, témoignage témoignage, mais qui me fait franchement plus "flipper" que le classique du cimetière.
Au final la peur du noir du cimetierre ou de la forêt est remplacée par la crainte de la mort ou de la folie.
Srevne'l à eril zevas suov euq tse'c, esarhp ettec zennerpmoc suov is.
Ovarb !!! Spmet ertov udrep riova'd noisserpmi'l sap zeva'n suov ?
Ovarb !!! Spmet ertov udrep riova'd noisserpmi'l sap zeva'n suov ?
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