BeetleJuice a écrit :Nicolas a écrit :BeetleJice, je suis d'accord avec vous dans le fond.
En revanche dire qu'on peux develper une psychopathie dans l'enfance me parait extreme.
Je ne sais pas si c'est possible, mais des enfants qui correspondent grosso modo à la description, j'en ai vu.
par exemple pour moi un enfant n'est pas méchant...il est inconscient de ses actes et est faible, il agit avec se qu'il peut.
Honnêtement, je conteste qu'un enfant ne soit pas conscient de ses actes. Je pense qu'on a trop souvent tendance à voir l'enfant comme un adulte en formation, donc un sous-adulte un peu simplet et qu'on ne voit pas l'individu qu'il est déjà, comme s'il y avait une sorte de membrane imperméable entre le monde de l'enfance et le monde de l'âge adulte et que les deux monde était radicalement différent.
Je ne dis pas qu'enfance et âge adulte sont similaires et un enfant aura sans doute une lecture du monde très différente de celle d'un adulte, mais à sa manière, il est souvent conscient de ce qu'il fait et peut parfaitement être méchant, manipulateur, tyrannique et cela très tôt, même si sa capacité à nuire et ses désirs eux, sont très différents de ceux d'un adulte. En plus, ça serait donner beaucoup de crédit aux adulte de dire qu'ils sont toujours conscients de ce qu'il font eux même.
Alors concernant la personnalité je suis d'accord...
Concernant le monde dans le quel ils vivent et sa conscience non...
Il enfant croient en beaucoup de chose, ils pensent pas raison, ils pensent imaginaire.
Il confond ses désirs et ses croyances avec la réalité.
Un enfant, bien souvent a conscience de se qu'il fait mais n'a pas conscience des conséquences et dans l’absolue du "mal" ou du bien" qu'il fait dans un monde qu'il ne comprend pas et qu'il enjolive lui même.
Concernant les "symptôme" psychopathe a l'enfance, je pense qu'une grande majorité des enfants serait des psychopathe alors...
Combien de fois les enfant essaye de poussé les limites ? til cherchent leurs repères, leur espaces.
Combien de fois il sont tyrannique avec les autres enfants, voir violent.
Combien de fois ils manipulent et mentent ? (je vais voir maman car papa m'a donner de bonbon).
Par exemple le "mien" me dit souvent, quand il veux un truc qui ne lui appartient pas, que sa mère lui à dit oui avant, bien sure une fois sur deux il ment...
Concernant les actes sadique...rare sont les enfant qui n'on jamais fait de mal a des animaux ou insectes...
Étrangement mon beau fils les prends et les met dans le jardin...
J’espère que vous n’essayerai pas de détecter la psychopathie dans l'enfance, vous sériez ensevelie.
Quand je dit qu'un enfant est faible c'est parce que c'est vrai...il n'a pas la raison suffisante à sont autonomie et il comprend peux les choses.
Il le sais, et il use alors d'outils bien souvent inappropriée, pas forcement dans le but de faire du mal...
Un exemple, la conscience de la mort chez les enfants est flou, il en à conscience, mais la fragilité et le fonctionnement sur l’imaginaire fait souvent croire à l'enfant que la mort n'est pas irréversible...sa conscience sur se point est flou, c'est pour ça que le deuil chez l'enfant est dure et qu'il se fait vraiment qu'à l'age adulte (totalement), non sans difficultés.
Se genre de comportement reflète une recherche du monde, de sois, des limites, des sentiments, des émotions forte, du danger...une affirmation de sois en sommes.
Et quand on ne les laisse pas faire, ils manipulent, quand on les laisse trop faire il en demande toujour plus...
Que l’éducation sois en partie responsable des trouble mentaux ne me parait pas une idée folle, qu'elle en sois entièrement responsable est en revanche ridicule.
C'est quand tout cela se retrouve chez le jeune adulte, qu'on parle de trouble...avant on parle simplement de personnalité compléte mais irraisonné, fonctionnant dans l’émotif et l'impulsif.
Tout cela n'est pas lier à la non conscience de ses actes, mais de leurs portées, de l’environnement, et des multiples test et expériences qui font que par la suite on comprend avec la raison que le mal qu'on fait est le même que celui qu'on peux recevoir. On conçoit l'autre autrement que comme une autorité, un camarade de jeu sans intérêt autre que pour nous apporté la joie du jeu ou quelque chose qui nous donne à manger... mais comme une personne, petit a petit. Cette ouverture reste variable et progressive je pense toute la vie.
Même si l'empathie semble naturel, elle est en devenir par rapport aux normes sociétale et chez l'enfant elle est flouté par l’émotif et nombrilisme.
Un nombrilisme indispensable pour se sentir sois même avant les autres.
Ensuite il (le nombrilisme) doit disparaître pour s'ouvrir aux monde réel, en oubliant un peux le monde imaginaire trop sécurisant.
On peux même imaginer qu'un enfant trop pouponné soit anxieux face à l'autonomie et puisse dans adolescence développer des rituel anxiolytique.
Identique pour ceux qui sont non protéger et qui n'on pas réussit à apprendre à trouver refuge...
Cette discussion ma fait prendre conscience que je vais peut-être laisse mon beau fils s'affirmer, même si ça le rend pas très agréable, ça évitera peut-être qu'il ne se sente acculé par l'autorité et que sont seul choix plus tard serait de faire des conneries pour prendre sa liberté face à la figure autoritaire...
Mais bon faut cadrer ça quand même
@+